Ouais mais bon, se la péter sur les forums en disant qu'on écrase des SDF dans GTA c'est tellement rebelz quand on a 13 ans tu vois.
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La réponse est dans la question. 🙄
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J'ai commencé Sleeping Dogs. Pour résumer, c'est un croisement très réussi entre GTA pour le monde ouvert, les gunfights et les parties en voiture et Yakuza pour les bastons ; le tout dans le milieu des Triades de Hong Kong. Même si la représentation de HK n'est pas très fidèle à la réalité du point de vue des monuments, le jeu a quand-même su capter l'ambiance générale de la vile et c'est là l'essentiel. Techniquement, ce n'est pas le dernier cri et certaines textures sont assez grossières mais cela n'empêche pas les environnements d'êtres très détaillés et les personnages d'avoir un look bien sympa. L'histoire est bien menée, ça fait très Infernal Affairs, pas révolutionnaire mais efficace avec des persos très charismatiques.
Bref, si vous aimez le cinéma HK et les bastons en mêlée contre une vingtaine de gars, ce titre pourrait bien vous plaire.
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développeur ; United Front
éditeur : Square Enix (Europe)
plate-forme : PS3 ; dispo aussi sur Xbox360 et PC
Sleeping Dogs vous met dans la peau de Wei Chen, un flic infiltré dans une des triades de Hong-Kong. Mais un conflit violent éclate entre plusieurs factions de la triade qu'a rejoint notre héros et tandis que des liens d'amitié forts commencent à s'établir au fil des affrontements meurtriers, une distance et une incompréhension de plus en plus forte commence à s'installer entre Wei et ses contacts au sein de la police.
S'inspirant du cinéma hong-kongais, Sleeping Dogs installe une histoire sombre, hyper prenante et ne souffrant pas de temps morts ou d'incohérences comme c'est parfois hélas le cas dans des jeux concurrents comme GTAIV, servie par des personnages très charismatiques et une ville de Hong-Kong merveilleusement recrée au niveau de l'ambiance (bien que pas toujours très fidèle au niveau de certains édifices pourtant assez connus). Le jeu des acteurs est excellent tant au niveau des animations que du doublage.
A ce propos, la majeure partie des dialogues se fait en anglais alors que dans la réalité, la majeure partie des conversations se fait en cantonnais, influence britanique ou pas. Bien que cela puisse rebuter un peu au début pour l'authenticité, ce choix me semble finalement justifié pour une raison de jouabilité : on a quand-même plus de chances au milieu d'une fusillade ou une poursuite en bagnole de comprendre un dialogue en anglais qu'en cantonnais. Et puis surtout, c'est finalement très bien intégré dans le jeu : même si les principaux protagonistes s'expriment en anglais, la plupart des passants ainsi que quelques personnages (la mère de Winston en particulier) ne s'expriment qu'en cantonnais. Détail savoureux pour qui connaît bien des gens dont la langue natale n'est pas le français, certains personnages qui parlent habituellement anglais peuvent se mettre tout d'un coup à alterner avec du cantonnais quand leurs nerfs sont mis à rude épreuve !
Au niveau du gameplay, on est dans un croisement très réussi entre GTA et Yakuza. D'un côté, on a une ville gigantesque qui s'offre à nous avec pleins de possibilités de cascades en voiture et d'activités annexes mais pour la partie combats, les combats d'arts martiaux sont privilégiés aux armes à feux bien que les gunfights soient eux aussi très réussis. Si vous êtes familier de la série des Yakuza de Sega, vous serez donc en terrain connu avec Sleeping Dogs puisque de nombreux combats à un contre 5-10-20 adversaires vous attendent. Les combos ne sont pas trop compliqués à retenir mais les combats ne sont pas simplistes pour autant ; beaucoup d'adversaires sachant parer les attaques ou résister aux prises ne pourront êtres battus qu'à base de contre-attaque, ce qui demande de la patience.
Il y a aussi des possibilités de finishing move en utilisant certains éléments du décor mais je préviens les âmes sensibles que c'est souvent très violents parce que c'est à coups d'électrocutions, de scie circulaire, d'empalements, ou plus sympathique d'enfermer le type dans le coffre d'une voiture (on pourra ensuite si on le veut trimballer ainsi le mec dans son coffre à travers toute la ville pour aller l'abandonner ou l'achever plus loin).
Il y a aussi un aspect parkour qui donne une dimension supplémentaire à l'exploration de la ville. De nombreux endroits ne sont accessibles qu'en escaladant des murs ou des échafaudages. Le système, très simple à prendre en main, est largement exploité dans les nombreuses poursuites à pied qui ponctuent le jeu. Tandis que dans un GTAIV, ces poursuites sont souvent rébarbatives, dans Sleeping Dogs elles sont vraiment très sympa car d'une part on n'a pas besoin de marteler un bouton mais simplement de rester appuyé dessus pour courir et puis surtout, c'est l'occasion comme dans les meilleurs films d'action de traverser tout pleins de bâtiments en bousculant tout le monde, d'escalader des obstacles divers ou d'explorer de petites ruelles sombres ou les toits de la ville.
