Harry Potter

20 sujets de 441 à 460 (sur un total de 11,570)

Posté dans : Délire & Divers

  • Otakugirl
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    otakugirl le #247503

    ~ Chapitre 3 ~

    L’erreur que j’avais faite la veille me servit de leçon, Prudence est mère de Sureté, je tacherai de m’en souvenir.
    Notre marche reprit (je dis « notre » mais à ce moment là Phantom rêvait de sourileptiques, blottit dans mes cheveux). Toujours perdue, je déambulais. Une odeur âcre vint alors frôler mes narines, elle me rappelait quelque chose… Plus je me rapprochais et plus cela sentais le roussis : je venais de découvrir la tanière du dragon ! Fatigué d’avoir lutter, il était venu récupérer des forces au plus profond de la forêt. Effrayée tout d’abord par la vue d’une si gigantesque créature, je ne tarda pas à réfléchir à comment l’utiliser pour mes desseins. Un large sourire illumina mon visage, suivit de près par une grimace. Je venais d’avoir une idée mais elle nécessitait l’emploi d’une formule magique qu’il ne fallait en aucun cas utilisée : L’impérium.

    « Phantom… Réveille-toi, tu as une surprise ! »

    Le mot « surprise » fit son effet. Mais la surprise fut plus grande qu’il ne l’imaginer ! Si grande qu’il faillit perdre l’équilibre et tomber à terre ! Passé le choc, il eut la même pensée que moi : il fallait utiliser ce monstre !

    – Comment faire pour qu’il nous obéisse ?
    – Tu me contrôle par la légimencie, tu devrais être capable de le contrôler lui aussi !
    – Toi tu fais 3 kilos, c’est facile ! Mais lui il en fait 100000 fois plus ! Impossible à contrôler ! Par contre, Impero pourrait être très pratique…
    – Tu marches sur les plates bandes des mages noirs… Mais je ne peux t’empêcher d’avoir des ambitions. Il reste tout de même un souci…
    – Lequel ?
    – Le ministère…

    Je savais qu’il dirait ça, mais j’avais un plan !


    – Et si c’est toi qui lance le sort, personne ne le saura jamais. Seuls tes yeux te trahiront !
    – J’ai beaucoup utilisé mes pouvoirs hier et je suis fatigué…
    – Et si j’utilise Amplificatum Pouverus ? T’es pouvoirs seraient décuplés !
    – Pas mauvaise ton idée !

    Sans perdre un instant, je prononça la formule. Ses yeux redevinrent rouges mais cette fois ci le centre était d’un jaune chatoyant. Par la pensée, il ordonna au dragon de se réveiller et de s’agenouiller pour que je puisse le chevaucher. Sans broncher, le monstre obéit. Surprise que mon plan fonctionne si bien, je posa mon pied sur les écailles étincelantes de la bête et m’installa entre ses omoplates. Quand je fus enfin à mon aise, Phantom lui ordonna de s’envoler.
    Etant donner qu’il n’avait pas d’aile, le décollage se fit sans secousse. C’était très agréable de voler sur son dos. Une douce chaleur se dégageait de son corps en fusion et il se mouvait dans les cieux avec élégances et souplesse. Il ressemblait beaucoup au dragon dans le Voyage de Chihiro, mais en version flamboyante. Il prit de la hauteur, traversa un nuage puis deux… Je fus trempée mais la vue de l’île m’émerveilla avant que je puisse me plaindre.
    Les arbres, si grands quand l’on se trouvait en bas, ressemblaient désormais à un tapis de buissons, le volcan n’était qu’un minuscule entonnoir et Ibuta, un point de gris parmi tant d’autres. Je n’avais pas remarqué que Phantom commençait à montrer des signes de fatigue, la vue était bien trop belle…

    Otakugirl
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    otakugirl le #247504
    ~ Chapitre 4 ~

    Phantom s’écroula, l’impérium lui avait pompé toute son énergie. Aussitôt le dragon retrouva ses esprits et s’aperçut qu’il transportait quelqu’un. Il commença à se débattre, essayant de me faire lâcher prise. Je réalisa que j’étais encore dans une sale posture !
    Pas le choix, il fallait que je le calme par légimencie. Mais entrer en contact mental avec un dragon en pleine crise de démence n’était pas chose facile, l’animal se tortillait, s’enroulait, se cabrait et crachait du feu…J’arrivais à grand peine à rester assisse sur son dos, ses écailles glissaient dans mes mains moites.
    Il fallait d’abord que j’agrippe quelque chose avant de lancer mon sort. Ça tombait bien, le dragon était munis de deux cornes situés sur le dessus de son crâne, restait à y parvenir. Je mis Phantom dans la poche de ma cape et me mis à escalader le long cou de l’animal. Après une dizaine de minute d’intense effort je réussis à attraper une de ses cornes. Le monstre se mit à hocher frénétiquement la tête pour tenter de me faire lâcher prise mais il était trop tard pour lui, ou pas.

    – LEGGIIIGIGIMENS !!!! hurlais-je

    Sous le coup de l’émotion, j’avais bégayé et dis une mauvaise formule. Évidemment rien ne se produisit et je me sentie soudain particulièrement idiote. Ce n’était absolument pas le moment pour bégayer, mais quelle blaireaute !!

    – LEGIMENS !!

    Cette fois-ci, la formule fonctionna. Mon esprit se projeta dans celui du dragon, je compris ses craintes, ses envies et ses ambitions. Je le comprenais et il comprenait que je comprenais. Toujours est-il qu’il se calma et accepta de m’emmener au château d’Ibuta.

    Pendant que nous survolions le volcan, j’aperçus Vongola qui essayait de le gravir tant bien que mal, nous croisâmes également le chemin d’une nuée de Papigold. Mais pas le temps de s’enthousiasmer, il fallait en priorité restait en osmose avec le dragon pour éviter d’autres fâcheux incidents. Nous volions maintenant au dessus du cratère du volcan marqué par les fréquentes irruptions. Ibuta n’était plus très loin, le dragon ralentit son allure frôlant au passage la tour nord du château. Rien à voir avec Banquiselard. Ibuta était constitué d’une gigantesque tour centrale, qui donnait l’impression d’atteindre les cieux, et de quatre tours plus petites à chaque point cardinaux. Le tout étant relié par une sorte de murailles qui entourait le château et devait le protéger des sorts. Évidemment cette barrière empêcher également le dragon de la franchir. Je lui ordonna de me déposer à terre, devant l’entrée si possible (la flemme de faire le tour, surtout que c’était gigantesque). Il s’exécuta et se posa avec douceur sur la terre ferme.
    Il était temps de se quitter. Toujours mentalement, je lui conseilla de retourner dans sa tanière et d’y rester pendant le temps de notre séjour au Japon. Je ne sais pas s’il m’écouta mais il s’en alla rapidement vers la forêt, tournoyant et ondulant.


    « Il est tant d’entrer dans cette fameuse école ! »

    A ces mots, la porte s’ouvrit et des centaines d’élèves vinrent s’agglutiner autour de moi. Tous voulaient absolument savoir comment j’avais réussi à dompter le dragon. Difficile de faire une entrée plus remarquée en effet ! Je répondis par des sourires gênés qui laissaient présager que je ne dévoilerai à personne mon petit secret…
    Le directeur en personne vint m’accueillir, m’indiqua que Hagrid et un Serpentard étaient déjà arrivés et que j’étais la première à parvenir jusqu'à Ibuta. Un grand sentiment de fierté m’envahit soudain, j’avais gagné mon défi !

    Otakugirl
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    otakugirl le #247505

    ~ Epilogue, Le meilleur pour la fin ! ~

    Les conversations allaient bons trains. C’était vendredi, tous les élèves étaient enfin arrivés. Je discutais tranquillement avec ma sœur Akiko qui disait avoir rencontré une Sourileptique et des Papigolds. La déception m’envahit, je n’avais pas pu voir de Magimon ! Lisant dans mes pensées, Akiko appela le gamin qu’elle avait croisé durant son périple.

    – Montre lui ta Sourileptique et le Papigold que tu as capturé !
    – Et pourquoi je devrais obéir ?
    – Parce que je suis la fondatrice de l’ordre des Mages Noirs du Chaos bien sûr ! MWAHAHAHA !!

    Elle fut prise d’une crise de rire démentielle comme l’aurait fait la Sorcière d’Or, Béatrice. Le gamin la regarda, les yeux ébahis, et sortit de sa poche sa Sourileptique ainsi que la balle or et argent contenant son Papigold.

    – WAAAAAAAAAHHHHH !!! KYAAAAAHHHH !!

    Un cri perçant sortit de ma bouche. Alerté, Phantom sortit la tête, vit la Sourileptique et ne put s’empêcher de l’attraper et de n’en faire qu’une bouchée.

    – NON !!!! C’EST IMPOSSIBLE !!! cria le gamin, les larmes aux yeux.
    – Et si gamin, la prochaine fois, tâche d’avoir l’âme des cartes avec toi ! lui lança Akiko.

    Je ramassa mon Phantom, les moustaches électrifiées par ce qu’il venait d’avaler et accompagnée de ma chère sœur, nous nous éloignèrent du malheureux garçon en proie au désarroi. Ibuta me plaisait bien, finalement.

    FIN

    —————————

    Désolée pour tous ces posts d'affilés mais je pense que le pavé entier en aurait repoussé plus d'un 😂 !

