King’s Game • Vol.5

0

Pour ce dernier tome, le scénariste Nobuaki Kanazawa était attendu au tournant. Son assassin semblant aussi insaisissable qu’omnipotent : on attendait donc de pied ferme son explication. Pour tout dire, on craignait une fin en queue de poisson. Heureusement, il n’en est rien. La conclusion s’avère aussi surprenante qu’iconoclaste et ne manquera pas de laisser le lecteur bouche bée. Certes, tous ne seront pas convaincus comme nous l’avons été, mais une chose est claire : on a là une chute tout bonnement renversante et qu’on n’oubliera pas de sitôt.

8.33
  • Note public (survolez et cliquez pour voter !) (0 votes) 0
  • Editeur VFKi-oon
  • Date de sortie2014-02-13 00:00:00
  • Prix7.65 €
  • Nombre de pages160
  • ImpressionNoir et blanc
Parlez-en à vos amis !

A propos de l'auteur

Nicolas-Penedo

Pas de commentaire

  1. 48bertrandc

    Une fois n'est pas coutume, mais on ne m'y prendra plus, je me suis pris à rêver, à la lecture de la critique de la rédaction d' Animeland, d'un final qui me "retournerait le cerveau" si je me souviens bien des termes employés pour ce cinquième tome de King's Game … j'avais même fait l'impasse sur l'obscure expression de "final iconoclaste" dont l'à-propos m'intriguait déjà avant la lecture du tome en question. Alors après… Qu'est-ce que le mot "iconoclaste" vient faire dans une bouillie aussi insipide, un ratage aussi total ?
    Le tome quatre annonçait pourtant un revirement alléchant dans le traitement de cette historiette pour tout dire assez convenue jusque là sans surprise ni gros suspens.
    La fin même de ce tome était pour le coup d'une grande originalité et même assez renversante.
    Effrayé de son audace, l'auteur revient sur la seule bonne trouvaille de sa série, dès les cinq premières pages du tome final, et nous tire de notre doux rêve d'un beau final, avec le retour du protagoniste disparu, nous laissant augurer dès lors des pires déconvenues pour la suite.
    Effectivement.
    En un mot : ridicule.
    Ridicule par le mauvais goût des massacres qui se succèdent, ridicule par la prétention de faire de la psychologie avec des personnages sans la moindre épaisseur, ridicule par sa pauvre explication pseudo-scientifique qui nous révèle le mystère du roi. Sommet du ridicule enfin avec la mort de Ria, hiératique, dans les flammes.
    Quant à l'identité du roi, comment dire ? C'est vrai qu'on ne s'y attendait pas du tout.
    Pour ceux qui n'ont pas encore lu la série et projetaient de s'y mettre une fois celle-ci terminée, circulez, y'a rien à lire !
    Avis aux chroniqueurs d'Animeland maintenant : ce n'est pas la première fois que je constate la légèreté de vos critiques, rarement étayées, qui ne reposent jamais que sur du ressenti personnel ; mais c'est la dernière que je leur accorde le moindre crédit. J'irai désormais chercher mes avis sur Manga News ou Sanctuary.
    Il est dommage que vous vous disqualifiez en tant que critiques avec des avis aussi bâclés, avis et critiques qui sont une des finalités de votre magazine et du métier de journaliste, non ?

  2. Amelflo42

    Alors je n'ai pas de mots pour exprimer ma déception au sujet de ce tome. Dans les tomes précédents, cela nous faisait espérer à une conclusion des plus surprenante mais arrivée à ce dernier tome on ce rend compte de plusieurs points largement négatifs.
    Tous le monde meurt pendant toute la durée du tome, Naoya meurt d'une manière horrible et il s'enchaine derrière la triste vérité sur l'identité du roi qui selon moi est très mal amenée et la d'un coup de baguette magique hop Ria trouve un antivirus pour éliminer le roi et nous explique toute la vérité d'un coup sans qu'on sache comment elle en est arrivée là. Puis elle meurt brulé mais alors très calmement et la Chiemi meurt à cause de la blessure faite par Toshiyuki qui n'explique pas pourquoi elle meurt selon moi et la solution pour survivre étant tous simplement de vouloir d'une manière profonde vivre.
    Alors je ne sais pas si je suis le seul à être déçut comme sa mais pour moi cela m'a gâchée une série qui me semblait des plus prometteuse.