Shônen Romantiques!

14 sujets de 41 à 54 (sur un total de 54)

Posté dans : Manga & BD

  • Shinji-Kun
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    Shinji-kun le #289242

    Enfin j'ai lu de vrai titre ecchi et ce n'est pas du tout du shônen romantique. C'est très en dessous de la ceinture la plupart du temps. Il y a Sundome qui est assez bon dans le genre. Pour Ranma 1/2 on y voit même plusieurs fois Shampoo ou d'autres demoiselles complètement nues (mais elles ont toujours les jambes placées où il faut) et pourtant ce n'est pas un titre Ecchi. Comme l'a dit Kuro, le shônen romantique c'est plus une histoire de “sentiments” qu'une véritable classification et on peut y mettre pas mal de choses. Les titres de Rumiko Takahashi étant des modèles de comédies romandiques. Oui, même Inu-Yasha ou Rinne et bien que ce ne soit pas là leur “genre” principal (ce sont des mangas fantastiques) possèdent de nombreux codes de la comédie romantique. Codes que Mme Takahashi a inventé pour la plupart.

    Oui je voue un culte à Rumiko Talahashi 😂 . Mais, pour les plus jeunes qui ne connaissent pas forcément (bien que les animé de Ranma ou Inu-Yasha soient régulièrement rediffusés), sachez que Mme Takahashi est une des plus grande mangaka (et la plus riche et la plus lue au monde) et que sans elle beaucoup de shônen actuels n'auraient jamais vu le jour.

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #289243

    Citation (Sakuraslullaby @ 24/12/2011 14:58)
    Mon 1er post sur le forum d'AL! Oui, je sais, on s'en fout %D
    Shônen romantiques… Certains titres cités comme Love Hina ne sont-ils pas des ecchi ou j'ai une mauvaise définition de ce genre? Quelqu'un pour m'éclairer? Sinon, le shônen romantique, ce n'est pas vraiment un genre vers lequel j'ai tendance à aller car la plupart du temps, le côté fan service à gogo me rebute. Mais il y a toujours des exceptions à la règle et me concernant, il y a Ranma 1/2 (même si j'ai pas pu m'empêcher d'être un peu déçue à la fin), Vandread (juste vu l'anime, le design du manga ne me plaisant pas) et j'ai aussi commencé To Love-ru (n'en étant qu'à 5 tomes sur 18, je ne peux pas encore donner d'avis définitif mais actuellement, je ris beaucoup et me suis attachée au héros).

    Citation (kuronoe @ 24/12/2011 18:26)
    Ben je pense effectivement que tu as une mauvaise définition du “genre” (est-ce bien un genre ? on n'en finit plus avec toutes ces classifications), ecchi renvoie à une connotation sexuelle, Love Hina c'est une romance légère, il y a bien sûr un peu de fan service avec des culottes et des gros seins mais çà reste très soft, a contrario, un titre comme Golden Boy est lui beaucoup plus cru et explicite…

    Maintenant je pense qu'un shonen sentimental peut être aussi ecchi, le qualificatif sentimental détermine la trame de fond et ecchi renvoie à la manière dont elle est exploitée, mais on ne va pas parler d'ecchi à chaque petite culotte parce qu'on en sort plus, à ce moment là Ranma c'est du ecchi et Happosai est l'icône du genre…

    Mais d'une manière globale est-ce que le qualificatif ecchi ne traduit pas tout simplement une évolution des moeurs et de la société ? D'une manière globale le sexe n'est plus tabou et s'est généralisé dans tous les médias (ou sont-ce les médias qui le démocratisent ?), en toute hypothèse les histoires de romance évoluent et passent d'une conception classique prude et suggérée à une version moderne claire et nette, le shonen romantique avec des allusions sexuelles c'est le shonen romantique du 21ème siècle tout simplement…

    Enfin je m'égare, c'est Noel, les réflexions passent en mode veille


    En fait, quand je parle de Shônen romantique, il faut y voir un terme global, qui explore tous les genres qui entourent les histoires d'amour dans les shônen, puisqu'il y a aussi les shôjo, qui abordent le sujet d'une manière différente!