    Sotelo
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    Sotelo le #247506
    1ere partie : Une forêt pas très accueillante

    C’est le nez dans le sable que Sotelo repris connaissance. Il se releva péniblement et vit tout un tas de Gryffondor s’affairer autour de leur chariot. Des professeurs lançaient des sorts pour éteindre le feu ou pour soigner les sombrals qui avaient survécu à l’attaque du dragon. Encore un peu étourdi, Sotelo se rendit compte qu’il manquait un certain nombre de ses compagnons. Vongola n’était plus là, Akiko non plus. Sellenee manquait également à l’appel.
    Soudain Sotelo aperçut quelque chose. Quelqu’un était allongé sur le sable, inconscient. Il courut vers sa direction et reconnut son camarade Sebulon. Il le tira alors de toutes ses forces pour l’éloigner de la marée puis une fois en sécurité, Sotelo approcha son oreille de la poitrine de son compagnon. C’est avec un grand soulagement que Sotelo vit que son compagnon vivait encore.
    -Au secours ! Venez m’aider !
    Un professeur arriva, examina Sebulon puis le pris dans ses bras pour lui prodiguer les premiers soins.
    Soulagé, Sotelo se mit à penser à ses compagnons absents. Où pouvaient-ils être ? Est-ce que tout allait bien pour eux ? Il prit alors une décision. Sotelo n’était qu’un jeune apprenti chez Gryffondor. Cela faisait seulement moins d’un mois qu’il était arrivé et il en était encore à essayer d’apprendre à connaître ses compagnons ainsi que les élèves des autres maisons. Il avait un niveau relativement faible encore mais il avait le cœur vaillant et décida de partir à la recherche de ses compagnons. Il s’éloigna donc du reste du groupe et s’enfonça dans la forêt.
    La forêt était incroyablement dense et semblait ne jamais finir. Cela faisait des heures que Sotelo marchait dans la forêt. Il aperçut alors une lueur au loin. Ce pourrai-il que ce soit ses camarades ? Sotelo se mit à courir en direction de la lumière. Il vit soudain une autre lueur. Des fleurs, oui des fleurs brillaient d’une lumière magnifique. Emerveillé par cette lueur, Sotelo s’approcha pour regarder ces fleurs de plus près. Tout à coup, une des fleurs se métamorphosa en une plante carnivore géante absolument répugnante. Ses dents ressemblaient à des lames de rasoir. Sotelo compris tout. La lumière des fleurs n’était qu’un piège pour attirer les âmes innocentes. La fleur fondit sur lui. Sotelo l’esquiva en effectuant une roulade sur le côté. Et la fleur attaqua encore une fois et encore une autre… Epuisé d’éviter les charges de la fleur, Sotelo sortit sa baguette. Il connaissait un sort de glaciation qui lui semblait approprié en cette situation. La fleur chargea une nouvelle fois. Sotelo lança le sort et la fleur se retrouva changée en fleur des glaces, comme cristallisée. Sotelo donna un coup de pied à la statue et la fleur se retrouva brisée de toutes parts.
    Soulagé de s’en être sorti, Sotelo se dirigea vers la source de lumière qu’il avait aperçu peu de temps auparavant. Mais la lumière avait disparu. Il n’y avait personne. La nuit venait de tomber, Sotelo décida de dormir sur place et de continuer ses recherches le lendemain.

    Sotelo
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    Sotelo le #247507
    2ème partie : La grotte

    Le lendemain, Sotelo cueillit des fruits étranges dans un arbre de la forêt. Ils avaient un goût très sucré. Après son petit déjeuner, il se remit en route. Il marcha pendant des heures dans cette forêt interminable. Soudain, il arriva devant une grotte. Sotelo hésita à y entrer mais peut-être y avait-il une autre sortie à l’intérieur qui lui permettrait de continuer sa route. Il pénétra dans la grotte. La grotte était sombre alors Sotelo lança un sort de lumière sur sa propre baguette magique afin se l’utiliser comme source lumineuse. Une atmosphère étrange régnait en ces lieux, remplie de mystère. Les parois de la grotte étaient comme serties de cristaux étranges. Serait-ce des cristaux magiques ? Sotelo ne s’y attarda pas. Il continuait d’avancer dans la grotte quand il entendit un bruit étrange, comme un bruit de respiration. Il se dirigea alors vers la source de ce bruit et se retrouva dans une partie de la grotte très vaste et obscure. Sotelo dirigea sa baguette et distingua une créature absolument abominable qui dormait dans les profondeurs de la grotte. C’était une créature affreuse. Sotelo faillit laisser échapper un cri mais mit les mains devant sa bouche au dernier moment. Il fallait quitter les lieux le plus rapidement possible. Et en toute discrétion. Sur la pointe des pieds, Sotelo fit demi-tour et se dirigea doucement en direction d’où il était venu. Soudain il trébucha. En tombant, sa baguette fit un bruit qui résonna dans toute la grotte. Sotelo regarda alors derrière lui et il vit le monstre ouvrir les yeux. Pris de panique, il ramassa sa baguette en toute hâte et se mit à courir le plus vite possible. Il jeta un coup d’œil derrière lui : le monstre le poursuivait.
    Jamais il ne courut aussi vite. Sotelo tenait sa baguette droit devant lui afin de pouvoir distinguer le sol qui l’entourait. Il ne connaissait absolument pas cette grotte, il ne pouvait donc pas s’orienter convenablement. Derrière lui, le monstre rampait à une vitesse folle. Sotelo crut devenir fou, la sortie ne se trouvait nulle part ! Le monstre était tout près. Il ouvrit sa gueule béante mais Sotelo se jeta en avant vers une petite ouverture qu’il venait de voir. Evitant de justesse les crocs du monstre, il se retrouva dans un petit tunnel qui descendait en ligne droite, comme un toboggan. Soudain il vit une petite lumière au bout, très faible. Il se retrouva dehors, mais à une centaine de mètres du sol ! Ne perdant pas son sang froid, il lança le sort de lévitation et atterrit en douceur sur le sol. La nuit venait de tomber. Sotelo s’allongea donc sur le dos pour souffler un peu, soulagé de s’en être une nouvelle fois sorti.

    Sotelo
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    Sotelo le #247508
    3ème partie : L’esprit de la forêt

    Aux premières lueurs du soleil, Sotelo reprit la route. Cette forêt n’allait donc jamais finir ? Et toujours aucune trace de ses compagnons. Soudain, il aperçut au loin une grande montagne. Non, ce n’était pas une montagne, ce devait être le volcan dont les professeurs avaient parlé. Il aperçut alors sur le flanc de la montagne un château. Voilà donc Ibuta. Il n’était donc plus très loin de peut-être retrouver ses compagnons. Sotelo continua donc sa route lorsqu’il aperçut une étrange lueur. Il s’en approcha et aperçut un petit cours d’eau. L’eau semblait briller d’une intense lueur bleutée.
    – Mais qu’est ce que c’est ?
    – C’est la magie de la forêt.
    Sotelo se retourna et aperçut un petit garçon qui le regardait en souriant.
    – Si tu bois de cette eau, tu rajeunira de dix ans, tu sais.
    – Qui es-tu ?
    – Je m’appelle Hachi. Je suis l’esprit de la forêt.
    – L’esprit de la forêt ?
    – Oui et toi tu t’appelle Sotelo, n’est-ce pas ? Et tu viens de loin, de très loin. Tu va à Ibuta, je ne me trompe pas ?
    – Mais comment le sais-tu ?
    – Je peux t’aider, tu sais ? Veux-tu que je t’aide à rejoindre le volcan ?
    – Tu pourrai faire ça ?
    Hachi sourit.
    – Tu cherches tes amis ? Ne t’inquiète pas pour eux. Ils sont sains et saufs. Ils seront à Ibuta, pour t’accueillir.
    – Vraiment ?
    – Oui, et je peux t’aider à t’y rendre plus rapidement.
    Hachi se mit alors à flotter dans les airs. Ses mains se mirent à briller et il les dirigea vers Sotelo. Sotelo se mit alors à flotter à son tour.
    – Ca alors !
    – Viens, suis-moi.
    Hachi s’envola alors haut dans le ciel et Sotelo le suivit. Ils se dirigèrent ensemble vers le volcan et Sotelo put contempler non seulement l’ensemble de la forêt mais aussi toute l’île et le spectacle lui sembla magnifique. Ils étaient tout près du volcan à présent. Hachi effectua alors une descente et se posa à terre.
    – C’est ici que nos chemins se séparent. Nous ne pouvons pas aller plus loin, tu comprends. Tout le volcan est protégé par un champ de force magique provenant d’Ibuta. Tu ne pourrai pas le traverser. Dors ici cette nuit et demain rends-toi au volcan. Tu auras une épreuve à surmonter mais je sais que tu en es capable.
    – Une épreuve ?
    – Je ne peux pas t’en dire plus. Au revoir, mon ami.
    Hachi s’envola, laissant Sotelo seul.

