Posté dans : Lettre au Pingouin
Faire deux livres, oui cela aurait peut être été mieux mais celà aurait augmenté le cout de fabrication, comme indiqué en préface, Asuka, est près a tout entendre comme critique constructive, pour faire un guide parfait.
Je te rappelle que tu peux voter sur leur site web….
Et rien ne t’empêche de leur faire part de tes suggestions pour la prochaîne édition… Asuka, le demande…
En tout cas, c’est un très bon ouvrage, n’hésitez pas…
J’ai eu cet ouvrage pour mon anniversaire et il est vrai que c’est du tout bon :love: Et c’est avec plaisir que je retrouve les strips du collectif Ben Bao.
Cependant, je pense que Kaze a redonné ses invendus pour fournir un DVD à bas prix comme bonus pour le guide. En effet ce DVD est exactement le même que le DVD Anime Story vendu dans les 5€ pour les 10 ans de Kaze… Un peu de nouveauté aurait été le bienvenu. Mais bon comme je l’ai déjà, il fera le bonheur d’une de mes proches. Après tout, Noël c’est toute l’année. :aile:
Edité par benryo le 03-01-2006 à 16:13
Juste pour la précision, j’ai lu plus haut (j’ai la flemme de retourner chercher où exactement) que certains pensent que c’est le 1er bouquin du type à sortir en France.
Mais un autre était déjà paru aux éditions du Camphrier il y a un peu plus d’1 an et des patates :
“Guide du Manga – Des origines à 2004”.
La diffusion n’avait certes pas l’ampleur du guide phénix mais c’était déjà ça (on pouvait y trouver en plus des descriptifs des séries, certaines infos intéressantes sur d’anciennes éditions de manga en vf depuis les origines, comme indiqué dans le titre)…
C’était juste pour l’anecdote…
Jme suis payé ce bouquin le mois dernier, l’ayant vu à la fnac je n’ai pas cherché a comprendre j’ai sauté dessus. Pas dessus!
(copier/coller d’un avis à moi sur le boukin sur un autre site^^)Bon jmet pas l’avis entier sinon c’est trop long deja que là lol ^^
(…)(…)
C’est une maison d’édition récente que je ne connaissais pas “Asuka” mais qui pour avec un tel travail, mérite que l’on si intéresse de plus près. Un catalogue de tout les mangas qu’ils ont sorti à ce jour est disponible sur leur site. Ils ont aussi colaboré avec la rédaction d’Animeland, le meilleur magazine en france concernant le manga et la japanime (d’après moi); ainsi que l’équipe de KAZE qui offre en bonus un DVD “Anime Story” de plus de 3heures.
Ce guide nous propose donc de découvrir à travers deux grandes parties la diversité de la bande dessinée japonaise en 644 pages dont 64 en couleurs.
▬▬ Première partie ▬▬
● Cette 1ere partie est entièrement réalisée par toute une palette de professionnels de l’édition à savoir des journalistes, des dessinateurs, des éditeurs, ect…Elle nous guidera à travers plus d’une centaine de page sur tout ce qu’il y a à savoir sur le sujet, le Manga de A à Z .
