/me écrit au tableau
Alors, le cours d’aujourd’hui sera sur les composantes sociales que l’on peut déduire par l’archéologie dans la culture Yayoi…
/me regarde ses notes
Ah ? ah ben non, c’est un cours sur le trouze… Ben il est quand mon cours sur la société Yayoi ??
Aaaaaaaah, pardon, je me suis trompée de semaine, cette semaine, c’est la classe Banquise, pas les DEUG II…
/me efface le tableau
/me écrit au tableau
Alors, je vais donc vous parler du trouze. Il faut tout d’abord définir le trouze en tant que soi : c’est une unité quantitative qui sert à mesurer des choses comptable, comme par exemple une quantité de trucs, ou même de machins.
De nombreuses études ont été menées sur ce sujet, qui ont permis de déterminer qu’il y a environ un trouze par groux, sauf dans le trouzième groux, justement, qui comporte trois trouze.
Le trouze est également reconnu comme le jour de sortie officiel des flims du studio Big Al Productions, et comme l’entité numérique, voire numérologique en cas de prédiction, préférée des sorcières, notamment les mourrutes, d’autant plus si elles habitent dans des théières.
Il est à noter que l’on peut remarquer une recrudescence des trouzes dans certains endroits froids, voire glacés, fréquentés par des animaux à fourrure palmés. Les statisticiens sont tous d’accord pour dire que cette multiplication anormale des trouzes dans les lieux sus-décrits est aberrante et qu’il serait intéressant de quanrantainer les autochtones, point sur lequel un certain nombre de psychiatres émettent également un avis favorable, mais pour d’autres raisons, qui leur sont propres, et que nous ne discuterons pas, parce que d’abord, c’est rien que des groux, les psy !
Des questions ?
Bon, allez, vous me révisez ça pour la semaine prochaine, et ce sera au partiel de janvier.