Citation (NdJ)
Oui mais non. Parce que si on va par là, faut penser à ajouter les 3 films et les 2 téléfilms (sortis chez IDP), qui augmentent du coup le budget animé, et font gagner le budget manga.
Certes, mais d’un autre côté ces films et téléfilms n’existent pas sur support papier, donc bon, il n’y a pas vraiment le choix. Je dirais que c’est à part., tout comme les OAV de Ranma 1/2 ou les films de DBZ.
Citation (Tomus pingouinodinosaurus)
C’est vrai qu’avec Bub (27 ans), Kuronoe (26), Ndj (29), Saffran (27) et moi (27), ça fait un peu le club des dinosaures de plus de 25 ans…
Mouarf. ^^
Qui joue le rôle du diplodocus ? du tyrannosaure ? de l’oiseau aux dents longues ?
Citation (NdJ)
AMHA, il était parti pour dire “Oh mais ce n’est pas comme ça qu’on fait”, puisqu’il a acquis une certaine expérience du tricot (cf. page 28) mais je peux me planter lourdement…
Citation (Tom)
de mon côté je m’étais embarqué sur tout un tas de spéculations, sans véritable indice, sur leur “vie commune” : “Oh, mais ce n’est pas notre premiere année de vie commune”, sous-entendu ils vivent ensemble depuis un an mais sortaient déjà ensemble à l’époque de la 3e….
De mon côté je m’étais imaginé qu’il allait répondre “oh ! mais ce n’est pas la peine !” et la planter pour aller retrouver la fille du collège, avant de se raviser. Quel romantique je fais.
Citation (kuronoe)
d’ailleurs je sors un peu du sujet , quoique, mais avez vous lu Regatta? si le style graphique est assez particulier; la trame de fond rappelle un peu l’Adachi’s Touch je trouve…
Moi je l’ai lu, principalement dû au fait que ça parle d’aviron et que j’adore le trait de l’auteur ( AL en avait fait un article il y a quelques années, sur un manga qui racontait la vie d’un jeune couple ).
Bon, niveau sportif, étant moi-même moniteur de ce sport, je reconnais que les Japonais sont forts pour mettre en scène tout et n’importe quoi, mais ici ça risque d’être très juste pour rendre passionnant l’aviron. Sport de glisse et de vitesse, je pense qu’il est difficile de parvenir à véritablement créer du suspense dans une course ( on “sprinte” en ligne droite, on gère son effort tout en assurant son équilibre pendant quelques minutes, rien de transcendant pour le grand public habitué aux courses éclairs des sprinteurs sur piste, mais bon, pourquoi pas ? ), à moins d’y aller à grands coups d’énormités comme j’ai pu en voir dans ce premier volume ( ce ne sont plus des athlètes mais des surhommes qui réalisent des prouesses sur du matériel dépassé ).
Niveau “sentimental”, l’histoire met tout le volume pour décoller, sans qu’on sache vraiment à quoi s’en tenir dans les chapitre à venir, tant il n’y a pas vraiment de gros enjeux ( 1 garçon, 1 fille, combien de possibilités ? ). Disons que le thème principal tourne autour du deuil, mais que cette dimension me semble moins lourde et dramatique – toutes proportions gardées – que dans Touch, sans spoiler quoi que ce soit.
Ceci dit, il y a “quelque chose” de sympathique chez cet auteur et je vais très sérieusement me pencher sur son “L’homme du train” qui vient de sortir.