Kikoo tt le monde.
Je m’en vais vous exposer mon dilemne cornélien du moment…
Je poursuis en ce moment une formation pour devenir documentaliste, et dans le cadre d’un travail pratique, je dois réaliser un thesaurus sur le manga (“mais keskecé un thesaurus?” me demande-t-on avec effroi et curiosité mêlés…Disons que c’est une liste de termes servant à décrire et analyser un document audiovisuel).
Or, j’ai un problème en ce qui concerne les genres spécifiques du dessin animé japonais: en effet, pour différencier (au hasard) Lady Oscar de DragonBall Z, j’ai décidé d’employer les termes “shôjô” et “shônen”, tout en sachant que ces 2 mots ne s’emploient en général que pour les mangas…
Voilà ma question: est-ce qu’en associant des termes réservés à la BD japonaise, je ne rentre pas dans le jeu des médias qui parlent (à tort) sans arrêt de DA en tant que “mangas”?
En gros, est-ce une faute déontologique grave (passable de la peine capitale, non, arrêtez, pas le disque laser de Dorothée, non! Noooooon…….arrrrgh)?
Si c’est non, vous m’en voyez ravi; si c’est oui, ma dernière volonté sera d’envoyer l’équipage du Pacific Princess à bord du Queen Emeraldas qui les emmènera au fin fond de l’univers sans espoir de rediffusion ni de retour…
@ +!