ouais excellent que ce OSS double 1 7
De la belle ouvrage qui deviendra culte de part ses dialogues bien gratinés, et ses moments de bravoure totalement crétin ( la scène de poursuite dans l'hopital est énorme!!)
bref de la déconne en tube!!
Cinema : critiques, coups de coeurs, coups de gueules
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Gros coup de gueule contre le cinéma de ma ville: ils n'ont toujours pas mis Ponyo à l'affiche alors qu'il sortait pendant les vacances d'avril (pour ma zone). En fait, il ne semblait pas prévu au programme, jusqu'à ce que des personnes le réclament à grands cris sur le site du cinéma.
Je pourrais donc le voir en mai. S'ils ne changent pas d'avis d'ici là (aucune date n'étant annoncée précisément)…
CitationOSS 117 : Rio ne répond plus !Grosse barre de rire, si vous avez aimé le premier film vous pouvez y aller les yeux fermés (enfin ouvrez les pour regarder quand même).
Je suis allé le voir hier et je plussoie fortement avec Cielago, même si j'ai trouvé “Le caire nid d'espions” un peu mieux.Citation(la scène de poursuite dans l'hopital est énorme!!)
Oui !! La scène avec le crocodile aussi ! 😂J'ai vu aussi “17 ans encore” où, comment se faire embarquer devant un film qu'on ne veut pas voir. Malgré ça, je l'ai trouvé sympa. Oui je sais, c'est honteux 😃 Comme on peut s'en douter, il n'y a rien de nouveau dans ce film mais certaines scènes sont marrantes et Zac Efron joue bien.
Gros coup de gueule contre le cinéma de ma ville: ils n'ont toujours pas mis Ponyo à l'affiche alors qu'il sortait pendant les vacances d'avril (pour ma zone). En fait, il ne semblait pas prévu au programme, jusqu'à ce que des personnes le réclament à grands cris sur le site du cinéma.Je pourrais donc le voir en mai. S'ils ne changent pas d'avis d'ici là (aucune date n'étant annoncée précisément)…
Je compatis d'autant plus que j'apprécie en général tes interventions Mirakuruco. Pas drôle, d'habiter un Trifouillis-sur-Bezons obscurantiste ! j'ai bien connu ça. Et Ponyo, c'est du tout bon !
Vu un film chinois quand même récent , Hero, de Zhang Yimou.
Esthétique en diable, total maniériste même, seulement le jeu vidéo à mon avis n'est pas du tout une bonne source d'inspiration pour le cinéma (peut-être matière à un topic ?). Zhang Ziyi est bien jolie, Maggie Cheung reste pas mal et a le bon goût de porter un nom plus prononçable, mais la construction du film est lassante. Et puis, la morale politique à en tirer, bonjour ! si les Occidentaux n'y voient que du feu, les Thibétains eux ont sûrement très bien compris : “Qu'importe le massacre par l'armée de quelques centaines ou milliers de gens, vos parents en fussent-ils, puisqu'il s'agit de bâtir un immense Etat”. C'est textuellement affirmé, et les “héros”, convaincus, capitulent face à l'imparable argument… agreuh.Et puis, la morale politique à en tirer, bonjour ! si les Occidentaux n'y voient que du feu, les Thibétains eux ont sûrement très bien compris : “Qu'importe le massacre par l'armée de quelques centaines ou milliers de gens, vos parents en fussent-ils, puisqu'il s'agit de bâtir un immense Etat”. C'est textuellement affirmé, et les “héros”, convaincus, capitulent face à l'imparable argument… agreuh.Oui, enfin, le Tibet a aussi été un Empire qui a fait plus que tenir en respect la Chine il fut un temps.
En bref résumé, le Dalaï-lama, c'est Genghis Khan le grand copain des Chinois qui l'a “fabriqué”, les soldats de Lhassa avaient droit de cuissage sur les paysannes et droit de “pillage” sur les récoltes, et en fait droit de vie ou de mort sur tout paysan tibétain qui ne se soumettait pas. Au final, pendant que le gouvernement de Lhassa entrainait ses gardes à faire les beaux sur des chevaux, les paysans sont allés chercher les maoïstes dans l'espoir de renverser un gouvernement qui les saignait. Je suis toujours surpris de voir comment l'Occident aborde de façon simpliste le contexte sino-tibétain, alors que les tensions ne datent pas d'hier, loin s'en faut.
Désolé pour ce HS, mais ça m'agace de plus en plus ce parti-pris systématique protibétain ou antichinois c'est selon. J'en discuterais volontiers dans le bistro…Au fait,quelqu'un a t'il vu le film “Ponyo sur la falaise” ?
