Se souvenir de moi

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Kaiser Panda le 29 février 2008 à 17 h 11 min #139008

Erreur, double post again… (Putain de double-clic traitre)

Edité par Kaiser Panda le 29-02-2008 à 17:11

[Participant OfflineAncien★★★★]

Tom Le Chat le 2 mars 2008 à 19 h 46 min #139009

Citation (Kaiser Panda)

J’ai acheté les 5 premiers tomes de Katsu !.

Comme par hasard, je suis sous le charme…

Attends de lire les derniers tomes, tu m’en diras des nouvelles… T_T

[Insérez une citation qui donne l'air intelligent ici]

flickr

[Participant OfflineAncien★★★★]

Kuronoe le 3 mars 2008 à 11 h 44 min #139010

Citation (Tom le chat)

Attends de lire les derniers tomes, tu m’en diras des nouvelles… T_T

Me semble qu’on l’avait prévenu non ? ^^

et bien cher ami tu t’engages vers une déception monumentale, arrête tout pendant que tu le peux encore , fais le pour toi, pour ton bien , stoooop!

[Participant OfflineAncien★★★★]

bub le 3 mars 2008 à 16 h 39 min #139011

Citation (kuronoe)

Citation (Tom le chat)

Attends de lire les derniers tomes, tu m’en diras des nouvelles… T_T

Me semble qu’on l’avait prévenu non ? ^^

et bien cher ami tu t’engages vers une déception monumentale, arrête tout pendant que tu le peux encore , fais le pour toi, pour ton bien , stoooop!

Si tu ne le fais pas pour toi, fais-le au moins pour ceux que tu aimes. Car l’heure est grave.

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“

dépêche AFP du 07/11/2007

Rapport d’enquête de l’INERIS (Institut National de l’EnviRonnement industriel et des rISques) : une nouvelle forme de catastrophe bio-chimico-industrielle révélée.

L’étude portait sur la propagation à l’échelle internationale d’un agent mutagène particulièrement virulent : l’adachitium.

9 février 1951 à Isezaki. L’alerte est donnée.

Le phénomène serait apparu en février 1951 au Japon dans la préfecture de Gunma ( Kantô ). Il est resté confiné dans cette région jusqu’en 1970, époque à partir de laquelle il a commencé à se disséminer via les réseaux de presse et d’édition nippon. Les spécialistes donnèrent à cette manifestation le nom de Kieta Bakuon ( littéralement : “l’explosion évanouie” ).

Les autorités surtout préoccupées alors par leur autonomisation vis-à-vis des USA ne prirent pas les mesures préventives nécessaires pour enrayer le phénomène. Pendant toute la décennie l’adachitium se répandit dans les cours de récréations sous l’oeil impuissant des spécialistes.

Une manifestation du Kieta Bakuon en 1970.

Zone contaminée par l’adichitium, ici une cour d’école.

La fin des années 70 marqua un tournant dans l’épidémie. Une nouvelle manifestation baptisée Nine ( pour interpeller ironiquement les autorités sur leur aveuglement pendant toutes ces années ) ébranla l’archipel. Non seulement le mal touchait les réseaux de distribution de presse pour envahir ensuite les écoles et les chambres d’enfants ( ! ) mais il transitait aussi dorénavant via les télévisions et les cinémas. La population était trop exposée, la catastrophe imminente, à l’échelle d’une nation entière.

Dépassée, les autorités ne purent contenir la pandémie et un second impact de sinistre mémoire ( qui restera dans l’inconscient collectif et inspirera certains auteurs ) eu lieu le 15-06-1981. Ce fut ce que l’on nomma le Touch, la reconnaissance officielle par le gouvernement que l’île était gravement touchée. Cette fois le phénomène dura plus longtemps que les précédents et pris fin en 1986. Mais des reflux perpétuels marquaient l’archipel et contaminaient des millions de personnes, jusqu’au début des années 90, époque où lieu le pic de la crise.

Le pic de la crise.

