Posté dans : Anime & Animation
Qui va être le plus rapide à trouver où j'ai pu avoir cette deuxième idée ?
ok, recherche google, je tombe sur un gif du combat final de la première série… des mechas qui se serrent l'un contre l'autre … AIE ! mais comment n'ai je pas vu cela il y a 10 ans lors du visionnage original ? digne de Shaun, 3 secondes avant qu'il ne “réchauffe” Yoga …
Je vais peut être changer mon couple yaoi. Du classique ?
Du bizarre ?
Sagara Sousuke x Gauron
Qui va être le plus rapide à trouver où j'ai pu avoir cette deuxième idée ?
Ils doivent êtres issus de la liste du 1er tour, n'oublie pas.
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Nan, ce n'est pas de là 😂
Ah zut c'est vrai.
C'est bien ça mais j'ai vérifié et ce n'est pas le bon épisode. Par contre je ne sais pas lequel est-ce.
Ben Gurren Lagann c'est la quintessence du nekketsu bourré aux amphétamines. J'espère qu'il ne t'a pas échappé que TOUT est parodique dans GL ?
Le parodique ce n'est pas censé être drôle ? Si c'est le cas ça me passe 500 km au dessus.
C'est sûr que si tu nous rentrais dans le lard uniquement parce qu'on ne connait pas la série, ce serait une manière peu convaincante de nous donner envie de voir la série en question ! 😛
T'inquiètes Akiko, je plaisante ! 😉
Tu n'as jamais été une bourrine et c'est tant mieux !
Enfin bref, même si le pilote ne sera forcément pas représentatif de l'histoire globale, ni du sublime de certaines séquences de la deuxième parte de la série, pourquoi ne pas prendre un peu de temps et profiter de l'occasion pour le visionner ? Avec la magie d'Internet tout est en streaming à portée de clic, le premier épisode est d'ailleurs dispo sur KZ Play.
Je comprends tout à fait que cela t'agacerait que Fate/Zero perde, non pas parce que les électeurs n'aimaient pas la série, mais parce qu'ils ne la connaissent pas.
Il est vrai aussi que, d'ici la clôture des votes, on a deux semaines, et vu que Fate/Zero n'est pas très long (un peu plus d'une vingtaine d'épisodes c'est ça ?) ça peut être jouable de voir la série en entier d'ici là.
Cependant, j'avais vu quelques épisodes de Fate State Night il y a quelques années et j'avais trouvé la série assez sympa, même si j'appréciais surtout l'excellente Saber.
Et vu que Fate/Zero est axée sur elle, c'est une excellente nouvelle.
Sinon, Cobra a parfaitement sa place dans cette catégorie. Certes, la plupart des histoires qu'il adapte ont été publiées au début des années 80, la plus récente “Galaxy Nights” date de 1996. Mais il ne faut pas perdre de vue que l'adaptation animée de ces récits date de 2010 pour la nouvelle série TV et de 2008-2009 pour les OAVs, donc elle peut figurer sans problèmes dans cette catégorie.
C'est comme Rozen qui a voté pour Jojo's Bizarre Adventure, certes les deux premières sagas de l'oeuvre majeure de Hirohiko Araki furent publiées de 1987 à 1989 mais la série animée elle a été produite en 2012, donc, elle a sa place !
Et Rozen a eu raison de voter pour Jojo.
Ce classement tient en compte la date de production de l'adaptation animée, pas la date de création de l'oeuvre originale l'ayant inspiré !
Je me moque de l'ancienneté ou du côté récent d'une oeuvre, tout ce qui compte à mes yeux, c'est qu'elle soit de qualité.
Certes, Pandora Hearts est vraiment une très bonne série, elle est très bien dessinée et le tome 6 que j'ai lu dernièrement étant à ce sujet franchement réussi (un humour qui fait davantage mouche, des scènes d'émotion qui évitent la guimauve), elle sort des sentiers battus et change agréablement de bien de shônen de baston contemporains conventionnels simplistes et sans intérêt.
Mais entre une très bonne série et une série exceptionnelle, ben désolé, je jette mon dévolu sur celle qui m'enthousiasme le plus.
Maison Ikkoku est un monument, le parangon de la comédie sentimentale des mangas (souvent copié, jamais égalé), l'oeuvre la plus aboutie d'une mangaka de génie qui a fait date dans l'histoire du 9e art.
Si elle avait 30 ans, 10 ans ou deux ans, j'aurai quand même voté pour elle.