    Du léger, du graveleux, du sentimental, etc…
    C'est assez large, comme le montrent Kuro et Shinji!

    Autrement, bienvenue à toi, Sakuraslullaby! J'espère que tu te plairas ici! 😃
    Si tu veux te présenter plus en détails, tu peux aller dans le topic des bienvenutages, dans le forum “délires et divers”!

    "With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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    Onsokumaru
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    onsokumaru le #289244

    Citation (kuronoe @ 26/11/2011 20:11)
    Pour revenir au thème, on a évoqué VGA mais il faut aussi rappeler son concurrent de l'époque, le formidable Ah my Godess et la jolie Belldandy. J'ai toujours préféré ce titre à VGA, il est beaucoup plus léger, c'est drôle et en plus Keichi est beaucoup plus intéressant que Iota qui m'est toujours sorti par les trous de nez … (en revanche j'ai décroché avec la fin de manga player et je crois que la série continue toujours à l'heure actuelle…)

    Moi, c'est le contraire. C'est aux persos de My Goddess (qui soit dit en passant est un seinen, allez savoir pourquoi) que je n'ai jamais accroché. A part Urd et Skuld, je les trouvais tous trop insipides et trop calmes et gentils, surtour Belldandy.
    A l'inverse, Yota avec ses doutes, Ai qui débordait d'énergie ou encore Natsumi me parlaient plus.

    Comme pour Feanor, VGAI est le premier manga non-club dorothée que j'aie lu et il m'a souvent ému aux larmes, à l'époque.
    Dans mon esprit, je le range dans la même catégorie que Totoro. Oui je sais, rien à voir.
    Mais c'est que dans Totoro, on a une vision idéalisée de la campagne où tout est beau et tout le monde il est gentil: dans n'importe quelle autre oeuvre, ça me ferait sourire, mais là, la magie opère et le temps du film, j'y crois vraiment. VGAI c'est pareil, mais pour les sentiments. Des personnes capables d'un amour aussi pur et désintéressé, je n'y crois pas, mais là aussi, la magie opère, et dans le manga, ça passe comme quelque chose de normal.

    Je n'accrochais pas à la plupart des autres comédies sentimentales de l'époque, par contre. Orange Road, j'ai été fan pendant quelque temps quand ça passait sur la 5, avant de me rendre compte que je n'aimais pas la plupart des persos (mais bon sang, arrête de te foutre de la gueule de cette pauvre idiote et dis-lui carrément que tu l'aimes pas!)

    Lamu et Ranma, j'adore, mais je les vois plutôt comme des shônen humoristiques. Le côté sentimental passe vraiment au 3è plan et se limite au schéma: nana hyper jalouse et hyper violente + mec qui la traite tellement comme une merde que les rares fois où il se comporte comme un être humain normal et non comme un beauf fini, elle le prend pour le prince charmant.

    A part Video Girl, je ne me sens pas attiré par les comédies sentimentales de Jump, genre To Love Ru ou Ichigo 100%. Je ne saurais dire pourquoi. Peut-être les héroïnes qui semblent un peu trop calmes.
    J'ai bien lu I's de Katsura mais ça a été une déception. Je n'ai pas détesté, attention, mais là encore, la comparaison avec VGA fait mal. Katsura s'y est tout de même autorisé quelques infractions aux règles, comme la fin rapide du triangle amoureux (de façon inattendue) et l'introduction d'un personnage secondaire gay qui, s'il est assez cliché, est loin des grosses folles qu'on peut voir dans certains shônen mangas.

    Citation (Xanatos @ 26/11/2011 18:44)
    Tout à fait, Rough, c'est la série d'Adachi parfaite

    Je t'arrête là, Xanatos ^^. C'est LA série d'Adachi parfaite, tout simplement. Celle où sa maîtrise du découpage brille le plus, celle où les persos secondaires sont les plus développés, celle où les tensions entre rivaux sont les plus fortes. Un vrai bijou.

