Sujet: editeurs

les sorties sont soumises à diverses destinés. Il arrive bien souvent que des titres paraissent en France au même moment que les sorties Japon (Blame, Exxaxxion…).
Il arrive aussi qu’entendu le budget disponible en rapport avec la multiplications des titres il faille faire un choix entre poursuivre une série, où en lancer une nouvelle. Certains rythme de parution peuvent également faire l’objet d’un paragraphe dans le contrat de cession de droits.
D’autres explications existent, comme un banal retard, un problème dans la validation avec les Japonais (qui sont lents dans cet aspect du travail), un ennui de santé du traducteur…
Enfin, éditorialement parlant, io faut savoir sortir ses titres au meilleur moment : la vie d’une maison dédition dépend souvent de la capacité à faire rentrer les sous rapidement pour éponger les dépenses occasionnées par la sortie. sortir un manga en Mars par exemple, amène plus de lenteur dans la rentrée d’argent et , si le budget est notemment collé à l’exploitation des titres, il faut attendre que la somme nécessaire de la vente du précédent tome soit arrivée pour lancer la dépense de l’impression du suivant.
tout cela est un peu complexe et relève de la tambouille comptable plus que de la volonté éditoriale. Il est évident que tout éditeur ne demande qu’une chose : sortir ses titres vite et à rythme resséré car la rotation des incvestissements est donc plus forte et permet de plus grand projets ou de nouveaux investissements.
Si, donc, les éditeurs ne sortent pas rapidement les suites, c’est donc bien souvent à leur coeur défendant.