Il y a eu tout d’abord un processus d’expansion vers l’Occident via le réseau hertzien, dès 1991. L’Europe ne pût jamais endiguer ce nuage d’adachium hors de ses frontières, et l’agent pouvait alors tranquillement commencer à faire ses dégâts de l’autre côté du globe. Pendant ce temps, à Tokyo, se préparait la nouvelle attaque, la plus forte que connaîtrait le pays, d’une ampleur sans précédent. Le 12-12-1992 fut le jour du H2 ( en référence au dihydrogène qui par fusion thermonucléaire créé d’énormes quantités d’énergie dévastatrices ). Les chercheurs purent toutefois enfin déterminer la nature réelle de l’agent.

L’adachitium, origine du MAL !

Devant l’étendue du phénomène, la communauté internationale est saisie. Les commissions se multiplient, les études, les missions, les interventions se succèdent en vain. La propagation est redoutable, le phénomène tenu au secret. En France le CSA est mandaté pour mener une campagne de dénigrement systématique mais l’adachitium est définitivement installé.

Les plus prestigieux médecins se penchèrent sur le cas, tant les symptômes devenaient inquiétants : malformations physiques ( oreilles en forme d’anse ), diverses pathologies psychologiques ( jémelléiétés contrariées, amours triangulaires, envies frénétiques de comprendre les règles du baseball dans les cas les plus extrêmes ), mais surtout, SURTOUT, déceptions chroniques à chaque fin de cycle.

Ce dernier symptôme touche la majorité des victimes de l’adachitium. On nomme dorénavant cette maladie l’Adachïte aigüe ( AA ). Les troubles peuvent se prolonger pendant des années, rendant accroc le malade. Ainsi, bien qu’à la suite d’une première déconvenue le malade jure que l’on ne l’y reprendra plus, celui-ci replonge dans le même drame à chaque parution de nouveau adachitium. C’est le syndrome Kastu !, ultime étape avant l’anorexie mentale irréversible. Cette pathologie maintient le sujet dans l’espérance en une fin meilleure mais échouant invariablement dans cette quête de pureté scénaristique. Il en résulte invariablement des chocs traumatiques qui dégoûtent à jamais le sujet consommateur d’adachitium. Il s’effondre alors dans un nihilisme absolu et les bras lui tombent, à jamais.

Les années 2000 n’ont fait que confirmer cette tendance. Des millions de personnes sont concernées. Dans des centaines de pays. La percée d’Internet jusque dans les régions les plus reculées du globe font craindre le pire quant à une pandémie généralisée. Pire que le virus ébola, pire que le nuage de Tchernobyl, pire que la grippe aviaire, nous sommes déjà frappés de plein fouet.

Peut-être est-il déjà trop tard. “

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[Membre OfflineAncien★★★★]

Reiichido le 4 mars 2008 à 19 h 39 min #139012

Nom de Zeus, ça me file la frousse…j’ai déjà éprouvé ce genre de malaise, sur Niji Iro Togaharashii…Ça se soigne ?? J’ai une chance de survivre ???

(Sinon excellente formulation ^^)

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bub le 5 mars 2008 à 15 h 16 min #139013

Citation (Reiichido)

Nom de Zeus, ça me file la frousse…j’ai déjà éprouvé ce genre de malaise, sur Niji Iro Togaharashii…Ça se soigne ?? J’ai une chance de survivre ???

(Sinon excellente formulation ^^)

huhuhu² merci ! ^3^

Je pense que nous sommes foutus. Tous. TOOOUS !

Là je viens de replonger dans Jinbé.

Une histoire charmante que ce lien très particulier qui unit cet homme quadragénaire à “sa fille” de 17 printemps. C’est léger, c’est frais, ça se laisse lire tranquille et quand on sent qu’il va se passer quelque chose de vraiment intéressant, PAF ! le subtil laisse la place au lourd coup de théâtre à deux sous impossible : spoils ! après des pages et des pages de délicatesse et de petites touches fines pour décrire les liens compliqués qui unissent Jinbé à sa fille, l’auteur juge fort à propos de nous plonger au coeur d’une intrigue débile d’enlèvement pas du tout crédible. Tentant tant bien que mal de cacher son malaise d’auteur en mal d’inspiration pour clore son histoire derrière un humour maladroit dans ce dernier chapitre, il saborde joyeusement et sans scrupule le fragile équilibre d’un récit ambitieux sur un thème ô combien difficile. “Pourquoi prendre le risque de créer un chef d’oeuvre quand on peut se vautrer dans l’infâmie de la paresse et louper sa sortie avec panache ?” Jinbé est à méditer.

