Citation (Lord Yupa)
Bon, au risque de te décevoir, Bub, moi je n’ai pas accroché du tout ( alors que c’est toi qui par ton post plutôt laudatif m’a enduit d’une couche d’erreur, donc tu me dois 20 euros ).
Mon bon Yupa, jamais tu ne me déçois ! ^^
Et le temps que tape cette réponse j’ai subit le mauvais sort qui vengera ton porte-monnaie : mon lait pour la purée a débordé. C’est à la fois sympa pour l’odeur caramélisée et excessivement chiant à nettoyer sur une vitro.
Pour en revenir à WT, je reconnais que c’est le genre de titre qui ne fera pas l’hunanimité et tu reconnais que les plus gros défauts peuvent très bien passer pour un “certain” public dont quelques pingouins ici présents font partie.
A vrai dire, je pense avec le recul que cette série aurait dû avoir un tout autre format type 13 min par épisodes : juste ce qu’il faut pour ajouter un peu de rythme et virer les moments de vides superflus, un peu comme les courtes histoires de taniguchi pour un gourmet solitaire ou le marcheur qui cause pas des masses, vous voyez ce que je veux dire. Enfin, je suis pas réalisateur non plus. Et en plus je suis pas payé pour critiquer, c’est dire comme ils s’en foutent de ce que je peux dire là bas dans leur studio.
Maintenant tu vois, c’est marrant, mais dans la liste des reproches que tu fais, je m’y retrouve complètement mais pour une toute autre série : NieA_7. Pas du tout accroché, pas du tout ri, rien, encéphalogramme plat. Juste aimé l’ambiance estivale de la série. Alors que pour WT j’ai apprécié. Par contre je n’ai pas regardé les épisodes à la suite, seulement le soir tranquilement allongé sur le pieu.
Citation
– les héroînes “collégiennes ordinaires”, sans rien de spécialement attachant, et plutôt moches en plus avec leurs grosses cuisses et popotins – bizarre précocité contredite par les bustes et visages.
Moi j’aime beaucoup ces cuisses-là. ^^°
J’expliquerais cet esthétisme par une volonté de leur donner un aspect légèrement éthéré ( oh ! oh ! ), vaguement “volatile” ( ce ne sont pas des jambes qu’elles ont, mais plutôt des fines pattes et des corps rondouillets comme des oisillons – si j’étais vache j’ajouterais qu’elles ont des cuisses comme des dindes, ah ! je l’ai dit. )
Citation
– l’apologie de la merveilleuse vie dans les villages à la campagne. Après des années et des années de longs hivers dans divers coins des plus paumés, argh ! ne m’y remettez surtout jamais ! Omoide poro poro, pareil, l’horreur pour ce qui est du message… Vive la capitale, le métro bondé, la pub partout, le shopping à Noël boulevard Haussmann ! les militants de l’anti-consommation, contactez-moi, j’ai tout plein de bonnes adresses rurales, autarciques et calmes ( vraiment très calmes ) pour vous.
Je crois plutôt que la campagne est ici utilisée comme lieu des secrets, de pélerinage et toutes ces sortes de choses comme dans un Totoro. C’est en étant au contact de la nature que les pouvoirs des gamins vont se réveiller, pas en pleine ville. C’est la transmission du savoir et ce n’est pas par hasard que ce soit un vieil homme qui fasse la leçon. Enfin, c’est comme ça que j’avais vu le truc, pas vraiment comme une apologie de la campagne.
Bon, au dodo ! ^3^