Un peu comme dans Infamous, on peut acquérir de nouvelles compétences en augmentant trois jauges différentes :
– le respect s'obtient en rendant service aux habitants de Hong-Kong ;
– le niveau de policier s'obtient en remplissant des missions pour la police ; sachant qu'on peut perdre des points si on blesse des passants ou si l'on fait trop de dégâts à l'environnement pendant les missions ;
– le niveau de triade augmente quand on fait des actions spectaculaires en combat surtout. Faire un beau combo, faire un beau finish en utilisant le décor ou encore tuer un adversaire d'une balle en pleine tête rapportent des points.
Ceci dit, au risque d'en décevoir certains, notre niveau de policier ou de truand n'a pas d'influence sur le déroulement de l'histoire qui reste le même quelles que soient nos actions. Néanmoins, la fin très ouverte laisse à chacun le loisir d'interpréter les choses comme il l'entend : Wei a-t-il complètement repris son rôle de serviteur de la justice et de l'ordre public ou bien sa loyauté envers la triade se poursuivra t-elle sous d'autres formes?
Si Sleeping Dogs a bien un point faible, c'est sur le plan de sa réalisation. La modélisation très grossière des véhicules et des textures sont dignes d'un jeu d'il y a 5 ans et l'animation du héros pendant les phases de déplacement n'est pas très jolie non plus.
Néanmoins, graphismes dépassés ne signifient pas jeu moche pour autant. Le soucis du détail est impressionnant, la reconstitution de HK n'est peut-être pas toujours parfaite géographiquement parlant mais l'ambiance de la cité est bien là par contre ; arpenter les rues de Central dans le jeu m'a énormément rappelé ma ballade bien réelle cette fois dans ce quartier l'année dernière. L'une des premières missions où on parcourt de nuit un marché en plein air grouillant de monde, avec toutes les enseignes lumineuses, les vendeurs qui vous interpellent, les chansons en chinois qu'on entend à la radio est une expérience vraiment merveilleuse.
Autre point évoqué plus haut : l'extrême violence du jeu. Le jeu est assez gentil pour nous épargner la vue d'un mec se faire découper vivant au hachoir à viande lors d'une cinématique par contre, un bon nombre des interactions avec le décor pendant les combats donnent lieu à des mises à mort qui peuvent vous retourner l'estomac quand vous n'êtes pas pris dans le feu de l'action : le jeu ne pousse pas le sadisme à s'attarder sur les détails non plus, ça se résume à une animation de deux secondes et on enchaîne avec l'ennemi suivant. Et puis la plupart du temps, on peut tout-à-fait finir un combat sans passer par des moyens aussi gore ; sauf un combat dans la dernière mission. Certains passages sont assez choquants mais ça rentre bien dans le cadre du jeu qui décrit une guerre impitoyable entre des gangs de malfrats. Vous voilà au moins prévenus, le jeu mérite bien son PEGI 18.
Sleeping Dogs fait partie de ces titres qui ne sont pas vraiment attendus ; il aura connu un développement chaotique qui ne présageait rien de bon : d'abord financé par Activision (il devait s'appeler True Crime : Hong Kong) avant que l'éditeur n'annule le projet faute de profits envisagés suffisants, il a été repris avec la même équipe de développeurs par Square Enix Europe (ex Eidos) qui y croyait.
Tant pis pour Activision et tant mieux pour Sqaure Enix ; le jeu est une franche réussite, réunissant le meilleur de ses deux inspirateurs, GTA et Yakuza, tout en rendant un vibrant hommage au cinéma et à la ville de Hong-Kong.
Bien accueilli par la presse et le public malgré ses faiblesses techniques, il n'y a plus qu'à espérer un beau succès commercial pour ancrer ce titre comme une série pérenne.
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Persona 4 Arena à moins de 44€ chez Amazon.
http://www.amazon.fr/s/ref=nb_sb_noss?__mk…amp;x=0&y=0
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Tu peux le trouver à prix raisonnable en import anglais . Normalement, il peut tourner sur une console française
Il y a une démo assez représentative du jeu complet qui vient de sortir sur le PS Store/Xbox Live si tu veux t'y essayer.
edit : Amazon le commercialise en ce moment à 46€ environ ; même chose pour fnac.com il me semble.
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Je ne vais pas pouvoir te donner de réponse parce que la 3DS ne m'intéresse pas mais pour que les autres puissent mieux t'orienter, on va pose la question à l'envers :
Pourquoi as-tu choisis une 3DS?
Quel jeu t'a poussé à prendre cette machine? Quelles fonctionnalités? Quel genre de jeu aimes-tu?
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