Edité par bub le 05-03-2008 à 15:18

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Kuronoe le 21 mars 2008 à 11 h 34 min #139014

je persiste à encourager la lecture de H2 à la lecture du tome 10, c’est frais, çà avance et on est dans le ton d’un bon shonen sportif, pourvu que çà dure..

Hey l’ami Jinbé c’est un one shot?( çà roule au fait ?)

Edité par kuronoe le 21-03-2008 à 11:34

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bub le 23 mars 2008 à 17 h 41 min #139015

Citation (kuronoe)

Hey l’ami Jinbé c’est un one shot?( çà roule au fait ?)

Oui mon codin, ça roule ! ^^

Jinbé est bel et bien un one shot qui aurait mérité un développement un peu plus long. Enfin, bon, on commence à connaître la chanson avec adachi. cela vaut toutefois largement le coup d’oeil.

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bub le 18 juin 2008 à 19 h 35 min #139016

http://lh4.ggpht.com/_1wOZJXdl_LE/Ro5sBdiU…aTsukishima.jpg

Je me suis régalé ( une fois de plus ) avec ce nouveau tome ! Que d’événements, que de rebondissements, que de nouveaux personnages bigrement intéressants ! Et surtout que de Aoba ! *3*

Que dire de plus ? Qu’Adachi alterne avec maëstria passages lourds de sous-entendus, de nostalgie, d’humour et de bravoure ? On a même droit à des bikinis, c’est dire comme le menu est aguichant !

Pour l’heure cette série ne m’a pas une seule fois déçue, c’est agréable. pourvu que ça dure !

Edité par Nicolas_Penedo le 25-06-2008 à 15:24

[Membre OfflineHabitué★★★]

Saffran le 25 juin 2008 à 1 h 51 min #139017

Je profite du topic pour signaler qu’il y a quelques jours maintenant, Maître Adachi a dépassé le cap des 200 millions d’albums vendus au Japon.

Eeeh oui…

Edité par Saffran le 25-06-2008 à 01:52

[Participant OfflineAncien★★★★]

Tom Le Chat le 26 juin 2008 à 0 h 01 min #139018

Citation (bub)

http://lh4.ggpht.com/_1wOZJXdl_LE/Ro5sBdiU…aTsukishima.jpg

Je me suis régalé ( une fois de plus ) avec ce nouveau tome ! Que d’événements, que de rebondissements, que de nouveaux personnages bigrement intéressants ! Et surtout que de Aoba ! *3*

Que dire de plus ? Qu’Adachi alterne avec maëstria passages lourds de sous-entendus, de nostalgie, d’humour et de bravoure ? On a même droit à des bikinis, c’est dire comme le menu est aguichant !

Pour l’heure cette série ne m’a pas une seule fois déçue, c’est agréable. pourvu que ça dure !

Edité par Nicolas_Penedo le 25-06-2008 à 15:24

Effectivement, c’est un volume riche en révélations même si certaines ne sont finalement que la confirmation de ce que je pressentais dans les tomes précédents (celles concernant le vieillard et la personnalité d’Azuma). Même si je trouve que la série passe par une phase un peu plus ronronante par rapport aux trois premiers tomes, ça reste toujours un plaisir de lire chaque nouveau volume. Je l’ai peut-être déjà dit mais Adachi est vraiment très fort quand il s’agit de donner vie à ses personnages, mieux à un quartier tout entier tant les interactions entre les personnages ont l’air naturelles.

Je n’en dirais pas plus sur Aoba, un smiley suffira :

[Insérez une citation qui donne l'air intelligent ici]

flickr

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Kuronoe le 6 juillet 2008 à 12 h 46 min #139019

H2 tome 12 est sorti, on change résolument de ton, ce volume n’est pas axé sur le base ball pur et dur comme dans les précédents volumes mais davantage sur la relation complexe qui se noue entre Hiro, Hikari et Haruka, le pauvre Hideo étant focalisé sur le Koshien ne semble pas trop au fait de la situation , une orientation sympathique qui complique un peu l’intrigue.. le manga est toujours aussi bien construit et on avance, un bon titre

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Kuronoe le 6 septembre 2008 à 14 h 42 min #139020