Je suis vraiment tenté d'aller le voir mais j'ai lu des critiques qui le désignaient comme un film nettement moins bon que les précédents de miyazaki.Ponyo, c'est clairement pas le meilleur Miyazaki. Mais on parle quand même de Miyazaki. Donc un Miyazaki moyen reste quand même un événement.
Ponyo offre un petite tranche de rêve et de simplicité, un peu à la Totoro, qu'il serait dommage d'ignorer! 😁Oué Akane a pas trop aimé non plus. J'ai halluciné.
Oui, enfin, le Tibet a aussi été un Empire qui a fait plus que tenir en respect la Chine il fut un temps.
En bref résumé, le Dalaï-lama, c'est Genghis Khan le grand copain des Chinois qui l'a “fabriqué”, les soldats de Lhassa avaient droit de cuissage sur les paysannes et droit de “pillage” sur les récoltes, et en fait droit de vie ou de mort sur tout paysan tibétain qui ne se soumettait pas. Au final, pendant que le gouvernement de Lhassa entrainait ses gardes à faire les beaux sur des chevaux, les paysans sont allés chercher les maoïstes dans l'espoir de renverser un gouvernement qui les saignait. Je suis toujours surpris de voir comment l'Occident aborde de façon simpliste le contexte sino-tibétain, alors que les tensions ne datent pas d'hier, loin s'en faut.
Désolé pour ce HS, mais ça m'agace de plus en plus ce parti-pris systématique protibétain ou antichinois c'est selon. J'en discuterais volontiers dans le bistro…Hé ho, Bub, il ya un tas d'époques qui valsent ensemble, là !
Même si tu n'as peut-être pas tort en plaidant que les maoïstes ont apporté en 1951 un “mieux” au Tibet vu le féodalisme antérieur (avec documents sérieux, please, mais je pourrais très bien être d'accord), il faut plutôt considérer:
1) ce que le maoïsme a apporté comme vie jouissive aux Tibétains (et Chinois) sur 40 ans.
2) ce qui s'est passé et se passe au Tibet sur les 20 ans suivants.
3) pour revenir au topic et au fond de mon argument, la fin de Hero : a t-elle la moindre plausibilité, ou logique psychologique si l'on préfère ? n'est-elle pas pure propagande Etatiste de Pékin ? ne la trouves-tu pas quand même “too much” ?A part ça , KP, c'était très beau visuellement, au début, alors je prends note de Wu Ji pour moins lassant et moins creux sur la longueur si c'est le cas, certes oui volontiers.
Hé ho, Bub, il ya un tas d'époques qui valsent ensemble, là !
Même si tu n'as peut-être pas tort en plaidant que les maoïstes ont apporté en 1951 un “mieux” au Tibet vu le féodalisme antérieur (avec documents sérieux, please, mais je pourrais très bien être d'accord), il faut plutôt considérer:
1) ce que le maoïsme a apporté comme vie jouissive aux Tibétains (et Chinois) sur 40 ans.
2) ce qui s'est passé et se passe au Tibet sur les 20 ans suivants.Oulà, je ne plaide rien en faveur du maoïsme, qu'on soit bien d'accord. Et je ne vais pas m'amuser à faire le bilan positif du communisme en Chine… Non, ce que je veux dire c'est que ce conflit sino-tibétain :
1/ écrase les discours sur toutes les autres ethnies persécutées là-bas, complètements inaudibles;
2/ est traité dans les médias de façon systématiquement manichéenne à l'instar du monde arabo-musulman;
3/ que l'Occident s'offense du sort des Tibétains mais se garde bien de se mouiller sérieusement dans cette affaire qui se joue aux frontières de 3 puissances nucléaires : chine, inde et pakisthan, où l'on mesure peut-être mieux ainsi les enjeux pour les chinois dans cette zone hautement sensible… tout le monde a intérêt à ce que cet endroit ait une géopolitique stable ( et vu le bordel qui se passe pas loin en afganisthan, ça commence à devenir compliqué ).
Après, je ne renie en rien les revendications du peuple tibétain, mais j'estime que dans ce genre de contexte ultracomplexe il faut tenir compte des points de vue les plus divers, sans tomber dans les caricatures.J'ai vu Wolverine. C'est un bon film je trouve mais j'ai été déçu. Les combats durent 2 minutes (mais au moins 5 pour l'ultime combat), on ne voit pas assez Gambit (mon préféré avec Wolverine ^^) et il y a trop de scènes convenues comme celle où Wolverine est au premier plan devant un hélicoptère qui explose derrière lui… Je me permets de citer cette scène car on la voit dans la bande-annonce. Malgré ça, ça reste un bon film, même s'il est loin du niveau du dernier x-men.
