Je m’en vais d’ailleurs prendre le tome 17 cet aprèm !
Il contient un des rares passages d’amour de “Dorohedoro”, mais dans la mort…
Comme le montre Bub , il y a certes dans ce manga quelques déformations anatomiques, mais pas plus que chez Michel-Ange, qui aimait aussi les gros bras 🙂 … J’ai la nette impression vu l’unité parfaite du style que Q. Hayashida travaille sans assistants, et que donc parfois ses planches ou cases sont un peu hâtives (deadline ?); mais comme le dit aussi Bub, elle peut tout dessiner superbement si elle veut ou prend son temps, par exemple des frontispices d’enfer (c’est le mot !).
D’accord avec Mauser, ce qui compte est une certaine correspondance, un “soulignage” du fond pour ainsi dire. Le décalage peut aussi créer un effet (Tezuka, ou bien “Le voyage de Kuro”…). Mais il est hors de doute que Toshusai (“Dossier A”) dessine les corps maladroitement, et se contente de décalquer des photos pour les lieux ou les artefacts. On lui pardonne, “Dossier A” reste génial grâce à Uoto.