    Sotelo
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    Sotelo le #247509
    4ème partie : Le labyrinthe

    Le lendemain, Sotelo se remit une fois de plus en route. Il ne tarda pas à arriver au volcan. Sauf qu’entre lui et le volcan, se dressait un jardin japonais gigantesque. Sotelo s’approcha de l’entrée. Il y a avait un écriteau :

    Labyrinthe de la peur
    Pour trouver la sortie, surmontez vos peurs

    Intrigué, Sotelo pénétra dans le jardin. C’était bel et bien un labyrinthe, il y avait un nombre d’allées qui se croisaient et s’entrecroisaient. Sotelo continuait d’avancer quand tout à coup le jardin devint tout noir, tellement noir qu’on ne distinguait plus rien. Pris de peur, Sotelo empoigna sa baguette magique afin de lancer un sort de lumière.
    – Mais que se passe-t-il ? Ma baguette ne fonctionne pas !
    Sotelo se mit alors à courir dans tous les sens, sans même savoir où il allait, afin d’échapper à cette obscurité. Soudain, il était de retour dans le jardin. Rassuré de voir que tout était revenu à la normale, Sotelo continua sa route dans le labyrinthe. Il continuait de marchait quand il avisa un nuage noir qui venait dans sa direction. Il se rapprochait de plus en plus.
    – Non, pas ça !
    C’était un énorme nuage d’oiseaux noirs qui se dirigeait droit sur lui. Tous les oiseaux fondirent sur Sotelo les uns après les autres. Le pauvre Gyffondor se débattit du mieux qu’il put tout en courant, en évitant les coups de becs et les griffures. Il courut jusqu’à ce que les oiseaux disparaissent d’un seul coup. Sotelo souffla puis continua sa route. Il arriva alors devant un précipice si profond qu’on n’en voyait pas le fond. Le seul moyen de traverser était une corde, attachée de part et d’autre du précipice.
    – C’est pas vrai…
    Rassemblant son courage, Sotelo mis le pied sur la corde et commença à marcher, les bras tendus.
    – Surtout ne regarde pas en bas…
    Finalement il parvint de l’autre côté et poursuivit son chemin. Après de longues heures de marches, de cul de sac et autres impasses, Sotelo parvint à trouver la sortie et atteindre le pied du volcan.
    Ibuta était encore assez loin et il n’y avait pas de chemin. Le seul moyen d’atteindre l’école était d’escalader le volcan. Sotelo agrippa la paroi et commença l’ascension. Ce n’était pas facile d’escalader le volcan car il n’y avait pas beaucoup de prises mais Sotelo tint bon. Tout se passait normalement quand un énorme oiseau arriva et s’en pris au jeune élève. Sotelo, qui avait la phobie des oiseaux, cru s’évanouir en voyant cette bête immense mais il empoigna sa baguette et lança un sort d’eau contre le monstre. L’oiseau évita le sort et repartit de plus belle. Sotelo évita comme il put l’immense bec du monstre et lança son sort de nouveau. Cette fois-ci, il toucha l’oiseau qui partit sans demander son reste. Sotelo continua alors son ascension et c’est au petit matin qu’il atteignit Ibuta.

    Sotelo
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    Sotelo le #247510
    5ème partie : Arrivée à Ibuta

    Sotelo était tellement épuisé qu’il s’écroula de fatigue devant les portes de l’école. Il se réveilla dans une chambre du plus pur style japonais. Il se leva de son lit et sortit dehors. Dans le couloir, il croisa le directeur Feanor qui lui expliqua que les gens d’Ibuta l’avaient conduit à l’intérieur de l’école et lui avait prodigués les premiers soins avant de lui faire installer une chambre. Après avoir remercié le directeur, Sotelo se rendit dans le hall et trouva Sellenee qu’il salua chaleureusement. Soulagé de voir que les compagnons qu’il était parti chercher étaient bien sain et saufs, comme le lui avait dit Hachi, Sotelo raconta sa semaine à Sellenee et celle-ci fit de même. La semaine qu’il venait de vivre avait été très difficile, mais Sotelo se sentit plus fort et avec plus d’assurance. Peut-être allait-il gagner le respect de ses compagnons à présent. Il avait en tous cas leur amitié.

    FIN

    Voilà, j’ai tout écrit en une seule fois. J’espère que l’histoire vous a plu. A bientôt pour les votes !

    Vongola-79
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    vongola 79 le #247511

    Baklael, ça va se passé comment pour voté ? Et surtout quand ?!!

    Baklael
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    Baklael le #247512

    Citation (vongola 79 @ 28/10/2010, 19:53)
    Baklael, ça va se passé comment pour voté ? Et surtout quand ?!!


    Théoriquement, le vote aura lieu ce week end. (On peut l'étaler sur un temps plus long si tout le monde ne peut pas avoir accès à internet et lire tous les textes durant le week end.)

    Pour le comment j'avais vu ça très simplement. Un message qu'on poste en disant : Je vote pour untel.

    On pourra justifier pourquoi, ou non.

    Félicitée m'a demandé si on votait sous spoiler mais je ne pense pas que ce soit utile. CEPENDANT, si vous trouvez que ce n'est pas une mauvaise idée, dites le. Si vous préférez qu'on vote sous spoiler, pourquoi pas. Je ne vois pas d'objection.

    Vongola-79
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    vongola 79 le #247513

    Si on vote sous "spoiler", ça peut laissé un certain suspens. Ca peut être pas trop mal aussi !!
    Merci pour ta réponse !! J'espère que tu es ravi, tu as trouze mille pavé à lire ^^

    Baklael
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    Baklael le #247514

    Citation (vongola 79 @ 28/10/2010, 20:09)
    Si on vote sous “spoiler”, ça peut laissé un certain suspens. Ca peut être pas trop mal aussi !!
    Merci pour ta réponse !! J'espère que tu es ravi, tu as trouze mille pavé à lire ^^


    Hahaha !!

    Ravi, oh oui ! Et étonné aussi. Je ne m'attendais pas à ce que tout le monde soit aussi prolifique. (Et encore ce n'est apparemment pas fini pour tout le monde)

    J'ai aussi tiré quelques leçons de cette expérience qui pourraient être utiles si un jour (lointain) on se relançait dans une aventure du même genre. Par exemple prendre un sujet qui permette à chacun plus de liberté sans avoir peur de gêner les autres -j'ai une idée en particulier que je garde pour l'instant. J'aurai peut être l'occasion de l'utiliser dans quelques mois ou l'année prochaine si Banquiselard survit plus d'un an.

    Sinon pour les réponses sous spoiler c'est d'accord. Je le rappellerai quand j'annoncerai le début de la période des votes.

    Kinara
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    kinara le #247515

    Bon bah je crois que je vais pas réussir à mettre la fin en boite, impossible de faire ça la journée , seulement le soir en rentrant, et improvisé rapidement ensuite sur le coup,pas facile et puis les pavés et moi u_u , je posterais probablement deux partie demain, c'est pas si la suite verra le jour de mon côté, vu le temps que je met^^° mais bon pas grave j'aurais au moin tenter un truc, inachevé, mais un truc comme même^^
    Sinon baklael se serais bien de comuniqué l'heure et le jour exacte des votes, si possible le soir ??
    Et les votes sous spoiler, ouais pourquoi pas, à voir avec les autres, même si hésite encore à donner le non directement^^

    Baklael
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    Baklael le #247516

    Hum…

    Il serait possible de m'envoyer les votes par MP si on veut faire ça un peu plus anonymement. Ce n'est pas encore l'anonymat total, mais ça s'en rapproche.

    Si quelqu'un a une autre idée, ou des arguments à faire valoir pour une solution, qu'il le fasse savoir. Je n'aime pas trop décider pour tout le monde sur ce genre de trucs.

    Pour les dates, je repousse la date limite à dimanche minuit. Les votes seront donc ouverts en même temps. Via MP si on n'a rien trouvé d'autre d'ici là. La fin des votes (et le résultat) aura lieu le Jeudi minuit ou avant si j'ai eu tous les votes.

    Une question, une requête, une idée ou un argument ? N'hésitez pas.

    Akiko_12
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    Akiko_12 le #247517

    ~~ Jeu 4, Partie II ~~

    Béatrice éclata d’un grand rire cruel et plutôt grossier, qui contrastait fortement avec son apparence noble.
    – Tu es fini, Ushiromiya Bat… Enfin heu, vous là, je veux dire.
    Akiko haussa un sourcil, tout en se préparant au combat. Malgré ses airs excentriques, cette femme était sans doute redoutable !
    Soudain, sa vision se brouilla l’espace d’un court instant. Le décor semblait avoir bougé, pourtant rien n’était différent. Elle explora mentalement chaque partie de son corps, mais ne sentit de douleur nulle part.
    – Vongola, recule je te prie. Sellenee vient d’arriver, elle est juste là, derrière. Va la rejoindre et partez de votre côté. Je m’occupe de cette femme.
    Vongola acquiesça et battit en retraite. La sorcière d’Or esquissa un large sourire, très sûre d’elle.
    – Bien, commençons ! Sache que ta souffrance n’aura nulle autre égale : lorsque tu seras morte, je te ramènerai et te tuerai à nouveau, à l’infini !!!
    Sans perdre son sang-froid, Akiko analysa très vite les meilleures options qui s’offraient à elle. Eliminer cette Béatrice était la solution la plus rapide, bien qu’il ne serait certainement pas si aisé de s’en débarrasser. Cependant, elle semblait détenir un grand pouvoir et possédait sans doute des connaissances très intéressantes. Peut-être valait-il mieux user d’une stratégie moins expéditive, à la rigueur d’un Doloris pour la rendre plus coopérative…
    La sorcière aux cheveux d’or tira une dernière bouffée de sa pipe, puis leva sa baguette en un éclair.
    Avada…
    – Endolo…

    – Mamie Béato, mais qu’est-ce que tu fais ??!
    Un jeune homme d’environ dix-huit ans surgit de nulle part et interrompit aussi sec les deux adversaires.
    Comme prise en faute, Béatrice baissa les yeux.
    – Je t’ai déjà dit que ce n’était pas une façon d’accueillir les visiteurs, enfin ! Veuillez l’excuser pour cette entrée en matière un peu rude, ajouta-il à l’adresse d’Akiko.
    Celle-ci, décontenancée, hocha la tête sans mot dire. Que venait donc faire ce gamin ici ? Comment osait-il couper court à une démonstration de force de premier ordre, donnée par la Fondatrice des Mages Noirs du Chaos en personne ?
    – Tu dois t’économiser à ton âge mamie ! Viens donc prendre un thé et jouer aux échecs.
    Béatrice fit la moue mais accepta.
    – Laissez-moi vous accueillir dans notre manoir ! Je suis sûr que ma famille sera ravie de vous recevoir. Vous n’avez pas l’air d’être du coin, peut-être êtes-vous en voyage ? Vous pouvez vous reposer chez nous et rester aussi longtemps que vous le désirerez.
    La sorcière d’Or lui lança un regard en coin. Il brilla dans ses yeux, à cette seconde, une lueur diabolique qui disparut dès que le jeune homme se tourna vers elle.
    – Au fait, je suis Ushiromiya Battler. Enchanté !

