Les chats rêvent de souris et les souris de fromage, c’est bien connu. Quant aux pingouins… ils rêvent de pingouins!
Avant de lire la suite: vos commentaires type “waah, tu dois avoir une personnalité limiphrène névro-schizophobe dans ta pingouipsyché”, merci de les conserver pour vous. Je ne demande pas d’explications, je suis assez grande pour les trouver seule en ce qui concerne ma symbolique privée.
Je poste ceci parce que ça me fait rire, et comme certains posteurs réguliers sont concernés, je pense qu’il est possible que ça les fasse rire aussi. Et peut-être même les autres aussi, pourquoi pas, soyons fous.
En général, je me rappelle bien mes rêves. En tant que jeune fille sensible, j’ai l’habitude de rêver de ce que je fais/lis/regarde.
Exemple: “Cette nuit, j’ai rêvé que j’étais poursuivie par un tyrannosaure, j’aurais pas dû regarder cette histoire de parc jurassique…”
Donc, depuis que je banquise, je rêve de Banquise.
Alors, on va commencer dans l’ordre chronologique, attention, il y a grand risque d’absurdités dans les lignes suivantes…
Je décide de lancer un topic délirant dans la partie “Test”. Un moment plus tard, cool, j’ai deux réponses! Une de Lalalou qui marche avec moi. Une autre d’NdJ qui nous félicite du retour des deux boulettes (boulette: féminin de boulet dans le vocabulaire darklarien). ‘Vais lui taper une réponse bien argumentée, tiens. Fin.
Plus récemment:
Cela fait longtemps que je n’ai plus vu Hush. Je décide d’aller le voir. Seulement, là, on est dans le futur, je rêve de SF, on utilise des navettes pour se déplacer. Alors je gare la mienne dans le parking d’une sorte de spatio-gare, et j’entre.
Ô surprise! je croise Neshi. Il est accompagné d’un gars que je n’ai jamais vu, mais allez savoir comment, je sais que c’est NdJ.
“Neshi! Neshi! NESHI!”
Il ne m’entend pas. Je me plante devant lui:
“Bonjour Neshi.”
Bon, là, il peut pas me louper, je suis bien devant lui. Mais il me regarde sans l’air de me voir. Tu fais en gros la même tête que je dois avoir quand je ne reconnais pas les gens.
“Tu me reconnais pas, c’est ça? (Gênée) J’ai pas les mêmes cheveux que la dernière fois…” Toujours pas de réponse.
Comprenant que ça ne sert à rien, je tourne les talons et m’en vais. Mais tu me rattrapes: “Excuse-moi, Darklara, je ne t’avais pas reconnue…
(compréhensive) -C’est pas grave… (banalités d’usage, échange de”ça va?”…) Qu’est-ce que tu fais là?
-Ben je viens voir Hush.
-Ah bon, toi aussi? (bref coup d’oeil en direction d’NdJ en me demandant vaguement ce qu’il fait là alors)
-Oui, mais je ne sais pas où il est.
-Moi non plus. Tu vas par où?
Neshi (montre une direction): Par là, et toi?
Moi(montre une direction opposée): -Moi par là.
On sourit, on se salue, et on se sépare.
Ah! j’ai de la chance, je trouve Hush! (héhé, Neshi allait dans la mauvaise direction…) Il est assis tout seul dans une pièce vitrée. Il a l’air déprimé… Il sort de la pièce. Je le retrouve en route vers sa navette, il est entouré de gens, apparemment, il prépare un vol spécial… “Hush!” Il ne m’entend pas, et a toujours l’air déprimé. Il s’éloigne… Fin.
Toujours plus récemment:
Je suis dans de la campagne. C’est très joli, très verdoyant. Une petite maison très simple. La porte est ouverte. Sur le mur du fond, un écran. Dans la salle, des chaises pliantes dépliées. Il va y avoir une projection. Au premier rang, des collègues de fac: “Ah, Claire est arrivée… Claire! on t’a gardée une place!” Cool, je vais m’y asseoir, et au passage, je salue Nicolas P. assis avec nous. Le Nicolas dit: “Faut quand même garder une place libre, j’ai un ami qui va arriver…”
Une de mes camarades qu’on va appeler Françoise te répond, la voix pleine de projets de drague: “Aah… un ami à toi…
Nicolas: -Ben oui, un ami.
Françoise (inquisition souriante): -Et… c’est quelqu’un de bien, cet ami?
Moi: -Françoise!!!
Françoise: -Quoi?
Moi: -Nan mais je ne te permets pas!
Françoise: -Mais quoi?
Moi: -M’enfin, tu dis pas des choses pareilles à Nicolas! tu lui demandes si son ami “c’est quelqu’un de bien”… ça se dit pas aux gens!
Nicolas: -Claire, tu dis des inepties.
Moi (énervée): -Comment, des inepties?! mais je ne te demande pas ce que faisaient tes grands-parents pendant la guerre!
Nicolas (qui trouve que ça se tient): -C’est vrai.”
Je ne me souviens plus exactement de ce qui se dit ensuite, mais on convient que j’ai raison. Je n’ai plus envie de rester, alors je m’en vais, et je ne sais pas ce que vous avez regardé… Fin.
Bon, maintenant que c’est dit, vous êtes tous priés d’emprunter la sortie la plus proche de mon inconscient… allez, hophophop, tout le monde dehors! bonne nuitée, les Pingouins!
Dkl, qui n’ose pas aller dormir.
Edité par Darklara le 18-10-2006 à 23:54