Sauf que ce qu'a voulu dire l'article, c'est qu'une étoile dans la direction de la constellation du dragon a été dévorée par un trou noir. En effet, les étoiles composant les constellations se situent toutes dans la Voie Lactée. Or cette étoile là se situe dans une galaxie beaucoup plus lointaine (3.4 Milliards d’années lumières ce n'est pas la porte à côté 😂 )
Le topic de… l'ESPACE !!!
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Oui, j'avais bien compris, c'est que j'entendais par "dans la constellations du Dragon", je me doute bien que ce ne sont pas les étoiles "principale" qui on été touché…
Mais on devait quand même bien la voir l'étoile décédée non ? Alors je me demande comment ça va rendre après…Non on ne verra rien, une étoile aussi lointaine est invisible à l'oeuil nu. Et même au télescope on ne doit voir que la galaxie dans laquelle elle se trouve. On a vu sa disparition car elle émet alors un flash (en rayon X majoritairement). Voilà un article scientifique sur cette mort.
C'est donc un trou noir super massif qui a engloutit l'étoile. Il en existe un semblable au centre de notre galaxie.Non on ne verra rien, une étoile aussi lointaine est invisible à l'oeuil nu. Et même au télescope on ne doit voir que la galaxie dans laquelle elle se trouve. On a vu sa disparition car elle émet alors un flash (en rayon X majoritairement). Voilà un article scientifique sur cette mort.
C'est donc un trou noir super massif qui a engloutit l'étoile. Il en existe un semblable au centre de notre galaxie.
Article qui m'a fait sourire. J'avoue.Et ça me fait toujours un truc, ce genre de chose. Rien que penser à un trou noir, ça titille ma curiosité mais une étoile qui plonge dans un trou noir super massif… C'est tellement énorme… Bref, ça m'impressionne carrément.
La sonde DAWN se mettra demain en orbite autour de l'astéroïde Vesta.
Cela fait partie d'une mission qui consiste à explorer les objets les plus intéressants de la ceinture d'astéroïdes comprise entre Mars et Jupiter.
ça parait moins sexy que les dernières missions vers Mars, Jupiter et Saturne, mais les astéroïdes sont de véritables archives du système solaire, et révèlent des quantités d'informations.
Je reviendrais sur tout ça bientôt.
Pour l'heure Vesta se présente comme un gros objet d'environ 500km de diamètre, percuté un jour par un astéroïde qui l'a en partie pulvérisé, laissant un pic au niveau de l'impact.En photo c'est mieux :
Pour le fun sinon : une photo d'Hélène, une petite Lune de Saturne en haute résolution
La ceinture d’astéroïdes enfile les perles.
Abordons aujourd’hui les plus petits corps du système solaire.
Que sont-ils ? D’où viennent-ils ?Nous sommes au 18ème siècle.
En 1766, Johann Daniel Titius établit une loi empirique (sans véritable valeur scientifique) qui donne approximativement la bonne distance des planètes alors connues par rapport au Soleil :
D= 0,4 + 0,3(2^n)
où D est le demi-grand axe de l'orbite exprimée en unités astronomiques (U.A. qui est la distance de la Terre au Soleil, soit 150 millions de kilomètres) et n un nombre entier égal au rang de la planète.
Ainsi Vénus avait le rang 0, soit selon la loi une distance approximative de 0,7 UA (pour une valeur réelle de 0,72 UA)
Pour la Terre, rang 1, ça donnait du 1 pour 1 (toujours exact)
Pour Mars, rang 2, du 1,6 pour du 1,52 en vrai.
Mais pour obtenir la bonne valeur pour Jupiter, il fallait sauter un rang et passer directement au rang 4 pour obtenir approximativement 5,2 pour une distance réelle de 5,2…
Idem pour Saturne, rang 5, avec 10 pour 9,55 et Uranus avec 19,6 pour 19,22 UA en vrai. Mercure avait un rang à la con ( -µ) que je saurais pas expliquer, mais ça donnait un bon résultat.
A cette époque, Neptune et Pluton n’étaient pas encore découvertes, et pour ces deux dernières planètes, les valeurs deviennent alors complètement fausses si on applique la loi.Mais peu importe.
Pour les astronomes de l’époque, ces résultats semblaient indiquer qu’une planète devait logiquement se situer quelque part entre Mars et Jupiter, au rang numéro 3, à une distance de 2,8 UA, alors que cette loi ne se fondait sur aucun principe scientifique valable. Néanmoins, ce fut le début d’une grande quête pour trouver la planète « manquante ».