Je pense pas qu il y ai forcement besoin de faire amalgame ( un peu facile) entre le scénario de HERO et la situation au TIBET….
Dans un film chacun y voit ce qu il en veux….
On pourrait paraphraser Tigre et Dragon et dire que ce film decrit l adage: A cœur fidèle rien d impossible….
OU comment un simple soldat réussi avec un plan bien étudié a approcher empereur de chine a moins de 20 pas…Peace 😉
pour wolverine je suis d'accord avec maow38 sur le fait que c'est un film sympa, plutôt bien réalisé mais alors beaucoup trop court rapport aux nombreux personnages secondaires qui auraient mérités plus d'approfondissement je viens de voir sur le net une fin alternative centrée sur deadpool ils se foutent vraiment de la gueule du monde!
ps: restez jusqu'à la fin du génériques car il y a 2 séquences en plus (apparemment ça annonce la suite)Critique retardataire. (De quoi…38 ans , non?)
Ai vu Orange Mécanique.
Que dire?!
Plein de choses!! En premier lieu, je n'ai rien vu d'aussi inventif et osé depuis longtemps a part Old Boy peut être…
Attentions Spoilers!! pour ceux n'ayant eu le loisir de le voir…remédiez-y!
Parlons d'abord mise en scène. Ce film à quasiment 40 ans et pourtant la mise en scène est inventive à souhait. La scène d'amour m'a particulièrement marqué, le traitement en accéléré donne extrêmement bien sur la musique, sans compter que la scène elle même est intéressante au possible, cette façon qu'on de se rhabiller systématiquement les conquêtes d'Alex, sa façon à lui d'aller les rechercher à chaque fois, nous fait ressentir une gène et surtout nous montre bien la psychologie du "héros" que l'on avait déjà pu appréhender, auparavant mais qui sera très clairement dévoilé dans la scène suivante.
On y voit en effet, dans une confrontation toute en non dits, puis dans l'explosion de rage qui s'ensuit, la personnalité autoritariste et orgueilleuse d'Alex. On y ressent tout son mépris pour l'humanité, on connaissait déjà ses gouts pour la violence avec les premières frasques de son groupe, mais ici il démontre clairement son que rien ne l'arrête dans son désir. L'égoïsme pur. Et les idées d'un diable. Le tout enrobé dans la sophistication. (ce qui rend le personnage d'autant plus charismatique qu'on nous le présente alors comme un être supérieur, voyez les vêtements qu'il porte dans le magasin de disques (sorte de redingote, redessiné et recolorée à l'air du jour.) qui sont comme des preuves (son gout pour Beethoven et son langage mixe de langage moderne de l'époque et de langage très soutenu, le tout ayant tendance à prendre souvent la forme de métaphore).
Durant ces confrontations c'est le silence qui est l'arme principale de Kubrick, qui jumelant regards et silence pesant avec brio crée une sensation de malaise que l'on retrouvera souvent durant le film.Viens ensuite ce qui pour moi est le trait de génie du film, après avoir suivit les horreurs d'Alex avec ou sans sa bande, celui ci devient victime. Victime du système.
Il est arrêté pour meurtre suite à des imprudences, de la malchance et une trahison.
Après deux années en prison qui ne l'ont pas changé d'un pouce, il parvient à être pris comme cobaye pour une expérience. Un traitement sensé rendre les criminels inoffensifs (ça ne vous dit rien…). La méthode: faire ingérer au patient un produit qui lui fera ressentir d'intenses nausées et pendant ce temps le forcer à regarder des films montrant des horreurs, afin que le corps face le lien entre malaise physique et violence. (On connait tous cette expérience ou un chien est habitué a prendre ses repas juste après qu'une clochette ai retenti, après un certain temps il se met à saliver dès l'audition de la clochette, même principe)
Viens alors paradoxalement la phase la plus difficile du film, ce monstre d'égoïsme et de dangerosité que rien ne semblait atteindre jusque là est finalement touché par ce qui à nos yeux le rendait si fascinant, l'art.
En effet l'un des films qu'il est forcé de visionner (des pinces lui maintiennent les yeux ouverts quand un homme lui verse continuellement des goutes sur les yeux, de sorte qu'il puisse y voir), l'un de ces films donc et plus précisément un film sur les camps de concentration passe sur du Beethoven, la 9e Symphonie. La favorite d'Alex, qui aime au moins autant la musique que le viol.