||||||||||||| 1ere page : C’est une préface sur tout les préjugés que peuvent avoir les gens, qui critique le manga sans le connaitre. S’il y a bien une chose que je déteste c’est qu’on me dise : “les mangas, je connais pas vraiment, mais c’est nul et j’aime pas.” Pour juger faut connaitre, vous ne connaissez pas? Ok, abstenez vous de dire quoique ce soit. Les mangas c’est comme tout, il y en a des nuls, des sympas, des super, il y a aussi des chefs d’oeuvre. Il y en a pour tout les gouts, et tout les thèmes possibles et imaginables sont abordés. Action, aventure, histoire d’amour, science fiction, heroic fantaisy…pour petite fille, petit garçon, jeune fille, jeune homme pour toutes les tranches d’âge. Mangas ne veut pas dire que pour les gamins pas pour les adultes. Il y a des thèmes qui sont abordés qui peuvent autant être très dur, sombre, profond, intelligent, réflechis, boulversant que humoristique, légé, futile, divertissant. Alors si vous faites parti des gens qui critique sans connaitre, penchez-vous un peu sur les mangas, vous pourriez être surpris si vous savez regarder un peu plus loin que le bout de votre nez. ||||||||||||||
Il est abordé ensuite de façon clair et très complète la naissance du manga au Japon. Durant une quinzaine de page le guide du manga s’ouvre avec la sous partie “petite histoire du manga” qui suit de manière chronologique l’évolution de la première bande dessinée au manga actuel tel que nous le connaissons aujourd’hui. On relate ici tout l’historique du manga, Kitazawa Rakuten le père fondateur du manga au XIX eme siècle, le succés que rencontre le manga, les années de son essor dans les années 1920, le manga pendant la guerre, pendant l’après guerre avec entre autre Osamu Tezuka, l’appariton des revues hebdomadaire en 1959 avec le célébre Shonen Magazine, suivi ensuite de Shonen Sunday publié par la célébre maison d’édition Shogakukan.
-* Petite Paranthèse *- [[ Aujourd’hui le magazine Shonen Jump est le magazine de BD le plus lu au monde. Il est hebdomadaire et a un tirage d’environ 5 à 6 million d’exemplaire chaque semaine, rien que ça. Un pavet de 450 pages au prix derisoire de 1€36 rendu possible par tout les bénéfices de la Shûeisha que cette maison d’edition fait sur les ventes faramineuses sur les series pré-publiées dans le Shonen Jump. Pour découvrir une serie, c’est un excellent moyen, un rouage qui a été compris il y a bien longtemps, pour notre plus grand bonheur.]]
● Ensuite pendant une vingtaine de pages, on nous parle de toutes les spécificités narratives du mangas, tout ce qu’il faut savoir pour parfaitement cerner l’univers propre du manga. Car oui, le manga est rempli de code graphique et narratif qu’il n’est pas toujours aisé de comprendre quand on a pas l’habitude. Le manga est issu d’une culture qui n’est pas la notre, il faut donc apprendre les diverses spécificités qui le compose tant au niveau narratif que graphique. Ici donc est mis en avant tout ce qui différencie le manga de la bande dessinée occidentale (franco/belge, ou américaine) de part l’intrumentalisation du dessin , le dynamisme des mise en page, les découpages inventifs…
On passe après sur les spécificités graphiques du manga. Visuellement parlant, il se reconnait tout de suite par des particularités graphiques que le lecteur occidental trouvera inhabituel. Il sera étudié en profondeur les personnages et archétypes, les outils des mangakas, les décors, la réalisation de ces derniers, ect ect…
●Quelques pages sont consacrées ensuite à l’adaptation du manga à l’anime, les différentes étapes…Viens juste après une petite liste des grandes dates de l’animation japonaise en 30 étapes, 40ans d’évolution des techniques de réalisation et scénaristiques.On commence par astro boy (1963) en passant par Nausicaa de la vallée des vents en 1984 (inédit encore en france, tout les miyazaki ne sont pas sortis, il magnifique je vous le conseille), EVANGELIOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON en 1996 et pour finir par les années 2000 avec le voyages de chihiro, haibane renmei (les ailes grises) etc etc…
● Le guide aborde aussi l’envers du décor, les coulisses, avec le travail rigoureu et difficile des mangaka, ainsi que le travail et le fonctionnement de l’édition au japon.
● 4 pages sur la signification réelle du manga, sur ses influences zen, bouddhiste,sur les sources spirituelles du manga. L’esprit du zen est fortement encré dans le manga, il est très intéressant de lire et de comprendre les bases, le développement du manga à travers cet esprit qui est ne l’oublions pas fortement présent dans la culture japonaise sous différentes formes.
