bande annonce de “Lupin III The First”, le premier film de la licence en image de synthèse, c’est animé par Marza Animation Planet, un studio lié à Sega et TMS, on leur doit le film d’Albator, Resident Evil: Vendetta, ainsi que des cinématique pour les jeux Sonic (et ils bossent aussi sur le prochain film)
Makio Inoue, le seiyuu d’origine du capitaine Harlock/Albator et interprète de Goemon Ishikawa de 1977 à 2012 est mort le 29 novembre dernier à l’âge de 80 ans… La veille de son anniversaire. 🙁
Paix à l’âme de ce grand comédien.
2 ans après (voir page 80 de ce topic), je reprends les téléfilms de “Lupin III” !
J’ai regardé le 17ème, “Nusumareta Rupan”, et le 18ème, “Tenshi no Sakuryaku Takutikusu”.
Autant le premier est sympatoche mais très anecdotique et donc pas mémorable du tout, autant le 2ème est un GRAND cru ! Il y a des scènes d’anthologie, les ennemies (toutes des femmes, rien que ça est original pour du Lupin) sont toutes redoutables et il y a plusieurs rebondissements à la fin qui sont très réjouissants !
Dommage qu’IDP ne l’ait pas édité plutôt que “Le dictionnaire de Napoléon” (que j’ai aimé quand même mais qui n’est pas vraiment indispensable).
Arachnée.
Ah content de te revoir sur le topic Lupin III mon cher Arachnée ! 😀
Nusumareta Lupin…
C’est curieux, j’avais adoré ce téléfilm de 2004 la première fois que je l’ai vu, mais les fois suivantes, j’ai fini par le trouver sympathique mais sans plus. Gemini le porte aux nues et le considère comme le meilleur TV Spécial, mais je ne partage pas son point de vue: Episode <b>Zéro-First Contact</b> et Opération Diamant sont infiniment plus aboutis, tant au niveau de leurs intrigues que de leurs réalisations techniques.
Le téléfilm de 2005… Et bien pour être franc, je l’ai adoré et je l’adore toujours. 🙂
Techniquement parlant, c’est le MEILLEUR TV Spécial de Lupin III: c’est un véritable feu d’artifice, il est graphiquement magnifique, et l’animation est sensationnelle et virtuose ! 😀
Les nombreuses scènes d’action constituent une vraie claque visuelle !
La BO est aussi de grande qualité et on y retrouve un des meilleurs thèmes musicaux de la série animée de 1977: “Dangerous Zone” que l’on réentend dans le climax du téléfilm quand nos cinq protagonistes affrontent l’organisation criminelle.
Ce qui est curieux au sujet du character design, c’est que, même si Akio Sugino n’a pas travaillé dessus, j’ai senti son ombre planer autour de ce téléfilm, tant le graphisme des personnages me rappelle parfois sa patte.
Et puis j’ai toujours aimé les récits où Lupin et Zenigata concluent une trêve, leurs interactions sont toujours savoureuses dans ces moments là 🙂 .
Autre fait appréciable: chacun de nos cinq héros a un rôle équilibré, ce qui n’est pas toujours le cas de plusieurs téléfilms de la saga.
Le scénario peut paraître simple, voire basique, mais il est redoutablement efficace et ne laisse place à aucun temps mort.
Avec le recul, je le préfère à l’opus de 2004 et je l’ai revu davantage de fois que ce dernier. 😉
En même temps Gemini n’a pas apprécié les 3/4 des Lupin qu’il a vus, même si j’apprécie certaines de ses analyses et critiques pour d’autres anime, je ne tiens pas vraiment compte de ses avis. On sent qu’il n’accroche pas à la saga.
Le téléfilm 2004 c’est un téléfilm qui avait du potentiel mais qui est trop basique, trop peu ambitieux. Tout paraît fade : les personnages, la réalisation, le chara-design (les personnages ont des teintes bizarrement blafardes, voire jaunâtres…) et même le concept de la petite cambrioleuse qui pourrait ”succéder” à Lupin est sous-développé.
