comment on fait pour devenir maitre pingouin

12 sujets de 1 à 12 (sur un total de 12)

Posté dans : Lettre au Pingouin

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coco24772 le 18 février 2004 à 17 h 45 min #154013

kelkun le sait?

quels privileges a t’on avec
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corwin246 le 18 février 2004 à 18 h 07 min #154014

Citation (coco24772)

kelkun le sait?

quels privileges a t’on avec

…

…

Il faut poster pleins de messages intéressants, pleins de bons sens, et pleins de bons français (e.g.: quelqu’un).

Corwin, …
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Kazedamashii le 19 février 2004 à 13 h 41 min #154015

Pareil que Corwin.

Pour devnir-nir

Un malabar-bar

Il faut manger-ger

Des Epinards-nards

Pour devenir-nir

Un manitou-tou

Il faut manger-ger

Des roudoudouuuuu!!

Mais qu’est-ce qu’il faut faire

Dites-moi grand-père

Pour devenir Balaize?

Cette chanson est de Carlos

Sinon pour les privilèges y en a aucun.

Reg, l’elfe qui est maitre pingouin, et alors?

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Edité par Kazedamashii le 20-02-2004 à 01:15
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campi le 19 février 2004 à 17 h 44 min #154016

reg reg dis moi est ce que tu as reçu ton diplôme de maître pingouin???dis dis dis???Moi j’ai même reçu un harpon d’or… ^^

😉
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Anonyme le 19 février 2004 à 18 h 19 min #154017

les avantages ???

heu, une voiture de fonction, des pots de vin, des call-girls de luxe, un total remaniement chirurgical plastique, un repas avec Jean-Claude V. puis aussi un livre qui apprend comment ne pas poser des questions idiotes (sauf si relation avec ledit Jean-Claude).

al flutuflutuflu, flutuflutuflutuflu !
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irina le 19 février 2004 à 18 h 42 min #154018

Citation (alastor)

les avantages ???

heu, une voiture de fonction, des pots de vin, des call-girls de luxe, un total remaniement chirurgical plastique, un repas avec Jean-Claude V. puis aussi un livre qui apprend comment ne pas poser des questions idiotes (sauf si relation avec ledit Jean-Claude).

al flutuflutuflu, flutuflutuflutuflu !

Moi, quand je serai (sous peu) maître-pingouin, à la place de Jean-Claude V., je pourrais pas avoir un truc plus sensé comme un personnage de manga en vrai (Seiichiro ou Folken, telle serait alors la question…)?

Par contre, je prends la voiture (m’en fous, je conduirais sans permis), les pots-de-vin (*_* irina mode vénal), pour les call-girls, on peut aussi faire un échange ? Quand à la chirurgie, je préférerais une épilation définitive totale (sauf cheveux, sourcils et cils), car je suis couverte de coupure de rasoir.

irina (qui négocie)

PS: je pense pas que quelqu’un soit monté aussi vite que moi dans la hiérachie sans seishukuter (même si certains de mes messages sont de grosses betises…)

Edité par irina le 19-02-2004 à 18:42
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Sigurd de Valis le 19 février 2004 à 23 h 14 min #154019

Citation (irina)

PS: je pense pas que quelqu’un soit monté aussi vite que moi dans la hiérachie sans seishukuter (même si certains de mes messages sont de grosses betises…)

euh… tu veux parler de tes quelques bourdes, boulettes, gaffes ou assimilées ?

ça fait tout de même un peu : “comment qu’on fait pour devenir chef, chef ?”
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Kazedamashii le 20 février 2004 à 1 h 31 min #154020

Pour devenir un jardinier il faut manger des arrosoirs.

Pour devenir un bon à rien il faut manger n’importe quoi.

Mais qu’est-ce qu’il faut faire

Dites-moi grand père

Pour devenir balaize?

(refrain)

Faut vraiment que je retrouve ce 45 tours.

Reg, l’elfe qui est toujours prêt pour la bamboula

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Sigurd de Valis le 20 février 2004 à 9 h 12 min #154021

Citation (Kazedamashii)

Faut vraiment que je retrouve ce 45 tours.