● Un dossier vraiment très complet sur le grand génie du manga Osamu Tezuka, qui retrace sa vie, ses oeuvres sur plus de 40ans, et croyez moi, y’a beaucoup, mais alors beaucoup de choses à dire.
● 80 pages environ sont consacrées au 40 auteurs majeurs de mangas, très différents les uns des autres par leur style graphique, les sujets qu’ils développent. Un dossier vraiment intéressant qui permet de connaitre tout le parcours de nos auteurs favoris, et qui pour la plupart son aussi connu au japon qu’en france (par les connaisseurs cela va de soi).
● Un petit lexique explicatif pour ceux qui serait perdu si on venait à leur parler de sentaï, de shojo, de shonen, de yaoi ect.. Vous êtes perdu? Tanpis.
● Nous avons le droit à une ebauche d’étude de marché sur le manga au Japon, ainsi que le top ten des ventes pour chaque maison d’édition, ainsi que pour le japon entier pour l’année 2005. On parle aussi des maisons d’édition au Japon, de leur naissance à leur état actuel, leur catalogues…
● Après avoir parlé du manga au Japon, voilà une partie qui développe le manga en France, la place qu’il à prit au fur et à mesure des années, et qu’il prend aujourd’hui. “Le manga reste encore aujourd’hui considéré comme un sous produit d’une paralittérature, toujours victimes de certains préjugés, bien que l’on ai pu constater dernièrement une évolution des mentalités à leur propos.” Depuis bientot 15 ans, les mangas sont présents dans les librairies françaises, et le nombre de series, et de parutions chaque mois va croissante, ce phénoméne prouve de plus en plus aux détracteurs que ce n’est pas un phénoméne de mode ^ – ^
● Vient ensuite une petite partie qui récapitule de façon non exhaustive des clichés absurdes qu’ont beaucoup de gens sur les mangas.
● Pour clotûrer ce long dossier sur le manga, le collectif d’auteur à décider de parler de l’engouement pour le manga à travers le monde.
▬▬ Deuxième partie ▬▬
La seconde partie de ce guide du manga consacre plus de 400 pages de référencement sur toutes les oeuvres parues en France avec les fiches techniques très détaillées, les résumés de chaque oeuvres, leur année de parution au japon, le nombre de volume sorti au japon, en france, leur prix, leur maison d’édition, ainsi que des informations complémentaire sur l’oeuvre. Classification de A à Z , absolument génial pour s’y retrouver en un clin d’oeil.
Tout les mangas sortis en France sont dedans, depuis le tout premier à décembre 2005. Tous y sont ne chercher pas à essayer de voir s’ils en ont oublier un, ce serait une perte de temps. Et si vous chercher un livre et qu’il savère ne pas être dans la liste c’est bien simple, ce n’est pas un manga.
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Comme vous l’aurez certainement compris, ce guide du manga est extrémement bien fait. Voilà un travail abouti, vraiment instructif. Il s’adresse autant au connaisseur, qu’au novice, et même au gens qui n’y connaisse absolument rien en la matière. Que l’on aime ou pas le manga, il est très intéressant de posséder cet ouvrage pour la culture personnelle.
(…)(…) ect ect
L’as-tu lu pour te permettre de dire qu’il est à fuir ?
Même s’il contient des erreurs, et il en contient (c’est une certitude !), ce n’est pas une raison pour nier son existence ainsi que le travail qui a été effectué derrière. Merci d’avance.
Pour info, le HS 5 d’Animeland a en partie servi de base au guide du Camphrier. Donc dire que ce dernier ne vaut rien équivaut à dire que le HS 5 ne vaut rien. (Encore fallait-il avoir lu le dit guide pour s’en rendre compte !) 😯)
Dernier point, même si je recommande très chaudement le Guide d’Asuka, plus d’ailleurs que celui du Camphrier (rapport qualité/prix, quantité d’infos, etc.), il faut être lucide 2 min : sans le guide du Camphrier, celui d’Asuka n’aurait probablement jamais vu le jour. ça leur a bien mâché le travail (et qu’ils ne viennent pas dire le contraire puisque leur repré le vendait aux libraires en tant que copie en mieux de celui du Camphrier) et leur a montré les erreurs à ne pas faire (d’ailleurs, pour rappel, il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne font jamais d’erreurs, et le guide d’Asuka en contient lui aussi).
