Se souvenir de moi

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Feanor-Curufinwe le 17 octobre 2016 à 11 h 21 min #417273

Dragon Ball Super
Episode 62
Sekai ha Ore ga Mamoru !
Trunks Ikari no Super Power Sakuretsu !!
Je Protégerai le Monde !
Le Super Pouvoir de la Furie de Trunks Explose !!

“Je suis un pécheur, et alors ? Je protégerai ce monde !”

Face à la révélation de Gokû Black et Zamasu que les voyages temporels de Trunks sont la cause de la naissance du projet Zéro Humain et l’origine de toutes leurs exactions, ce dernier explose de rage et libère une puissance insoupçonnée. Réussissant à contenir les deux adversaires, il demande à Vegeta de retourner dans le passé avec Gokû et Bulma, histoire de trouver un meilleur moyen pour les vaincre pendant que lui les retient. Dans le présent, Piccolo trouve ce moyen au travers d’une vieille technique qui a fait ses preuves.

“Aller et Retour, Récit d’un Saiyen du Futur par Trunks Sacquet” pourrait être le sous-titre de cet arc, au vu de l’épisode de cette semaine ! Ouaip, une fois de plus, retour à la case départ pour nos guerriers, avec une légère différence, Trunks reste dans le futur pour botter des fesses divines ! Hnnnn… mon conseil : si vous avez plusieurs choix de choses à voir ou à faire et que vous ne savez pas par où commencer, je vous allège d’un poids, ne regardez pas cet épisode 62… pas tout de suite, du moins. Attendez la sortie de l’épisode 63 et regardez les deux d’une traite, vous serez certainement moins frustrés que moi, pour le coup. Excepté la fin, c’était un épisode inutile et une affreuse perte de temps.

Bon, y a peut-être un ou deux trucs à sauver, quand même. D’abord, j’ai bien aimé la jalousie apparente de Vegeta, lorsqu’il entend sa femme ne compter que sur Gokû pour trouver le moyen de vaincre Gokû Black et Zamasu, et sauver Trunks. C’est une jolie préparation pour ce que nous promet l’aguiche de l’épisode 63, à savoir un Vegeta bien remonté à bloc contre le Gokû Black ! Et puis la réaction de Beerus et son “rien à foutre” ostensible donnent un peu de piment à cette histoire, et c’est fort plaisant !
L’autre truc bien, c’est le petit retour à Kame House ! ça fait son petit effet, d’autant plus avec le retour de cette technique dont l’utilisation est somme toute logique.

Pour le reste, c’est fade. Les perso sont raides comme des balais, mal dessinés une fois sur trois, et surtout, on passe le temps à rabâcher les mêmes info aux autres perso sur les révélations de la semaine dernière… c’est d’un chiant. Pourquoi ne pas avoir fait ça hors-champ ? Pourquoi nous ressortir deux fois les mêmes info ? Parce que c’est un épisode vide, et qu’il fallait bien le combler avec quelque chose…
Voilà, du coup, pas grand-chose à rajouter. Suivez mon conseil, attendez la semaine prochaine pour voir cet épisode juste avant le suivant qui, lui, promet d’être dans la lignée du 61 !

A suivre !

"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Feanor-Curufinwe le 23 octobre 2016 à 18 h 42 min #418161

Dragon Ball Super
Episode 63
SaiyaJin no Saibô wo Kegasuna !
Vegeta no Sôzetsu Battle Kaien !!
Faire Honneur au Sang Saiyen !
Le Combat Féroce de Vegeta Commence !!

“C’est l’heure d’ouvrir le rideau sur le troisième acte !”

Gokû a réussi à maîtriser la technique qui pourrait lui permettre de vaincre Zamasu et Gokû Black, Vegeta a terminé son entraînement dans la salle de l’esprit et du temps et Bulma a fini de recharger la machine à voyager dans le temps. C’est bientôt l’heure du retour vers le futur. Pendant ce temps, Trunks s’est remis de ses blessures, et il apprend que Mai est partie pour essayer de tuer Gokû Black avec une balle spéciale conçue par Bulma. Sur place, il tente à nouveau de battre son ennemi.