    Le jeune homme conduisit Akiko à travers la forêt. Bientôt, un petit sentier se dessina entre les arbres, et déboucha brusquement sur le parc d’un très grand domaine. La résidence principale, dans un style occidental, était imposante avec ses pierres ocres. Un grand bâtiment s’élevait non loin de là, dépendance sans doute réservée aux visiteurs. Le parc comprenait même une chapelle particulière ; cette famille devait être immensément riche !
    Akiko ouvrit de grands yeux émerveillés en contemplant la roseraie qui s’étendait devant la demeure. Les mille fleurs aux couleurs chatoyantes donnaient un peu de gaieté à cet ensemble de pierre d’un style plutôt baroque.
    – Repose-toi donc au salon en nous attendant, mamie Béato. Je vais faire visiter le lieu à notre invitée !
    Traitée comme une reine, Akiko se fit expliquer les moindres recoins de la vaste demeure, extérieur comme intérieur. Battler était très fier du prestige de sa famille, il était même tellement prolixe qu’on ne l’arrêtait plus. La Mage Noir, quant à elle, ne manqua pas de remarquer la forte aura magique qui émanait de tout le domaine, de la maison en particulier. Elle nota sur certaines poignées la présence de sceaux magiques extrêmement puissants, preuve qu’il se tramait – ou s’était tramé – quelque chose de louche dans cet endroit.
    Ils s’arrêtèrent devant un grand portrait, dans le hall de l’annexe des visiteurs. La sorcière Béatrice y était représentée magnifiquement, à la fois belle, hautaine et fascinante.
    Battler soupira en contemplant le tableau.
    – Grand-mère était magnifique quand elle était jeune, n’est-ce pas ?
    – Elle n’a pas du tout changé, fit observer Akiko.
    – Vieillir lui fait peur, aussi elle utilise toutes sortes de charmes d’illusion pour dissimuler son vrai visage. Elle voudrait être éternelle, comme beaucoup d’entre nous.
    Intéressant, songea la Mage Noir. Je dois rester dans cette maison et en apprendre davantage.
    Fine comédienne, elle prétexta une grande fatigue et expliqua le crash du cortège de Banquiselard, en n’omettant à peine que quelques menus détails.
    Grand prince, Battler demanda à ses domestiques de lui préparer un lit pour la nuit.
    – Venez avec moi, je vais vous montrer votre chambre.
    Ils gravirent les marches du grand escalier. Akiko frissonna. Cette bâtisse était décidément chargée d’une atmosphère lourde, comme si des événements terribles y avaient eu lieu par le passé. A côté de cela, Battler, d’un enthousiasme rare, ne s’arrêtait pas de parler.
    – A côté de votre chambre se trouve celle d’un de mes lointains cousins de Grande-Bretagne, venu se changer les idées dans notre contrée.
    Akiko leva distraitement une oreille aux mots « Grande-Bretagne ».
    – Aaah, la Grande-Bretagne…, soupira-t-elle avec une nostalgie de deux jours d’absence.
    – Oui, il est un peu spécial vous verrez. Le pauvre n’a plus de parents, ses seules fréquentations sont ses deux cousins, qui sont un peu bizarres, si vous voyez ce que je veux dire.
    – Ah oui ? bailla Akiko.
    – Oui ! Déjà, ils sont blonds.
    – C’est sûr, c’est bizarre…
    – Et ce n’est pas tout ! Le premier est en quête perpétuelle d’amour mais s’amuse à crever les yeux de ses serviteurs… Quant au second, il est presque pire ! A quinze ans, il passe sa vie dans son jardin avec une montre à gousset en prétextant courir après des lapins noirs invisibles ! Cela fait presque froid dans le dos, n’est-ce pas ?!
    – Tais-toi un peu, lança une voix froide à l’autre bout du couloir.
    Un enfant d’une douzaine d’années lui lança un regard bleu sombre de son œil unique.
    – Ah Ciel, je parlais justement de toi ! Tu aurais pu t’habiller tout de même, ajouta-t-il en avisant sa longue chemise de nuit blanche. A croire qu’il te faut un majordome même pour ça.
    – J’ai des préoccupations plus importantes figure-toi, rétorque le jeune garçon.
    – Comme retrouver ce beau mage noir qui t’es apparu en rêve ? Celui qui « ne t’as pas volé ton âme, mais a pris ton cœur » ? ironisa Battler avec une expression moqueuse.
    L’enfant rougit et tourna les talons. La porte de sa chambre claqua avec fracas.
    Un mage noir ? De plus en plus intéressant, pensa Akiko sans perdre le nord.
    L’image de son chat Sebby lui apparut, elle ne sut pourquoi. Bien vite, elle chassa cette idée de son esprit avec un sourire narquois.
    – Ridicule !

    Le reste de la journée se déroula sans incident notable. La famille Ushiromiya était grande ; Akiko ne put mémoriser les prénoms de tout le monde, elle retint à peine le visage de cette hystérique en robe chinoise, et de cette gamine aux airs de psychopathe. Elle passa la soirée à jouer aux échecs avec Béatrice, qui vivait son jeu comme un véritable combat.
    – Tu es presque aussi forte que Battler et Ciel. Mais tu n’arriveras jamais à me battre !
    Elle éclata d’un grand rire à demi fou.
    Cette femme cachait quelque chose, c’était certain. Et Akiko resterait au manoir jusqu’à temps de le découvrir.

    Au matin du quatrième jour, voyant que la Mage Noire lui tenait toujours tête, la sorcière d’Or céda une partie de son secret.
    – Tu as perçu quelque chose d’anormal ici, n’est-ce pas ?
    Akiko répondit d’un mouvement de tête, le visage grave. La bouche de Béatrice se fendit en un large rictus.
    – Je te dirai tout si tu résous l’épitaphe sous mon portrait. Cela dit, même les cerveaux les plus intelligents n’en sont venus à bout !
    Elle ricana et lui jeta un regard étincelant.
    – Alors ne nourris pas trop d’espoirs ma petite, ou ton ambition te coûtera cher.

    Sellenee
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    sellenee le #247518

    ~Partie II et Fin~



    Sellenee observa la scène et fit sentir à présence à son amie. Cette dernière lui envoya son apprenti.

    …. bon ben apparemment elle veut s'amuser toute seule.
    Viens on s'en va….. heu coquillage, crustacés

    Vongola : Hein ?

    Attends, je vais m'en souvenir ! Je suis sur que ça à un rapport avec avec les fruits de mers.
    Crevette !

    Vongola : Mais de quoi tu me parles ?

    Huître ! Moule ! Crabe !

    Miaou : Je crois que c'est Palourde !

    Palourde !

    Vongola : Je dois essayer de résoudre une énigme ??? C'est une recette pour une pizza ??

    Ahhh c'est pas français, heu anglais Clam !

    Vongola : ?????

    Muschel !

    Vongola :……………on devrait s'avancer.

    Tout en marchant, Sellenee réfléchissait. Mais que cherche-t-elle ??

    Almeja ! Hamaguri !

    Vongola :………………

    Pinaise, je sais plus moi…………. Vongola ???

    Vongola : C'est mon nom que tu cherchais depuis le début ?????

    Oui, je savais que je m'en souvenais ^^

    Vongola : Tu parles ! La prochaine fois demande.

    Ben il paraît que c'est grossier de ne pas se souvenir du nom de quelqu'un qu'on a rencontré.

    Vongola : C'est encore plus grossier, de le chercher pendant des heures en le traitant de toutes les noms de palourdes.

    Après avoir marché plusieurs heures, les soupçons de Sellenee se confirmaient.

    Huuuuuum… intéressant.

    Vongola : Quoi ???

    Mimamiauou : Il n'a l'air d'avoir remarqué que quelque chose cloche avec cette forêt.

    Hum.

    Vongola : On devrait se séparer. Moi je pars de ce côté.

    Attend ! Tu es sûr que c'est pas mieux de rester en troupeau ???

    Vongola : Troupeau ???

    Ben oui ! Les humains aiment pour se rassurer se mettre en troupeau comme les vaches.
    Moi ça me dérange pas d'être seule, j'ai grandi dans la nature avec mon père donc je sais me débrouiller.

    Miiiiiiia : On dit groupe.

    Vongola : JE SUIS PAS UNE VACHE ! Je pars par là !

    Bon, ben nous par là Sirius. Tu crois que je l'ai vexé ???

    Miaou mimimiawwwwww mow ! : Ton père à raison, t'as vraiment besoin de te socialiser !

    Sellenee ignorant la remarque de son chat, examina la carte qui s'était tracé sur le parchemin au fur et à mesure qu'elle marchait.

    Effectivement on a tourné en rond. Je pense qu'un sort à été lancé pour empêcher les indésirable de rentrer.
    Je pense qu'on devrait en ressortir et voir comment procéder.

    Sellenee et Sirius retournèrent sur la plage.

    Tiens un mort !

    Miamiaou mi ? : Tu crois qu'il est mort ?

    Ben regarde, il est allongé sur la plage. Y a quand même mieux pour dormir.

    Sellenee s'approcha pour mieux voir le cadavre.

    Tu crois que c'est un marin ?

    Mi mima miou mia ? Habillé avec l'uniforme de Banquiselard ?

    Humm en tout cas faut le rejeter à la mer.

    Mioua ? : Pourquoi ?