Voili voilou. Cette petite mise au point me semblait nécessaire. Vous pouvez reprendre votre discussion où vous l’aviez laissée 😯)
Vous écrivez : “L’as-tu lu pour te permettre de dire qu’il est à fuir ?
Pourquoi me vouvoyer ? (je pourrais presque croire à du mépris…)
Je ne nie pas son existence, puisque j’en ai parlé, je l’ai lu, je l’ai touvé décevant, trés décevant. Le livre de F Schodt, Manga, Manga !, qui fut publié en 1983 est plus complet sur le sujet.
Je ne l’ai pas lu et il est fort possible que ce soit le cas.
Je ne dis pas qu’il n’y a pas eu de travail derrière, mais, il a été trop hatif. vous me semblez parler avec une grande véhémence, avez vous participer à l’élaboration de cet ouvrage ?
Oui, j’ai travaillé dessus (comme tu l’as très justement deviné – en même temps, c’était facile !). Et oui il a été terminé à la hâte, raison pour laquelle mon nom n’apparaît pas.
Maintenant, il n’est pas question pour moi de faire vendre le guide du camphrier, pas plus qu’il n’est question pour moi de le brûler en place publique. Cependant, par respect pour le temps, le travail et le stress fourni durant la période de gestation de l’ouvrage, je ne peux décemment pas laisser dire que ce livre “est à fuir”.
Autant le dire, cela me semblerait plus franc
1) il est très aisé de s’en rendre compte
2) il suffit de poser la question le cas échéant, je ne m’en cache pas 😯)
Vous écrivez :”Donc dire que ce dernier ne vaut rien équivaut à dire que le HS 5 ne vaut rien. (Encore fallait-il avoir lu le dit guide pour s’en rendre compte !) ”
C’est justement ce qui m’a géné, payer 16 euros, pour des informations que j’ai eu pour 6, cela ressemble à de la provocation.
ça c’est de la mauvaise foi. Toute la partie guide des sorties ne figurait pas dans le HS, tout comme une grande partie du lexique ainsi qu’un tas d’autres petites choses que j’avais veillé à ajouter en plus value pour à la fois satisfaire les lecteurs exigeants et éviter de plagier bêtement le HS, ce qui n’aurait eu aucun intérêt pour qui que ce soit.
Autant je peux comprendre qu’on considère le guide du camphrier comme un catalogue et qu’on refuse de payer 15 euros pour un simple catalogue. Puisque c’est ce qu’il est au final (et là, pour le coup, c’est de la provocation ) autant être frustré par une comparaison avec le HS ne me paraît pas justifiée.
A la limite, ta remarque est même plutôt applicable au guide Phénix, que j’aurais volontier payé 6 euros de moins avec les textes du HS 5 en moins. Là pour le coup j’ai l’impression d’avoir acheté 2 fois le même truc (et je ne parle pas de ceux qui, à priori, avaient acheter en plus le DVD Kaze pour les 10 ans).
Au fait , je lis Animeland depuis sa sortie en kiosque…
Oui, oui, je sais tout cela. Mais il n’est pas ici question d’Animeland, juste de 2 ouvrages traitant des manga parus en France.
Vous écrivez de même: “sans le guide du Camphrier, celui d’Asuka n’aurait probablement jamais vu le jour. ça leur a bien mâché le travail (et qu’ils ne viennent pas dire le contraire puisque leur représentant le vendait aux libraires en tant que copie en mieux de celui du Camphrier) et leur a montré les erreurs à ne pas faire”
En même temps le guide Asuka est clairement lié avec Animeland, votre employeur…
Voilà le genre d’amalgame qui arrive souvent quand on intervient sur un forum en tant que professionnel.