    Tous les mangas d'Adachi sont excellents, mais j'en vois tout de même trois, outre Rought, qui se placent au-dessus du lot.
    Touch, le grand classique, qui fait passer du rire aux larmes et offre des mtahces de baseball qui tiennent en haleine même un réfractaire aux mangas sportifs (et aux sports en général)
    Katsu, avec enfin une héroïne qui sait ce qu'elle veut et n'a pas peur de le dire.
    Et enfin Miyuki, hélas non publié en France. Un triangle sentimental entre le héros, sa petite ami Miyuki et sa petite soeur (non liée par le sang, Adachi la joue safe) Miyuki. Un dessin vieillot, mais déjà maîtrisé et des personnages attachants. C'est le manga le plus drôle d'Adachi et aussi celui où il y a le plus de fan service et d'auto dérision par rapport à ce fan service. C'est aussi l'un des rares à ne pas être basé sur le sport et peut-être le seul où le héros est parfaitement ordinaire, sans grand talent ni qualité. Qu'est-ce que les éditeurs français attendent pour le sortir, nom d'un Punch?

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #289245

    Citation (onsokumaru @ 25/12/2011 00:32)
    Je n'accrochais pas à la plupart des autres comédies sentimentales de l'époque, par contre. Orange Road, j'ai été fan pendant quelque temps quand ça passait sur la 5, avant de me rendre compte que je n'aimais pas la plupart des persos (mais bon sang, arrête de te foutre de la gueule de cette pauvre idiote et dis-lui carrément que tu l'aimes pas!)


    Puisque tu abordes le sujet, tu as vu le premier film de Kimagure Orange Road (Ano hi ni kaeritai, sorti en VF, d'ailleurs!)? Si ce n'est pas le cas, regarde-le, je suis sûr qu'il te plaira! 😃

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    Onsokumaru
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    onsokumaru le #289246

    Citation (feanor curufinwe @ 25/12/2011 01:46)
    Puisque tu abordes le sujet, tu as vu le premier film de Kimagure Orange Road (Ano hi ni kaeritai, sorti en VF, d'ailleurs!)? Si ce n'est pas le cas, regarde-le, je suis sûr qu'il te plaira! 😃

    Oui, ça fait longtemps, mais je me souviens qu'il était bien fait et très satisfaisant. Les persos se comportaient enfin comme des individus raisonnables.

    Sakuraslullaby
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    Sakuraslullaby le #289247

    Merci de vos explications! Je ne suis vraiment pas très calée en classifications BD/mangas car c'est quelque chose dont je ne tiens pas vraiment compte lorsque je m'intéresse à une série (ce qui compte à mes yeux, par exemple: psychologie et charisme des persos, suspense du scénario, maîtrise graphique, etc).
    Tout ça me fait penser qu'il faut absolument que je découvre d'autres oeuvres de Takahashi. Il n'y a que Ranma que je connaisse autrement que de nom. Que me conseillez-vous ensuite, par où continuer? :3
    En parlant de grande folle, j'ai pensé à Garfiel de Fullmetal Alchemist XD

    Sotelo
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    Sotelo le #289248

    Citation (Sakuraslullaby @ 25/12/2011 21:29)
    Tout ça me fait penser qu'il faut absolument que je découvre d'autres oeuvres de Takahashi. Il n'y a que Ranma que je connaisse autrement que de nom. Que me conseillez-vous ensuite, par où continuer? :3

    Tu as lu Maison Ikkoku ? Si ce n'est pas le cas, n'hésite pas, c'est le chef-d'oeuvre de Takahashi, un indispensable du manga et de la bd tout court. Sinon, il y a Urusei Yatsura aussi, qui est un peu plus similaire à Ranma 1/2. Il y a Inu Yasha aussi !