Voilà la réponse qui m’a été donnée par plusieurs boutiques parisiennes quand je leur ai demandé : Bonjour, je voudrais le tome 10 de Rough

Je me suis mis à cette série ( qui, je plussoie avec vous chers collègues, est la meilleure d’Adachi) et je galère comme c’est pas permis pour les acheter, j’ai d’ailleurs constaté qu’hormis Touch qui figure encore dans les rayons ( normal c’est en cours), les séries d’Adachi ont quasiment disparu des étals

Une vendeuse de Boulinier m’a dit clairement que l’Adachi ne se vendait pas et qu’ils avaient du abandonner …

dommage

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Kuronoe le 17 septembre 2008 à 9 h 53 min #139021

Bon alors j’ai terminé Rough ! je confirme, la meilleure série d’Adachi, une fin réussie même si on en aurait encore lu 10 tomes avec joie..

Sinon, H2 13 vient de sortir : c’est toujours aussi bon: personnellement j’adore ce manga plus orienté sport qu’intrigue sentimentale (même si elle est sous jacente), une stratégie se met en place pour laisser Hiro se reposer, Shima est un encu… ! , et le Koshien se rapproche à grand pas pour nos amis…

Je trouve simplement qu’Hidéo est un peu fade, le côté mystérieux de la star qui garde son jardin secret, à un moment çà lasse pour donner l’impression d’un grand vide : le personnage n’est pas assez travaillé à mon goût

vivement la suite

[Participant OfflineAncien★★★★]

Lord Yupa le 19 septembre 2008 à 10 h 38 min #139022

Tiens, je n’étais pas passé de longtemps par ce topic très intéressant !

Trop géniale, ta “dépêche de l’AFP”, Bub !!

Si Adachi se vend par millions de volumes au Japon et très mal ici, c’est qu’il a quelque chose de profondément japonais ou / et que notre lectorat de mangas cherche des choses plus brutes de coffre ( ce qui ne le grandit pas ).

J’ai beaucoup aimé Jinbé, et même si Bub n’a pas tort de critiquer le ressort de l’enlèvement, je trouve que la fin est plutôt bonne. Fallait une fin et ça pouvait être délicat.

Comme Reiichido j’ai peiné à un moment sur Niji Iro Togarashi, l’ai lâché, suis reparti dedans… pour ne plus le quitter. Avec Adachi il faut attendre que l’hypnose se crée.

Promis, je me lance dans une 3ème oeuvre du maître ( Cross Game ? vous me recommandez laquelle ? ), et je reviens par ici.:cours:

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bub le 19 septembre 2008 à 18 h 16 min #139023

Citation (Lord Yupa)

Promis, je me lance dans une 3ème oeuvre du maître ( Cross Game ? vous me recommandez laquelle ? ), et je reviens par ici.:cours:

Perso je te recommanderais bien vivement Rough plutôt que Cross game pour au moins deux raisons :

1/ la série est finie et il y a une presque fin très valable. Cross Game est très bien jusqu’ici, mais le syndrome Katsu ! me hante encore. J’en fais des cauchemars la nuit. J’ai même entamé une thérapie depuis, sans succès. Quand je vois un volume de Katsu !, j’ai des crises d’angoisses et je fais de l’hyperventilation. j’ai même perdu la vue des fois.

2/ ça ne parle pas de baseball mais de natation. De NA-TA-TION. Avec plein de jolies filles en maillot dedans beaucoup de suspens dans cet univers méconnu des nageurs. L’aspect des T-shirts mouillés compétitif est fort intéressant. Ici les rivalités sont plus directes, du fait du côté individualiste de ce sport. Il y a aussi une opposition philosophique oserais-je dire entre les filles qui font du plongeon artistique et les mecs qui explosent comme des bourrins les chronos.

3/ Kobayashi.

4/ Kobayashi.

5/ Kobayashi.

Edité par bub le 19-09-2008 à 18:18

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Kuronoe le 19 septembre 2008 à 19 h 22 min #139024

perso je pense que si tu ne choisis pas Rough je ne t’adresserai plus la parole, comme çà c’est dit

Ninomiya

Ninomiya

Ninomiya

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Tom Le Chat le 21 septembre 2008 à 2 h 05 min #139025

Citation (bub)

3/ Kobayashi.