Animeland, le Camphrier, Asuka et moi-même sommes 4 entités distinctes. Si des collaborations ont lieu, chacun conserve son indépendance. Asuka et Animeland ont travaillé de concert, j’ai été sollicité sur le tard pour le projet et dans l’impossibilité de répondre (faute de temps) à la requête qui me fut faite.
Enfin, que mon employeur soit lié au guide d’Asuka (que j’ai acheté, tout comme celui du Camphrier) ne m’empêche nullement de rester critique envers le travail effectué par chacun. Asuka a su tirer profit des éléments mis à sa disposition pour réaliser son guide. Mais heureusement que les dits éléments existaient déjà, c’est tout. Ils ont ainsi économisé plusieurs mois de travail. Ce n’est pas une critique, seulement une réalité. De la même manière qu’internet m’avait fait économiser du temps dans mes recherches (impossible autrement depuis la France).
Si j’en juge par les collaborations, les remerciements et les suppléments du DVD, (l’entretien avec O. Fallaix par exemple), il n’y a pas l’ombre d’un doute sur la collaboration entre Asuka et Animeland, ce qui ne me dérange en rien.
Encore une fois, je parlais de l’inspiration tirée du guide du camphrier. En celà, je n’ai vu aucun remerciements. 😯) Et pour cause, il n’y a pas à en avoir.
Je trouve étrange que vous réagissiez ainsi,
Déjà, je me permet de réagir. ça prouve que je suis vivant, d’une part, et c’est pleinement mon droit, d’autre part.
vous êtes membre du staff,
Et ? serais-je lié par une langue de bois ?
Encore une fois, en ce qui me concerne, je n’ai a aucun moment évoqué animeland contrairement à toi.
et vous n’indiquez rien sur vous.
Un autre de mes droits. J’ai déjà été obligé de détérer mon vieux profil pour réagir, faudrait pas encore que je m’intègre de force dans une communauté qui a très bien vécue pendant des années sans moi. 😯)
Mon post n’attendais d’ailleurs pas de réponse, il cherchait juste à apporter une lumière supplémentaire à des lecteurs toujours plus avides de connaissances.
Un dernier point. Le guide de Camphrier garde encore à ce jour 2 différences par rapport au guide Asuka :
– le fait que les rédacteurs de l’ouvrage aient lu au moins 1 volume de toutes les séries référencées (aucun résumé n’a été tiré du net ou des fiches éditeurs)
– les notes supplémentaires apportées dans chaque fiche. Elles ne sont certes pas toutes indispensables, mais certaines étaient exclusives à l’ouvrage
Et c’est un parti pris que je comprends tout à fait. Le guide Asuka possède nombre de qualités qui en font un incontournable. Qualités qui palient effectivement à ce choix éditorial.
La critique d’Animeland et celle du Virus, sont particulièrement justes, neutres et représentatives du guide du Camphrier. Mais le scépticisme est une notion qui laisse le bénéfice du doute à l’ouvrage, contrairement à un “à fuir” qui ne laisse aucun échapatoire. Net, cruel et sans appel.
Ceci étant dit, le temps passe et le guide du Camphrier devient toujours plus désuet chaque jour. Il n’y a donc pas de quoi crier au scandale…
Tu n’es pas le seul…
ça fait parti des nombreux éléments qui auraient dû figurer dans le guide et qui ont été supprimés faute de temps. Et je ne désepère pas un jour d’avoir l’occasion d’écrire le livre qui m’interesse sur le sujet… En attendant, je guette l’arrivée du grapholexique…
Je n’ai pas été blessé. J’estime seulement que le guide du Camphrier mérite d’avoir sa chance auprès des lecteurs potentiels qui ont la possibilité de feuilleter l’ouvrage avant de se décider (éventuellement) à l’acheter ou non.
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