Prélude
Oui, je ne suis pas convaincue par l'idée de Baklael, de ce devoir écrit sur notre semaine au japon à l'école Ibuta; que y aurait il à dire ? Rien de plus que des anecdotes barbantes mal écrite; de plus il fallait écouter tout ça pour savoir quel récit était le plus intéressant ! En mon fort intérieur je l'ai maudit! Oui, je l'ai maudit. "Idiot! Je hais les devoirs écrits! Il y a d'autres choses à faire !" m'exclamai-je en pensé. Arg ! Rien que de penser aux élèves s'étalant sur la beauté de l'école d'Iputa dans un style pompeux, oui, j'en baillais déjà d'ennuie. Il aurait mieux valu qu'il nous aie demandé de combattre une horde de Tengu furieux au dessus du Fujiyama en ébullition, pour l'occasion, oui, cela aurait mieux valu pour moi, cela aurait eu du style et comme il y aurait eu quelque mort, comme il est bon dans avoir à Banquiselard, on ne se serais pas ennuyé ! Je suis fortement agacée, mais ne laissais rien paraître, je suis très forte à cela, ne rien laisser paraître, je ris donc comme à l'accoutumé de ses mauvaise blague et mange le repas servis et me dis que je trouverais bien un petit serpentard pour m'écrire ce devoir.
Le repas fini, je me sépare de mes camarades, je veux rester seul, je dois réfléchir. Je sais qu'à Ibuta il y a un livre qu'il me faut avoir à tout prix. Je révise mentalement le plan que j'avais prévu pour entrer dans la bibliothèque interdite. J'étais en train de faire le parcoure, de jeté les sorts voulu quand on me bouscule.
– Eh! Fait attention où tu marches!
– Désolé.
C'était un Gryffondor, Vongola. Bien qu'en tant que danger, je l'avais d'office écarté, je me méfie de lui d'autant plus, justement parce qu'il n'avait pas l'air dangereux et c'était souvent ceux-là même qui vous envoyait à la tombe, sans crier gare.
Mais je ne m'attarde pas plus longtemps sur lui, non, ce qui m'intéresse, c'est la personne avec la quelle il est et qui me salua de la tête, lentement, avec un drôle de sourire au lèvre et une lueur dansante dans les yeux que si j'étais de ces personnes qui on des frissons, j'en aurais eu; Akiko Lestrange.
Sous un premier abord, quand on n'a pas bien observé, de Gryffondor de base, c'est à dire toujours à la recherche d'une m*rde où si plonger, pour après faire les héros(pardon papa maman grand-mère tante Hulg grand-père (paix à ton âme) nany grand-père James oncle Daniel cousin Pete les cousins cousines (jamais assez) éloigné Weaslay et encore et encore et encore pendant un trèèèès long moment (une éternité) d'excuse où il me faudrait des livres pour cité tout les noms), Lestrange était en faite bizarre, étrange même. J'avais fait quelques recherches sur les Lestrange et ma conclusion fut qu'il était tous plus au moins taré, mais il y avait quelque chose chez Akiko qui attirait mon attention, qui l'attirait de façon furieuse. Je voulais savoir, savoir ce qui se cachait derrière se sourire étrange et cette lueur, qui m'aurais donné des frisson si c'était mon genre.
Je lui rend son salut de façon neutre et désintéressé. Je sais que je suis très forte à ça.
Sa bande et elle finissent de me dépasser, je vois que Vongola laisse tomber un papier comme si de rien; j'ai compris qu'il était à mon attention et je sais qu'elle sait que j'ai compris, c'était du niveau d'un Poustsouffle. Je le prend, le met dans ma poche et fini de les regarder partir. Le dos d'Akiko était habité d'un chat, il me regarde, je n'aimait pas ce chat, je vois dans ses yeux qu'il le sait et qu'il me le rend bien.
Après avoir fait cette rencontre qui m'a fait oublier le désagrément que m'a causé Baklael, je me rend à la Salle de Serpentard pour y faire mon bagage.
Entrer à Serpentard alors que je venais d'une famille de Gryffondor m'avais laissé perplexe et ma famille au bord de la crise, si ce n'est dedans. Mais qu'importe, je n'étais pas née pour leur faire plaisir et je ne comptais pas m'atteler à leur prouver que j'étais digne de porter le nom de Grimgrief, non, j'étais à Serpentard et finalement, ça ne me gênait pas tant que ça.
Par contre, ce qui me gêne, c'est cette foutue salle commune au fin font du château, à l'endroit le plus glauque qu'on puisse trouver, de plus le feu de cheminée jette une lumière verdâtre, elle aussi glauque.
