Bon, commençons par l’histoire :
Il y a 4000 ans, sur les terres de Sylvarant, Mitos, un guerrier, vint sauver le monde d’une guerre engendrée par Disaian, un groupuscule de méchants. Cette guerre légendaire se finit par un Pacte entre Mitos et la déesse Martel, scellant pour toujours le destin de Disaian, à l’origine de la guerre. Pour toujours ?…4000 ans plus tard (donc aujourd’hui, c’est logique), ce groupuscule maléfique, qui, bien que théoriquement enfermé dans les abîmes, ont l’air de reprendre du poil de la bête, continuant ainsi leurs activité dans plusieurs localités du monde : ils exploitent en fait des vieux ou des enfants dans des sortes de prisons où ils récoltent du Mana sans arrêt pour le profit de Disaian. Mais tout ne peux pas aller si mal… Leur salut viendra en fait de la jeune Collet Brunel, du petit village Iselia. Elle est la seule à pouvoir sauver le monde une fois de plus en renfermant les membres de Disaian. Elle seule peut en effet devenir Miko, un statut religieux lui permettant d’effectuer le voyage de la renaissance du monde. Ce n’est qu’après ce voyage initiatique que Collet peut obtenir un statut particulier et que l’aventure peut enfin commencer. Bien sûr, Disaian est au courant de ce qui se trame et va tout mettre en œuvre pour arrêter Collet et ses compagnons, Lloyd Irving (car en plus il possède un objet qui les intéresse au plus au point, bien qu’eux aussi le possèdent. Pourquoi donc s’intéresser à celui de Lloyd ?) et tous les autres. Voilà pour la trame du scénario.
Le jeu commence non pas avec un seul perso, comme c’est presque toujours le cas des RPG, mais avec une équipe de 4 : Collet Brunel (16 ans), Lloyd Irvine (17 ans), Génius Sage (12 ans) et Kratos Aurion, tous des amis d’enfance. Bien sûr, bien d’autres persos viendront se greffer à l’équipe par la suite.
Les dialogues, entièrement parlés lors des cinématiques et des évènements sont, à ce qu’il paraît, moins niais de Tales of Destiny 2 (le vrai 2) sur PS2. Apparemment, il y a également de bons doublages et de bonnes traductions.
Pour le système de combat, Namco a fait du bon boulot et a créée un « nouveau » système de combat : le Multiline Linear Motion Battle (on peut déplacer les persos, dans une certaine limite bien sûr). Il y a 2 fois plus de sorts, de techniques et d’attaques spéciales.
Un système de gemmes (EXjem) déterminera l’orientation des persos : technique ou frappeur. Selon l’évolution vers l’un ou vers l’autre, l’apprentissage de techniques secrètes diffèrera. Il y a toujours les Unison Attack (attaques conjuguées), mais elles se déclencheront cette fois avec le perso de son choix.
Bien sûr, le jeu est en 3D.
Les cinématiques sont quand à elles un mélange de CG et de DA et sont très belles.
Pour les musiques, c’est Motoi Sakuraba (Valkyrie Profile, Baten Kaitos…) qui s’en charge et il paraîtrait qu’elles ne sont pas très réussies.
Je dis « paraît », parce que le magasine où j’ai pu trouver mes sources n’est pas très objectif… je n’ai pas parlé de tout, parce que déjà en parler en s’efforçant de pas recopier l’article c’était déjà assez éprouvant, mais je ne voulais pas parler de certains points assez mal expliqués.
J’espère que ma réponse répondra à peu près à tes attentes et qu’elle n’aura pas été trop tardive ^^ !
:pompom: