Maison Ikkoku • Coffret 1 (réédition)

Kyoko Otonashi (Juliette Rosier), très jeune veuve, débarque un beau matin à la maison Ikkoku (la pension des Mimosas). Flanquée d’une bande de soûlards fêtards, ce lieu va abriter les mésaventures de cette charmante concierge et de Yusaku Godai (Hugo Dufour). L’amour n’est pas un long fleuve tranquille, mais en vaut la peine, quand on aime Kyoko…

L’adaptation en 96 épisodes de ce manga, chef d’œuvre de Rumiko Takahashi (Ranma 1/2, Inu Yasha), est un pure bijou d’humour et de romantisme. Véritable tableau du Japon des années 80, cette série est sublimée par le character design de Akemi Takada (Creamy) et les musiques de Kenji Kawai (Patlabor) et Takao Sugiyama.

Ce premier coffret regroupe les 24 premiers épisodes sur 4 DVD. Les menus sont sobres, mais élégants, et tout à fait dans l’esprit de la pension. L’image a bénéficié d’une excellente remasterisation : elle est lumineuse et les couleurs sont vives. Versions française et japonaise sous-titrée sont présentes, mais on ne peut cependant pas en changer durant la lecture. Notons que la VF a été re-synchronisée sur des masters non censurés. Les nombreuses scènes qui n’avaient alors pas été doublées en français sont réintégrées en japonais sous-titré. Il en va de même pour les bande-annonces de fin d’épisode.
Au regard de la version française, le sous-titrage est réellement une aubaine. Il permet de redécouvrir certains aspects de la série là où son adaptation française avait été édulcorée. Ainsi les relations entre certains personnages sont encore plus riches et les situation bien plus cocasses et pimentées.
Il est également plaisant de pouvoir visionner les épisodes avec les génériques de son choix : français ou japonais, voire de les zapper.

• Date de sortie2012-02-06 00:00:00
• DiffusionDVD
• Prix29.99 €
• EditeurAB Vidéo
• Durée24 x 26 min
• Langueja!Dolby Mono 2.0 / fr!Dolby Mono 2.0
• Sous-titresfr
• PackagingPrésenté dans un fourreau, le coffret est très peu illustré. Le principe du DVD-book, même s’il permet un gain de place, n’est pas des plus esthétiques.