Je suis allé le voir lundi et ce n’est que maintenant que j’ai le temps de poster un sujet dessus (ouf! /happy.gif” style=”vertical-align:middle” emoid=”^_^” border=”0″ alt=”happy.gif” />°) Le début du film est comme l’album dont il est l’adaptation (j’en ai oublié le nom, désolé /happy.gif” style=”vertical-align:middle” emoid=”^_^” border=”0″ alt=”happy.gif” />)
Quant à l’animation, elle est peu riche (les scènes de marche sont un peu saccadées), mais un effort a été fait au niveau des mouvements dans la foule au début du film: il n’y a pas de répétition de mouvements et chaque personnage se déplace vers un but différent.
Un soin tout particulier a été accordé à tout ce qui est fumée dans le film (brouillard, fumée de train, de cigarette, de baton d’opium, etc), ainsi qu’aux effets de paysage (nuit, coucher de Soleil, ombres des batiments, ou tempete de neige)
C’est l’occasion de se plonger ou se replonger dans l’univers de Pratt, qui donne une vision du monde de 1919 partagée entre la contemplation des bautés du monde (le film est parfois lent à cause de ça, mais on s’y fait /happy.gif” style=”vertical-align:middle” emoid=”^_^” border=”0″ alt=”happy.gif” />