Et même si je devais changer mon vote (peu probable mais pas impossible) il se tournerait davantage vers Monster qui bénéficie (entre autres ! ) d' un scénario exceptionnel et d'une intensité prodigieuse.
Ben Gurren Lagann c'est la quintessence du nekketsu bourré aux amphétamines. J'espère qu'il ne t'a pas échappé que TOUT est parodique dans GL ?
+ 10000 avec Bub et s'il y a un a bien un point sur lequel Gurren-Lagann a toujours assuré à fond à la caisse, c'est son scénario qui est en béton armé, franchement excellent et beaucoup plus malin et subtil qu'il n'y paraît.
L'histoire de Gurren Lagann a toujours su me surprendre, m'époustoufler et me subjuguer du début jusqu'à la fin.
De toute manière, quand Shinji-Kun a dit que Gainax a voulu faire la même chose que Evangelion mais s'était planté, on voit qu'il est passé complètement à côté de la plaque du vrai propos de l'oeuvre qui va justement à contre courant d'Evangelion.
Gurren Lagann rend non seulement un hommage vibrant et sincère à de nombreux grands classiques des mangas et de l'animation japonaise prônant le dépassement de soi (Ashita no Joe, Mazinger Z, Goldorak, Albator, Saint Seiya) avec un peu de dérision à l'appui, mais c'est aussi un pied de nez aux oeuvres des studios concurrents qui singeaient Evangelion en beaucoup moins bien avec des héros se prenant le chou inutilement pour des broutilles.
Ah non, j'ai voté pour JoJo pour la catégorie manga. L'anime a beau être génial et une très bonne adaptation, le support original est infiniment supérieur.
Je suis également d'accord avec ce que tu dis sur Gurren Lagann, que je préfère d'ailleurs à Evangelion. J'ai énormément de mal à voir les points communs entre les deux séries.
Je comprends assez la position d'Akiko. Cobra est une vieille licence qui a déjà eu droit à une adaptation animée dans les années 80 ; donc pour un anime récent j'aurais moi aussi tendance à privilégier quelque chose de plus contemporain.
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25 épisodes si l'on comptabilise les deux saisons. Avec un rythme soutenu, en trois jours c'est bouclé ! 😛
Ceci étant dit, il n'est pas du tout nécessaire de tout voir pour se faire une bonne idée. Avec deux trois épisodes déjà, on voit clairement que la barre est très haute !
Je comprends que l'époque t'importe peu. Quand une série est bonne elle l'est, peu importe son ancienneté. 😉
Mais j'avoue avoir du mal à considérer une comédie sentimentale comme Maison Ikkoku comme un monument de la BD : franchement, en quoi cette série a révolutionné ce genre ? Ce média ?
C'est un peu comme si on me disait que Lucille, amour et rock'n'roll est un monument de l'animation japonaise, j'ai un peu de mal à le croire 😂 (par contre, les Beehives ont sans doute révolutionné le rock, et Tristan et Mathias le monde de la coiffure).
Après c'est vrai, je suis assez peu perméable à ce genre. Ca peut m'amuser un moment certes, mais jamais ça ne me parlera autant qu'un scénario donnant à réfléchir, titillant nos idées ou notre morale, intriguant ou mystérieux, ou même juste plein d'affrontements et de suspense. J'aime quand il se passe des trucs de fous et la pension des Lilas, c'est un peu trop calme pour moi ! 😛
Sur Gurren Lagann, comme Xanatos, je vois plutôt cet anime comme un contre-pied à Evangelion ; TTGL se contrefiche du réalisme tant que ça a de la gueule et qu'on s'amuse. Les deux anime n'ont pas du tout les mêmes objectifs (même si à croire les travaux préparatoires, Eva devait être une série innovante ET divertissante), donc voir en TTGL un Eva raté est une erreur. S'il y a de spoints communs entre les deux séries, c'est le côté spectaculaire des affrontements et un peu le côté craintif de Simon mais TTGL se rapproche surtout des deux Top O Nerae par sa démesure et une certaine ressemblance au niveau personnalités entre Simon et Noriko.
A part ça, +1 avec Bub pour la fin de Gurren Lagann. Le combat final est vraiment épique mais ce qui m'a le plus marqué c'est la scène du mariage : pendant tout l'anime, les héros sont allés de l'avant, dépassant à chaque fois un peu plus les frontières de l'impossible ; pourtant cette fois-ci, Simon pose lui-même les limites à ne pas dépasser, non par peur de l'échec mais de façon raisonnée en ayant conscience des conséquences fâcheuses que cela aurait sur l'humanité si on pouvait à loisir ressusciter les morts. J'ai beaucoup aimé la morale de cette fin.