C’est ainsi qu’en 1801, un père sicilien découvrit à l’endroit prédit un objet nouveau : Cérès.
La meilleure photo qu'on ait à ce jour de Cérès. La mission Dawn nous fournira de bien plus beaux clichés dans quelques annéesAvec Cérès, d'un diamètre de 930km, on pensait avoir alors résolu l’énigme. Mais dès l’année suivante, un autre astronome découvrit « Pallas » à peu près dans la même zone orbitale. Puis ce fut le tour de « Junon » en 1804 et de « Vesta » en 1807. Et à partir de ce jour, les découvertes se succédèrent.
L'unique photo de l'astéroïde Pallas, en attendant mieux un de ces quatre…Il fallu se rendre à l’évidence : il n’y avait pas de nouvelles planètes dans les parages, mais une foule de petits corps plus ou moins gros répartis en orbite autour du Soleil sur une distance de 2,5 à 3,8 UA. Aujourd'hui on peut dresser une liste des plus importants. Très vite les astronomes avancèrent l’hypothèse que ceux que l’on appelait dorénavant les astéroïdes étaient tous issus de l’explosion d’une ancienne planète qui se trouvait autrefois sur cette orbite. On appela cette zone la ceinture d’astéroïdes. Un soviétique avança même le nom de Phaéton pour le nom de la défunte planète.
Mais cette hypothèse se révéla fausse.
Premièrement parce que les centaines de milliers d’astéroïdes qui circulent là représentent en tout à peine 4% de la masse de la Lune. C’est très peu. Et les trois plus gros astéroïdes connus, Cérès, Vesta et Pallas, représentent à eux trois plus de la moitié de toute cette masse.
C’est donc bien trop peu pour supposer l’existence préalable d’une planète digne de ce nom.
Tailles comparées de la Terre, de la Lune et de Cérès.Ensuite parce que la présence de Jupiter dans les parages empêche toute possibilité de formation d’une planète, provoquant des perturbations dans la ceinture d’astéroïdes.
Plus tard on découvrit encore d’autres astéroïdes dans le système solaire (les troyens de Jupiter, les centaures, dans la ceinture de Kuipper), mais le gros du contingent se trouve dans la ceinture à plus de 90 %.S’ils ne sont donc pas les restes d’une ancienne planète, d’où viennent-ils donc ? Et bien ils sont en fait les derniers vestiges de la matière première qui a servi à la formation des planètes.
Rappelez-vous mon topo sur la formation du système solaire, les protoplanètes, ils en sont, tout simplement. Mais la perturbation résultant de la présence de Jupiter les a empêchés de s’agglomérer avec une planète comme Mars par exemple (qui les « repoussait » vers Jupiter, la répulsion des deux astres les maintenant dans cette zone que l’on appelle maintenant « ceinture d’astéroïdes »).
Position relative de la ceinture d'astéroïde entre Jupiter et MarsLes astéroïdes sont donc parmi les plus anciens vestiges des premiers temps de notre système, avec les comètes (qu’il ne faut pas confondre, j’en parlerai plus tard. Disons en gros qu’une comète est un glaçon, un astéroïde un caillou, même si c’est plus compliqué que ça). Il y a plusieurs types d’astéroïdes, suivant leur composition et leur formation d’origine, qui se répartissent logiquement le long de la ceinture en fonction de leur distance au Soleil (et donc de l’influence qu’il a pu jouer sur leur formation).
Reste que ces astéroïdes ne se contentent pas de tourner paisiblement autour du Soleil. Les perturbations produites par Jupiter les poussent parfois à changer d’orbite, à entrer en collision les uns les autres, et donc parfois à croiser notre chemin…
Trois grandes familles d'astéroïdes promeneurs : les apollos, les amors et les atens; tous flirtent avec l'orbite de notre Terre…Le nombre d’astéroïdes qui croisent le chemin de la Terre est incalculable. C’est une grande loterie cosmique. Pour autant, tous ne se trouvent pas sur le même plan que la Terre (ils passeront « au-dessus » ou « en-dessous » par exemple). Cependant le danger est réel, et pour info, en 2004, un astéroïde de 200m de diamètre nous a frôlé à 43000 km de la surface terrestre. A peine un cheveu à cette échelle, il passait dans la zone où orbitent nos satellites de télécommunication… Certains sont devenus de vrais compagnons qui nous rendent régulièrement visite, qui nous accompagnent pendant plusieurs milliers d'années avant de nous quitter pour de bon un jour, comme l’astéroïde Cruithne par exemple, un temps nommé abusivement seconde Lune de la Terre.
