Nouvelle dans son lycée, Béatrice, alias Cutie B., suscite l’intérêt de ses nouvelles copines qui la trouvent un peu étrange et décalée. Notre héroïne, dont les parents sont plutôt folkloriques, se retrouve harponnée sur MSN par un mystérieux individu qui semble en savoir beaucoup sur elle : quel garçon se cache derrière ses smileys ?
Pas évident de trouver l’originalité dans le shôjo ! Néanmoins, cet album de Dargaud s’en sort plutôt bien, la faute à l’excellent dessin de Yishan Li, jeune dessinatrice d’origine chinoise expatriée en Écosse. Elle maîtrise un dessin bien cutie pour le coup qui donne corps à des personnages réalistes. Car l’écriture de Richard Marzano privilégie les personnages et leurs relations : entre les parents de Cutie B., plutôt drôles, et ses copines un peu langues de vipère, on s’amuse bien. Mais la fin de l’album laisse planer une suite peut-être plus sombre. Un nouveau titre à suivre.
- Editeur VFDargaud
- Date de sortie2008-03-21 00:00:00
- Prix10.4 €
- Nombre de pages48
- ImpressionCouleur
Pas de commentaire
J'ai découvert complètement par hasard le volume 1 de Cutie B en trainant dans un magsin de BD, et quand j'ai vu la couverture je me suis dit "encore un erzats de shojo, pfff", donc je l'ai feuilleté pour en être sûre, et puis après quelques minutes de lecture je l'ai mis sous mon bras et je l'ai acheté! Comme quoi, les premières impressions ne sont pas toujours les bonnes!
Le volume 1 est très sympa, l'idée de départ un peu connue mais traitée de façon très fun, l'humour est très présent, beaucoup de personnages et de chassés-croisés entre eux, je ne me suis pas ennuyée et au moment de refermer l'album j'avais déjà hate que le deuxième volume sorte.
Et le deuxième volume est sorti, il n'y a pas très longtemps!
Forcément, je me suis jeté dessus, payé, et lu; et j'ai été déçue
Très peu d'intrigues, l'impression que les sujets abordés dans le volume 1 et qui donnaient envie de lire la suite, sont complètement introuvables justement dans le volume 2. L'histoire ne tourne plus autours que d'un seul problème, qui est résolu de manière facile et avec une pointe de bons sentiments en utilisant le cliché du petit compagnon à quatre pattes trop kawai et qui fait pleurer à la fin (on croirait presque du Disney).
Moralité, je lirai le volume 3 en magasin avant de l'acheter, pour ne pas avoir la même déception qu'avec le 2.
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