Pour le téléfilm 2005, il est plus intéressant, mais j’ai un avis assez mitigé. Le chara-design des personnages secondaires fait très ”manga” avec ses teintes colorées, ça ne passe pas pour moi, et en dehors de Sophie, les autres méchantes n’ont aucun charisme. Le scénario est correct, mais franchement la Zone 51 en 2005, qui en parle encore ? L’arc issu du manga spin-off Lupin M, qui a adapté le téléfilm, était plus convainquant, les méchantes en particulier n’étaient pas ramené à leur statut d’ennemie; sans être le meilleur arc adaptant un téléfilm Lupin, j’ai passé un très bon moment, en tout cas davantage que devant le téléfilm. Ça n’empêche pas le téléfilm d’être quand même plus prenant que celui de 2004 !
Acheté hier, le coffret A4 BR / DVD de Lupin III “saison 1” (en fait série 1) !
Comme le montrent ces images, c’est un très beau bébé qui vous coûtera moins d’une cinquantaine d’euros (une quarantaine même, si vous le commandez sur anime-store.fr). Personnellement je l’avais commandé chez mon libraire spécialisé, je l’ai eu pour moins de 45 boules.
Seul reproche, les disques (deux BR et quatre DVD) sont contenus dans une pochette avec de belles illustrations, mais celle-ci est assez fragile je trouve, en carton fin. À manipuler avec précaution !
Pour le reste, de bien jolies cartes A4 illustrées (cinq), un poster A2 plutôt générique (à droite sur la seconde image), et un artbook A4 de 88 pages bien fourni, comportant des crayonnés, model sheet des perso, des armes, voitures, etc., des illustrations, les résumés des épisodes de la série avec extraits des scènes, des commentaires, parfois tirés de sites internet (comme Planète Jeunesse) sur la première série et la saga en général, sur ses personnages, sur ses particularités et les raisons de sa longévité. Du bon boulot.
La VF est la même que celle de l’édition IDP, mais le sous-titrage de la VO n’est pas le même. Cette fois Lupin n’y est plus nommé Edgar mais bien Lupin, ou Lupin III. Les génériques d’ouverture des épisodes ne sont plus la version remixée que l’on peut entendre sur les coffrets IDP (et que j’aime beaucoup) mais bel et bien ceux d’origine. Il y en a d’ailleurs six différents (enfin, différents, c’est vite dit, ce sont soit des variations légèrement différentes, soit des versions où Lupin présente les personnages, soit les deux en même temps). Pour la VF, choix étonnant, on a droit en guise de générique au “Edgar” chanté par Liliane Davis pour la deuxième série, sur les images de l’OP de la première.
Les bonus sont sur le quatrième DVD et le second BR, et il s’agit des six OP et des trois ED (trois fois le même avec quelques légers changements) sans les crédits, et surtout l’épisode pilote de douze minutes ! Un cadeau très appréciable, mais l’éditeur Black Box aurait pu aussi placer quelques interview présentes sur certaines éditions IDP des films, comme celle des comédiens de doublage français et celle de Monkey Punch, le papa de Lupin III. Je ne sais pas s’ils avaient le droit ou pas, mais c’est réellement dommage, d’autant plus que Philippe Ogouz et Monkey Punch nous ont quittés il y a quelques temps.
Mais je ne vais pas bouder mon plaisir pour autant, le travail sur l’image en BR est respectable. Le grain d’image est parfois très présent, mais les traits sont fins, les couleurs sont éclatantes et aucun détail dans les décors n’est gâché par un filtre DNR de mauvais goût (du genre à donner l’impression de voir des bouillies de gouaches qui bavent en guise de décors). Du très bon boulot pour une série des années 70. Pareil pour le son, en VF comme en VO, c’est clairement audible et les voix ne sont pas étouffées. Ce n’est certes pas la plus belle série de tous les temps ni la plus soignée graphiquement, mais le travail de restauration est plus que satisfaisant et redonne à l’oeuvre tout son éclat.