Orbites comparées de Cruithne et de la Terre autour du Soleil.Voilà donc une première présentation de ces petits corps du système, innombrables, dont l’exploration et l’étude commence à peine.
Je reviendrai aussi sur les comètes, plus passionnantes, plus spectaculaires !On est devant son PC, on s'ennuie un peu (ou pas) et on va sur animeland.freuh ; là, on se rend compte que c'est quand même un peu mort (ce sont les vacances…) mais on remarque aussi qu'un peu de vulgarisation (dieu, que je déteste ce mot) est disponible sur ce topic.
Le pas léger on va donc lire la prose de l'ami bub qui nous fait partager une de ses passions… Et comme d'hab, ça fait du bien.
*soupir de satisfaction plein de zénitude*
Ps : Wow ! Le correcteur d'ortho de Firefox reconnait "zénitude" !
De l'eau coule t'elle sur Mars ?
La NASA aime bien faire des annonces fracassantes de temps en temps.
Pour l'heure, il faut d'abord confirmer que ces observations soient bien la preuve que de l'eau sous forme liquide puisse exister sur Mars, dans les conditions extrêmes que l'on sait.
Parce qu'en fait, pour l'instant, si on voit bien qu'il y a "quelque chose" de fluide qui semble s'épancher, personne ne peut apporter de preuve qu'il s'agit bien d'eau.Après, il faudrait parler des "quantités" d'eau que nous observons ici.
Les écoulements (quelques milliers répartis sur 7 sites de la surface de Mars) visibles ici ne feraient que quelques mètres de large.
Ils se situent tous dans l'hémisphère sud, proches de l'équateur (en direction duquel ils coulent).
Ce ne sont pas non plus des torrents qui se précipitent en quelques heures vers le point le plus bas, mais au contraire de leeeeeentes coulées qui s'étalent du printemps au début de l'automne martien (ce qui représente une période de près de 400 de nos jours terrestres).
La complexité du cycle saisonnier martien devrait donc mener les scientifiques à élaborer des scénarios relativement complexes pour expliquer ces écoulements fluides pendant une aussi longue période, mais en quantité finalement relativement limitée.Bref, c'est une sacrée découverte, mais qui en cache beaucoup d'autres !
edit : après quelques recherches, il semblerait que les scientifiques connaissaient déjà ce phénomène depuis au moins 5 ans. Mais l'épanchement de fluides n'avait encore jamais été "directement" observé.
J'ai pensé à toi en lisant ça Bub : l'exoplanète aux deux soleils.
J'ai pensé à toi en lisant ça Bub : l'exoplanète aux deux soleils.Hé hé hé ! ^^
Ce que les articles n'ont pas relevés dans leur ensemble, c'est surtout que la découverte en soi est extraordinaire car elle bouleverse les modèles de formations de systèmes planétaires élaborés jusqu'ici.
Pour faire simple, on commence à très bien comprendre comment ont pu se former les systèmes solaires comme le notre. Mais on s'est aperçu que l'équilibre entre les planètes et leur étoiles est particulièrement fragile, et qu'il suffit d'un rien pour qu'une planète se retrouve éjectée de son orbite autour de son étoile pour finir par parcourir toute seule le grand vide intersidéral pour l'éternité…
Par exemple, il suffit qu'en se formant une planète plus grosse que toutes les autres exerce des forces puissantes qui bouleverseront les orbites des autres planètes en formation et celles ci se retrouveraient éjectées vers leur étoile ou hors du système.
Alors quid des systèmes à DEUX étoiles ? C'est un modèle avec des forces en présence encore plus complexes ! Si bien qu'il paraissait difficilement concevable que des planètes puissent se former et subsister dans pareil environnement.
Voilà donc la preuve qu'il n'en est absolument rien. Et potentiellement, ça ouvre la perspective d'ajouter 2 millions de nouveaux systèmes planétaires possibles aux autres systèmes plus conventionnels de notre galaxie. C'est pas rien.Je profite de cette réjouissante news pour faire une présentation d'autres mondes très exotiques découverts récemment :
La planète plus noire que du charbon
TrES-2b est une sympathique planète géante gazeuse qui se promène à 750 années-lumière de la Terre.
