Des BD sans images

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Posté dans : Forum Général

  • Sebulon
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    sebulon le #94790

    Oulà, je suis pas venu ici depuis le mois de Mars…… Et j’en ai lu des bouquins depuis tout ce temps!!

    Je vais en citer quelques-uns:

    “Déjà dead” de Kathy Reichs

    On suit le Dr Temperance Brennan, anthropologue judiciaire, surtout spécialisée dans les os…..! Elle travaille dans la ville de Montréal et collabore avec la police sur des crimes, parfois très violent! Comme celui sur lequel elle va travailler. Il s’agit du corps d’une femme, atrocement mutilé! Et il ne s’agit pas du premier corps retrouver ainsi, dans un tel état, il y en a même plusieurs mais qui ne semblent reliés en rien…….à première vue! Hélas, ayant peu, voir pas d’indices du tout, la police s’avère impuissante face à ces meutres dont le ou les coupables courent toujours en liberté………..Brrrrrrr!

    Très bon policier, “déjà dead” est le premier volume qui met en scène le Dr Brennan! L’auteur est elle-même anthropologue judiciaire, autant dire qu’elle connaît son sujet!

    Une série Tv a été adapté de ses romans, elle est connue sous le nom de “Bones” et est diffusée sur M6! J’ai trouvé qu’il y avait de nombreuses divergences entre la Brennan papier et la Brennan télé….. et c’est assez déstabilisant lorsqu’on s’est habitué à l’une ou l’autre!

    “Horizon de cendres” par Jean-Pierre Andrevon

    Bouquin assez court (~250p)

    Le personnage principale se trouve en France et travaille dans un funérarium. Il s’occupe de l’incinération des défunts.

    Il est marié, a une petite fille et vit dans une maison quelque peu isolée de tout!

    Bref, tout va plutôt bien malgré ce travail qu’il apprécie peu, jusqu’au jour où l’on découvre que les morts reviennent à la vie, tous, sans exception. Qu’ils soient enterrés depuis 150 ans ou qu’ils se trouvent dans une morgue, ils se réveillent TOUS! Mais, ces heu……. zombis ne se montrent pas agressif envers les vivants! Ils se contentent de déambuler lentement, errant sans buts! Les gens s’habituent à leur présence, commencent à parler de droits pour les non-vivants!! Jusqu’au jour où l’un de ces non-vivants est filmé en train de sucer la cervelle d’un chat……..Puis leur agressivité envers les créatures vivantes montent crescendo! Et là on retombe dans le truc habituel où les vivants doivent survivre face aux zombis. Ces derniers, plus ils arrivent à se nourrir, plus ils se reconstituent. Ils ont de nouveaux des yeux qui occupent leurs orbites, leur chair est de moins en moins décomposée! Coupez leur un menbre, il cherchera à se recoller!! Seul le feu semble véritablement efficace! Mais les vivants vivent dans des camps retranchés, assaillis par des hordes de zombis! Comment vont-ils s’en sortir, s’ils s’en sortent bien entendu ^^!

    Ce roman ce lit très vite et ce malgré le thème déjà très exploité, au cinéma, des zombis!

    Ps:J’adore la couverture de ce bouquin………….

    La malédiction du Rogue de Stephen R. Donaldson

    Il s’agit là du premier tome des Chroniques de Thomas Covenant!

    L’on suit donc un certain Thomas Covenant, écrivain à succès, marié, a un fils! Bref, ça roule pour lui! Jusqu’au jour où il apprend qu’il est atteint par la lèpre! Alors tout s’écroule autour de lui, sa femme finit par le quitter en emportant leur fils avec elle! C’est en se rendant en ville, chose qu’il ne faisait plus depuis le début de sa maladie, qu’il est percuté par une voiture! Il se trouve alors projeté dans un autre monde (non, pas l’au-delà…^^), un monde parallèle! Ce monde étrange se nomme le “Fief”. Il se trouve investit de la mission de sauver du chaos le peuple du Fief, lui qui ressemble à un ancien héros qui est devenu une légende pour tout un peuple!! Hélas, Thomas Covenant est loin d’être ce héros tant attendu et espéré! Il n’en a pas l’étoffe, lui-même le reconnait! Mais il faut qu’il trouve un moyen de rentrer chez lui et va participer à contre-coeur à l’aventure.