Reg, l’elfe qui est toujours prêt pour la bamboula

<img src="http://www.animeland.com/forum/style_emoticons//happy.gif” style=”vertical-align:middle” emoid=”^_^” border=”0″ alt=”happy.gif” />°

Sincèrement désolé de ne pouvoir t’aider à ce sujet Reg, mais ce 45 tours a fini sa carrière lors du dernier ball-trap de mon village

:u-bata:
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Lewis-Scarole le 20 février 2004 à 10 h 23 min #154022

Citation (Sigurd de Valis)

Sincèrement désolé de ne pouvoir t’aider à ce sujet Reg, mais ce 45 tours a fini sa carrière lors du dernier ball-trap de mon village

:u-bata:

Je me souviens que, pendant fort longtemps, alors que nous n’étions encore que des enfants perdus dans le morne ennui grisonnant de cette petite ville du nord de la France, région sinistrée par le chômage et les torrents qui tombaient du ciel et des lourds et menaçants nuages, ma soeur cadette et moi-même ne savions que faire de nos longues après-midi d’hiver, oscillant sans cesse entre la télévision qui n’en finissait plus de diffuser des séries américaines de bas-étages et des spots publicitaires tout aussi débilitants, lorsqu’un après-midi de janvier, nous décidâmes d’aller explorer les confins du sous-sol du pavillon familial, dans l’espoir d’y trouver un remède à la torpeur lacinante qui menaçait de s’abattre sur nous ; la cave s’avérait tout aussi peu distrayante, et, alors que nous commencions à désespérer, un carton posé négligemment à l’écart, dans un coin sombre et humide comme doivent l’être tous les coins de caves du nord de la France un après-midi de janvier, attira notre attention. Il contenait une pile de vieux 45 Tours, reliques honteuses de nos errances mélomaniaques passées, et nous égrénions le fil de nos découvertes artistiques et les souvenirs adjacents en nous remémorant des noms vieux d’à peine quelques mois, et pourtant déjà oubliés, tels que Jean-Pierre François, François Feldman, Elsa, Melody, Confetti’s, Technotronic, Patsy, Kylie Minogue, Roch Voisine, Patrick Bruel, Kaoma, Gold, Sandra, Bros, et, soudain, alors que nous arrivions à la fin du tas, la lumière divine de l’éclaircie providentielle qui venait de mettre fin à la pluie incessante qui nous minait le moral depuis des jours passa par le soupirail et vint délicatement se poser sur quelques 45 Tours de Vanessa Paradis, nous offrant par la même occasion à la fois un sujet de discussion et la possibilité de s’amuser à peu de frais. Après quelques expériences pour déterminer le degré de résistance du vinyle projeté sur une surface verticale faite de briques et de parpaings, nous finîmes par conclure que l’album Marylin & John ne devait pas être confié à un enfant de mois de 36 mois, et que Joe le Taxi nous donnerait davantage de fil à retordre que Maxou ou Coupe Coupe, avant de se féliciter d’avoir enfin trouvé un jeu si amusant. Par la suite, nous réitérâmes l’expérience avec d’autres matériaux et en expérimentant d’autres techniques, mais rien, de la lacération au cutter de l’album “Hélène” de Roch Voisine aux tentatives de scratch improvisées sur un vieil électrophone agonisant avec la compilation “Synthétiseur : les plus grands thèmes”, ne vint jamais surpasser le sentiment de jouissance ultime et la satisfaction presque maladive résultant du jeu innocent de la daube lancée contre le mur un morne après-midi de janvier…
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Kazedamashii le 20 février 2004 à 12 h 16 min #154023

M’sieur le pingouin, Lewis il a Prousté! :sick:

Si l’air de la Bamboula est encore chanté aujourd’hui par des milliers de spectateurs dans les stades (“Oh lé lé, oh la la…”), je regrette que Malabar-Roudoudou (face B du même 45T) ne soit pas resté dans les mémoires collectives. En tant que défenseur de l’absurde, je me dois au moins d’essayer d’en retrouver les paroles complètes.

Pour une fois que Carlos parlait d’autre chose que de son “papayou”…

Quoique, si ça se trouve il y a quand même quelques allusions…

Reg, l’elfe cafteur

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Sigurd de Valis le 20 février 2004 à 17 h 23 min #154024

Citation (Lewis Scarole)