J'ai vécu mon enfance en entendant un tas de choses sur la salle commune des Gryffondors; son ambiance chaleureuse, pleine de vie… je n'avais qu'une envie, y être et je me retrouve là, bien loin de mes rêves d'enfant… Mais je ne suis pas du genre à m'abattre, il vaut mieux que je ne sois pas dans un nid douillet qui ramolli les nerfs.
Je balaye la salle de mes deux yeux réduit en fente, il n'y a personne à qui lancer mon regard de mépris, la salle est vide, dommage.
J'entre dans la chambre que je partageais avec une élevé dont j'oublie sciemment le nom et qui sort précipitamment à ma venue. Je hausse les épaules.
Je fais mon bagage, réfléchissant à ma rencontre avec Akiko.
D'une manière étrange, nous avons le même parcoure; pour le moment, elle venait d'une famille de Serpentard, moi Gryffondor, et nous avons atterris dans la maison opposé, la vie était bizarre, cela me fait sourire, oui, elle est bizarre, est ça me plaît.
J'ai fait mon bagage, je met mes mains dans mes poches pour mettre le fourbit qui les habitants dans mon sac et ma main rencontre le papier de Vongola, je le sort et le lit; un drôle de symbole y est dessiné, pas trop mal d'ailleurs, "l'Ordre des Mages Noir du Chaos, les Disciples de l'Apocalypse". Je m'arrête net, mon coeur se met à battre à mille à l'heure, je suis à nouveau dans cette infirmerie où il me parle de la beauté du chaos, de sa force novatrice; ses mots me reviennent plus fort que le jour où il me les a dits, je vois encore ses mains, si blanche, si belle; mes jambes ne me porte plus, je m'assieds, tout mon corps tremble. Le chaos, le chaos, le chaos! Le revoilà dans ma vie. Ma tête se renverse, je me met à rire, à rire de façon démente, et mes larmes coulent.
Je fais un effort surhumain et reprend mes esprits, froisse le papier et le fourre dans ma poche. Il faut que j'y aille, c'est l'heure du départ. Je m'essuie le visage et y affiche la neutralité.
– Hotarou viens !
Elle me saute sur l'épaule, je sort.
Alors ce séjour à Ibuta ?
1ère partie.
L'heure de partir était arrivé et les carrosses était avancer, tout à mon affaire pour passer devant et prendre la place près de la fenêtre (je suis malade en carrosse), j’avais vu du coin de l'oeil que Baklael parlait avec Hagrid, puis il flatta le vide. Alors il était de ceux-là… C'était intéressant, j'en avait pris note mentalement.
Assise à la fenêtre, je regardais le paysage, de l'eau, défilé en buvant mon troisième thé du matin, quand un point dans le ciel avait attiré mon intention, cela brillait et s'approchait rapidement, mon cerveau ne fut pas long à comprendre ce que cela était.
Entre mes dans je siffla "Un dragon", je n'avait pas parlé bien fort, mais un serpentard à l'oreille fine entendit et s'exclama, lourdement,
– Quoi ! Un dragon !
Tout les élèves s’étaient levé et s' appuyèrent à la fenêtre pour voir, m'écrasent contre au passage, tant qu'à faire… Des "ho !" et des "ha!" se firent entendre, j'essayais de les repoussés, je ne voyait plus rien, ni dedans ni dehors, quand soudain des cris de porcs qu'on égorge retentir, tout les élèves se mirent à eux aussi à hurler et à s'agiter dans tout les sens, certain voulant absolument sortir de là pendant que d'autres essayait de leurs faire comprendre, avec beaucoup de mal, que c'était la mort assuré. Au dehors il y avait une superbe bataille et ici c'était l'agitation inutile qui me mettait sur les nerfs, je m’étais mise à crier
– CALME VOUS BANDE DE VER DE TERRE (je venais d'utiliser l'une expression favorite de mon père pour désigner les Serpentards, ce qui m’avais choqué un millième de seconde) VOUS N'ARRANGE RI… soudainement mon coeur me fit un baisé de l'intérieur, le vent sifflait à mes oreilles et le sol me faisait coucou. Je compris très vite que j'avais passé par la fenêtre lors d'une secousse et que si je n'agissais pas vite, je m'écraserai aussi vite au sol; cette situation n'avait rien pour me rassurer. Je réfléchissais, "me voilà dans une belle m*rde! Bon, sort de lévitation" je pointa ma baguette sur moi tout en maintenant ma robe pour pouvoir y voir quelque chose, bien qu'il n'y avait pas grand chose à voir, à part Gravité qui me faisait de plus en plus de l'oeil en me disant "vient faire un bisous", mais je ne lui ferais pas ce plaisir. Je jeta le sort.