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #289249

    Citation (Sakuraslullaby @ 25/12/2011 21:29)
    Merci de vos explications! Je ne suis vraiment pas très calée en classifications BD/mangas car c'est quelque chose dont je ne tiens pas vraiment compte lorsque je m'intéresse à une série (ce qui compte à mes yeux, par exemple: psychologie et charisme des persos, suspense du scénario, maîtrise graphique, etc).
    Tout ça me fait penser qu'il faut absolument que je découvre d'autres oeuvres de Takahashi. Il n'y a que Ranma que je connaisse autrement que de nom. Que me conseillez-vous ensuite, par où continuer? :3


    Jette un coup d'oeil sur HatsuKoi Limited!^^

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    Kuronoe
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    Kuronoe le #289250

    Citation (feanor curufinwe @ 25/12/2011 21:49)
    Jette un coup d'oeil sur HatsuKoi Limited!^^

    AAAAAAAAAH, espèce de commercial, marchand de tapis !!! 😂

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #289251

    Citation (kuronoe @ 26/12/2011 13:01)
    AAAAAAAAAH, espèce de commercial, marchand de tapis !!! 😂


    Pas du tout…j'influence juste! 😎

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    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #289252
    HatsuKoi Limited

    Volume 3

    Voici venir l'avant-dernier tome de ce sympathique shônen romantique qui me fiche de bonne humeur à chaque lecture!
    Cependant, expliquer pourquoi, j'aurais du mal…
    Les situations ne sont pas originales en elles-mêmes, mais ici, on garde un certain degré de réalisme dans les rapports entre garçons et filles. Les plans-culottes, comme je l'ai déjà dit, existent, mais ils sont plus rares que dans la production actuelle. L'accent est mis davantage sur les sentiments, et l'humour, bien que très présent, sait aussi se faire discret dans les situations qui l'exigent.
    Bon, je m'arrête là, parce que je sens que je suis en train de faire un copier-coller du post sur le volume 1!

    Au programme de ce numéro trois:
    – La Saint-Valentin approche à grands pas, et la belle lycéenne Misaki Yamamoto, pas du genre à se soumettre à la coutume des chocolats à offrir à l'élu de son coeur, commence à remettre ses convictions en question. Depuis que Yuji Arihara lui a collé une sucette dans la bouche (sic), elle ne pense plus qu'à lui. Lui offrira-t-elle des chocolats, alors qu'elle vient de se rendre compte qu'elle a deux autres prétendants, dont l'un est son voisin qu'elle connaît depuis l'enfance? Tout à coup, la boîte de chocolats prend des allures de bombe à retardement!
    De plus, les deux prétendants ont eux aussi leur prétendante, déterminées donc à caser Misaki avec Yuji!
    Pas facile à suivre dit comme ça, mais il faut savoir que tous ces personnages nous sont bien connus depuis le premier tome! Interactions interactions!

    – La deuxième histoire est peut-être la plus fleur bleue depuis le début de la série!
    Nao Chikura aime la peinture plus que tout. Elle est d'ailleurs sans cesse emerveillée par un tableau présent dans la classe du club d'arts plastiques, un tableau signé Yukito Renjô. Elle ne cesse de peindre pour tenter de s'améliorer et d'atteindre un jour le niveau de ce Yukito.
    Un jour, voilà-t-y pas qu'en passant son temps seule en classe à peindre, arrive un lycéen nostalgique de ses anciennes années, venu se rappeler l'ancien temps, avant son départ du Japon. Evidemment, il s'agit de Yukito!
    Rassemblés par leur passion de la peinture, Yukito aide Nao à améliorer son style. Peu à peu, des sentiments naîtront, mais Yukito doit bientôt partir.
    Une belle histoire, mais qui manque un peu de rythme.

    – Meguru Watase, complexée par ses formes voluptueuses, refuse de rejoindre le club de natation, ça on le savait déjà! On sait aussi qu'elle a finalement décidé de devenir le coach du club!
    La suite, c'est maintenant! Son ancienne rivale, Nanoko Kyûma, mignonne petite élève de seconde, défie Meguru à la course (en natation, hein!). Meguru refuse jusqu'à ce que sa fierté soit piquée. Malheureusement, le manque d'entraînement, ça ne pardonne pas, et Meguru décide alors d'abandonner le club de natation, et d'enfin assumer ses formes (parce qu'elle demande à ses amies: “- Si on me retire la natation, qu'est-ce qu'il me reste, à votre avis?
    – Ben…ta poitrine?”)!
    A lire, pour le côté burlesque de la chose!