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Après c'est vrai, je suis assez peu perméable à ce genre. Ca peut m'amuser un moment certes, mais jamais ça ne me parlera autant qu'un scénario donnant à réfléchir, titillant nos idées ou notre morale, intriguant ou mystérieux, ou même juste plein d'affrontements et de suspense. J'aime quand il se passe des trucs de fous et la pension des Lilas, c'est un peu trop calme pour moi ! 😛
Maison Ikkoku est plus qu'une bête comédie sentimentale, c'est une véritable chronique sociale du début des années 80 avec son lot de personnages farfelus sortant de différents milieux (Shun est riche et vient d'une bonne famille alors que Godai et Kyoko sont eux issus de milieux plutôt modestes), l'importance de trouver un travail à la fin de ses études pour trouver sa place dans la société ou encore la place de la femme dans ce milieu encore très masculin. De plus, si l'histoire d'amour entre Kyoko et Godai est le moteur de l'histoire, elle n'est pas non plus omniprésente et de nombreux chapitres n'y font que peu d'allusions. Godai est avant tout un jeune homme qui a pour objectif de devenir un adulte responsable en trouvant un boulot convenable et Kyoko une jeune femme qui cherche à s'émanciper à la fois de ses parents et des conventions sociales (ne lui répète-t-on pas constamment qu'elle devrait se remarier au plus vite ?).
Non, Maison Ikkoku ce n'est pas QUE Kyoko et Godai qui s'aiment. C'est tout un monde qui gravite autour d'eux, un quotidien qu'ils vivent comme tout le monde… Il n'y a strictement rien de romantique ou de sirupeux dans ce manga, mis à part les ''films'' qui parasitent l'esprit de Godai à chaque fois qu'il croit avoir la situation dans sa poche.
J'aime beaucoup Rumiko Takahashi, mais force est de constater que le seul manga qui vale vraiment la peine pour un lecteur occidental à mes yeux c'est Maison Ikkoku. Urusei Yatsura est tellement connoté japonais qu'il ne m'a pas arraché un seul sourire (et pourtant l'humour japonais me plaît énormément d'habitude), Ranma 1/2 suit constamment le même schéma et l'apparition incessante de nouvelles fiancées sorties de nulle part devient très lourd au bout d'un moment (à lire à petites doses), Mermaid Forest n'a pas de fin (dommage, le manga démarrait bien), Inu-Yasha tombe très vite dans les mêmes travers que Ranma 1/2, à savoir un scénario prétexte à une multitude d'apparitions de personnages tous plus farfelus les uns que les autres et qui au fond ne font que recycler ce que la mangaka a déjà proposé; de plus, l'histoire – bien qu'excellente sur les 16 premiers tomes – finit par rapidement tomber dans le redondant. Je n'ai pas lu assez One-Pound Gospel pour me faire une idée, mais c'est le seul qui avec Maison Ikkoku devrait valoir la peine et qui sort un peu des chantiers battus. Sinon j'ai apprécié aussi ses récits courts publiés par Tonkam en 2004.
Ce n'est pas pour rien si l'année dernière j'ai préféré voter Osamu Tezuka. Avec lui au moins je ne me suis jamais ennuyée et il réalise de vrais fins pour la plupart de ses mangas.
Quant au fait qu'une oeuvre ait tant d'années je n'y attache aucun intérêt non plus, exactement comme Xanatos. Actuellement je dévore Cyborg 009 et j'adore ce titre (réalisé par le génial Shôtaro Ishinomori), peu importe si la plupart des mythes et des thèmes mis en scène ont été exploités jusqu'à la moelle par la suite. C'est l'un des rares shônen où le héros ne me gonfle pas du tout (rien à voir avec un certain Seiya…) et est même devenu mon personnage préféré du manga.
Non, Maison Ikkoku ce n'est pas QUE Kyoko et Godai qui s'aiment. C'est tout un monde qui gravite autour d'eux, un quotidien qu'ils vivent comme tout le monde… Il n'y a strictement rien de romantique ou de sirupeux dans ce manga, mis à part les ''films'' qui parasitent l'esprit de Godai à chaque fois qu'il croit avoir la situation dans sa poche.