En gros, je sais que mon côté fan de Lupin III peut donner l’impression que je m’emporte facilement dans les hautes cimes du bonheur extatique parce que je l’attendais depuis un bail, mais c’est vraiment une très bonne édition (je précise tout de même que je n’ai pas encore eu le temps de voir tous les épisodes, j’ai basé mon avis technique sur trois épisodes pas vus en entier, mais le travail effectué sur l’image et le son est très visible). Maigre en bonus mais peut-être que l’éventuelle édition BR de la deuxième série réparera ce défaut. En attendant, je suis en joie d’être joyeux. 😀
"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
Star Trek - The Next Generation / The Drumhead
Au départ, quand ils m’ont demandé l’autorisation, ils pensaient publier sous mon pseudo, mais j’ai insisté pour que mon nom complet y figure. Vu qu’il s’agissait d’un produit officiel, ça me paraissait la moindre des choses
Ah, bravo chère Veggie !! Cela mérite quelques applaudissements !
J’ai un grand attachement pour notre Lupin adoré, même si je n’ai pas suivi toute son évolution ni vu toutes ses aventures. Ce que je puis dire, c’est qu’au Japon cet été en goodies, en figurines, on le voyait encore partout, et “Le monde de Lupin the First” était dans tous les complexes de cinéma !
Lord Yupa.
A noter qu’il a été doublé en Français par l’équipe de Philippe Ogouz et Catherine Lafond. Veggie11, j’ai hâte de lire tes textes au sujet de Lupin III dans cette édition ! Et enfin Yupa, je suis ravi de savoir que notre cher Lupin est toujours aussi populaire auprès du grand public Japonais, plus de 50 ans après sa création !
Il me semble d’ailleurs que le héros de Monkey Punch est une véritable icône culturelle au pays du Soleil Levant, au même titre que Joe Yabuki le héros de Ashita no Joe où encore Godzilla…
J’ai eu des retours sur le pilote présent dans l’édition, malheureusement la version doublée n’a pas été intégrée au coffret (vraiment dommage) :/ J’aurais peut-être été tenté un jour si la version doublée avait été disponible. Enfin… Pour mon texte, il ne faudra pas s’attendre à de l’inédit par contre ^^ Hé oui, IDP m’a contactée très tardivement, alors qu’ils étaient déjà en train de valider les textes, et donc ont récupéré l’intégralité du texte de ma fiche PJ, sans que je ne puisse corriger ou compléter certains passages. La seule nouveauté c’est que mon travail d’il y a 5 ans (déjà !!!) paraît enfin sous mon vrai nom.
Pour la popularité de Lupin, je pense que le personnage a bien profité de l’époque où naissait le mouvement otaku, avec les premiers produits dérivés plus adultes (avant 1978-1979, les séries animées avaient certes leurs ”goodies”, mais il s’agissait exclusivement de jouets, d’autocollants, de cartes postales ou de livres illustrés pour enfants). Ce côté merchandising et le fait qu’il n’ait jamais vraiment quitté les écrans japonais a dû beaucoup aider à garder sa popularité intacte (à mon avis).
Oui tout à fait, la trêve entre Lupin et l’inspecteur Zenigata est très bien amenée dans le téléfilm de 2005 et les passages où ceux ci sont complices au lieu d’être ennemis sont toujours de grands moments. 🙂
Anecdote intéressante au sujet de ce TV Spécial: tu te souviens qu’au début de celui, Lupin, Jigen et Goemon pénètrent dans la base déguisés en savants…
Le déguisement de Lupin te paraîtra peut être familier… Et bien c’est dû au fait que c’est un clin d’oeil fait au docteur Robotnik, l’ennemi juré de Sonic ! 😉
En effet, à la même époque, TMS produisait la série animée Sonic X adaptant les jeux Sonic Adventure de la Dreamcast et la série avait duré de 2003 à 2006, l’occasion était trop belle pour le staff de faire une référence à l’une de leurs séries actuelles 🙂 . Autre point commun entre Sonic et Lupin III: Satoshi Hirayama le character designer de Sonic X a travaillé en tant que character designer sur plusieurs téléfilms majeurs de la saga tels que Tokyo Crisis, Episode Zéro-First Contact et Opération Diamant ! 😀
Alors au sujet des téléfilms suivants, je ne pourrai hélas pas trop en parler, car je les ai vu, mais une seule fois (sauf Sweet Lost Night que j’ai du voir deux fois me semble-t-il).
