Perso je pense qu’elle est morte, parce que c’est complètement impossible de survivre à ce qui lui est arrivé. Et sinon se serait une pauvre happy end stupide!
En fait le dernier épisode me laisse perplexe quan tà la fin. (ATTENTION SPOILS DURANT TOUT LE POST!!!)
La musique de la boite à musique stoppe et l’horloge se remet en marche….
Bien plus tôt si je me souvient bien, Lucy dit en gros ou je sais plus qui qu’elle vit un rêve dans un cauchemanrd (qui serait la réalité).
Est ce que tout le temps que Kouta et Lucy ont passé ensemble serai comme une espèce de bulle de bonheur dans tout le malheur qu’ils ont et qu’ils continueront à vivre ?
L’horloge était arrêté durant tout l’anime, comme si le temps s’était arrêté, et donc le cours atroce que prend le monde. En même temps on commence à écouter la musique, qui est le thème reliant Kouta à Lucie.
Avant la fin de l’anime, dans le bureau du directeur général, la secrétaire déchire une page, avec les informations sur kouji, et les directeur général montre bien qu’il ne compte pas s’arrêter là dans les atrocités.
A mon avis la femme derrière la porte est la secrétaire, et celà va sceller la fin du rêve de bohneur et de famille de nos héros. Pour moi ils vont bientôt être plongé dans le caca jusqu’au coup à cause de l’organistation. Fin de la mélodie + retour de l’horloge = fin du rêve, retour à la réalité (et donc au cauchemard)
Et dans ce cas, Elfen Lied est définitivement un anime pessimiste, mais terriblement mélancolique : et ça j’adore. 😃
Sinon j’ai lu vos différentes remarques, et je suis d’accord avec les défenseurs comme les réfractaires.
Premièrement Elfen Lied met beaucoup de temps pour vraiment débuter (et comme c’est un anime court, c’est d’autant plus problématique) et sombre souvent dans les travers souvent repprochés aux mangas (lourdeurs de réalistaion, flashs back qui cassent bien le rythme, etc…).
En plus ils ont abusé sur l’echi, je veux bien qu’on la mette à poil pour montrer le caractère sacré de la série, mais il y a des limites à ne pas dépasser!
L’ultra violence physique ou mentale est parfois exagérée, donc iréaliste (les gamins de 10 ans qui tuent un chien devant les yeux de son maitre, je suis désolé mais seuls des cas pathologiques peuvent faire ça!)
Mais ce manga n’est sutout pas manichéen, et la est une de ses plus grandes forces. Comme certains l’on déjà dit, l’openning en gros implore au “seigneur” de prendre pitié de l’humanité, qui s’enfonce dans sa bétise et son immaturité. Si tout les persos ont fait l’iréparables, ils ont tous leurs bonnes raisons et l’on pourrait même presque les pardonner, car on n’aurait pas fait mieux à leur place. Le véritable mal est la nature humaine, une chose qu’on ne peut combattre, qui entraine des gens au hasard dans la haine et la destruction.
C’est cet air de “c’est comme ça et on peut rien y faire, car c’est la vie….” qui est terrible et qui me touche.
Sinon ce terrible dilème qu’éprouve Kouta, et la très belle histoire d’amour le reliant à lucy est magnifique. Dans love Hina, l’auteur disait se référer à une vieille légende nipponne qui en gros mettait en opposition la femme rêvée mais qu’on aura jamais et celle qu’on a sous la main, qui est bien mais surement pas autant. Dans cet anime celà fonctionne aussi, au vu du choix de Kouta (en même temps il y était aussi forcé par les évènements)
J’ai fait une loooooooooooooonnngue fiche/résumé/analyse/critique sur mononoke.bt : c’est pas très bien fait car rédigé en une après midi, mais pour les courageux celà leur permettra de voir un peu mieux ce que je pense de l’anime, même si je ne suis pas satisfait de mon roman (qui en plus en incomplet)
hop a plus! regardez mon message suivant pour l’url!^^
Edité par Evetse le 29-01-2007 à 16:58