– Lumos! "M*rde!" Ma langue avait fourché, quoi de plus normal pour une serpentard, mais là, tout de suite, ce n'était pas drôle. Je repointait ma baguette illuminé sur moi, l'image devait être cocasse, une sorcière essayant de maintenir sa robe en bas alors qu'elle n'avait qu'une envie, c'était d'aller en haut; pointant sa baguette visiblement, malgré le soleil qui brillait de tout ses feu, en fonction lampe de poche.
– Levios!
Une petite secousse se produisit dans mon corps, puis je sentie que je lévitait, le sol semblait s'approcher doucement, oui, c'était bien ca, il s'approchait doucement, j'avançai mon pied, il toucha terre, puis je fit quelques petits pas gracieux (si ce n'est pas moi qui le dit, qui le fera?) et m'arrêtait, un cri bestiale sortie de ma bouche.
– RAAAAAAAAAAHHH!! j'étais vivante, il aurait était normal de pousser un cri de joie. Mais je sus garder mon calme.
Les poings sur les hanches, je regardais mon environnent, il était tout vert, feuillu et peu éclairé. Je baissa la tête et réfléchi. Trouver les autres serpentards serait difficile et je n'arriverais qu'à me perdre. Je faisais confiance aux autres pour se débrouiller seul et Hotarou était intelligente, elle me retrouverait si il le fallait. Le mieux pour moi était donc d'aller à Ibuta. Je relevait la tête est me mis en marche, mon excellent sens de l'orientation pour seul guide.
Mon allure était bonne, je chantait mentalement l'un de mes titres préféré des Tropical Penguins (le groupe underground à la mode(si si) à Banquiselard), mes yeux et mes oreilles étaient à l'affût du moindre danger et ma baguette était prête à faire des ravage, mais il ne ce passait rien, tout était calme, trop calme et mes nerfs en était encore plus sous tension.
Les heures passèrent et la nuit vint, il ne c'était rien passé, je décidait de m'arrêter pour la nuit, mangeait quelque racine et plante, je n'avais trouvé que ça. Je jetais quelques sorts de protections et me couchait. Je fis des rêves, mais je ne rêvait pas de lui. Le lendemain ce passa de la même manière que le jour précédant, le soleil commença à se coucher et cette non-action avait mis mes nerfs à vif; j'étais en train de me dire que cette endroit était vraiment tout pourri quant je vis devant moi et qui me tournait le dos, une silhouette féminine qui ramassait des plantes.
Je pointait ma baguette en sa direction, prête à lui jetée un sort immobilisant, je m'approchais lentement; je la vis ce relever, elle aussi, lentement, j'étais prête à lâcher le sort, je me rendis compte qu'elle était assez grande, elle se retourna et je vis qu'elle avait un très beau visage, très noble, elle me regarda dans les yeux, je ne cillait pas. On resta quelques secondes (ou minutes, je ne suis pas sûr) et je me décidait à projeter mon esprit (technique que j'avais sus assez vite maîtriser) vers elle; je ne fis que la frôler et je compris que j'avais en face de moi une renarde transformé en humaine, "Hoho ! C'est intéressant", j'étais prête à fighter, mais par son esprit, elle me fit comprendre qu'elle était pacifique et qu'elle m'invitait chez elle. Je suis quelqu'un de méfiante, mais ce devait être la fatigue et la faim (mon estomac fit d'ailleurs un bruit terrible) combiné qui me fire accepté. Bien qu'un petit combat m'aurait plus, je m'inclina profondément pour lui faire comprendre que j'acceptait son invitation et elle s'inclina de même. Elle se mit en marche, je la suivais. En arrivant je poussais un "Ho !" d'exclamation; il faut dire que moi, je m'attendais à une tanière, mais c'était une petite maison japonaise modeste, mais très belle. Elle me fit signe d'entrer. A l'intérieur brûlait un beau feu sur lequel était posé un chaudron d'où émanait un succulent fumet, un nouveau "Ho !" de ma part; faut dire que non seulement de la tanière, je m'attendais à manger de la viande crue.
Après avoir mangé (du riz et une viande, que je n'ai sus identifier) elle me servi une tasse de thé. Ô joie, Ô bonheur ! Je n'avais pas bus de thé depuis le dimanche matin, ce qui était le plus pénible dans cette histoire. Il avait bon goût, mais je regrettais qu'il n'y aie pas de lait et de sucre, mais je fis comme si de rien.
Elle me montra où me laver, ce que je fis avec plaisir, l'eau était bien chaude, j'avais un sourire béat. Après mettre lavé, elle me présenta un endroit où dormir et je mis couchait. Discrètement, j’avais jeté quelques sorts de protection, on n'était jamais assez prudent en terrain ennemis.
Je m'endormis le ventre plein, propre et entouré de mes sorts.
Cette aventure n'était pas si mal…
Le lendemain, je m’étais réveillé un peu avant l'aube.