    Ben il est mort en mer, il appartient à Davy Jones !

    Mi mi ma miou mi : Mais c'est pas un marin !

    Mais il est mort en mer !

    Sellenee rejeta le corps à la mer.

    …………c'est normal les bulles ???

    Miaaaaaaaa mi ! Mamimioua : Espèce de Troll ! Il est vivant !

    Sellenee utilisa un sort de lévitation pour sorti le corps toujours vivant de la mer.

    Tiens il fait parti de ma maison !

    Elle transporta le corps hors d'atteinte de la marée. Alluma un feu, la nuit de lundi commençait.
    Elle fit apparaître une couverte pour le jeune homme toujours inconscient. Puis elle retourna en forêt chasser.
    Elle ramena une Coquatrice, qu'elle fit griller et mangea.
    Au petit matin, le jeune homme se réveilla.

    Bonjour.

    Inconnu : Bonjour……….heu Sellenee c'est ça ?

    ……………Tu me connais ????
    ……….Ah oui ! Tu es arrivé en même temps que moi !
    ……………Zebulon !

    SEBULON !

    Ben c'est ce que j'ai dit !
    Comment tu te sens ???

    Sebulon : Mal au crâne !!!

    Tiens bois !

    Sebulon : C'est quoi ?

    Une potion à base Orthimenthe, Tropiquant et de Vitaline. Ca apaise les maux de tête et sa redonne de la vitalité.
    Après pour le petit déjeuné, il reste de la Coquatrice grillé.

    Sebulon : Merci !

    Hum…….

    Sebulon : Qu'est-ce qu'on fait après ???

    Après, il faut rejoindre Ibuta. Le soucis c'est qu'un sort nous empêche de rejoindre le château.

    Sebulon : C'est celui qu'on voit à flanc du volcan ?

    Oui.

    Sebulon : Pourquoi pas en volant ???

    A cause du dragon et des autres monstres volants comme les Charybdis.

    Non, ce qu'il faut c'est remarqué une faille dans le sort. Quand le sort est lancé sur une zone aussi vaste,
    il y a des endroits où il est moins efficace.
    Grâce au sort de vision féline, j'en ai remarqué une à une de marche vers l'est. Et avec Sirius on devrait pouvoir suivre la faille sans soucis.
    Enfin si tu veux. Tu n'as peut-être pas envie d'être une vache !

    Sebulon : Hein ?

    Non rien…

    Après avoir mangé, Sellenee, Sirius et Sebulon (tiens que des S ^^) repartirent.

    Zebulon, pourquoi tu es arrivé en cours d'année ?

    Sebulon : C'est Sebulon !…..comme ça…….

    Hum ok….

    Pendant plusieurs heures, ils ne rencontrèrent que des monstres. Des petits comme des
    Sleipnir ou des Cobra. Sebulon s'en sortait pas mal.

    ….
    ……..

    Sebulon : …….

    heu c'est un gaulois qui rencontre un Viking. Il lui dit :
    Dis-donc toi, avec ton casque à cornes ! Présente-moi ta femme, tu sauras pourquoi t'as des cornes !."

    Sebulon : ?????

    C'est une blague. Les humains en font pour briser le mur.

    Sebulon : La glace et elle était pas drôle !

    Ha bon, j'en ai une autre !
    C'est un chevalier qui rencontre un romain : Alors le chevalier, il cri au romain, "Hé ! Vous vous prenez pour le Colisée !

    Sebulon : ………….

    Une autr…

    Sebulon : Non ! C'est bon, j'ai compris !

    Ha ! J'ai pas fait fondre le mur alors ?

    Sebulon : La glace, on va dire que si !

    Bon on est où ?

    Dans ton c…………. chuis pas sur qu'il appréci celle-là !
    heu attends regarde la carte. On est plus très loin mais on y arrivera pas aujourd'hui.
    A cause des nombreux détours, on a mis pas mal de temps.

    Ils avaient passait la journée de mardi à marcher à travers la forêt.

    Vais chercher à manger… reste avec Sirius.

    Sirius qui avait passé la journée à indiquer, se lova près du feu…….trop près.
    Sa queue commença a brûler, le chat cracha, miaula et courra partout.
    Sebulon sorti sa baguette.

    Sebulon : Aguamenti

    Il aspergea le chat. Sirius furieux entre le feu et l'eau jeta un regard meutrier à Sebulon.
    S'il avait eu des baguettes à la place des yeux, il est sur que Sebulon serait mort deux fois ^^
    Sirius se promit de paumer cet individu qui avait oser le mouiller dans la forêt.

    Voilà le repas ! Sellenee avait ramenait une Tomate hargneuse et un potiron Star.

    Avec les restes de Coquatrice, on peut se faire une soupe………heu quelque chose ne va pas ???

    Sebulon : Non rien.

    Ils préparèrent le repas, mangea et se coucha. Puis vers 3 heures du matin un grondement se fit entendre !

    Sebulon : Un dragon ?

    Non mais je sais pas ce que c'est.

    La créature ne se fit pas prier pour apparaître devant les deux élèves.
    Elle était immense, elle devait fait dans les 3 mètres de haut. Elle ressemblait à ces tortues que les moldus aiment bien dans des aquariums.
    En beaucoup plus gros.

    C'est une Adamankhélone ! En forêt ??????????

    Sebulon : Qu'estce qu'on fait ?

    Elle résite aux armes et à la magie. Il faut la renverser sur le dos ! Après se sera facile !
    Attire son attention, je vais créer un tremblement de terre !

    Sebulon : Ok !

    Sebulon : Lança plusieurs sorts pour attirer son attention. Il l'aveugla dans un 1er temps. Puis il lui lança des grosses pierres.

    Sellenee, créa un tremblement de terre sous la tortue pour la déstabilisé. Prête à tombé, elle résista. Sellenee se mis sur le côté et lança :

    Brisingr !

    Une violente explosion frappa le flanc de tortue qui se retrouva sur le côté puis le dos.
    Sellenee allait l'achever quand tout à coup !

    Inconnu Noooooooooooooooon ! Lui faîte pas de mal !

    Pardon ???

    Inconnu : Elle est pas méchante, c'est ma tortue de compagnie !

    ?????????

    Un jeune garçon de 9-10 ans venait d'apparaître.

    Sebulon : Que fais-tu dehors à cette heure ?

    Garçon : Elle s'est échappée. Avant que maman me gronde, je suis partie la chercher.
    Et vous qu'est-ce que vous faîte là ?

    On vient de Banquiselard. Notre Carrosse à été attaqué et nous nous sommes écrasés.
    Nous nous rendions au Château d'Ibuta.

    Garçon : Oh ! Ben venait à la maison, papa travail au château, il vous emmènera.
    Moi c'est Sora.

    Moi c'est Sellenee, mon chat Sirius et lui Zebulon !

    Sebulon : si elle le dit !

    Sora : Elle s'est petite-plume !

    o_O ? Ok !

    Sora emmena les 3 compagnons chez lui où il passèrent le reste de la nuit.
    Vers 10h, le père les emmena au Château où il retrouvèrent leurs amis.

    pendant le trajet, Sellenee posa des questions au père de Sora.

    Pourquoi un sort empêche les étrangers de rentrer dans la forêt ?

    Père de Sora : A cause des braconniers ! Beaucoup de sorciers mal intentionnés viennent tués nos créatures.
    On les protège.

    Comment on aurait pour arriver au château ?

    Père de Sora : Normalement, votre carrosse était équipé d'un sort qui lui permettait d'atterrir au château sans soucis.
    Vous n'auriez pas dû être attaqué mais les dragons font ce qu'ils veulent !

    Tiens où est Akiko ? A voilà Hagrid, viens on va lui demander où sont les autres !

    Sirius lança un regard furieux à Sebulon. Un jour, je t'aurais, je t'aurais. J'oublierais pas que tu as oser me mouiller !

    Sirius ??

    PS : Je me suis permise de t'inclure dans mon récit Sebulon, tu m'en veux pas ? Sinon je change le nom ^^

    Akiko_12
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    Akiko_12 le #247519