Trunks semble avoir réussi à maîtriser cette nouvelle force en lui, mais étonnamment, pour le moment du moins, il n’y a pas d’explication sur la nature de cette forme. S’agit-il d’un état intermédiaire entre Super Saiyen et Super Saiyen Blue ? Lorsqu’il utilise cette énergie, ses muscles commencent par gonfler exagérément avant de revenir à leur état habituel. Serait-ce en rapport avec la transformation qu’il avait utilisée contre Cell ? En tout cas, cet état ne lui permet pas de se battre indéfiniment, c’est donc une force instable.
Quoi qu’il en soit, cette fois, plus de possibilité de repli stratégique, ce combat sera vraisemblablement le combat final. Et ça commence fort, très fort ! C’est bien simple, il n’y a pas de temps mort dans cet épisode ! Si Trunks ouvre le bal de manière spectaculaire, Vegeta et Gokû prennent le relais avec autant de fougue ! Et Vegeta se la joue même Billy Drago, alors que Zamasu sort un énième monologue sur la stupidité des humains. Ce vent qu’il lui met ! “Han ! J’t’écoute même pas !” 😆
Il est d’ailleurs très en forme ici, niveau répartie ! Quand Gokû lui demande quel adversaire il choisit, c’est Gokû Black qui a sa préférence, répliquant qu’étant supérieur au vrai Gokû, il n’y a aucune raison qu’il puisse perdre face à une contrefaçon !

C’est véritablement la star de l’épisode. Son combat contre Black efface toute la frustration de ses précédents affrontements dans cet arc. Deux épisodes plus tôt, c’était Gokû qui tirait toute la couverture pour lui avec ce coup de poing “bitch please” à Zamasu, cette fois c’est un coup de boule “biatch pretty please” Made in Vegeta qui met tout le monde d’accord ! 😆

“Ore ga SaiyaJin no Ôji… Vegeta Sama ga kara daaa ![/b]“

Des faiblesses dans cet épisode ? Oui, mais très minimes ! D’abord, Mai qui pensait réellement pouvoir tuer Black avec une arme à feu… et ensuite l’absence d’explications, évoquée plus tôt, quant à l’origine de la nouvelle force de Trunks. Tout le reste passe comme une lettre à la poste ! Même en retrait, et sans possibilité d’utiliser la technique apprise dernièrement, Gokû envoie aussi du lourd contre Zamasu ! On sent qu’il reste encore en lui quelque rancune après les révélations du Kaiôshin apprenti deux épisodes avant. Et Bulma a une véritable utilité ici, cette fois.

Gowasu et le Kaiôshin de l’Univers 12 font également une apparition dont la seule véritable utilité est de donner quelques détails sur cette histoire de mort divine (on apprend également que Gowasu n’a été tué “que” deux fois), ainsi qu’une révélation moins attendue sur le système divin, en particulier la fonction de Whis, dont on apprend ici le véritable statut.

Voilà ! Un épisode aussi puissant et haletant que le 61 ! La réalisation n’était pas en reste, et on nous a livré quelques moments de combat anthologiques, tous différents les uns des autres. Chacun apporte un rythme qui lui est propre, et les transitions entre chaque scène sont extrêmement fluides et bien trouvées !

Oubliée, la frustration de la semaine dernière. Et quand on voit ce qui nous attend pour le 64, difficile d’attendre jusqu’à la semaine prochaine ! Vite, vite, vite !

A suivre !

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Feanor-Curufinwe le 30 octobre 2016 à 19 h 30 min #418982

Une interview de Patrick Borg et Philippe Ariotti ! Deux des voix les plus iconiques de la saga Dragon Ball ! 😀
http://www.manga-news.com/index.php/actus/2016/10/17/Interview-de-Patrick-Borg-et-Philippe-Ariotti

Pour info, Dragon Ball Super devrait arriver en France en février 2017 !

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Feanor-Curufinwe le 31 octobre 2016 à 10 h 25 min #419095

Dragon Ball Super
Episode 64
Agame Yo ! Tatae Yo !
Gattai Zamusa Bakutan !!
Vénérez-le ! Adorez-le !
La Naissance Explosive de la Fusion des Zamasu !!

“La colère, hein ? Colère contre les humains qui manquent de respect envers l’univers. Colère contre les dieux qui laissent couler une telle attitude. Mais surtout… colère contre mon impuissance face à un simple humain…”

Surpassé par un Vegeta revanchard, Gokû Black découvre comment ce dernier a pu atteindre un tel niveau. C’est la colère ressentie qui lui a permis de devenir aussi fort, un domaine qu’il n’avait pas encore exploité jusqu’ici. Il se créé alors une nouvelle arme d’énergie, une faux redoutable capable de créer des brèches dans l’espace déployant d’étonnantes capacités.

De son côté, Zamasu parvient à fausser compagnie à Gokû et se dirige vers Mai, Trunks et Bulma qui n’a toujours pas terminé de préparer la machine à voyager dans le temps. Trunks s’érige alors en dernière ligne de défense, mais parviendra-t-il à maîtriser la technique requise pour se débarrasser du Kaiôshin renégat ?