    – Je me suis gardé le meilleur chapitre pour la fin, là aussi très burlesque, intitulé Kappa Fight!, mettant en scène le meilleur couple de toute la série, Etsu Kusuda / Kei Enomoto!

    Ces deux-là évoquent irrémédiablement Ryô Saeba et Kaori Makimura de City Hunter!
    Le côté libidineux assumé de Etsu, qui saute sur tout ce qui bouge, excepté sur Kei (dont il garde une photo dans son portable, qu'il regarde en douce à la première occasion), et Kei qui refuse de montrer la moindre affection ou gentillesse envers Etsu (qu'elle traite continuellement de Kappa), alors qu'elle est amoureuse de lui.
    Dans ce chapitre, la présidente du club de théâtre, Sumire Fudômiya, passe dans les couloirs alors que Etsu et Kei se disputent pour la énième fois. Kei ne cesse donc de traiter Etsu de “face de Kappa”, ce qui attire la demoiselle, vu qu'elle recherche activement un élève qui pourrait tenir le rôle du fameux Yôkai!
    Il faut ajouter que, physiquement, la demoiselle tient plus d'une Bayonetta jeune que d'une collégienne, et vous comprendrez alors que lorsque Etsu se fait prendre au collet par ladite demoiselle, qui n'hésite pas à le serrer contre elle (afin, évidemment, de l'empêcher de partir!^^), il ne s'en plaint pas trop!
    C'est le départ d'un jeu où Etsu est la proie. Sumire, pas très rapide au niveau du cigare, a tendance à user de pièges parfaits…pour attraper des Kappa! C'est-à-dire, des pièges à base de concombres (dont les Kappa raffolent)! Beaucoup de concombres, quand même…
    Pour le reste, on reste dans le style City Hunter!
    Un seul chapitre avec ces deux-là, et j'en fait un long paragraphe! Je les adore, faut dire! 😃

    Maintenant, il ne reste plus qu'un volume pour conclure toutes ces histoires en beauté!

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    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #289253
    Anedoki

    Volume 1

    Voici le nouveau titre de Mizuki Kawashita.
    Kôta Ochiai, 13 ans, vit seul avec son père. Un jour ce dernier quitte à la hâte le domicile familiale pour son travail, laissant son fils seul pour quelques jours.
    Natsuki Hagiwara, une lycéenne (17 ans) qu'il avait rencontrée plus tôt et qui a partagé une glace avec lui, en profite pour s'installer chez lui, afin de s'occuper de lui, tout en ayant un endroit où loger.
    Et c'est sur ce pitch improbable que commence ce manga en trois volumes!!!

    Ici, on est dans le parfait archétype du manga Ecchi, avec nombre de situations propices au montrage de culotte, aux positions scabreuses et aux intentions coquines.
    Donc, finie la finesse d'Hatsukoi Limited, on se passera aussi (malheureusement) du travail psychologique (relatif mais néanmoins présent) de cette même série. Dans Anedoki, plus c'est gros plus ça passe.
    Donc, notre jolie lycéenne n'est pas du genre prude (sauf à une ou deux reprises, étrangement…), voulant à tout prix prendre un bain avec Kô (selon elle, c'est le meilleur moyen de faire connaissance), le rejoignant chaque nuit dans son lit, pour bien sûr le confondre avec un gros coussin moelleux.