    ~~ Jeu 4, Partie III ~~

    Akiko leva un sourcil incrédule en déchiffrant l’épitaphe, sous le tableau de la sorcière.
    – Alors, pas facile hein ? ricana Béatrice en se délectant de la situation.
    – Pas facile, en effet… de faire une énigme aussi dépassée !
    Sa pipe tomba presque de la bouche de la sorcière d’Or sous le coup de la surprise.
    – Que veux-tu dire ? interrogea-t-elle en fronçant les sourcils, déstabilisée.
    – « Au crépuscule, j’avance sur deux pattes. A l’aube sur quatre, et à midi sur deux »…
    La Mage Noire n’en croyait pas ses yeux. Elle éclata d’un grand rire moqueur au nez de sa puissante adversaire.
    – Tu ne crois pas que cette énigme est complètement hors de propos, depuis le temps ?! Tout le monde, je dis bien TOUT LE MONDE, connaît la réponse à ça !!
    Béatrice fit la moue.
    – Et donc, c’est quoi la réponse ?
    – L’Homme, évidemment !
    Cette fois, elle était battue. La sorcière d’Or resta interdite pendant de longues minutes, contemplant son épitaphe avec rage. Akiko en profita pour ricaner avec des gloussements démoniaques, histoire d’enfoncer le clou encore davantage.
    – Ton secret Béato, je veux ton secret ! lança-t-elle, triomphante.
    Boudeuse et confondue, l’interpelée mit un moment à se reprendre.
    – Pas ici, déclara-t-elle enfin. Personne ne doit m’entendre.
    Elle la conduisit à la bibliothèque et referma la porte à clé. Peu confiante, Akiko garda sa baguette à la main, prête à la lever à la moindre alerte.
    – As-tu déjà entendu parler des théories du sorcier Walter Bishop ? Ou de la japonaise Yuuko Ichihara ?
    Akiko secoua la tête. Béatrice afficha un air supérieur.
    – Je m’en doutais, quelle inculte !
    Elle s’assit sur une chaise, près de la fenêtre.
    – Il y a bien longtemps, je jouais ici à un jeu cruel. Un jeu de massacre plus précisément, j’ai d’ailleurs décimé la famille Ushiromiya plusieurs fois. Ca te fais peur, hein ?
    – Si tu savais le nombre de familles que j’ai décimées, ma chère Béato…, rétorqua la Mage Noir, sans lui laisser la moindre parcelle de victoire ou de satisfaction.
    La sorcière d’Or se renfrogna.
    – Cela fait quelques temps que je n’ai plus joué, cela ne m’amuse plus. Ces gens-là me prennent pour une grand-mère tout ce qu’il y a de plus ordinaire, ils pensent que je me suis calmée. Je les laisse faire, jusqu’à ce que l’ennui me reprenne.
    – Comment fais-tu pour faire revivre ceux que tu as déjà tués ?
    – C’est là que les théories Bishop / Ichihara interviennent. Je ne les fais pas revivre à proprement parler, je ramène en fait leur double d’une autre dimension.
    Akiko fronça les sourcils, perplexe.
    – A chaque choix que nous faisons, une réalité parallèle se crée. Grâce à certains artefacts, il est possible de voyager entre ces dimensions. Je fais donc revivre mes ennemis en les ramenant d’une autre réalité. Comme leur nombre est infini, je peux les tuer sans retenue autant de fois qu’il me plaît !
    Akiko réfléchit très vite. Cette explication était fascinante.
    – Tu leur a fait croire que tu utilisais des sorts d’illusion n’est-ce pas ? Tu as trouvé un moyen de ne pas vieillir ?
    – Tout à fait. Lorsque la fin approche, je fusionne avec l’un de mes doubles d’une autre dimension. Mon espérance de vie s’ajoute à la sienne, c’est ainsi que je suis devenue éternelle… Mais il y a des détails que je ne vais pas te donner.
    La Mage Noir réfléchit. Ces nouvelles informations risquaient de tout changer. La connaissance de ces autres mondes, sur lesquels elle pouvait agir, pouvait s’avérer déterminante pour sa future ascension. Elle s’imaginait déjà créant une brèche entre deux réalités, et lâcher des hordes de Détraqueurs venus d’ailleurs sur Banquiselard…
    Le regard avide, elle pointa sa baguette sur la gorge de la sorcière.
    – Dis-moi avec quoi tu voyages entre ces dimensions !
    Béatrice éclata de rire.
    – Tu peux demander poliment tu sais ! J’ai perçu en toi un grand potentiel, et ce dès le premier jour. C’est pour cela que j’ai perturbé ta réalité pour t’emmener dans cette bulle hors du temps.
    Akiko resta sans voix. Elle avait senti le décor trembler, peu avant qu’elle ordonne à Vongola de s’enfuir. Mais avait-elle été embarquée ailleurs, grugée comme une débutante par cette femme qui l’avait testée depuis le début ?
    – Rassure-toi, je t’ai remplacée par un double de substitution qui s’est chargé de la protection de tes disciples. Evidemment, comme il n’est pas de ta réalité il attire les démons, mais tes amis sont hors de danger et l’un d’eux a même appris l’Avada Kedavra.
    La Mage Noir pensa à Sellenee et à Vongola, en espérant qu’il ne leur soit rien arrivé en son absence.
    – Ton double s’évanouira dès que tu retourneras dans ton monde.
    Troublée, Akiko n’en oublia pas l’objet de sa dernière question.
    – Comment interagis-tu entre les mondes ? Comment puis-je acquérir ce pouvoir ?
    – J’ai mon propre secret, que je ne veux pas te révéler. Sache cependant qu’il existe une très vieille légende selon laquelle des plumes magiques, en vérité l’âme dispersée de la princesse d’un pays lointain, permettraient d’effectuer ce genre de voyage. Si tu trouves l’une de ces plumes, ce pouvoir sera tien.
    Akiko serra le poing, une expression déterminée sur son visage. Elle obtiendrai l’un de ces objets, ce n’était qu’une question de temps ! Le règne des Mages Noirs du Chaos serait encore plus terrible que tout ce que son imagination avait pu projeter : non seulement le Chaos envahirait ce monde, mais en plus les dimensions parallèles ! La collision entre eux serait terrible, à n’en pas douter. Quels merveilleuses perspectives d’avenir venaient de s’ouvrir à elle, au détour d’une simple forêt de cette île nipponne !!!
    Akiko comprit qu’il était temps de regagner Ibuta, forte de ce nouveau savoir. Le séjour avait été agréable chez les Ushiromiya, elle était prête à affronter la marche à nouveau, avec une nouvelle flamme ardente dans le cœur.
    Elle fit ses adieux à toute la famille, serra même son petit voisin ombrageux dans ses bras, tant sa joie était grande. Elle remercia chaleureusement Béatrice, qui lui rendit son discours par un rictus tordu et un rire maléfique.
    Battler lui indiqua un port privé tout proche où leur employé, passeur de son état, la ramènerait sur l’île de Yeso.

    La gaieté d’Akiko n’eut d’égale que la grimace de l’homme, quand elle approcha du débarcadère.
    – Cap sur Ibuta, s’il vous plaît !
    La passeur enfonça son chapeau de paille sur sa tête, en maudissant son travail. Il secoua son tee-shirt rouge et son short bleu, avant le prendre les rames d’un air digne.
    – J’aurais dû me faire pirate moi… En plus ces radins payent mal.
    – Plaît-il ? questionna Akiko distraitement.
    Elle lui tendit une pomme, cueillie en chemin dans le parc des Ushiromiya.
    – Vous voulez un fruit ? dit-elle en mordant dans la sienne.
    L’homme recula brusquement, manquant de tomber à la renverse.
    – Ah non alors, ces choses-là, c’est démoniaque !!!
    Ils accostèrent rapidement sur l’île voisine. Akiko remercia le passeur et chemina tranquillement vers le château en sifflotant. La réalité se troubla l’espace d’une seconde, lui indiquant qu’elle était revenue dans son monde.

    La foule était nombreuse lorsqu’elle arriva. La plupart des élèves de Banquiselard avaient déjà rejoint l’école, elle faisait partie des derniers retardataires. Sellenee et Vongola coururent vers elle, dévorés d’inquiétude.
    – Est-ce que tout va bien ? On a cru qu’il t’était arrivé quelque chose…
    – Il m’est arrivé quelque chose en effet, sourit-elle.
    Une forme passa soudain entre les nuages. Haut dans le ciel, le dragon de feu crachait ses flammes ardentes qui protégeaient Ibuta des intrusions inopinées.
    – Tiens, le dragon de madame Kasumi se porte comme un charme, lui aussi.
    – Qui ça ? interrogea Vongola, intrigué.
    – Karen Kasumi, un professeur d’ici. Une grande sorcière qui maîtrise ce dragon du ciel, et une brillante pyrokinésiste.
    – Comment sais-tu tout ça, alors que tu viens à peine d’arriver ? demanda Sellenee, incrédule.
    – C’est la grande Béatrice qui me l’a dit.
    Elle contempla la silhouette de la créature fière, qui obscurcit momentanément le soleil, comme un présage.
    – Sachez, chers disciples, que j’ai pour nous de grands projets. De très grands projets.

    Felicitee
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    Alors ce voyage à Ibuta ?

    Deuxième partie.

    En me réveillant je compris tout de suite que quelque chose de bizarre c'était produit. Le sol sur lequel je dormais n'était plus une natte, mais de la terre.
    J'ouvris les yeux, il y faisait aussi noir que dans le fondement d'un troll. Je me redressais et retombais aussi sec.
    – Ahoutch!
    Je venais de faire connaissance avec le plafond et il était bas. Je me lançais, à voix basse, un sort de vision nocturne.
    – Visio.
    Ce sort avait le bon goût de pas nous faire repéré. C'était quand même mieux que Lumos! Mais à trop l'utiliser, on pouvait devenir aveugle, c'est pour ça qu'il était moins populaire.
    Au lieu d'être dans la maisonnée, j'étais belle et bien dans une tanière. "Alors ça aussi c'était une illusion". A quelque pas de moi dormais, en boule, un renard; avec deux queues?! et des petites basket?! Et des gants!? Les deux queues, passe encore, mais les baskets et les gants, ca c'était weird.
    Je ne m'arrêtais pas plus longtemps sur la question, après tout, si elle voulais porter des baskets de mauvais goût et des gants pas chic, c'était son problème, pas le mien.
    Je sortis de la tant bien que mal. Dehors il faisait encore nuit, l'air était frais. Je bus à la source tout près et en mis dans ma gourde.
    Il fallait que j'y aie, mais j'étais gênée, la renarde ne c'était pas réveillée et partir sans rien dire était extrêmement mal poli. Au même moment elle sortit, elle marchait sur ses pattes arrières uniquement, "tiens?".
    – Ohayo-gozaimasu.
    Me fit tel en me saluant de ça petite main ganté.
    – Ohyo.
    Croissais-je étonné.
    "elle parle!"
    – Watashi wa Tails.
    Étonnement. Ses parents lui avait donné un nom anglais! Et il ne c'était pas foulé.
    – Watashi wa Félicitée Ambre Rosamund Grimgrief.
    Elle sourit(?) et commença à s'agiter tout en parlant très vite. Les trois notions et demi de japonais qui était les miennes ne suffisait pas à comprendre le flots ininterrompu de mot.
    – Stop! Je comprend rien à ce que tu dis.
    Elle me regarda perplexe.
    – Watashi, Iputa.
    Je montrais le chemin par lequel j'allais continuer ma route.
    – Ok ?
    Elle regarda le chemin que je désignais, puis moi, puis le chemin puis moi; à nouveau le chemin, à nouveau moi.
    – Iié, iié !
    Elle s'agitait comme une folle. "Quoi, i yeah i yeah ? … Haaah ! Noon !"
    J'essayais de la rassurer.
    – Watashi ok ! Watashi …
    "M*rde ! Comment on dit forte déjà ?" blanc intersidéral… Je levais mes bras dans un geste équivoque pour quel comprenne. Elle n'avait pas l'air convaincue.
    – Iié iié ! Kiken dess !
    Et elle ce lança dans une explication agité du danger que représentait ce chemin.
    Je ne compris que de vague bribe; comme quoi c'était dangereux, qu'il y avait quelqu'un du nom de Je-sais-plus-quoi-mémba, que c'était dangereux et qu'il valait mieux pour moi de rebrousser chemin et de faire un long contour; cette idée me déplaisait fortement. Elle me pris le bras et me tira du coté opposé de mon but. Je le lui retira des pattes et dit d'un ton ferme et sans appel en désignant par où j'allais aller.
    – Watashi wa aré.
    Elle faisait non de la tête.
    Je décrocha l'un de mes multiples grigris que je portais sur moi et le lui donna. Elle avait l'air sincèrement contente du présent et sincèrement désolé que je soie aussi butée. Qu'importe, il fallait que j'y aie, j'avais passé assez de temps ici, le soleil allait bientôt se lever et je voulais arriver à Ibuta avant qu'il ne soit temps de rentrer à Banquiselard. Je la remerciais et la saluais profondément, puis parti. Elle essaya encore de me retenir, mais j'étais loin.