Ne soyez pas trompés par le titre, la fusion promise n’a lieu qu’à la fin de l’épisode ! Pour autant, c’était quand même un très bon épisode, qui ne repose pas sur ses combats (très courts ici) mais sur la tension apportée par la réplique de Gokû Black et Zamasu face à des humains (dans le sens non-divins) qui n’arrêtent pas de leur causer problèmes et frustrations. Non, Vegeta ne se prend pas de gamelle, malgré la prise de conscience de Gokû Black sur la source de sa puissance. Néanmoins, le nouveau pouvoir que ce dernier déploie est suffisamment intrigant pour que nos deux saiyen pur jus se retrouvent décontenancés. Quant à savoir quelle est la nature de ces brèches ouvertes et sur quel monde elles mènent, c’est encore très cryptique. Est-ce que cela aura une répercussion dans la suite de la série ? Va savoir, petit insecte subtil.

La partie concentrée sur Trunks, Bulma et Mai oscille entre le comique et l’épique. Voir Trunks réaliser des poses dignes du Ginyû Tokusentai peut paraître déplacé vu le contexte, mais ça fonctionne étonnamment bien pourtant ! De la même manière, Bulma qui essaie de gagner du temps pendant que son fils apprend le Mafuba, en pensant que faire du gringue à Zamasu, ça marchera, c’est assez hilarant et ça nous ramène à l’époque des premières années de Dragon Ball, ce qui est toujours agréable, et vous rappelle que non, DBS ce n’est pas DBZ ni DB, mais un très bon mix des deux !
Certains vont sans doute tiquer et pinailler sur le fait que Trunks maîtrise une technique aussi complexe que le Mafuba en ayant simplement vu Piccolo le faire une fois sur une vidéo de Bulma, mais ce serait oublier que Tenshinhan aussi, à l’époque de Piccolo Daimaô, avait maîtrisé la technique après avoir vu Kame Sennin la réaliser une seule fois.

Cette semaine, c’était un épisode techniquement au-dessus de la moyenne, surtout dans sa première partie, avec un chara-design très agréable et des effets sympathiques, comme le Mafuba ou la matière présente dans la brèche ouverte par la faux de Black.
La tension était moins élevée que la semaine dernière, mais la fin annonce un épisode 65 qui devrait relever la sauce !

A suivre !

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Feanor-Curufinwe le 6 novembre 2016 à 11 h 23 min #419462

Pitite interview de Brigitte Lecordier et Mark Lesser !
http://www.manga-news.com/index.php/actus/2016/10/22/Interview-de-Brigitte-Lecordier-et-Mark-Lesser

La partie où Brigitte évoque les conditions de doublage de Dragon Ball GT est assez éclairante sur les méthodes de certains décisionnaires qui ne comprennent pas le rôle important que certaines voix peuvent donner dans l’appréciation d’une oeuvre (et même dans la tête du spectateur habitué à entendre telle voix pour tel personnage depuis son enfance), et DBGT est symptomatique de la façon dont le doublage est traité depuis la fin de la grève des comédiens de doublage.

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Feanor-Curufinwe le 7 novembre 2016 à 11 h 59 min #419543

Dragon Ball Super
Episode 65
Saigo no Shinpan Ka !?
Zettai Shin no Kûkyoku no Power
Est-ce l’heure du Jugement Dernier ?!
La Puissance Ultime du Dieu Absolu

“Ma forme est justice. Ma forme est le monde. Vénérez-moi. Adorez-moi. Le dieu sublime, immortel et surpuissant… Zamasu !”

De la fusion de Zamasu et Gokû Black est né le dieu Zamasu, et ce dernier ne tarde pas à mettre à exécution son plan “zéro humain”. Vegeta et Son Gokû lui tiennent tête tandis que Trunks évacue Bulma et Mai en lieu sûr et porte assistance aux réfugiés.

La première partie de l’épisode sert surtout l’ambiance. Il faut dire que Zamasu ne déroge pas à la règle du vilain alpha qui adore se faire mousser en vous sortant d’interminables monologues sur la vastitude incommensurable de sa puissance et la folie des êtres inférieurs à tenter malgré tout de s’opposer à lui. Et il ne s’en lasse pas le bougre ! Que ce soit pour se présenter, pour faire face à Son et Vegeta ou encore lorsque Trunks se joint à la fête, il ne manque pas une seule occasion de se jeter des fleurs et de se gausser de ses ennemis.
On remarquera avec un plaisir non dissimulé l’effet miroir du duel de kikoha de Trunks contre Zamasu avec celui de Gohan contre Cell, lorsque Vegeta s’invite, nous gratifiant d’un double Garlic Hô des familles, avec un “Trunks, balance-lui tout ce que t’as !” qui rappelle le Kamehameha père-fils de Gokû-Gohan contre Cell. Certes, le résultat n’est pas le même, mais ce genre de référence est un véritable plaisir, que ce soit pour le clin d’oeil comme pour la mise en avant du lien père-fils.