    Le point fort de ce titre, c'est justement Natsuki, lycéenne extravagante, dont on sait très peu de choses pour l'instant, et dont le côté sans-gêne apporte tout le sel à l'histoire, autrement d'une banalité affligeante.
    Ce tome serait sauvé juste par sa présence si, comme parfait contrepoids, il n'y avait pas cette insupportable Sakurai Kanade, camarade de classe de Kô.
    Egocentrique, narcissique, elle ne vit que par le regard des autres. Pour on ne sait quelle raison stupide, Kô s'est amouraché d'elle, chose dont elle se moque éperdument.
    Enfin, elle s'en moquait jusqu'à l'arrivée de Natsuki dans la vie de Kô, évidemment. (Lecteur avisé, tu apercevras les fils gros comme une maison, mais tu comprendras que je doive quand même mettre les pieds dans le plat)
    Subitement, les autres camarades de classe de Kô ne font plus attention à elle, du coup, elle commence à s'intéresser à Kô…(Lecteur avisé, tu étais prévenu)
    Et un début de relation s'installe entre Kô et sa camarade de classe, le tout perturbé par la présence de la sculpturale Natsuki.

    Je ne cherche même pas à comprendre ce que Kô trouve à cette pimbêche insupportable. J'ai abandonné. J'ai rarement vu un personnage aussi détestable, d'autant plus que chacune de ses apparitions rend la lecture insupportable.

    Donc, Anedoki est, de mon point de vue, un titre à réserver aux fans complétistes de Kawashita, ainsi qu'aux amateurs de Ecchi.
    Mizuki Kawashita (100% Ichigo et Hatsukoi Limited, quand même!) m'a déçu, cette fois.
    Il semble que la série se soit arrêtée prématurément, faute de succès. Pas étonnant…

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    Kawai_gwen
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    kawai_gwen le #289254

    aaaah Rumiko Takahashi que de souvenirs!! je crois que c'est ma mangaka favorite car mon tout premier manga a été Ranma 1/2 et je me suis amusée comme une folle en le lisant.

    En fait je réalise que j'ai commencé par lire des shônemn (ranma, detective conan, kenshin… ), mais peut on les qualifier de shônem romantiques….. j'avoue que je ne sais pas vraiment

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #289255
    Hatsukoi Limited
    Volume 4 (dernier volume de la série)

    Nous y sommes! Le dernier volume!
    En écoutant une conversation entre Kei et ses copines au cours de laquelle Kei se défend de ressentir quelque chose pour lui, arguant qu'il est "laid comme un pou" et que le physique est ce qui compte le plus chez un homme, Etsu déprime totalement, et fait savoir à la miss qu'il a horreur des hypocrites dans son genre, qu'elle n'a fait que lui donner de fausses illusions. C'est alors que, sur un coup de tête, il décide de prendre les voiles, suivi par Hiroyuki et Mamoru, tout aussi malheureux en amour!
    C'est sur une excellente course-poursuite amoureuse, le long d'une plage de la côte est du Japon, que se termine cette histoire, chacun des protagonistes criant son amour à la mer.
    L'intérêt de cette série a toujours été sa profusion de personnages vivant tous dans le même environnement, permettant des interactions plus vivantes que ce qui se fait en général dans ce genre de manga, où on s'aperçoit très vite que tout tourne autour d'un seul couple, avec des "gêneurs" qui ne sont là que pour faire durer artificiellement l'intrigue.
    Ici, on a vraiment suivi, avec un vrai plaisir, les histoires de plusieurs personnages, avec aussi des triangles amoureux, mais qui n'ont jamais débordé sur les autres histoires! Cependant, de mon point de vue, un couple se détache véritablement du lot, celui formé par Etsu et Kei!
    Je n'avais jamais pris autant de plaisir, dans un shônen romantique, à suivre l'évolution d'un couple aussi attachant!
    On peut y voir deux archétypes de ce genre d'histoire pourtant. L'originalité, c'est en fait la façon dont les personnages sont traités, à mille lieues de ce que l'on est en droit d'attendre d'eux dans tout autre titre du genre!

    En bref, Hatsukoi Limited, c'étaient des histoires assez simples, parlant en général du premier amour, sans artifice, sans hésitations et remises en questions existentielles, juste des ados qui doivent faire avec ces nouvelles émotions! C'était bô, la vache!

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