Et voilà un autre point de génie. Bien que le simple fait d'ôter à un homme sa liberté de choix soit ignoble et lui retire son humanité Kubrick enfonce le clou en nous montrant Alex souffrant le martyr d'être ainsi dégouté de force du divin Beethoven.
Car voici les effets de cette méthode. A chaque volonté de violence, a chaque envie sexuelle, le patient est pris de terribles nausées le mettant littéralement à genoux. Et la neuvième aussi.
La scène de sortie de la prison est horrifiante dans ce qu'elle nous montre Alex réduit à l'état de légume, incapable d'agir comme il le souhaite, léchant la semelle de son agresseur (engagé pour prouver lors d'un "show" qu'alex est inoffensif.) pour ne plus ressentir son horrible nausée. Ne pouvant toucher les seins de la magnifique femme qui se présente moitié nue devant lui.
Mais il est toujours le même. Toujours aussi malveillant, il n'a pas perdu sa totale immoralité, il n'est juste plus en mesure de la satisfaire. Tout dans le jeu de l'acteur (et dans la mise en scène) tend à nous le faire comprendre sans que ce soit pourtant lourd, ou explicite.
Son retour dans la vie réelle est évidemment un désastre, ses parents le rejettent clairement, il croise une de ses anciennes victimes, un SDF, et finalement quand les policiers arrivent ils ne sont autres que ses anciens amis (sur lesquels il s'était défoulé et qu'il avait humilié) ceux la même qui l'avaient trahi trois ans plus tôt. Le sachant dans une position d'infériorité, ils en profitent et le malmènent.
Finalement après avoir erré sans avoir tous ces esprits, il est revenu chez une autre de ses anciennes victimes (c'est très bien amené). Celui ci ne reconnaissant que le prisonniers soumis à des expériences décide de l'utiliser dans sa propagande contre le gouvernement. Cependant il finit par le reconnaitre comment étant celui qui a violé sa femme, morte depuis et dont il tient Alex pour responsable. Mais la réelle surprise, est que les plans de cet homme ne changent pas avec cette révélation. Alex finit dans une chambre a plusieurs étages, enfermé, et se réveille au son de la neuvième…et d'une intense nausée. Il finit par sauter par la fenêtre.
Mais il se réveille, mal en point mais vivant, étrangement vivant… Il reçoit le soutien du politicien lui ayant fait subir le traitement (qui lui assure un bon travail, une bonne paye et une rémunération pour le préjudice), en échange de son soutien à lui.
On apporte de grosse enceintes, la neuvième y crache sa beauté, et Alex rêve de concupiscence. il est guérit.FIN
Je trouve très pertinente la fin du film. Jamais Alex n'a changé, il n'avait aucun choix, mais son être profond lui était le même!
De même ce film m'a-t-il fait longuement pensé aux droits de l'homme. Certes cet homme est immonde, certes il aime faire souffrir, mais il reste humain et par la présente il souffre aussi. Et justement le fait qu'il ai eu tant de classe, si peu de considération pour autrui rend le tout plus dur, c'est une chute de très haut!! Et le sol est très bas!! Le message n'en ai que plus profond.
Cette scène ou Beethoven lui fait mal, celle ci représente la perte de son humanité. Il n'est plus humain car perd s ce qui le définit, l'art qu'il aime. De plus l'identification est extrêmement facile dans cette scène tant l'ensemble est révoltant (le corps médical qui torture au lieu de soigner, il est seul dans un cinéma, sauf bien sur cet homme en blouse blanche qui lui verse avec la régularité d'un métronome des goutes sur les pupilles.
La politique en prend aussi pour son grade dans ce film mais j'avoue ne plus avoir le temps de développer cette thèse.Ce film est un des meilleurs qu'il m'ai était donné de voir, je connaissais déjà Stanley Kubrick pour Eyes Wide Shut et Full Metal Jacket. Mais ce film les surclasse tous.
Critique retardataire. (De quoi…38 ans , non?)Ai vu Orange Mécanique.
Que dire?!
Plein de choses!! En premier lieu, je n'ai rien vu d'aussi inventif et osé depuis longtemps a part Old Boy peut être…
Ce film est un des meilleurs qu'il m'ai était donné de voir, je connaissais déjà Stanley Kubrick pour Eyes Wide Shut et Full Metal Jacket. Mais ce film les surclasse tous.
… Et il continuera à les surclasser (sauf peut-être “Old Boy” en effet), et aisément surclassera t-il probablement la Palme d'Or de Cannes, qu'on vient de décerner à une histoire de taulard à “message politico-économique” comme l'annonce un commentateur. En ce moment, au lieu de poignants et insolubles questionnements éthiques, on préfère nous amener avec des gros sabots des réponses toutes faites…
Enfin, on verra bien, mais les précédentes Palmes ne me poussent pas à l'optimisme.Critique retardataire. (De quoi…38 ans , non?)Ai vu Orange Mécanique.