    Mon sentiment à la fin de ce tome est partagé! Le héros est en tout point détestable, antipathique, méprisable! Il a même tendance à m’éxaspérer. C’est sûr que ça change par rapport aux autres productions de Fantasy!

    On le “voit” toujours se plaindre, geindre sur son sort. C’est sûr qu’être lépreux, puis se retrouver d’un coup nommé réincarnation d’un héros légendaire dans un monde parallèle pour y affronter mille dangers, ben, ce ne doit pas simple à digérer!! Mais bon, s’il pouvait la fermer un peu, ben cela nous ferait des vacances!

    Heureusement qu’il y a ce monde plein de magie et de créatures maléfiques et bénéfiques, pour nous faire quelque peu oublier l'(anti)héros de l’histoire! A suivre dans le second volume qui sera décisif selon moi pour savoir si j’irais jusqu’au bout des dix tomes!

    Wait & see……………

    Voilà, je m’arrête là pour aujourd’hui!! A bientôt!

    Edité par sebulon le 12-08-2008 à 02:20

    Orely
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    orely le #94791

    Je ne sais plus quel humoriste a dit :

    « on peut rire de tout mais pas avec n’importe qui »

    Avec une parfaite mauvaise foi je ma disais que non décidément c’était méchant de rire des juifs ou des handicapés.

    Jean Louis Fournier n’a pas mes états d’âme.

    Dans « Ou on va, Papa ? », il nous raconte ses deux petits moineaux déplumés avec de la paille dans la tête.

    Avec beaucoup d’humour il nous décrit leurs bêtises et leurs joies, avec beaucoup de sensibilité, il nous explique tout le reste.

    Et surtout comment se moquer gentiment de ses propres enfants l’a aidé à garder la tête hors de l’eau, l’a aidé à les aimer.

    En lisant ce livre je n’ai cessé de penser à une chanson de Lynda Lemay.