4/ Kobayashi.

5/ Kobayashi.

Il fallait bien entendu lire Koyanagi, un personnage qui, s’il avait été plus développé, aurait pu être une très sérieuse rivale pour Ninomiya. Sinon, je suis d’accord à cent pour cent avec les arguments de Bub en faveur de Rough même si Cross Game a de sérieux arguments:

1) des passages terriblement émouvants ;

2) Akaishi : c’est un personnage secondaire qui joue pourtant un rôle déterminant dans l’histoire puisqu’il est le principal soutien du héros après Wakaba… Il exprime peu ses émotions mais une case ici ou là suffit à nous faire comprendre sa peine ;

3) Aoba : bien qu’elle soit la star du lycée comme presque toutes les héroïnes d’Adachi elle s’éloigne du modèle habituel de la fille parfaite en étant nulle dans les tâches ménagères, peu féminine, pas très souriante et très bonne en baseball au point de servir de modèle au héros. Mais, vu comment s’est terminé Katsu, je m’inquiète un peu de la façon dont Adachi va faire évoluer ce personnage à forte personnalité ;

5) Aoba en tenue de baseball : un charme I-RRE-SIS-TIBLE !

Bref, si tu peux, prends les deux, sinon Rough parce que là on est sûr que la fin n’est pas ratée. Prends aussi les Short Program, certaines histoires valent le détour.

Citation (Lord Yupa)

J’ai beaucoup aimé Jinbé, et même si Bub n’a pas tort de critiquer le ressort de l’enlèvement, je trouve que la fin est plutôt bonne. Fallait une fin et ça pouvait être délicat.

Pourrais-tu en dire d’avantage? Il y a beaucoup de monde qui trouve Jimbe absolument génial alors que je n’ai pas du tout aimé le dénouement (voir plus haut dans le topic), en quoi cette fin est-elle magnifique?

edit : correction d’orthographe

Edité par Tom le chat le 26-09-2008 à 00:17

[Insérez une citation qui donne l'air intelligent ici]

flickr

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bub le 22 septembre 2008 à 18 h 33 min #139026

Citation (Tom le chat)

Citation (bub)

3/ Kobayashi.

4/ Kobayashi.

5/ Kobayashi.

Il fallait bien entendu lire Koyanagi, un personnage qui, s’il avait été plus développé, aurait pu être une très sérieuse rivale pour Ninomiya. Sinon, je suis d’accord à cent pour cent avec les arguments de Bub en faveur de Rough même si Cross Game a de sérieux arguments:

ouh la la, oui, je voulais dire kobayanashi, enfin, chose là. Cross Game est jusqu’à présent très très bien, mais la sagesse recommande de d’abord s’investir dans le titre excellent et achevé qu’est Rough. Ceci dit je souscris à tout ce qu’écris Tom sur Cross Game.

Edité par bub le 22-09-2008 à 18:34

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Lord Yupa le 26 septembre 2008 à 23 h 00 min #139027

Sous la pression et les menaces des estimables Bub, Kuronoe et Tom, j’ai pris 2 tomes de Rough et vient de commencer à le lire. Ah oui, l’intrigue est très joliment installée, c’est très drôle (Narita-san, le “boss”!) et Nanomiya est non seulement agréable à regarder mais elle possède ce curieux “abattage tranquille” (j’ai du mal à le dire autrement) des héroïnes d’Adachi. Elles se ressemblent bigrement et leur beauté est plus dans leur charme au singulier qu’au pluriel, mais ça ne fait rien. Et le garçon est attachant aussi.

La fin de Jinbé t’a déçu à ce point, Tom ? je ne dis pas qu’elle est “magnifique”, mais elle boucle la boucle en reprenant la situation du début, où Miku devant l’aquarium refuse la proposition de Jinbé d’aller ensemble au resto : cette fois c’est elle qui le lui propose. Et ainsi le fait de vivre désormais chez son vrai père va dédouaner Jinbé d’un rôle de faux père un peu trop troublé par sa “fille”, laquelle pourra s’épanouir en adulte dans son rapport avec lui. Donc un amour réel au futur sans (trop) de relent d’inceste n’est pas exclu. C’est comme cela que je le vois, d’autres fins me paraissent délicates à mettre en oeuvre.