Ces séries qui ne sont pas animées…sinon de bonnes intentions.
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j'ai vu les premiers épisodes de Man seeking Woman, ce qui pourrait être une banal comédie romantique (adapté d'un livre) s'avère très porté sur l'humour surréaliste, d'ailleurs le réalisateur cite South Park et Les Simpsons parmi ses influences, ça vous donne une idée de ton de cet série atypique (néanmoins, ça ne plaira pas à tout le monde).
http://www.slate.fr/story/99127/man-seekin…lisme-manifeste
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La première saison de Better Call Saul s'est terminée cette semaine, et elle est sans aucun doute la digne soeur de Breaking Bad ! Revue garantie sans sépaleurs !
Bien qu'il y ait beaucoup de similitudes entre les deux séries dans la forme (ce qui est normal, hein !), les deux oeuvres se distinguent sur beaucoup de points.
Par exemple, les ellipses sont bien moins présentes et surtout pas stylisées comme on peut le voir dans BB, et la violence est quasiment absente.
Bien sûr, c'est un peu tôt pour comparer une série qui n'en est qu'à sa première saison avec une série terminée, mais l'humour est pour le moment tout aussi présent, mais comme pour BB, il n'est pas la composante principale de la série. Saul Goodman, ou plutôt James "Jimmy" McGill, est est au centre des attentions, mais pas toujours ! A mon grand bonheur, Mike Ehrmantraut a même eu droit à un épisode qui lui fut entièrement dédié !
Quoi qu'il en soit, les personnages sont tous merveilleusement développés, et s'il n'y a pas eu de passages aussi nerveux qu'on pouvait en voir dans BB (même sa première saison, pour rester dans la comparaison), quelques révélations fracassantes, ou poignantes, ont émaillé cette excellente première saison.
L'histoire de Jimmy nous est ici révélée, et surtout sa relation avec son grand frère, Chuck, éminent avocat qu'il tient en haute estime, et qui est sa principale inspiration dans sa décision de devenir avocat, laissant tomber son passé de jeune arnaqueur professionnel avec son ami Marco, qui lui valut alors le surnom de "slipping Jimmy" ("Jimmy la glisse").
Tout au long de ces dix épisodes, on découvre une relation très forte entre les deux frères et un James McGill très attendrissant, et parfois poignant, surtout à la fin, nous amenant à comprendre comment on est passé de James McGill à Saul Goodman !
Pour autant, il y a matière à faire une saison deux, d'autant plus que la fin de la saison est assez ouverte, et prometteuse quant aux possibilités apportées !
Ce spin-off est aussi un prequel à Breaking Bad, et les références à la série de Walter White ne manquent pas ! Mais là on entre dans les sépaleurs ! J'éviterai donc d'en parler ! Disons juste que certaines têtes font leur apparition à des moments inattendus, et que beaucoup de détails visuels demandent un second visionnage, voire plus !
Le générique d'intro est toujours différent, mais il reprend toujours le même thème, et la musique d'ambiance est toujours aussi grandiose !Donc, Better Call Saul est une réussite de bout en bout, et se hisse sans aucune difficulté au rang des meilleures révélations de l'année… avec The Flash !
"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Au passage, la première saison de Daredevil est dispo aujourd'hui, curieux de voir ce que ça donne.
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Au passage, la première saison de Daredevil est dispo aujourd'hui, curieux de voir ce que ça donne.
J'ai vu les six premiers épisodes ce week-end, et c'est vraiment pas mal ! C'est très fidèle à l'univers du cornu, surtout du côté de Frank Miller, bien joué, bien écrit, et pour un titre Marvel Studio, c'est étonnamment sombre et très violent, et je regrette beaucoup que le studio n'aille pas dans ce sens au cinéma !
Quand je pense que les fans des oeuvres cinéma de Marvel reprochent à Warner / DC de faire des films de super-héros sérieux, je rigole bien maintenant quand je les vois crier au génie et à l'originalité !Maintenant, c'est aussi très connoté Batman de Nolan, impossible même que ce ne soit qu'une coïncidence, tant les clins d'oeil sont nombreux, que ce soit dans la photo comme dans les références !
Ainsi, la première scène où apparaît DD se situe dans les docks, avec une lumière jaune, et c'est impossible de ne pas penser à la première apparition de Batman, dans les docks aussi, dans Batman Begins !
Il y a beaucoup d'autres références (“Where is he ?“; ou encore le vilain qui assure à DD qu'ils font la même chose, mais que leurs méthodes diffèrent, à l'image de Ra's Al Ghul; ou encore les mafieux qui se réunissent à la Dark Knight, etc…), mais c'est aussi le cas dans Arrow, avec lequel d'ailleurs DareDevil partage quelques points communs, beaucoup même, même si les deux séries ne jouent pas dans la même cour (l'une est dépendante de ses audiences et de la direction de la chaîne, l'autre n'a aucune restrictions de ce genre, et possède un budget plus élevé).