Je ne peux qu’abonder dans ton sens au sujet de Seven Days Rhapsody. Pour moi, c’est encore pire, je l’ai vu en 2009 (il y a 10 ans déjà) et j’ai pratiquement tout oublié !
Pour les souvenirs que j’en ai gardé, le design était joli mais l’animation était passable, voire minimaliste, on est loin de la virtuosité technique de Angel Tactics.
Je me souviens que Lupin et Goemon étaient à bord d’une voiture, que Goemon l’a coupé en deux eeeeet… je crois que c’est tout ! ^^
La particularité de ce téléfilm, c’est que le scénario a été écrit par plusieurs fans Japonais de la série.
Un cas de figure similaire avait eu lieu aux Etats Unis où trois jeunes fans des Tiny Toons avaient vu leur scénario adapté dans un épisode intitulé Babs et Buster Bunny goes to Hawaii. Mais autant cet épisode (animé aussi par TMS, tiens, tiens !) était très drôle et réussi, autant celui de Seven Days Rhapsody était bancal et un peu décousu dans les très faibles souvenirs que j’en ai conservé.
Alors pour Kiri no Elusive j’avais eu un avis assez partagé sur ce téléfilm.
Techniquement, le TV Spécial est à la hauteur, l’animation est remarquable et de grande qualité car elle fut produite au studio Telecom à qui l’on doit également l’animation du Château de Cagliostro ainsi que celle du Complot du Clan Fûma. L’introduction avec la course poursuite en bateau est l’une des plus spectaculaires que l’on ait vu pour un téléfilm de Lupin…
Je tiens toutefois à dissiper un malentendu au sujet de l’antagoniste de ce téléfilm (dont le nom peut en effet prêter à confusion !).
Il n’a aucun rapport avec le terrible Mamo du premier film animé cinématographique de Lupin III !
En fait le méchant du téléfilm de 2007 est inspiré de Kyosuke Mamo, un méchant du 13e épisode de la première série animée de Lupin III:
Celui ci était rusé et redoutable car il employait une machine à remonter le temps pour effacer de l’existence les trésors convoités par notre héros et, pire encore, son égérie Fujiko ! Il avait su créer des sueurs froides à notre roi de la Cambriole. Heureusement, il employa une idée de génie avec ses deux comparses de toujours, sauva la vie de Fujiko, neutralisa Mamo et détruisit la machine à remonter le temps dans la joie et la bonne humeur ! ^_^
Le Kyosuke Mamo de ce TV Spécial est un descendant du méchant éponyme de la première série TV. Ce que je me souviens au sujet de ce personnage, c’est qu’il est bien plus bouffon que son illustre ancêtre. Son mobile le poussant à nuire à Lupin (le descendant de celui ci lui a piqué sa petite amie dans le futur) m’avait personnellement bien fait rigoler ! 😆
Après, on pourra en effet regretter qu’il n’ait pas l’intelligence et l’aspect intimidant de son aïeul, même si il a conservé de celui ci son aspect grandiloquent…
J’ai un avis assez mitigé sur l’histoire en elle même. Je trouve personnellement que Goemon aurait pu être mieux exploité: il aurait été intéressant de le voir hésiter entre rester à l’époque féodale du Japon ou revenir avec ses amis au XXI siècle, ayant toujours eu l’âme d’un samouraï et la technologie contemporaine le laissant généralement indifférent (même si il a été capable d’envoyer un SOS via un SMS qu’il a expédié à Lupin grâce à son téléphone portable dans Opération Diamant). C’était une occasion manquée par les scénaristes.
Il faudrait que je le revois. Je ne l’avais pas trouvé si catastrophique que cela, juste moyen (mais peut être que ma mémoire me joue des tours !).