Toutafé !
Je dirais même plus ! La Maison Ikkoku est le refuge de tous les marginaux “malgré eux” des années 80 au Japon.
Nikaido mis à part (arrivé en cours de route, au rôle essentiellement comique et qui sera d'ailleurs éjecté de la série animée), tous sont des sortes de déclassés de cette société japonaise qui était alors en pleine expansion :
un étudiant qui va d'échec en échec universitaires sans grands espoirs de carrière,
une femme au foyer épouse d'un salaryman aux horaires complètement décalés avec la vie réelle,
une serveuse qui se laisse parfois à accepter quelques passes avec des clients (même si ça n'est jamais montré),
yotsuya, un cas à lui tout seul ^^,
et enfin la dernière arrivée, une jeune veuve sans enfant à l'avenir plus qu'incertain si elle ne se trouve pas vite un nouveau mari dans cette société où la place des femmes est encore très cloisonnée.
Les autres personnages récurrents de la série, extérieurs à la pension, ont par contraste tous une situation bien plus enviable.
En fait, Maison Ikkoku montre plus souvent les pensionnaires en galère, souvent à la limite de sombrer un peu plus bas dans le déclassement : la société ne leur fait pas de cadeaux. Ils ne peuvent pas se permettre d'agir sur un coup de tête sans risquer de le payer cash, manquant parfois de finir à la rue.
Finalement, c'est le flirt et les commérages qui pimentent le quotidien (enfin… surtout le commérage et l'alcool coulant à flot pour alimenter la machine à rumeur ! ^^).
En fait de romantisme, Maison Ikkoku est plutôt cynique : les femmes vivant ces situations doivent-elles céder aux avances des bons partis ou bien suivre leurs réels sentiments amoureux et vivre d'amour et d'eau fraiche sans grand espoir d'avenir ? Les choix de Kyoko ne sont donc pas simples, loin de là ! L'amour peut vraiment passer à la trappe à tout moment.
Un classique quoi ! ^^
Je partage ton avis sur de nombreux points de ta critique sauf celui ci: qu'il n'y a strictement rien de romantique.
Je suis désolé mais je ne suis absolument pas d'accord sur le fait qu'il n'y ait aucun romantisme dans Maison Ikkoku (par contre, il n'y a en effet rien de sirupeux dans les relations entre les personnages).
Bien au contraire il y a beaucoup de romantisme dans Maison Ikkoku, cet aspect de l'oeuvre n'est aucunement absent de la série et est beaucoup plus développée que dans les autres séries fleuves de l'auteur (dans Urusei Yatsura, l'histoire d'amour de Lamu et Ataru est la cinquième roue du carrosse de la série et n'apparaît que par intermittences, et dans Ranma, celle entre Ranma et Akané est plus présente mais elle n'est pas non plus très mise en avant, même si les moments touchants entre les deux existent bel et bien).
Certes, je reconnais qu'il y a plusieurs chapitres où l'idylle de Godai et Kyôko n'est pas abordé, mais le romantisme est bel et bien là.
Il a lieu lors des scènes intimistes entre les deux tourtereaux, pas nécessairement en se disant le méga classique “je t'aime”, mais certains détails dévoilent les sentiments réciproques qu'ils éprouvent l'un envers l'autre comme les regards qu'ils s'échangent mais qui en disent long, les délicates attentions que l'une porte envers l'autre (et vice versa) comme le superbe moment ou Kyôko se balade avec Godai avec une jambe dans le plâtre ou encore quand elle se culpabilise d'avoir fait raté un examen final à notre étudiant (du moins le croit elle) et lui déclare qu'elle est prête à attendre une année de plus pour lui…
Disons que le romantisme y est traité en finesse et au fur et à mesure que l'intrigue avance, sans lourdeurs ou artifices et celui ci devient prépondérant dans les deux derniers volumes de la série, sans que les autres aspects soient négligés comme l'humour bien évidemment avec les remarques bien senties des autres pensionnaires allumés.
Oui Maison Ikkoku regorge d'innombrables qualités, non, il ne se cantonne pas exclusivement à l'histoire d'amour, et effectivement, la série dresse un portrait réaliste et passionnant de la société japonaise des années 80.
Mais on ne peut nier que le romantisme est l'un des éléments ayant contribué au succès foudroyant et mérité de ce titre, tant au Japon qu'en France.