    Je vous en mets les paroles

    Ceux que l’on met au monde

    ne nous appartiennent pas

    c’est ce que l’on nous montre

    et c’est ce que l’on croit

    ils ont une vie à vivre

    on n’peut pas dessiner

    les chemins qu’ils vont suivre

    ils devront décider

    c’est une belle histoire

    que cette indépendance

    une fois passés les boires

    et la petite enfance

    qu’il ne faille rien nouer

    qu’on ne puisse pas défaire

    que des nœuds pas serrés

    des boucles, si l’on préfère

    ceux que l’on aide à naître

    ne nous appartiennent pas

    ils sont ce qu’ils veulent être

    qu’on en soit fière ou pas

    c’est ce que l’on nous dit

    c’est ce qui est écrit

    la bonne philosophie

    la grande psychologie

    et voila que tu nais

    et que t’es pas normal

    t’es dodu, t’es parfait

    le problème est mental

    et voilà que c’est pas vrai

    que tu vas faire ton chemin

    car t’arrêteras jamais

    de n’être qu’un gamin

    tu fais tes premiers pas

    on se laisse émouvoir

    mais les pas que tu feras

    ne te mèneront nulle part

    qui es-tu si t’es pas

    un adulte en devenir

    si c’est ma jupe à moi

    pour toujours qui t’attire

    c’est pas c’qu’on m’avait dit

    j’étais pas préparée

    t’es a moi pour la vie

    le bon dieu c’est trompé

    et y a le diable qui rit

    dans sa barbe de feu

    et puis qui me punit

    d’l’avoir prié un peu

    pour que tu m’appartiennes

    à la vie, à la mort

    il t’a changé en teigne

    il t’a jeté un sort

    t’es mon enfant d’amour

    t’es mon enfant spécial

    un enfant pour toujours

    un cadeau des étoiles

    un enfant à jamais

    un enfant anormal

    c’est ce que j’espérais

    alors pourquoi j’ai mal

    j’aurais pas réussi

    à me détacher de toi

    le destin est gentil

    tu n’e t’en iras pas

    t’auras pas dix huit ans

    de la même façon

    que ceux que le temps rend

    plus hommes que garçons

    t’auras besoin de moi

    mon éternel enfant

    qui ne t’en iras pas

    vivre appartement

    ta jeunesse me suivra

    jusque dans ma vieillesse

    ton docteur a dit ça

    c’était comme une promesse

    moi qui avais tellement peur

    de te voir m’échapper

    voilà que ton petit cœur

    me jure fidélité

    toute ma vie durant

    j’conserverai mes droit

    mes tâches de maman

    et tu m’appartiendras

    ceux que l’on met au monde

    ne nous appartiennent pas

    c’est ce que l’on nous montre

    et c’est ce que l’on croit

    c’est une belle histoire

    que cette histoire là

    mais voilà que surprise

    mon enfant m’appartient

    tu te fous de ce que disent

    les auteurs des bouquins

    t’arrives et tu m’adores

    et tu me fais confiance

    de tout ton petit corps

    de toute ta différence

    j’serai pas là de passage

    comme les autres parents

    qui font dans le mariage

    le deuil de leur enfant

    j’aurais le privilège

    de te border chaque soir

    et certains jours de neige

    de te mettre ton foulard

    à l’âge où d’autres n’ont

    que cette visite rare

    qui vient et qui repart

    par soirs de réveillon

    tu seras le bâton

    de ma vieillesse précoce

    en même temps que le boulet

    qui drainera mes forces

    tu ne connais que moi

    et ton ami pierrot

    que je te décris tout bas

    quand tu vas faire dodo

    et tu prends pour acquis

    que je serais toujours là

    pour t’apprendre cette vie

    que tu n’apprendras pas

    car ta vie s’est figée

    mais la mienne passera

    j’me surprends à souhaiter

    que tu trépasse avant moi

    on ne peut pas t’admirer

    autant que je t’admire

    moi qui ai la fierté

    de te voir m’appartenir

    j’voudrais pas qu’on t’insulte

    et qu’on s’adresse à toi

    comme à un pauvre adulte

    parce qu’on t’connaîtrait pas

    si le diable s’arrange

    pour que tu me survives

    que dieu me change en ange

    que je puisse te suivre

    ceux que l’on met au monde

    ne nous appartiennent pas

    à moins de mettre au monde

    un enfant comme toi

    c’est une belle histoire

    que celle qui est la notre

    pourtant je donnerais ma vie

    pour que tu sois comme les autres

    Lord-Yupa
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    Lord Yupa le #94792

    Ah, belle chanson, Orely. Plus belle encore par sa chute, qui nous remet face à nos inévitables et totales contradictions.

    Pour Sebulon : tiens, je l’ignorais tout à fait, mais que la série “Bones”, que j’apprécie fort, soit tirée d’un roman ne m’étonne finalement pas, ça en explique certains aspects.

    Un livre sur le Japon, mais celui des années 1920 :

    “L’Honorable Partie de Campagne”, de Thomas Raucat.

    C’est extrêmement drôle, et très originalement et habilement construit, même si les Japonais sont tout de même très caricaturés. Sans méchanceté aucune, on le sent. L’auteur éprouve au fond une fascination pour l’intense souci relationnel et le sentimentalisme nippons, et les côtés émouvants sont bien là, surtout à la fin, qui elle n’est pas drôle, mais tragique et belle à la fois.

    Un grand et gros Occidental a été envoyé au Japon pour une mission diplomatique de la SDN, mais c’est le dernier de ses soucis. Déjà pas mal habitué à ce pays, la seule chose qui l’intéresse est de séduire de jolies jeunes Japonaises, et il y a déjà réussi plus d’une fois. A Tokyo il en repère une vraiment ravissante, et parvient à lui proposer une promenade à Enoshima jusqu’à un hôtel dans 2 jours. Manque de chance, un industriel qui tient à cultiver l’ amitié du prestigieux gaijin a tout entendu et veut à toute force l’accompagner avec plusieurs amis.

    La promenade aura bien lieu, mais rien ne se déroulera comme prévu, à cause du tordu et minutieux “système japonais”.

    Le bouquin ne se laisse pas oublier, je vous assure ! il a d’ailleurs eu un grand succès en 1924 et est constamment réédité depuis. On le trouve en Folio, n° 1597.

    Thomas Raucat n’est pas un nom. C’est la phrase “tomarô ka ?” que les Japonais interrogés n’arrivent pas bien à me traduire. L’auteur, aviateur de guerre de 14 – 18 envoyé au Japon comme instructeur de l’armée de l’air japonaise, s’appelait Roger Poidatz. Il a écrit un second livre en 1927, “Loin des blondes”, qui correspond à ses préférences amoureuses orientales. Dernière originalité, il est né en 1894, mais on n’a nulle part aucune mention de sa mort. Ce qui lui ferait 114 ans aujourd’hui…

    Edité par Lord Yupa le 06-09-2008 à 19:01

    Sebulon
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    sebulon le #94793

    Citation (Lord Yupa)
    Pour Sebulon : tiens, je l’ignorais tout à fait, mais que la série “Bones”, que j’apprécie fort, soit tirée d’un roman ne m’étonne finalement pas, ça en explique certains aspects.