Elle est si sombre, qu'elle reflète moins de 1% de la lumière qu'elle reçoit de son soleil, qui se situe pourtant juste à côté d'elle (à 5 millions de kilomètres, la Terre elle se trouve à 150 millions de kilomètres du Soleil).
Elle est tellement sombre qu'à côté d'elle vous prendriez le risque d'être aveuglé par un morceau de charbon.
Bon, j'exagère à peine.
En fait, la planète étant très très proche de son étoile, son atmosphère se trouve du coup en surchauffe et affiche selon les astrophysiciens un très respectable 1000°C minimum. C'est un peu chaud pour autoriser la présence d'éléments volatils permettant la formation de nuages réfléchissant la lumière, comme sur les planètes de notre système solaire. Pour autant, cela n'explique pas tout. La noirceur intense de TrES-2b est à ce jour encore inexpliquée.
Mais la chaleur qu'elle dégage (> 1000°C donc), tendrait à supposer que la planète serait à la fois très sombre et rougeoyante comme de la braise. Un spectacle qui est difficile à imaginer mais qui devrait être fascinant si on avait les moyens de la contempler directement !La planète “océan”
Gliese 436b se situe à 30 années-lumières de la Terre et orbite tranquillement autour d'une naine rouge (pour faire simple, disons une toute petite étoile, ce qu'il peut exister de plus petit, en dessous, ce ne sont plus des étoiles).
Elle a cela de particulier qu'elle est aussi grosse que Neptune… mais est essentiellement composée d'eau. Normalement, les planètes de la taille de Neptune sont généralement des géantes gazeuses, mais Gliese 436b s'en fiche des statistiques et présente donc un coeur rocheux de la taille de la Terre, et tout le reste est composé d'une immense couche d'eau, enrobée peut-être d'une atmosphère.
D'après les calculs, la température à sa surface devrait être de 300°C, soit essentiellement de la vapeur d'eau, mais en dessous, l'eau devrait subsister sous une forme exotique rigolote : de la glace hypercondensée chaude à cause des pressions importantes. C'est l'un des états possibles sous lesquels l'eau peut effectivement exister. Si nos océans étaient plus profonds, il pourrait s'en former sous les hautes pressions. ça donnerait une espèce de cristal de glace encore plus solide.
Et entre cette glace chaude et la vapeur d'eau ? Tout est possible, et pourquoi pas un immense océan parcourant toute la surface de la planète ? Celle-ci étant de la taille de Neptune, ça ouvre des perspectives pour la vie pour le moins vertigineuses…
Gliese 436b n'a été que le premier spécimen de cette famille découvert. D'autres ont rejoint la tribu depuis (dont Gliese 1214b). Et les planètes océans sont devenues des objets à étudier de près.La planète de diamant
De plus en plus fun, voici le compagnon du pulsar PSR J1719-1438, situé à 4000 années-lumière de la Terre, un très modeste astre composé d'un diamant unique d'un diamètre de 64000km.
A l'origine, il s'agissait d'une naine blanche en orbite autour d'un pulsar. Une naine blanche est une étoile à l'agonie. Le pulsar est une étoile à neutron elle-même née de la mort d'une autre étoile (supernovæ) émettant un puissant rayonnement électromagnétique et tournant sur elle-même en une seconde, voire une milliseconde (ce qui est le cas ici).
La planète diamant n'est donc pas vraiment une planète, mais une ancienne étoile. Le pulsar autour duquel elle orbite, lui a volé une très grande quantité de matière, ce qui a diminué sa densité. Résultat, il ne lui reste essentiellement plus que du carbone et de l'oxygène. Et à très forte densité, ça donne du diamant. Et comme notre “planète” n'est pratiquement composée que de ça… ça donne une planète de diamant.Voilà pour les planètes les plus exotiques récemment découvertes. Nul doute que le futur nous réserve des surprises encore plus grosses !
Pour ceux que ça intéresse, nous sommes actuellement en pleine “alerte” d'aurores boréales du côté de chez nous. Les chanceux qui vivent à la campagne et dans le nord de la France peuvent espérer cette nuit assister à ce spectacle exceptionnel sous nos latitudes.