Oui c'est vrai, il y a des passage ou Kyôko s'interroge légitimement sur ses futurs choix…
Cependant au tout début de la série, elle a encore été traumatisé et bouleversée par le décès de Soïchiro son époux, ne se sentait pas encore prête et avait la sensation que, si elle épousait un autre homme, elle trahirait son mari qu'elle aimait plus que tout au monde.
Les moments où elle se remémore les jours heureux passés auprès de lui sont extrêmement poignants.
Et puis voir au fil de la série Kyôko retrouver progressivement le goût de vivre et de retomber amoureuse est réellement très émouvant.
C'est clair: j'ai été très marqué par cette scène où Yusaku regarde ce qui lui reste d'économies et réfléchit intensément: en laisser de côté pour avoir à manger, ou bien les dépenser pour une fête et finir le ventre vide pendant une semaine ?
Sans oublier les passages ou il est angoissé à l'idée de ne pas avoir assez pour payer son loyer.
Des passages assez amers qui sentent vraiment le vécu !
Par contre ce qui a été une grosse claque pour moi, c'est Shun Mitaka: autant je le détestais quand j'étais gosse (pour moi il était juste l'insupportable rival de Godai) autant quand je l'ai redécouvert à l'âge adulte (aussi bien en revoyant la série animée qu'en découvrant le manga), je me suis rendu compte que le personnage est beaucoup plus profond, nuancé et subtil que dans mes souvenirs d'enfance: c'est quelqu'un de gentil, honnête et à l'écoute des autres.
Il compatissait sincèrement à la peine de Kyôko au début de la série et voulait ne pas la presser, et vers la fin de la série, s'il était exaspéré que son oncle ait organisé un mariage arrangé entre lui et Asuna, il ne détestait absolument pas cette dernière, avait des scrupules et réfléchissait à la manière de lui annoncer qu'il est épris d'une autre femme, sans briser le coeur de cette jeune fille de bonne famille éperdument amoureuse de lui.
Et puis, on ne peut nier les efforts immenses qu'il a fait sur lui même pour guérir de sa phobie et prouvait son amour sincère envers Kyôko.
Et puis, même s'il se dispute souvent avec Godai, on sent qu'ils éprouvent tout de même un respect mutuel l'un envers l'autre.
Non, Mitaka est vraiment un personnage que j'aime beaucoup à présent.
Ah au fait Akiko_12, la résidence de nos héros, ce n'est pas la “pension des lilas” mais la “Maison Ikkoku” dans la VO du DA et les traductions françaises du manga et “la pension des Mimosas” dans la VF du DA ! 😉
Et on ne peut pas dire qu'elle soit trop “calme” cette pension !
Avec ces trois tarés de Yotsuya, Akemi et Ichinosé qui passent leur temps à s'enivrer, brailler et chanter à tue tête en rendant cinglé le pauvre Godai qui arrive rarement à bosser tranquillement, on ne peut pas dire que ces lieux respirent la quiétude et le calme !! 😂 😛
Et puis voir au fil de la série Kyôko retrouver progressivement le goût de vivre et de retomber amoureuse est réellement très émouvant.
C'est en même temps tout ce qui fait l'originalité de Maison Ikkoku : la relation puceau/veuve, pour parler cruement.
L'idéalisme amoureux de Godai se confronte systématiquement au réalisme et au vécu de Kyoko.
Elle se projette dans un avenir en couple concret : situation matérielle, enfants. Son histoire amoureuse précédente, follement passionnée et romantique (avec un mariage polémique à la clef), n'a malheureusement débouché sur rien, aussi, on devine aisément qu'elle souhaite au fond d'elle plus que tout ne pas se rater sur les choix d'un potentiel futur père de ses enfants. Godai de son côté se fait des films, comme le rappelle Veggie.
Pour être franc, dans le manga j'étais même carrément dégoûté pour lui !
Non pas que je souhaitais que Godai finisse seul, mais Shun aura été irréprochable tout le long !
C'est le plus magnifique perdant que j'aurais jamais vu ni en manga, ni ailleurs.
Je propose de clore le HS ici, et de le poursuivre dans le topic années 80 si vous le souhaitez.
Mon vote est quasi prêt, excepté sur un point où je m'interroge :
Pour le duel de chara-designer j'aurais bien besoin qu'une âme compatissante me signale les principales oeuvres de Yoshitoshi Abe et de Yoshiyuki Sadamoto.