Du coup, Gokû est bien plus en retrait, mais sa détermination et sa témérité font également plaisir à voir. Il met aussi un point d’honneur à battre Zamasu et fait ici preuve d’autant de fierté saiyen que Vegeta. C’est d’ailleurs amusant de voir qu’il s’étonne des attentions altruistes de son rival préféré sans qu’il se rende compte que s’il a déteint sur Vegeta, ce dernier a également exercé une influence considérable sur lui.

La réalisation est honnête, mais reconnaissons aussi qu’il n’y avait pas de choses extraordinaires à animer non plus. Pas de véritables combats physiques mais juste de bons vieux combats d’énergie à l’ancienne avec force explosions et rayons de lumière multicolores, fumées et poussières levées avec ondes de choc qui vont bien. Il en va de même pour la partition musicale, honnête, avec quelques moments de grâce, mais, faut-il encore le souligner, ça n’atteindra jamais le niveau d’un Shunsuke Kikuchi.

L’arc actuel continue sur sa lancée. Il n’y a plus de place pour le mystère et les révélations (encore que, ce qu’il se passe avec la force de Trunks reste intrigant), mais le combat final qui occupe toutes les attentions tient pour l’instant toutes ses promesses. Comme le boss de fin d’un bon vieux RPG, Zamasu devient de plus en plus dangereux à mesure qu’il prend des coups et change de forme. Il y a une escalade de violence qui promet d’atteindre son paroxysme dans le prochain épisode !

A suivre !

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Feanor-Curufinwe le 14 novembre 2016 à 11 h 51 min #420665

Dragon Ball Super
Episode 66
Kessen !
Akiramenai Senshitachi no Kiseki no Power
La Bataille Décisive !
Le Pouvoir Miraculeux des Guerriers Tenaces

“Un dieu faible incapable de détruire le mal ne sert à rien !”

A bout de force, Son Gokû parvient quand même à repousser l’attaque dévastatrice du Zamasu divin. Mais malgré la décomposition d’une partie de son corps, Zamasu ne s’avoue pas vaincu et continue d’augmenter en puissance. Face à cet adversaire, résultat de la fusion entre leurs deux ennemis, Gokû tente le tout pour le tout et demande à Kaiôshin de lui donner ses potara afin qu’avec Vegeta naisse à nouveau Vegetto, le guerrier ultime.

Oh purée, c’que c’est beau ! J’avais cru comprendre (par ChefOtaku) que beaucoup d’anciens animateurs des précédentes séries Dragon Ball reprenaient du service, du moins pour cet épisode, mais même en le sachant, bordel, t’es pas prêt pour ce qui t’attend, et que c’est jouissif !
On part d’abord sur une retcon avec cette info disant que les potara n’ont en fait d’effet permanent que sur les dieux et qu’ils ne marchent qu’une heure sur les humains. Moi qui m’attendais à voir Vegetto repartir dans le corps de Buu pour se dé-fusionner de nouveau, chuis un poil déçu ! 😆
Et puis, après un dernier grand coup d’éclat à base de Kaiôken Super Saiyen Blue de Gokû, on embraye sur le combat Vegetto / Zamasu, bien barbare et percutant comme y faut ! Ce coup de poing “Bitch Please” sur Zamasu alors qu’il nous ressortait un énième monologue sur les dieux et les hommes, ces larmes du dieu fusionné, ces moqueries de Vegetto… c’était grandiose, presque de la poésie !

La réalisation de l’épisode est effectivement quelques crans au-dessus de celle que la série nous sert habituellement. Si tous les épisodes pouvaient être aussi bons ! Et mine de rien, on se fend même ici d’une référence à Man of Steel qui fait plaisir, un clin d’œil de connivence entre deux œuvres qui se sont reconnues l’une l’autre, et c’est beau ça, la communion entre peuples séparés du bout du monde !
Si le combat entre Vegetto et Zamasu est spectaculaire, ce n’est pour autant pas le moment ultime, bien qu’il n’en soit pas loin. Trunks est le protagoniste principal de cet arc, tout tourne autour de lui. Il est le dernier héros de son monde et tous les espoirs reposent sur lui. Il aurait donc été triste de voir ce dernier posté en retrait. Mais il fallait quand même faire en sorte que son intervention ne fut pas jugée comme improbable étant donné le niveau de puissance de l’ultime Zamasu. C’est là qu’entre en jeu l’origine de cette mystérieuse puissance qui l’habite depuis quelques épisodes, dernier mystère de cet arc. Et c’est diablement bien trouvé, puisque tout repose sur l’espoir (un thème depuis toujours lié à Trunks, faut-il le rappeler ?) qu’il inspire envers ses compatriotes. Et c’est donc à travers ce Genkidama instinctif qu’il voyait sa force augmenter. Le terme n’est jamais utilisé, mais la forme et la couleur de cet orbe qui recouvre Trunks ne laissent clairement pas de place au doute. Et les prières des habitants ainsi que leur confiance portée tout entière vers le fils de Bulma ne diffèrent pas grandement du rituel utilisé par Gokû pour demander aux êtres vivants de donner une partie de leur énergie. Et quoi de mieux pour en finir qu’un combat à l’épée tout aussi jouissif que celui de Vegetto ?