    Je marchais depuis un moment, le soleil était bien haut, quand je me décida à faire une pause. Je m'assis sur une souche et bus un peu d'eau que j'avais dans ma gourde, quand j'entendis un bruit. Je me levais, pointa ma baguette en sa direction et attendis. Le bruit s'intensifia et devant moi je vis les buisson bouger, qui révélèrent une élevé poufsouffle. Quel ne fout pas mon étonnement, c'était Otakugirl !
    – Eh poufsoufflegirl !
    Elle sursauta au son de ma voix, mais fut soulagé de voir un visage connu et déçu que ce soit le mien. Je n'en tenu compte. Je m'approcha d'elle, elle ce courba, les mains sur les genoux, pour souffler. Elle leva sa tête vers moi.
    – C'est otakugirl.
    Je la toisa de mes yeux réduit en fente et jeta d'une voix glacé.
    – Je sais.
    Il y eu un blanc. Puis je relança enjoué.
    – Allé viens t'asseoir sur cette souche et bois un peu d'eau ! Quand elle eu fini de boire, je lui demandais de me raconter ce qui lui était arrivé. Elle parti sur un récit confus où elle faisait des allers et retours d'un jour à l'autre et je n'y comprenais rien. Elle fit plusieurs fois référence à un truc du nom de poke-je-sais-pas-quoi, déjà à Banquiselard je l'avais entendue mentionner ça. Parlait-elle de cette histoire de réseau chez les moldus? J'avais lu un article la dessus dans un journal d'alter info; il était dit qu'en faite, c'était des mages noirs qui l'avait créé, pour faire une grande transmutation de moldu dans le but d'invoquer un démon très puissant. Qu'elle était le nom de ce réseau déjà? Fe… Fu… Fa… Oui, face… Face… Face de bouc! Parlait-elle de ça? Je la regarda et elle me dit.
    – Tu vois ?
    – Mmmh ? Ah ! Oui bien sur. Enfin bon, c'est pas tout ça, mais il faudrait penser à ce bouger.
    Je me leva.
    – En avant poufsoufflegirl !
    – C'est otakugirl.
    Mais j'étais déjà plus en avant.
    Cela faisait des heures que nous étions en route et tout ce temps otakugirl avait parlé de chose auquel je ne comprenais rien. Elle faisait énormément référence à des histoires abracadabrantèsque où il était question d'abysse avec un certain Oz. Elle était vraiment comme je l'imaginais, un moulin à parole.
    Elle continuait de parler et moi je n'écoutais que d'une oreille, voir d’aucune et me disait que la forêt devenait de plus en plus sombre et inquiétante. Je lui fit par de mon observation, elle regarda autour d'elle et trouva que tout était normal, puis repris son récit. Je regardais ces arbres et les trouva réellement menaçants, je n'aimais carrément pas ça.
    Cette fois la nuit était vraiment tombé et j'éclairais notre chemin avec ma baguette, otakugirl avait perdu la sienne et je n'avais pas manqué de lui faire de remarques. Malgré l'énergie que j'y concentrait, la luminosité était très faible; il ce passait quelque chose qui ne balançait pas dans mon sens et cette forêt était super flippante, peut-être plus que la Foret interdite de Banquiselard, quoi que je n'y était encore jamais allé. Otakugirl n'arrêtait pas de me harceler pour que l'on s'arrête pour la nuit.
    – Chez les Poufsouffles on s'arrête peut-être toutes les trente secondes, mais chez les serpentards !
    Ce à quoi elle rétorqua.
    – Gnagnagna.
    Son attitude était vraiment étrange, je ne comprenait pas pourquoi elle ne trouvais pas que la forêt était devenue bizarre et inquiétante, quand nous avons débouchés sur une clairière avenante dans la quelle il y avait une très jolie maison. Je m'arrêta net, otakugirl me heurta. "hoho! Ça pue le traquenard ça."
    – Reste derrière moi.
    – D'accord.
    Mon sang ce glaça et mon coeur s'arrêta une demie seconde. Ce n'était pas otakugirl qui venait de me répondre, c'était une voix croissarde, horrible.
    Je me retourna len-te-ment et je vis une otakugirl fendue d'un sourire aussi large que son énorme tête au yeux exorbité et au cheveux hirsute.
    – KIYHAAAAAH!
    – RHAAAAAAH!
    Sa bouche c'était ouverte d'une manière qui dépasse la physique et l'entendement. Mon réflexe fut plus rapide que sont attaque.
    – Stupéfix!
    Le sort n'eu que l'effet de la stoppé dans son élan, mais me donna le temps de prendre mes jambe à mon cou, ce que je fit sans attendre une seconde et je couru je couru je couru; des ronces se prenaient à mes vêtements, mes cheveux, mon visage, mais ne m'arrêtaient pas. Derrière moi je l'entendais qui me poursuivait, elle poussait des cris terrible entre-coupé de son rire affreux, ma course n'en était que plus effréné et mon coeur battait à tout rompre. Une racine empoigna mon pied et je chuta. Ma tête heurta un quelque chose de dur, j'en fut légèrement étourdie; ce qui lui donna le temps d'arriver à mon niveau.
    De ma baguette pointé sur elle, je lui jeta une foultitude de sort pour la repousser, mais rien n'y faisait, elle continuait d'avancer. En désespoir de cause je lui hurla.
    – CASSE TOI BABA YAGA!
    Elle s'arrêta net et croissa.
    – Moi c'est Yamémba, Baba Yaga c'est ma cou… Eh!?
    Je n'étais déjà plus là pour écouter, je courait je courait, j'étais dans un état tellement second que je ne sentais pas la douleur des ronces qui m'écorchait la peau. Son cri de rage retentit derrière moi, ce qui me fit accélérer l'allure.
    Je ne sais depuis combien de temps je courrai, la foret avais changé d'aspect, mais mes jambes ne voulais plus s'arrêter. C'est ma collision avec quelque chose de mou et de doux qui stoppa ma course et me fit rebondir en arrière, je tomba parterre. La chose contre la quelle je m'était cogné était assez imposant et, à ma grande surprise, ressemblait à un bus. Soudainement, une é-no-rme tête de chat ce montra et ouvrit grand la gueule. Je n'avait qu'une chose à dire face à ça.
    – KIYHAAAAAH!!
    Je me releva en quatrième vitesse et me remis à courir de plus belle.
    Épuisé, j'arriva près d'un grand arbre vers le quel je m'arrêtais. J'avais fait une bonne trotte et j'avais l'impression que j'avais semé mes poursuivant. Ibuta ne devait plus être loin car je voyais le volcan tout près, mais continuer à marcher était au dessus de mes force. Soudainement je me frappa le front.
    – Idiote!
    Dire que j'aurais pus faire ca dès la première nuit! Je pointa ma baguette vers le ciel et y expulsais une boule lumineuse qui y resta. Je grimpa à l'arbre pour mis reposer en attendant que l'on vienne me chercher.
    Confortablement assise à une branche, assez haute dans l'arbre, je vis du coin de l'oeil, sur ma gauche, une pomme bien rouge suspendue dans les air. Je tendis le bras pour la prendre, elle ce déplaça, j'essayais à nouveau, mais elle ce déplaça encore. Ceci ne me plaisais pas. Je décida qu'il valait mieux ne pas rester là et me déplaça; à peine avais-je mis mon deuxième pied sur une autre branche, qu'un énorme oiseau ce posa sur celle où j'étais avant et la fis craquer et chuter. L'oiseau s'envola sous le choc et parti en poussa un drôle de cri “ho-oh. Je venais d'échappé à la mort. Je regarda là où était la pomme, elle y était toujours, mais ce n'était plus qu'un rognon et elle ce jeta dans le vide. Tout ça était vraiment bizarre. A ce même moment, un tapis volant arriva; dessus se trouvais le Directeur (hum) de Banquiselard, divers élèves et un japonais.
    – Je suis là!
    Le tapis ce dirigea vers moi et s'arrêta. Le directeur me tendis la main que je pris.
    – Comment allé vous miss Grimgrief?
    – Doucement, mais je meurs d'envie d'un thé.
    – Haha! Oui oui, vous en aurait un, deux même!
    Je m'assis, aucun élèves ne parlait, tout le monde avait l'air fatigué. Je m'assoupis le temps d'arriver à Ibuta. Le soleil commençais à ce levé et malgré ma fatigué je sus apprécier la beauté architectural du bâtiment.
    Rozen_Angel avait du être prévenue de mon arrivée et m'accueille en racontant brièvement ce qu'il était arrivé à elle et au autres serpentard, mais j'étais fatigué et ne comprenais pas tout. Otakugirl (à son nom la vision d'otakugirl avec une énorme bouche et des yeux exorbité me revinre, j'eus un léger arrêt) serait arrivé en premier et sur le dos du dragon qui nous avais attaqué. Oui, j'étais très fatigué.
    Un élève d'Ibuta me pris en charge. Il me mena à ma chambre. Dans le couloir on croisa une vieille sorcière visiblement saoule, elle chantait une drôle de chanson et avait l'air triste. Nous la dépassame.
    – Qui est-ce?
    – C'est Majorika, ou Maggie Grigri.
    – Pourquoi a t-elle l'air triste?
    – Depuis que élève à elle arrêté cours pour vivre comme… Heu… Moldu, elle très triste.
    – Mmmh.
    On arriva à la porte de ma chambre.
    – Voilà votre chambre, il y a de quoi vous restauré et laver et changer.
    Il me salua, je fis de même et il parti.
    La chambre était très belle et Hotarou dormait sur le futon. Elle ce réveilla et à ma vue miaula, enfin, si on peut appeler ça un miaulement, ça sonnait plus comme une vieille poulie, elle s'étira et vint à moi. Son luminon au but de sa queue brillait plus fort, elle était contente de me voir.
    Je bus, mangea, me lava et me coucha pour dormir. Mais pas longtemps…