Sweet Lost Night est correct mais pas transcendant. Il se laisse agréablement regarder, mais le fait que Lupin perde puis retrouve la mémoire à plusieurs reprises est assez redondant et trop répétitif.
Alors au sujet du téléfilm Lupin III contre Détective Conan je tiens à te rassurer: il est BEAUCOUP mieux que les quatre précédents téléfilms !
Il combine habilement l’esprit de chacune des deux oeuvres, le scénario est habilement construit, il y a du suspense ainsi que beaucoup d’humour ! Kogoro Mouri par exemple est vraiment hilarant dans ce spécial ! 😀 Il a aussi un joli petit moment de gloire.
Pour Conan, on se focalise juste sur les personnages les plus importants: Conan/Shinichi, Ran Mouri, Kogoro Mouri, Sonoko Suzuki, l’inspecteur Maigret et Takagi (mais Satô n’est pas là, dommage).
Ceci dit, il n’y a pas énormément d’action, c’est avant tout une enquête policière. La plupart des personnages de Lupin III sont bien exploités, surtout Lupin, Jigen et Fujiko.
Zenigata est plus en retrait et pour Goemon, sa présence tient plus du cameo.
Mais globalement, ce cross over est une réussite que j’ai éprouvé un grand plaisir à revoir plusieurs fois :). Et c’est l’un des derniers opus de la saga où Kogoro est interprété par le génial Akira Kamiya, car, suite à un litige avec le staff, il se fit remplacer au cours de l’année 2009 par un autre seiyuu, bien moins talentueux et beaucoup plus fade…
Ah les fameux téléfilms 2006-2008 ! Personnellement j’ai un petit faible pour les téléfilms 2006 et 2008, sans être incontournables je les aime bien pour ce qu’ils sont : des divertissement assez jolis à regarder (surtout celui de 2008), avec du Jigen fan-service et quelques bons gags. Je n’en demande pas plus, mais c’est un peu l’exception. Cela dit, pour ces 2 téléfilms encore une fois, j’ai largement préféré l’adaptation manga parue à la même époque dans le ”Lupin Official Magazine”, signés par l’auteur du fort sympathique spin-off Lupin III M. Ils sont mieux scénarisés et les nouveaux personnages sont moins agaçants. Je regrette de ne pas pouvoir te les conseiller vu qu’ils n’existent qu’en japonais, mais j’en ai fait une présentation détaillée dans le topic en 2012 ! 😉
Pour celui de 2007, comme toi je l’ai trouvé vraiment mauvais. Le fait qu’il ait été animé chez Telecom me faisait espérer une certaine qualité, sans compter le retour de Kyôsuke Mamo. Hélas, ce n’est pas ce que j’attendais ! Ce qui m’a le plus déplu, c’est le rôle de Zenigata qui est tout simplement inexistant (tout le long du téléfilm, il est en prison !). Dans le téléfilm 2008, même si très vite il était relégué de côté, il y avait cette amnésie qui le rendait touchant, là il n’est ni drôle ni touchant. Je me doute bien que ces rôles réduits de Zenigata sont dus à la maladie dont devait décéder Goro Naya quelques années plus tard, mais ç’a rendu le personnage encore plus caricatural.
Quant au téléfilm Lupin VS Conan, sa principale qualité c’est ce mélange des 2 univers en fait : je le prends comme une sorte de jeu, où l’on s’amuse à placer les points habituels de chaque univers et on attend uniquement le moment où Lupin et Conan vont se retrouver face à face. Mais il souffre quand même d’un scénario bateau et de nouveaux personnages assez moyens (et la fin clin d’œil à Cagliostro est vraiment forcée).
Je regrette la période 90 pour les téléfilms, même s’ils étaient très variables en qualité, il n’y avait pas ce côté formaté et uniforme (y compris côté design). Avec le retour des téléfilms pour 2020, on peut espérer qu’ils suivront la continuité instaurée par les dernières séries en date et les films Koike; ça donnera un peu de sel au format !
Veggie11.
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