En compagnie de Hawk (son cochon à tout faire), Meliodas est le nonchalent patron du Boar Hat. Sa spécialité ? Une nourriture relativement infecte à ses habitués (heureusement, question bière, il se rattrape…). Un jour, il reçoit la visite d’une étrange jeune femme cachée dans une imposante armure. Blessée et épuisée, elle se révèle être la princesse Elizabeth. Elle recherche activement les Seven Deadly Sins, sept guerriers légendaires dont la tête est mise à prix. Les seuls, aussi, à pouvoir contrer les Chevaliers sacrés qui font régner une justice inhumaine dans le royaume. Amusé par la jeune femme, Meliodas lui prête main-forte et Elizabeth ne tarde pas à découvrir que le jeune homme fait justement partie des Deadly Sins !
Dans un premier temps, on est un peu surpris par le coup de crayon en apparence relâché de Nakaba Suzuki (Kongoh Bancho). Très rapidement, toutefois, on se fait à son style finalement plus travaillé qu’il n’y semblait. Mais surtout, c’est le scénario qui fascine rapidement. Suzuki utilise les codes du shônen mais se les approprie intelligemment. Si tous s’y retrouvent (l’apparence du héros, son arme magique, sa mascotte, la jeune femme venue le chercher…), chaque élément est intelligemment utilisé puisque le récit n’a rien de stéréotypé. Après Fairy Tail, Seven Deadly Sins pourrait bien devenir le nouveau carton du shônen en France.
- Editeur VFPika Édition
- Date de sortie2014-03-19 00:00:00
- Prix6.85 €
- Nombre de pages192
- ImpressionNoir et blanc
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