Ce film est un des meilleurs qu'il m'ai était donné de voir, je connaissais déjà Stanley Kubrick pour Eyes Wide Shut et Full Metal Jacket. Mais ce film les surclasse tous.
Kubrick, ça fait juste parti des dieux du cinéma!
Orange mécanique est à replacer dans son époque, Kubrick a tapé très fort! C'est un film audacieux, visionnaire, violent en tout point de vue! Et terriblement esthétique, comme tous les Kubrick. Ce fameux bar où Alex et ses potes vont boire leur lait vitaminé est une trouvaille énorme pour l'ambiance du film! Les lieux rendent l'histoire intemporelle.
C'est pour moi le meilleur Kubrick avec 2001 (oui, 2001 aussi a suscité de nombreux débats d'ailleurs..).
Pas loin derrière, Les sentiers de la gloire et le Dr Folamour que je conseille aussi fortement.
En dernier, Eyes Wide Shut : je n'aime pas du tout l'interprétation du couple Cruise-Kidman. Kubrick avait engagé un vrai couple pour donner du réalisme a certaines scènes, mais j'ai parfois l'impression que c'est l'inverse qui se produit!
Mais bon, le film reste un bon film : la trame se tient, et il y a toujours cet esthétisme dingue!
Vive Stanley! 😉Ce fameux bar où Alex et ses potes vont boire leur lait vitaminé est une trouvaille énorme pour l'ambiance du film! Les lieux rendent l'histoire intemporelle.
C'est pour moi le meilleur Kubrick avec 2001 (oui, 2001 aussi a suscité de nombreux débats d'ailleurs..).
Pas loin derrière, Les sentiers de la gloire et le Dr Folamour que je conseille aussi fortement.Je suis d'accord. Sur tout. (A part peut être le jeu du couple/Cruise Kidman, mais je dois avouer que c'est la partie (pourtant principale) du film qui m'avait le moins intéressé)
En ce qui concerne l'intemporalité d'Orange mécanique, je plussoie fortement. J'ajouterai que la musique aussi, joue un rôle dans cette résistance au temps que possède Orange Mécanique.
Quant à 2001, je l'ai vu beaucoup plus jeune, mais ça m'avait soulé. Je pense qu'il serait temps maintenant que je me penche de nouveau dessus. Je n'en ai plus de souvenir à part un bloc noir. Et des jeux de lumières. JE devrais maintenant être capable d'en mesurer l'intérêt. (j'étais vraiment jeune. genre trouze ans…)
Je note tes conseils. (Une chance que ces films soient assez vieux on peut les trouver pour une bouchée de pain!!)
Quant à 2001, je l'ai vu beaucoup plus jeune, mais ça m'avait soulé.CitationJe pense qu'il serait temps maintenant que je me penche de nouveau dessus. Je n'en ai plus de souvenir à part un bloc noir. Et des jeux de lumières. JE devrais maintenant être capable d'en mesurer l'intérêt. (j'étais vraiment jeune. genre trouze ans…)Ouf ! vois-le, revois-le, rerevois-le ! Et après on discutera pendant des heures et des heures sur ce foutu monolythe noir… j'ai pu lire une interprétation là-dessus de Jacques Chambon tout à fait acceptable.
CitationJe note tes conseils. (Une chance que ces films soient assez vieux on peut les trouver pour une bouchée de pain!!)L'inconvénient avec Kubrik, c'est qu'il est comme les Pink Floyd : cher, tout le temps cher. Essais de taper dans l'occaze, peut-être feras-tu de bonnes affaires. Si tu peux, choppe aussi 2010, l'Odyssée deux : c'est une adaptation du roman de C. Clarke plutôt spectaculaire et un très bon film de SF parfaitement méconnu, même s'il ne parvient quand même pas à la cheville de 2001.
Et juste derrière 2001, moi je suis très fan de Barry Lindon.
Quant à 2001, je l'ai vu beaucoup plus jeune, mais ça m'avait saoulé.Merde quoi, t'as même pas retenue la magistrale scène du début avec les singes…
Sur ce puisque c'est comme ça, je me le reverrai bien.
Bon sinon pour ce qui est de Eyes Wide Shut, je n'ai qu'une chose à dire : qu'est-ce-que je me suis ennuyée devant, ça m'étais jamais arrivé sur du Kubrik ! C'était une grosse décéption.
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