La réalisation, j’y reviens, est au top dans cet épisode, servie de plus par un chara-design des meilleurs jours et des effets pyrotechniques de première classe ! Même la BO, habituellement moyenne, fait des efforts ici, surtout lors du combat final de Trunks, mettant en exergue le caractère bénéfique et miraculeux de la force de Trunks, face à un Zamasu qui tient plus du diable que du divin, et dont les superbes déformations grimaçantes de son visage accentuent plus encore ce fait.

Ah mandieu mandieu, il ne reste plus que l’épilogue pour conclure en beauté cet arc qui a su tenir ses promesses du début à la fin ! Il y a eu quelques cafouillages en cours (notamment les allers et retours dans le temps), mais globalement, c’est une réussite absolue !

A suivre !

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[Participant OfflineAncien★★★★]

geoff34 le 17 novembre 2016 à 15 h 10 min #421437

Solid State Scouter est une musique qu’on entends dans le film Baddack contre Freezer

et elle d’inspire beaucoup d’une autre musique, Technopolis du groupe Yellow Magic Orchestra et qui est tiré de l’album Solid State Survivor

[Participant OfflineGrand maitre★★★★★]

Feanor-Curufinwe le 18 novembre 2016 à 13 h 09 min #421678

Un pitit coup de gueule vite fait concernant DBS, ou plutôt certains commentaires lus çà et là ailleurs sur le web. ^^
Non, Toriyama ne déteste pas DBS, il a juste commenté les problèmes au niveau de l’animation au début de la série. Et ce serait cracher dans la soupe puisque le maître livre le synopsis de chaque nouvel arc, et les évènements principaux qui s’y dérouleront. Ce serait vachement hypocrite de descendre une série sur laquelle il participe énormément. Il n’était pas satisfait de la réalisation, c’est un fait, mais de là à dire qu’il déteste la série, c’est juste un raccourci très maladroit. Je ne sais pas combien de fois j’ai lu ça, et ça m’énerve au plus haut point de voir répandre ce genre de bêtise.
Ensuite, oui, DBS n’est pas un phénomène de forte ampleur, mais si elle ne dépasse pas One Piece en terme d’audience, elle n’a pas non plus à avoir honte de ses audiences plus qu’honnêtes, sans compter qu’en dehors du Japon, la série est activement suivie.
Je peux de plus constater, rien qu’à mon niveau, que la saga Dragon Ball est encore très vivante auprès des nouvelles générations. Ainsi, j’ai surpris mon neveu de cinq ans lorsqu’il jouait avec son cousin, à qui je n’ai jamais montré un seul épisode ou une seule image de l’oeuvre de Toriyama, en train de dire qu’il s’est transformé en, je cite, “super saiyen 2”, et préparant un Makankosappo de derrière les fagots ! 😆
Quand je lui ai demandé où il avait appris ça, il m’a répondu tout naturellement “à l’école”. 😎
Et comment peut-on dire que DBS est éloignée de l’esprit de Dragon Ball, alors qu’elle en est la suite véritable, voulue par Toriyama ? Je l’ai dit et répété à longueur de temps, mais DBS est ce que DBGT n’a jamais été, le parfait mélange entre DB et DBZ. Mais pour le savoir, il faut avoir vu la série, et non pas se reposer sur des on-dit et autres soi-disant déclarations totalement éloignées du propos de base. Bref, ça demande un certain effort intellectuel, ce qui est semble-t-il trop exigeant pour certains utilisateurs du net. Dès qu’il y a une info négative sur DBS, elle est reliée sans vérification, et on en arrive à des raccourcis affligeants et révoltants.
Je suis le premier à le dire quand un épisode ou un arc est mauvais, mais certains sont tellement obtus et ancrés dans ce qu’ils veulent bien croire qu’ils ne feront jamais l’effort de se remettre en question et de laisser une chance à cette série, qui ne fait que se bonifier avec le temps, et préféreront paresseusement se fier aux avis qui vont dans leur sens. On peut reprocher le fait que les deux derniers films ont été adaptés, mais quoi qu’on en pense, ces deux premiers arcs de DBS apportent quelque chose en plus aux films.