Je me souviens que, pendant fort longtemps, alors que nous n’étions encore que des enfants perdus dans le morne ennui grisonnant de cette petite ville du nord de la France, région sinistrée par le chômage et les torrents qui tombaient du ciel et des lourds et menaçants nuages, ma soeur cadette et moi-même ne savions que faire de nos longues après-midi d’hiver, oscillant sans cesse entre la télévision qui n’en finissait plus de diffuser des séries américaines de bas-étages et des spots publicitaires tout aussi débilitants, lorsqu’un après-midi de janvier, nous décidâmes d’aller explorer les confins du sous-sol du pavillon familial, dans l’espoir d’y trouver un remède à la torpeur lacinante qui menaçait de s’abattre sur nous ; la cave s’avérait tout aussi peu distrayante, et, alors que nous commencions à désespérer, un carton posé négligemment à l’écart, dans un coin sombre et humide comme doivent l’être tous les coins de caves du nord de la France un après-midi de janvier, attira notre attention. Il contenait une pile de vieux 45 Tours, reliques honteuses de nos errances mélomaniaques passées, et nous égrénions le fil de nos découvertes artistiques et les souvenirs adjacents en nous remémorant des noms vieux d’à peine quelques mois, et pourtant déjà oubliés, tels que Jean-Pierre François, François Feldman, Elsa, Melody, Confetti’s, Technotronic, Patsy, Kylie Minogue, Roch Voisine, Patrick Bruel, Kaoma, Gold, Sandra, Bros, et, soudain, alors que nous arrivions à la fin du tas, la lumière divine de l’éclaircie providentielle qui venait de mettre fin à la pluie incessante qui nous minait le moral depuis des jours passa par le soupirail et vint délicatement se poser sur quelques 45 Tours de Vanessa Paradis, nous offrant par la même occasion à la fois un sujet de discussion et la possibilité de s’amuser à peu de frais. Après quelques expériences pour déterminer le degré de résistance du vinyle projeté sur une surface verticale faite de briques et de parpaings, nous finîmes par conclure que l’album Marylin & John ne devait pas être confié à un enfant de mois de 36 mois, et que Joe le Taxi nous donnerait davantage de fil à retordre que Maxou ou Coupe Coupe, avant de se féliciter d’avoir enfin trouvé un jeu si amusant. Par la suite, nous réitérâmes l’expérience avec d’autres matériaux et en expérimentant d’autres techniques, mais rien, de la lacération au cutter de l’album “Hélène” de Roch Voisine aux tentatives de scratch improvisées sur un vieil électrophone agonisant avec la compilation “Synthétiseur : les plus grands thèmes”, ne vint jamais surpasser le sentiment de jouissance ultime et la satisfaction presque maladive résultant du jeu innocent de la daube lancée contre le mur un morne après-midi de janvier…

Ô les belles après-midi que vous nous décrivez là mon ami. Ô quelle douce torpeur ne réveillez-vous pas en nous au cours de ce récit de vos journées passées avec votre charmante sœur cadette, que je n’ai point le plaisir de connaître, à essayer de faire avancer la musicologie dont les puristes sont pourtant si souvent hostile au développement des techniques et des sciences.

Quelle merveilleuse idée que de définir les règles de solidité de nos chers vinyles poussiéreux, nonchalants et parfois si poussif lors de soirées romantiques passées à les faire revivre le temps d’une valse à mille temps sur un air de ” joe le taxi “. Ah ! que dire de la lacération d’ “Hélène “, non pas de Troie, mais de Rock Voisine, incomparable auteur qui avait lui-même entreprit la vivisection à grands coups de crosse de hockey de son héro qui, pour mémoire, était abandonné, seul, sur le sable, les yeux dans l’eau, et le reste on ne sait où mais, à dire vrai, on s’en fout .

Merci, mon ami pour cette information cruciale à mes yeux, que “Marylin & John” ne devait pas être confié à un chérubin de moins de 36 mois. Et maintenant ? Quels jeux délicieux allez-vous nous inventer cher ami ? De quels délices allez-vous nous délecter ? Allez-vous nous faire écouter le doux son de cette galette que l’on nomme vulgairement “CD” sur cette même platine pour 45 tours ? Ou bien encore mieux ; ce qu’il advient d’un disque laser que l’on a transformé en pendulette, voir encore en sympathique dessous de tasse pour égayer l’heure du thé entre amis ?

Il est vrai que votre enfance dans le nord et les après-midi si “chaleureuses ” et grisâtres qui caractérisent le beau pays chti sont probablement à l’origine de votre désarrois, mais, de grâce, je vous en conjure, même si je peux vous comprendre, admettre, et même peut-être compatir avec vous lorsque vous nous racontez votre enfance aussi douloureuse que difficile dans votre cave lugubre cloîtré avec votre sœur cadette et privé de surcroît de télévision, mais de grâce disais-je, arrêtez de “Prouster ” !!!

La lecture en apnée, façon “grand bleu”, devient fastidieuse !!! Horreur que d’imaginer le même texte écrit en langage SMS si un pingouin osait s’y aventurer ! NON ! Madeleine et Marcel ne s’en remettraient pas…

Sur ces derniers mots et cette ultime requête, je vous prie d’agréer, mon cher ami, l’expression de mes salutations respectueuses.