HITLER par Shigeru Mizuki

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Après L’Histoire des 3 Adolf d’Osamu Tezuka, un autre manga traitant de la vie du dictateur va paraître en France : intitulé simplement Hitler, ce one-shot est signé Shigeru Mizuki. L’auteur de Kitarô le repoussant n’est pas seulement connu pour ses histoires de yôkai, il a dessiné plusieurs récits autour de la Seconde Guerre mondiale, un conflit qu’il avait vécu de l’intérieur en tant que soldat et qui l’a énormément marqué (lire à ce sujet Opération Mort, sorti chez Cornelius).

C’est justement Cornelius qui publiera Hitler le 13 octobre 2011. Ce manga a été publié au Japon en 1971 dans le magazine Manga Sunday (Ikki Mandara, Debout l’humanité), soit plus de dix ans avant Les 3 Adolf de Tezuka.

Source : Cornelius

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A propos de l'auteur

Olivier

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  1. Lord-Yupa

    Oui, c'est absolument génial, "Histoire des 3 Adolf", et justement Tezuka y traite également de la dictature intérieure au Japon et de la terrible police politique qui y sévissait.
    Ce qui m'étonne un peu c'est de publier cet antique "Hitler" de 1971 ; et il faudrait un sacré talent à Mizuki pour apporter quelque chose sur Adolf, que les Japonais connaissent mal. Même Tezuka, dans l'oeuvre précitée, n'en fait qu'un élément mécanique de son prodigieux scénario, et il lui imagine une fin rocambolesque, alors… Enfin, faut voir sur pièces…

  2. Skies

    Calmos ……c'est pas mein kampf tout de même et me dis pas que t'as pas lu les 3 Adolf de Tezuka sensei? parce que si c'est le cas lis le c'est géniial et en aucun cas pro nazi bien au contraire.Quant à toi cocodou ,un peu d'histoire ne fait pas de mal

  3. Ach-Sen-Lapin

    Citation (Olivier @ 11/08/2011 17:20) < {POST_SNAPBACK}>
    Traitement assez réaliste, avec meme des photos d'époque mélangées au trait de Mizuki, d'après le peu que j'ai pu feuilleter.


    Un trait de Mizuki assez différent de celui qu'on lui connait actuellement et la narration se rapproche plus du roman graphique. Très original pour du manga, je pense qu'il fera un bon candidat pour Angoulême. Reste la question de la valeur du propos, toujours un peu casse-gueule ce type de sujet. J'ai jamais eu le courage de me plonger dedans, mais je suppose que Cornélius a pris toutes ses précautions avant de choisir de l'éditer.