Il y a aussi une excellente scène en plan-séquence dans le deuxième épisode qui fait clairement référence au film Old Boy (version coréenne) !Maintenant, et sans lui retirer toutes ses qualités, je déplore à la série un manque de rythme. Le premier épisode est à ce sujet assez rebutant. Là où Vince Gilligan réussissait à rendre les “passages à vide” hypnotiques, stylisés et toujours prenants dans Breaking Bad ou Better Call Saul, Drew Goddard et Steven S. Deknight (deux anciens de Buffy, quand même) sont bien moins à l'aise dans ces scènes, et il m'est souvent arriver de soupirer, surtout avec les épisodes 1 et 3.
Enfin, en terme de série de super-héros pure, je reste toujours bien plus impressionné et bluffé par The Flash, qui reste à mes yeux la meilleure série de super-héros existante, sans difficulté ! 😃
"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
Star Trek - The Next Generation / The Drumhead
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J'ai terminé la première saison de DareDevil !
Comme je l'ai dit avant, et je peux l'affirmer maintenant, c'est une très bonne série, une excellente série de super-héros.
On assiste à l'origine de Daredevil, à travers les choix de Matt Murdock, ses erreurs, son passé, et ses amis. Tout est clairement établi au cours de ces treize épisodes, les évènements s'enchaînent avec une étonnante fluidité, et les personnages sont explorés avec finesse et beaucoup de justesse.
En voyant cette première saison de DD, on ne peut s'empêcher de penser que c'est à cela que ressemblerait Batman Begins s'il s'agissait d'une série, et non d'un film. Littéralement.
C'est une version télévisée de Batman Begins. Et c'est un gage de qualité, parce que parvenir à rendre cette atmosphère dans une série tv, c'est exceptionnel. Il y a de fait aussi beaucoup de similitudes, toutes proportions gardées, avec Arrow, dans la façon qu'a le héros de flirter continuellement avec le crime, le meurtre, constamment sur le fil du rasoir. Autre lien de conséquence avec Arrow, la délimitation floue entre justicier et super-héros, et l'importance de l'identité secrète.
Contrairement au Hood des premiers épisodes, le Masked Man ne va jamais jusqu'à tuer, mais les deux séries abordent le sujet de la torture de façon tout aussi convaincante et froide (c'est-à-dire sans moralisme).
Plusieurs autres points communs relient les deux séries, mais c'est aussi dû au fait qu'il s'agit dans les deux cas de héros urbains, très marqués par leur environnement, concernés par l'avenir de leur ville, et motivés par leur passé, qui réapparaît sous forme de flashbacks (mais dans Arrow, ils font aussi partie de la structure même de la série, puisqu'ils sont présents à chaque épisode).
Bref, DareDevil est beau, dur, violent, brillamment écrit (spécialement dans les relations entre personnages) et joué (pour la plupart du moins), bien mis en scène, avec un scénario solide, c'est indéniable. Les seuls défauts dans la forme se trouvent au niveau du cadrage très académique, voire pépère, et surtout d'un rythme pas toujours maîtrisé. Il m'est arrivé de regarder ma montre lors de certains épisodes assez chiches en action et plus bavards que de raison. Reste que, en dehors de ces défauts mineurs, la forme est soignée et brillante.
Mais où est la surprise, l'imprévisibilité ? Voilà le gros défaut de cette série. Tout est convenu, borné, parfaitement délimité, carré.
On sait où on va, et comment ça se termine au bout du compte, et cette absence de surprise, au final, plombe quelque peu les efforts techniques et artistiques ambitieux mis en place pour cette série.
C'est une excellente série de super-héros dans la forme et le fond, aucun doute là-dessus. L'une des meilleures. Mais alors que dans le ton, Marvel ose enfin adopter un autre style (un Batman Begins à la sauce Marvel), le studio préfère rester sur les rails, dans la zone délimitée qu'ils ont créée en ce qui concerne l'histoire, véritable point faible de cette entreprise.
Aucune surprise, aucun twist, rien… ou presque ! Ainsi, l'épisode avec le maître de Murdock, Stick, était un véritable contre-exemple ! Quel dommage qu'il n'ait été que l'exception qui confirme la règle.
Certes, la forme est novatrice pour une série tv, mais le fond reste convenu. Ce n'est bien sûr que la première saison, alors il ne reste qu'à espérer que la deuxième, si elle existe, ose aller plus loin à ce niveau !"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Viens de voir épisode 21 de The Flash O_______O
Peux pas parler normal, fait Groddiser…
Juste…
Et…
Funk Dat ! #IAmGroddFearMe
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