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[Participant OfflineHabitué★★★]

Cyril le 19 novembre 2016 à 6 h 10 min #421697

Je n’ai pas regardé Dragon Ball super. Plusieurs raisons à cela :
– les critiques négatives ont certes joué ;
– je suis d’autres séries en simulcast (5 en ce moment : One piece, Détective Conan, Jojo, Keijo et Yuri on ice) et ça me prend déjà pas mal de temps ;
– je lis le manga (je l’achèterai aussi quand Glénat le sortira) et ai vu les deux films et, sur le dernier, il y a des choses que je n’ai pas du tout aimées, notamment en ce qui concerne l’incohérence des rapports de force (problème déjà présent dans le manga de Toriyama d’ailleurs ; et la série télé et les films de la Toeï en rajoutaient régulièrement quelques couches), et la série n’en est probablement pas exempte ;
– il y a une autre “suite” faite par des fans, et donc absolument pas officielle malgré sa popularité et pas dénuée de défauts non plus, mais qui me semble bien meilleure.

Les critiques sur l’arc Zamazu étant plus positives de façon générale, je pense que je regarderai la série quand elle sortira en France sur une chaîne à laquelle je suis abonné. Mais je ne suis pas pressé.

[Participant OfflineGrand maitre★★★★★]

Feanor-Curufinwe le 19 novembre 2016 à 12 h 32 min #421720

Tu seras bien mieux prédisposé avec la version BR / DVD ! 😀
ça t’évitera de voir l’épisode 5 tel qu’il a été diffusé, et c’est pas plus mal !
Autrement, on a déjà parlé des incohérences dans les films, je crois (à moins que ce soit avec quelqu’un d’autre ?), et la version animée en corrige certaines ! ^^
Et en passant, une pitite vidéo du ChefOtaku sur l’épisode 66 !

C’est parfois un peu vulgaire, mais si je continue de suivre cette chaîne youtube, c’est parce que les vidéo du chef sont bien plus intéressantes et instructives qu’elles ne peuvent le paraître au premier abord dans l’ensemble ! Et puis, s’il faut être honnête, je dois reconnaître que moi aussi, avec cet épisode 66,

Spoiler

je me suis fait gangbanguer le cul !

[collapse]

😆

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Feanor-Curufinwe le 21 novembre 2016 à 12 h 06 min #421875

Dragon Ball Super
Episode 67
Arata no Kibô (Hope!!) wo Mune ni
Saraba Trunks
Avec un Nouvel Espoir (Hope!!) dans nos Coeurs
Adieu Trunks

“Trunks, porte-toi bien !”

Aidé de l’énergie de Gokû, Vegeta ainsi que tous les survivants de son époque, Trunks a mis un terme à la vie de Zamasu. Cependant, une partie du dieu maléfique est toujours vivante, et le voilà changé en brume recouvrant entièrement la Terre du futur, se répandant dans l’univers et s’infiltrant même dans la Terre du présent. Épuisés, nos héros ne peuvent l’empêcher de détruire toute forme de vie. Mais il reste un léger espoir, le “bipper” que l’Omni-Roi a confié à Son. Pourra-t-il et voudra-t-il apporter une aide significative à Son Gokû et ses amis et détruire Zamasu, le nuage le plus puissant de tous les temps ?

Après l’épisode de la semaine dernière, et malgré une première partie surprenante, c’est une évidence que de souligner que cet épisode calme le jeu, ce qui est logique puisqu’on se trouve face à l’épilogue de cet arc. L’apparition de l’Omni-Roi règle de plus la petite histoire annexe autour du serment de Gokû de lui trouver un ami. Quant à la résolution de l’arc ayant rapport avec l’acte de l’Omni-Roi en lui-même (la définition même du Deus Ex-Machina), elle se fait seulement à travers les dialogues. C’est assez frustrant, d’autant plus que les informations données laissent entrevoir une situation quelque peu chaotique pour Trunks et Mai une fois retournés à leur époque. De plus, tout est expédié en quatrième vitesse, et faut les digérer, toutes ces info !
Et puis il y a quelques passages intéressants, quoiqu’anecdotiques, comme le lien qui unit Whis au serviteur de l’Omni-Roi, ou encore le fait que la situation n’est pas arrangée une fois de plus grâce aux Dragon Ball. Par contre, faudrait peut-être que je revois l’épisode, toutes ces histoires sur la création des bagues temporelles m’a légèrement embrouillé la tête !

Côté réalisation, pas de miracle. Enfin, sans être catastrophique non plus, on est dans la tranche moyenne inférieure de la série. Ce n’est d’ailleurs pas étonnant que ce soient les dialogues qui livrent les info ici, et non la mise en scène, au vu des moyens restreints utilisés. Reste que la scène du départ de Trunks et Mai est plutôt bien réalisée, occasionnant de possibles larmichettes chez certains !

Bref, une fin précipitée, mais qui n’entache en rien la grande qualité de cet arc, parce que tout ce qui se passe ici ne tient que de l’ordre des info secondaires. La semaine prochaine, et certainement les autres qui suivront, pas de surprise, on entre dans l’inévitable zone des épisodes “filler” en attendant le prochain arc ! Ce sera pas folichon, faut pas se leurrer, mais il y a parfois d’excellentes surprises (comme l’épisode 31 mettant en avant Bulma et Jaco), sait-on jamais !

