Sakura-gari • Vol.1

Tagami, bien décidé à devenir un étudiant brillant, est monté à la capitale. Il sollicite du jeune maître de la famille Saïki le droit de devenir son serviteur afin de financer ses études. Ce dernier, métis et doté d’une beauté envoutante, le prend avec lui. Tagami ne tarde pas à découvrir que son maître est une personne bien étrange et troublante.

A RESERVER A UN PUBLIC AVERTI

Le nouveau Yuu Watase n’a rien à voir avec ses ambiances shôjo romantiques habituelles. On a ici affaire à une œuvre sombre et cruelle, inquiétante même. Peut-on parler de boy’s love ? Oui, mais à condition de ne pas croire que Sakura-Gari soit un prétexte à montrer des situations coquines. Ici, les scènes homosexuelles mettent mal à l’aise, voire provoquent le dégout, comme à la fin du tome. Œuvre au noir, Sakura-Gari en remonte à bien des josei en prouvant qu’on peut signer une histoire cruelle avec un véritable scénario et un dessin soigné sans tomber dans le commercial.

6.67