    Je me réveilla avec une seul idée en tête, il fallait que j'aie à la bibliothèque interdite. Je me leva, passa le kimono qui m'avait été fourni, mes habits étant tout déchiré et sortis de la chambre.
    – Non Hotarou, tu restes là.
    – Migriarou !
    – Je sais, mais c'est comme ça.
    Je lui coulissais la porte au nez et m'en allais en direction de la bibliothèque interdite.
    Je ne croisa quasiment personne, il était encore tôt et les recherche continuait. J'arrivais devant la porte de l'endroit dit, il n'y avait personne, "Bizarre." la seule chose qu'il y avait était une pancarte où il était écrit des choses en japonais. Je vérifia si la porte était piège, "Rien." je l'ouvris et attendis qu'il ce passe quelque chose, mais rien. J'entrais dans la salle, il n'y avait personne et toujours aucun signe de sortilège, c'était vraiment bizarre. Je me dirigeais silencieusement et discrètement vers l'emplacement du livre. Arrivé à lui, j'avais le coeur qui battait à mille à l'heure et de la sueur perlait à mon front. Je tendis ma main tremblante vers lui, le toucha; rien, pas d'alarme, rien. Mon coeur battait encore plus fort, je le pris, le glissa dans mon kimono et revins sur mes pas. Arrivé à la porte, je l'entrebâillais, personne dans le couloir, je sorti, la refermais et m'éloignais au plus vite. Après avoir mis une bonne distance entre moi et la bibliothèque, je m'arrêtais et relâchais la pression. J'avais réussi à prendre le livre et ce sans lancer un seul sort. C'en était ridicule de facilité.
    Je m'apprêtai à lancer mon rire de victoire, quand quelqu'un arriva, c'était un élève d'Ibuta.
    – Bonjour.
    – Bonjour.
    Il me dépassa.
    – Euh, excusé moi.
    – Oui ?
    – Je suis passé devant une grande porte avec un panneau. Qu'est-ce que c'est ?
    – La bibliothèque interdite.
    – Ho! J'imagine qu'elle est protégé par une multitude de sort ?
    – Non non, juste la pancarte.
    – Mais qu'a t-il d'écrit sur cette pancarte ?
    – Que toute personne non-autorisé à y pénètre serait puni en cas d'infraction.
    – Quelle genre de punition ?
    – Il serait assurément renvoyé de l'école.
    – C'est tout ?!
    Il avait l'air blessé.
    – Pour nous, japonais, c'est pire que la mort. Mais vous ne pouvait pas comprendre.
    Cette dernière phrase, il me l'a dite en me crachant dessus avec les yeux et il partit. Je ne m'étais pas fait un ami. Qu'importe, une chose était sur, le grand respect qu'on les japonais pour la loi m'avait grandement servi.
    Je retourna dans ma chambre, fermais la porte et parti dans un grand éclat de rire.
    – Mwhahahahaha !
    – Migriarou.
    Commenta Hotarou.
    Le livre était à moi ! Avec lui je pourrais réaliser mon voeux ! Re
    – Mwhahahahaha !!
    Hotarou bailla.
    Assise sur le futon, j'examinais le livre; il était bleu et un seau le fermait. Mais je décidais de ne l'ouvrir qu'à Banquiselard. Je le glissais dans mon kimono et sorti de la chambre.
    Je profitais du reste du séjour à Ibuta, au japon, le Livre des Écrits des Quatres Dieux du Ciel et de la Terre serré contre moi.

    Fin.

    Personne apparaissant dans ce récit, par ordre:

    Baklael

    Vongola

    Akiko

    Otakugirl

    Le Directeur (hum) de Banquiselard, Feanor Curufinwe

    Rozen_Angel

    Merci de m'avoir lu jusqu'au bout.
    J'espère que vous m'aurais pardonné les fautes:

    d'orthographe, de frappe, d'inattention, d'appréciation, de goût, de japonais et de tout le reste, que je ne remarquerais que quand j'aurais guéri de ma grippe et surtout de ma fatigue, mais ça, ce sera plus compliqué.

    Ps: Et j'ai omis de dire (et c'est vrais!), les fautes d'omissions.

    Feanor-Curufinwe
    Participant
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      • Grand maitre
      • ★★★★★
    Feanor-Curufinwe le #247521

    Là, tel que vous me lisez, je tente de réprimer un profond cri venant du coeur…nan, j'y arrive pas…

    Wouhouh!! Joie!! Triple joie!! Et bis repetita!!

    Jeudi est sorti un bon gros livre intitulé sobrement Harry Potter et la magie des films.
    Dans un soucis de professionnalisme (bénévole) et, dans une moindre mesure, de fanatisme clairement assumé (retournez au tout début de ce topic, si vous avez des doutes…), j'ai testé pour vous, jeunes acheteurs potentiels de ce véritable bijou, ledit bon gros livre.
    Oui, parce qu'il dépasse bien le poids (et la taille) d'un livre basique de 160 pages. Il fait 160 pages donc, coûte 39,90 euros, mais les trésors qu'il renferme feront le plaisir des fans de la franchise (dont, et il est totalement inutile de le signaler, je fais partie).
    Pensez donc, des Fac-similés de nombreux objets des films:
    – La lettre (et l'enveloppe) de Poudlard, destinée à Harry Potter.
    – Une grille de résultats des matchs de la ligue britannique de Quidditch.
    – Un catalogue de la boutique de Barjow et Beurk.
    – Le livre avancé de préparation de potions (avec quelques recettes).
    – Des boîtes de bonbons Honeydukes à assembler.
    – Le programme de la 422ème coupe du monde de Quidditch.
    – Un tatouage (sur peau, genre malabar) taille réelle de la marque des ténèbres.
    – Un dépliant en forme de château du Bal de Yule (le bal de noël).
    – Les décrets d'Ombrage, "grande inquisitrice de Poudlard".
    – La carte du Maraudeur.
    – Le catalogue des produits du magasin des jumeaux Weasley.
    – La carte d'identité de Mafalda Hopkirk.
    – Deux posters

    – L'avis de recherche de Sirius Black.
    – Un poster des Canons de Chudley.

    Au-delà de ces goodies, les pages du livre sont remplies de photos (un bon nombre sont inédites) des acteurs, de scènes des films et d'anecdotes! Plein! Enormément d'anecdotes! Témoignages, interviews, ce livre est une bible absolue de l'univers HP (films et livres) pour tout fan qui aime se respecter (et qui a 40 euros à dépenser utilement).
    On en apprend sur tout, tous les personnages (même Mimi Geignarde!), tous les décors, chaque film (même les Reliques de la mort), beaucoup de révélations de David Heyman (le producteur des films), des acteurs, des réalisateurs, des maquilleurs…
    Et d'autres choses, avant-propos des trois acteurs principaux (Watson, Grint, Radcliffe), les monstres de l'univers (Buck, Fumseck, le Basilic…), les objets magiques, les décors, les quatre maisons de Poudlard, la tapisserie de la famille Black, le chemin de Traverse, l'allée des Embrumes…
    Alors moi fan, moi avoir acheté livre, parce que livre indispensable!

    "With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
    Star Trek - The Next Generation / The Drumhead

    Felicitee
    Participant
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      • Ancien
      • ★★★★
    Félicitée le #247522

    Ben, moi je sais pas ce qui est le mieux pour les votes. Je te laisse Baklael (et là je pose virtuellement ma main sur ton épaule) gérer ca. Par contre j'ai encore une question. Qui vote? Seulement ceux qui ont écrit? Ceux qui font partit de Banquiselard? Ou tous ceux qui on lu tous les textes?
    En tout cas, j'ai aimé lire tout le monde (Akiko est ses réf. de malade XD) et mon choix n'est pas arrêté.

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