A suivre !

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Feanor-Curufinwe le 28 novembre 2016 à 11 h 44 min #423816

Dragon Ball Super
Episode 68
Ideyo Shenron !
Kanaeru Negai Ha Dare no Mo no !?
Apparais Shenron !
Qui Verra son Souhait Exaucé ?!

Alors que Bulma tente de créer une machine à voyager dans le temps par ses propres moyens, Gokû décide de réunir les Dragon Ball pour enfin ressusciter Kaiô, Bubbles et Gregory. Lorsqu’il emprunte le Dragon Radar à Bulma, celle-ci se dit que Shenron pourrait lui fournir la matière lui faisant défaut pour achever son invention. Et quand il invoque Shenron, voilà N°18, Tortue Géniale et Oolong qui rappliquent, chacun ayant une idée bien précise de voeu à formuler. Quant à Bulma, elle essaie de tenir Beerus et Whis à l’écart, alors qu’ils sont venus à l’improviste goûter la nourriture terrienne. Squattant toujours chez Bulma, Pilaf et sa bande n’ont pas renoncé à son souhait de conquérir le monde, Minus ! Et, cerise sur le gâteau, Trunks et Goten passaient dans le coin aussi, comme par hasard.

Eh beh. Au bout du compte, c’est un épisode qui n’a aucun intérêt… c’est juste du comique de situation, on apprécie ou pas, mais ça n’amène nulle part malheureusement. Si au moins l’intention de départ avait été respectée, on serait arrivé quelque part, mais là, rien. Un épisode à oublier, sauf si pour vous, Dragon Ball, c’est un univers rempli de personnages égocentriques qui pensent que leur voeux matérialistes sont plus importants que de rendre la vie à trois personnes (pour autant qu’il y ait une différence fondamentale entre la vie et la mort pour un être divin). A ce niveau, on est pas loin des aventures de Bulma lors de la période Freezer ou, à la même époque, de la tentative de Chichi d’aller dans l’espace avec Tortue Géniale et compagnie pour aller chercher son fils sur Namek.
A la limite, on pourrait trouver intéressant de voir que Bulma a bien caché son jeu tout ce temps, et qu’en fait c’est la mère maquerelle la plus efficace du monde ! Un coup de fil, dix millions de zeni, et deux secondes plus tard, Papy Kame est au paradis. Heureusement que Gohan est passé par là et a rétabli un minimum de dignité à tout ce beau monde et une certaine décence à l’histoire. C’est toujours un plaisir de voir une Pan aussi choupi et très loin de l’insupportable pré-ado râleuse de DBGT. Faites qu’elle ne grandisse jamais !

Bref, en résumé, épisode filler inutile mais réalisation pas dégueu, c’est déjà ça…

A suivre !

"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
Star Trek - The Next Generation / The Drumhead

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Feanor-Curufinwe le 5 décembre 2016 à 13 h 02 min #425415

Dragon Ball Super
Episode 69
Gokû tai Arale !
Hacha Mecha Battle de Chikyû ga Owaru !?
Gokû contre Arale !
Un Combat Insensé Sonnera-t-il la Fin du Monde ?!

“Arale est arrivée dans Dragon Ball Super !”

Senbei Norimaki se rend à la capitale de l’ouest pour participer à l’Exposition Universelle (un truc du même genre, en tout cas) où sera récompensée la meilleure invention scientifique. L’évènement, retransmis à la télévision, sera présenté par le champion des champions, Mr Satan en personne ! Sur place, Bulma est également présente, faisant partie des nommés, accompagnée par Vegeta et Trunks. Mais la récompense de la meilleure invention est attribuée à Senbei, avec sa “Machine à reproduire la réalité – Version II“, dont la particularité est créer l’objet ardemment désiré par son utilisateur à partir de rien. Cependant le terrible Dr Mashirito, jaloux de ne pas avoir été invité (bah oui mais t’es mort, aussi), vient ruiner l’ambiance festive en ramenant Arale et les Gatchan sous l’emprise d’une potion, l’Asobitine X, dont l’effet est de multiplier par 100 le désir de jouer. Et quand Arale et les Gatchan veulent jouer avec autant d’ardeur, c’est le monde entier qui risque de prendre cher !