Ici à Paris… rien. 😢
Déjà qu'apercevoir une pauvre étoile est un défi ici 😒…
ne soit pas si négative, ok la polution lumineuse de la banlieue fait son effet, mais on peut observer des étoiles ok, les nuits d'hiver sans nuages de nouvelles lunes … bon d'accord, c'est dur mais c'est jouable 😁sympa les explication sur les dernières découvertes en matières d'exoplanètes 😁
ne soit pas si négative, ok la polution lumineuse de la banlieue fait son effet, mais on peut observer des étoiles ok, les nuits d'hiver sans nuages de nouvelles lunes … bon d'accord, c'est dur mais c'est jouable 😁
Ben quand j'ouvre ma fenêtre la nuit, j'ai beau scruter j'y vois rien de rien.La planète plus noire que du charbonTrES-2b
[…]
Mais la chaleur qu'elle dégage (> 1000°C donc), tendrait à supposer que la planète serait à la fois très sombre et rougeoyante comme de la braise. Un spectacle qui est difficile à imaginer mais qui devrait être fascinant si on avait les moyens de la contempler directement !
Oh ! mais moi j'ai déjà vu une “étoile” très sombre mais rougeoyante (hihi, prépare sa blague pourrie) ! La voilà ! Ou plutôt; le voilà !
Et je confirme ! C'est fascinant. 😃
Blague pourrie à part; j'ai beaucoup aimé ce que tu as écrit. Ce qui reste un exploit, vu que les planètes dans le lointains sur les quelles on suppute ne m'interesse pas. 😁
Juste pour dire que, revenant du Japon ("On le saura, arrête ton char!" euh… OK), j'y ai remarqué l'annonce d'un film appelé "Okaeri Hayabusa" = "bon retour Hayabusa", sur la fameuse sonde spatiale japonaise qui a réussi à rentrer sur Terre avec trois poils d'astéroïde.
C'est un docu-fiction avec acteurs connus dans les rôles de responsables de labo spatial.
Je doute que nous en ayons diffusion en Europe, hélas.Edit : Renseignements sur le site hayabusa-movie.com.
Le film, sorti au Japon le 1er Octobre, aura semble t-il une version 3D annoncée pour le 10 mars 2012. Il est de TSUTSUMI Yukihiko.bravo bub pour tes explications sur les planètes, moi qui n'y connaissais rien cela m'a passionnée et j'ai tout lu d'un coup (c'est vrai que j'avais pris un sacré retard)
Juste pour dire que, revenant du Japon (“On le saura, arrête ton char!” euh… OK), j'y ai remarqué l'annonce d'un film appelé “Okaeri Hayabusa” = “bon retour Hayabusa”, sur la fameuse sonde spatiale japonaise qui a réussi à rentrer sur Terre avec trois poils d'astéroïde.
C'est un docu-fiction avec acteurs connus dans les rôles de responsables de labo spatial.
Je doute que nous en ayons diffusion en Europe, hélas.Edit : Renseignements sur le site hayabusa-movie.com.
Le film, sorti au Japon le 1er Octobre, aura semble t-il une version 3D annoncée pour le 10 mars 2012. Il est de TSUTSUMI Yukihiko.Je relance simplement pour attirer l'attention de notre expert Bub, qui vient encore de faire une convertie avec Kawaii Gwen. Une belle carrière de prophète des étoiles et des pirates se dessine pour lui 😉 😂
Je relance simplement pour attirer l'attention de notre expert Bub, qui vient encore de faire une convertie avec Kawaii Gwen. Une belle carrière de prophète des étoiles et des pirates se dessine pour lui 😉 😂Me voici ! ^^
Merci à Kawaii Gwen en passant, ça fait plaisir ! ^^Mon bon Yupa, il ne faut désespérer de rien.
Peut-être que ce film sera bel et bien projeté chez nous ?
D'après ton lien, c'est quand même la 20th Century Fox qui est derrière ce film ! Alors sait-on jamais ?
J'en serais ravi cela dit. Une recherche rapide m'a appris que le réalisateur est plus connu pour ses productions télé.
Cela dit, oser diffuser dans les salles de ciné un docu-fiction sur un sujet qui passionne essentiellement le petit monde des astronomes, c'est culotté !
Mais on commence à voir de plus en plus de productions de ce genre. Je pense en particulier à “In the shadow of the moon”, diffusé à la télé chez nous en 2009. Ou “De la Terre à la Lune”, produit par Tom Hanks.
Habuyasa est un exploit de la JAXA, donc ça ne m'étonne pas qu'un film racontant le périple de la sonde puisse être produit. Si les européens pouvaient en faire autant (sur les deux plans d'ailleurs……………………..).
Je suis au moins assez confiant pour une sortie en DVD chez nous un de ces quatre, on en reparlera alors ! 😉
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