    Heu….. qu’entends-tu par là? Qu’est-ce qui explique quels aspects? Je suis dans le flou ^^

    Naoko3
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    naoko3 le #94794

    étant fan de la série Bones et ayant lu récemment ‘déjà dead ‘je peux dire que les points communs ne sont pas si nombreux j’en ai d’ailleurs été étonnée j’ai plutôt remarqué toutes les différences je n’en parlerai pas plus pour pas spoiler de futur lecteurs mais en dehors du boulot et du caractère de l’héroïne il reste pas grand chose:tigre:

    histoire de pas être trop hors sujet en ce moment je lis “les hommes qui n’aimaient pas les femmes” le premier tome de la trilogie millénium et ma foi c’est pas mal foutu et bien captivant y a même un personnage qui me rappelle franchement Abby de NCIS

    Edité par naoko3 le 08-09-2008 à 10:54

    AyamA
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    ayamé le #94795

    Ben moi en ce moment je lis un essai de mon écrivaine préférée Nancy Huston qui s’appelle “Mosaïque de la pornographie”.

    Ce n’est pas un bouquin à mettre entre toutes les mains parce que comportant des passage très crus (en même temps vu le titre, on se doute que ça ne va pas parler des bisounours…). Ce livre pose un regard féministe et sociologique sur l’exploitation de la sexualité à travers la pornographie…Franchement passionnant!

    Lord-Yupa
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    Lord Yupa le #94796

    Citation (darthantos)
    Roger Poidatz n’est pas immortel, il est décédé en 1976.

    http://en.wikipedia.org/wiki/Roger_Poidatz

    Edité par darthantos le 06-09-2008 à 23:49

    Darth’ je te dis zut ! briseur de rêves, va. Nan, on rigole, merci pour le lien.

    Sebulon, à propos de “Bones”, c’est justement comme dit Naoko3 dans le caractère de l’héroïne et les allusions à son vécu que j’avais un peu ce sentiment, une densité supérieure à un simple perso de série TV.

    La construction originale de “L’Honorable Partie de Campagne” (événements successifs racontés tour à tour par plusieurs personnages) a bien pu être influencée par le célèbre “Rashomon”, publié au Japon peu avant par Akutagawa Ryonosuke. Ben ça aussi mérite bien d’être lu, c’est en Poche.

    Sharbet
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    Sharbet le #94797

    La série Harry Potter est finie.

    Mais c’est pas grave, la mode est passée, on s’en fiche, maintenant. Parlons d’autre chose.

    C’est pas grave parce que, si vous aimez la fantaisie héroïque, un certain monsieur Bottéro se charge d’écrire quelques tonnes euh, tomes d’une saga-fleuve qui vous fera rêver avec des mots à la… bon, des mots et des noms un peu bizarres, quoi, histoire de montrer que l’histoire ne se passe pas chez nous, mais ailleurs.

    Dans cet ailleurs rempli de mots et de créatures étranges, une petite fille perd ses parents on ne sait pas trop où, mais ça se passe dans de la bagarre qui occasionne d’importants dégâts collatéraux. Elle est recueillie par un peuple petit en taille, grand pour son amour immodéré des framboises. Elle grandit, et découvre à la suite de péripéties que je ne peux pas révéler qu’elle n’est pas tout à fait pareille que ses parents d’adoption… elle s’en va donc à la rencontre des autres gens, les humains.

    Et c’est le début d’une liste d’aventures toutes plus violentes, émouvantes, touchantes et palpitantes les unes que les autres! Car la petiote, quand elle s’énerve (et elle a de bonnes raisons de le faire), elle déchire un peu sa race, et c’est pas une métaphore, vous pouvez m’en croire.

    La jeune fille donc se bat pour sa vie, pour celle des autres mais pas souvent car elle est soucieuse de son indépendance, cherche sa voie, et là, faut pas que j’en dise plus.