En effet je m'occupe assez peu en animation de ces professionnels (plutôt des réalisateurs et auteurs de scenarii), car quand c'est beau et agréable à suivre, il ne me vient guère à l'idée de vérifier ce poste dans les crédits. Je suis beaucoup plus tourné vers le décryptage du dessin dans les manga-papier.
Yoshitoshi ABe :
Serial Experiments Lain, Niea_7, Haibane Renmei, Texhnolyze,..
http://www.animenewsnetwork.com/encycloped…eople.php?id=40
Yoshiyuki Sadamoto :
Nadia, Evangelion, FLCL, Les Ailes d'Honnéamise, .Hack//SGN, La Traversée du Temps, Summer Wars, Les Enfants Loups,..
http://www.animenewsnetwork.com/encycloped…eople.php?id=17
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C'est parti pour le second tour !
1 – Meilleure série animée
Neon Genesis Evangelion
2 – Meilleur anime japonais diffusé au cinéma
Princesse Mononoke
3 – Meilleur manga
Pandora Hearts
4 – Meilleur anime récent
Fate/Zero
5 – Meilleur manga récent
NSP, je n'ai lu aucun des deux.
6 – Plus grand ratage
Dragon Ball GT (j'aurais préféré tout Dragon Ball, mais bon 😛)
7 – Meilleur personnage féminin
Oscar François de Jarjayes (Lady Oscar)
8 – Meilleur personnage masculin
Shinji Ikari (Neon Genesis Evangelion)
9 – Meilleur méchant
Light Yagami (Death Note)
10 – Meilleur mecha
Yamato (Uchû Senkan Yamato)
11 – Meilleur personnage non humain
Kyubey (Puella Magi Madoka Magica)
12 – Meilleure bande originale
Noir (bien que l'OST de .hack//SIGN soit géniale aussi – Kajiura inside)
A – Meilleur character designer
Yoshitoshi Abe
B – Meilleur interprète de génériques en langue japonaise
JAM Project
C – Meilleur interprète de génériques en langue française
Claude Lombard
D – Personnage le plus viril
Ryô Saeba (City Hunter)
E – Meilleur couple yaoi potentiel
Light Yagami / L.
J'ai décidé d'appuyer Gex pour avoir deux voix sur un vote. Mais faire un choix fut difficile !
F – Anime le plus délirant (aka Catégorie WTF ou affilié)
Cromartie High-School/Le Bahut des Tordus
G – Meilleure série de sport
Inazuma Eleven
H – Œuvre la plus surestimée
La Mélancolie de Haruhi Suzumiya
I – Anime le plus mal animé
Saiyuki
J – Meilleure fin de tous les temps
Je n'en sais rien du tout, je n'ai rien vu/lu de tout ça.
1 – Meilleure série animée
Nadia, Le Secret de l'Eau Bleue
2 – Meilleur anime japonais diffusé au cinéma
Akira
3 – Meilleur manga
Monster
4 – Meilleur anime récent
Fate/Zero
5 – Meilleur manga récent
Vinland Saga
6 – Plus grand ratage
Dragon Ball GT
7 – Meilleur personnage féminin
Oscar François de Jarjayes (Lady Oscar)
8 – Meilleur personnage masculin
Spike Spiegel (Cowboy Bebop)
9 – Meilleur méchant
Light Yagami (Death Note)
10 – Meilleur mecha
Cuirassé spatial Yamato (Uchû Senkan Yamato)
11 – Meilleur personnage non humain
Kyubey (Puella Magi Madoka Magica)
12 – Meilleure bande originale
Noir
* * * *
A – Meilleur character designer
Yoshitoshi Abe
B – Meilleur interprète de génériques en langue japonaise
JAM Project
C – Meilleur interprète de génériques en langue française
Bernard Minet
D – Personnage le plus viril
Ryô Saeba (City Hunter)
E – Meilleur couple yaoi potentiel
Light Yagami / L.
F – Anime le plus délirant (aka Catégorie WTF ou affilié)
Kimengumi Highschool/Le Collège Fou Fou Fou
G – Meilleure série de sport
Touch
H – Œuvre la plus surestimée
Les Mystérieuses Cités d'Or
I – Anime le plus mal animé
Saiyuki
J – Meilleure fin de tous les temps
Nadia et le secret de l'Eau Bleue
Je crois que je vais quand-même prolonger le vote d'une semaine ; avec l'Epitanime je n'aurais pas le temps de gérer le BGP ce week end.
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