L’arrivée d’Umidasu a été accompagnée d’une problématique : Ah my godess peut il être considéré comme un manga shojo ?
– Pour Ndj l’agressif, non !
– Rei émettait certaines réserves: “Sinon, pour “Ah my Godess”, ça se discute. Mais c’est vrai que le rapport (motos+jolies filles)/hommes est un poil trop élevé pour être honnête…”
– Perso je pense que le style graphique du manga de Ah my godess permet à mon avis d’écarter la catégorie Shojo, on est assez loin quand même des codes du genre ( ben ouais Kosuke Fujishima dessine autre chose que des têtes), mais quant au fond il est vrai que ce style de comédie sentimentale fleurte assez avec la barrière : je suis fan de Video Girl Ai et d’I’s mais je me demande parfois si ces séries ne seraient pas plus susceptibles d’être lues par des filles que par des garçons…
Au delà de ce cas d’espèce, le problème est plus général : où se trouvent les frontières d’une catégorie, en l’occurence ici le shojo : faut il se fonder sur le code graphique du genre ou sur le fond de l’histoire car si on part du postulat selon lequel le shojo est un manga pour fille, comment classer des oeuvres sentimentales : j’ai en tête un exemple : Parallel est il un shojo ?