    Le personnage est attachant: Ellana, car tel devient son nom, est une sorte de grande gueule sarcastique qui ne se laisse impressionner par personne (mais alors, personne!) et qui va toujours au bout de tout ce qu’elle entreprend. Son jeune âge et son inexpérience lui donnent pourtant maintes raisons de douter d’elle ou de s’interroger sur ce qu’elle fait ou veut faire. Ajoutez de la violence, de la baston, des Elus classes et sectaires comme le sont les Jedis, des secrets terribles, et vous obtenez une chouette lecture dépaysante, même si certains détails ont un air de vague déjà-vu.

    Les romans sont destinés à un public jeune, je pestais donc un peu contre le style facile, et puis j’ai compris que l’histoire était prenante, et qu’en fin de compte, ce qui était important, c’est le plaisir de la lecture, alors on va pas bouder parce que ce n’est pas aussi complexe et austère que du Lovecraft, hein.

    Voilà. “Le pacte des Marchombres”, t.1 “Ellana”. Un récit plein d’initiations très très bien, facile à lire, et pas bête du tout.

    Pour le bien-être de votre ponctualité, assurez-vous de le détester avant de le lire dans les transports en commun: un oubli de station est si vite arrivé…

    Edité par Sharbet le 30-09-2008 à 18:54

    Edité par Sharbet le 30-09-2008 à 18:59

    Edité par Sharbet le 30-09-2008 à 22:26

    Orely
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    orely le #94798

    Ha oui oui!! Bottero est un excellent auteur jeunesse. Je t’invite à lire le tome 2 du pacte des marchombre, aussi bien que le premier et pour tout comprendre sur l’univers du Gwendalavir il faut lire les deux premières trilogies. La quête d’Ewilan et Les mondes d’Ewilan. Si tu aime vraiment cet auteur tu peux aussi lire une autre trilogie L’Autre. tu verras tout est lié

    Sharbet
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    Sharbet le #94799

    Citation (orely)
    Ha oui oui!! Bottero est un excellent auteur jeunesse. Je t’invite à lire le tome 2 du pacte des marchombre, aussi bien que le premier et pour tout comprendre sur l’univers du Gwendalavir il faut lire les deux premières trilogies. La quête d’Ewilan et Les mondes d’Ewilan. Si tu aime vraiment cet auteur tu peux aussi lire une autre trilogie L’Autre. tu verras tout est lié

    C’est déjà fait, pour le tome 2 ^^

    Je viens d’entamer la toute première trilogie, “Les mondes d’Ewilan”, mais je ne regrette pas d’avoir commencé par le Pacte des Marchombres: tout ce qui est dessin, marchombre et pas sur le côté y est mieux détaillé. Je ne suis pas sûre que j’aurais autant accroché aux “Mondes d’Ewilan” si je n’avais pas lu “Ellana”, beaucoup plus documenté sur Gwendalavir que “La forêt des captifs”.

    Et puis, c’est malheureux à dire, Ewilan est bien sympathique, mais pour l’instant, Ellana m’intéresse plus…

    Edité par Sharbet le 01-10-2008 à 10:26

    Edité par Sharbet le 01-10-2008 à 10:26

    Edité par Sharbet le 01-10-2008 à 10:27

    Orely
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    orely le #94800

    C’est normal que tu trouve Ellana plus documenté, tu est en train de lire la seconde trilogie!!

    Tu devrais commencé par la Quête, et non par les Mondes. Etant donné que ce sont les tout premiers livres, tout y est expliqué très clairement!!

    J’ai évidement lu tout ça “dans l’ordre” et je préfère les trilogies d’Ewilan parce que l’humour y est plus présent. Et puis j’ai eu un peu le sentiment que Bottero tirait beaucoup sur la corde. Cela dit tout les cycles étant vraiment accrocheurs je ne boude pas mon plaisir.

    Edité par orely le 01-10-2008 à 13:08

    Orely
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    orely le #94801

    Dieu est un pote à moi.

    Non non je ne suis pas entrée dans une période mystique, c’est juste le titre du livre.

    On suit la vie ordinaire d’un trentenaire ordinaire qui a un ami pas ordinaire.

    Ses espoirs, ses joies, ses peines ses doutes entrecoupés de conversations banales avec Dieu.

    C’est agréable à lire, légé, pas prise de tête. On souris, on pleure, on frissonne (le paragraphe sur le soufrance est dur, très dur).

    Ne vous attendez pas à de grands débats métaphysiques, ce n’ets pas le but de ce livre détente.

    Par contre je pense qu’il vaut mieux éviter de le lire si on est très croyant. Dieu dément certains dogmes et puis il a un sens de l’humour particulier.

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