Ah bah merci, ça fait du bien de savoir que ses posts dans lesquels on met tant de coeur sont parfois encore lus et cités 2 ans et demi plus tard!
Mais je ne vais pas non plus me replonger dans le débat, car pour moi, la plupart des shojo sont toujours d’un débilissississisme affligeant. Mais bon, je ne suis pas vraiment impartial, puisque j’ai un peu arrêté de me plancher sur la chose, bien que je vive au havre européen du shojo, l’Allemagne. En tant qu’otaku, on n’est non seulement traîté de de gamin, de maniaque ou de pervers, mais aussi de femelette! Mais pas trop sovent quand même… Et puis toutes ces filles dans les magasins spécialisés et les conventions, à la la!
Je ne me considérerais pas comme “fan absolu” da Katsura, surtout depuis le fiasco Zetman. En fait, il n’y a que Video Girl Ai qui m’ai fasciné en son temps, I”s manque un peu trop de conception scénique (décors absents, scènes téléphonées…). En plus, Ichitaka commençait après un temps à me taper sur le système avec sa personnalité limitée et son incapacité d’apprendre de ses erreurs (un peu comme Kyosuke dans Kimagure Orange Road, qui, dit en passant, est bien mieux dans son genre). Vous aurez compris que j’aime mes histoires d’amour avec une dose de fantastique ou de grand-guignol, si ce n’est que pour métaphoriser ou sublimer les sentiments vécus par les personnages. Des quiproquos anodins et l’embarras quotidien, on en a assez vu sur les écrans et dans la vie réelle!
Cela dit, j’ai quand même fait mes devoirs en essayant 2, 3 titres pour gonzes, comme p.ex. Fushigi Yugi (version bien bof! d’Escaflowne), mais surtout Très cher frère, qui continue de me boulverser avec sa mise en scène flamboyante de petite querelles entre fillettes gâtées! Un régal, je dois l’avouer!