Un tome bourré de rebondissements où l’on découvre la personnalité de Ariake et de Kitora, ainsi que le père d’Asuka qui veille sur lui depuis des années.
Encore une fois, Aya Kanno réussit son coup. Si l’histoire d’Otomen reste toujours amusante, la mangaka parvient toujours à nous surprendre comme lorsqu’elle intègre l’héroïne du manga Laura et la passion du théâtre (Glass no Kamen) de Suzue Miuchi dans l’une des aventures d’Asuka, ou les nombreuses références à la culture des otakettes.
- Editeur VFDelcourt
- Date de sortie2009-07-01 00:00:00
- Prix5.95 €
- Nombre de pages192
- ImpressionNoir et blanc
Pas de commentaire
(Et mince, la note va encore être faussée).
Bon, disons-le tout de suite, ce manga est surestimé ! Il n'a rien d'exceptionnel, les dessins n'ont rien de génial, et surtout, il ne se passe rien ! Entre les deux nigauds gnangnan à souhait qui n'arrivent pas à s'aimer, le shota-con insupportable qui veut trop en faire, le tsundere et le coodere qui n'apportent rien, et surtout le nouvel Otomen à chaque tome (je reste quand même dubitative sur le chanteur de visual), ça commence vite à saouler ! Sans compter l'incompréhensible fin du premier chapitre, ce manga n'est vraiment pas "magnifique". Bon, je sais, c'est parodique, mais certains passages deviennent vite très lourds (surtout le gamin, comment il s'appelle déjà ?). Malgré tout, Otomen reste quand même très agréable à lire, et il vaut mieux que les trois quarts des shôjo sortant actuellement en France.
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