Ce n’était pas très difficile, mais cet épisode est meilleur que celui de la semaine dernière. C’est toujours un plaisir de revoir les personnages de Dr Slump rendre une petite visite dans l’univers de Dragon Ball, et surtout c’était bien mieux exploité que la dernière fois.
Déjà, commencer l’épisode avec une reprise de l’Opening de la série est une excellente idée, un vrai plaisir ! Pareil pour l’apparition du maléfique Dr Mashirito, toujours aussi mort que rancunier. Caricature de Torishima, l’éditeur de Toriyama, lui et son mot fétiche, “Refusé !“, sont bien utilisés dans cette histoire qui flirte sans cesse avec l’absurde et le non-sens, à l’image de l’invention de Senbei, la machine à reproduire la réalité version II, reprise d’une des premières inventions montrées dans Docteur Slump. Celle-ci était un chouïa plus crédible, parce qu’il lui fallait une image de la chose à créer, au moins ! 😆
Soit dit en passant, j’aurais bien aimé savoir quelle était l’invention pour laquelle Bulma fut nommée.

Mon passage préféré de l’épisode reste celui avec Vegeta, qui déduit très rapidement qu’un être comme Arale, avec une force aussi absurde et en contradiction totale avec son design enfantin, ne peut être qu’un personnage de Gag Manga ! Il pousse le dialogue méta-textuel jusqu’à comparer son style de combat à celui d’un manga de baston, soulignant que ce n’est pas approprié pour affronter un personnage de gag manga, et finit même par jurer que plus jamais il ne se frottera à un perso de ce genre.

Et enfin, dernier passage réjouissant de ce bon gros délire, le duel KamehameHa / N’Cha Bazooka. Si ça c’est pas la classe, je vous pas ce qu’il te faut ! 😎
Par contre, problèmes de chronologie repéré. Les personnages de Docteur Slump, déjà apparus dans Dragon Ball, n’ont pas vieilli d’un pouce. Bah, on pourra toujours dire que le temps n’a pas cours au village Pingouin, pis voilà, c’est pas non plus… C’est dommage que cette loi ne s’applique pas également aux comédiens, cela dit, parce qu’on sent que la seiyû d’Arale, Mami Koyama (première voix d’Arale), n’est plus de première jeunesse. La voix est quelque peu fatiguée et a du mal à suivre la formidable énergie déployée par Arale.

Dans l’ensemble, on passe un bon moment avec ce mash-up jouissif, où les gags scatophiles vont jusqu’à interrompre un duel qui s’annonçait titanesquement ridicule ! Et c’est tout ce qu’on attendait de ce mélange des deux univers majeurs de l’oeuvre de Toriyama, parfaits résumés de tout ce qui rend les œuvres du maître passionnantes. Baston, humour, absurde, grandiloquent, pipi-caca ! Bref, tapez ces mots dans votre moteur de recherche et y a de grosses chances pour que le Dragon World vous ouvre ses portes !

A suivre !

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Feanor-Curufinwe le 12 décembre 2016 à 11 h 53 min #427007

Dragon Ball Super
Episode 70
Champa Kara no Chôsenjô !
Kondo ha Yakyû de Shobu da !!
Le défi de Champa !
Cette Fois, on s’Affronte au Baseball !!

“Que le match amical entre l’Univers 6 et l’Univers 7 commence !”

Champa propose à son frère Beerus un match de baseball entre les équipes de l’Univers 6 et celles de l’Univers 7. Le match se déroulera sur la Terre de l’Univers 7, ce qui permettra à Champa de pouvoir réaliser son véritable plan derrière cette compétition sportive : dérober de la nourriture de l’Univers 7. Tu es un être machiavélique, Champa.
Du côté de Beerus, Piccolo, Krilin, Trunks, Gohan, Gokû et Yamcha affronteront l’équipe de Champa, composée de Champa lui-même, Otta Magetta, Botamo, Cabbe ainsi que… Vegeta et Son Goten !

Evidemment, avec des équipes de ce calibre, le match prend très vite des airs de Captain Tsubasa sous stéroïdes ! On est même pas sûr que la Terre tiendra le coup à chaque lancer de Gokû ou Vegeta ! Enfin, c’est sans compter sur l’arbitrage impartial de Whis et Vados, qui sanctionnent toute destruction par une expulsion.
S’il y en a un qui jubile, c’est bien Yamcha. Il se permet même une référence à une réplique de Tenshinhan qui disait, lors du combat contre les cyborg, avoir laissé Chaozu en retrait, n’étant pas de taille (une réplique du même genre est sortie dans Fukkatsu no F, du reste). Cette fois, c’est Tenshinhan et Chaozu qui n’auraient pas été de taille ! Oui, Yamcha prend sa revanche, fini d’être la cinquième roue du carrosse, il est dans son élément ! Il y a même une certaine rivalité qui s’installe face à Vegeta. Hors de question de lui céder du terrain sur ce niveau, surtout avec Bulma qui les observe ! Cela dit, ce n’est pas sûr qu’il en ressorte vivant. Etant le seul à connaître réellement les règles du baseball, les joueurs adverses, Vegeta le premier, n’arrêtent pas de s’acharner physiquement sur lui ! Pauvre Yamcha, même en combinant le Rôga Fûfûken et le Sôkidan, tu risques d’y laisser ta peau… d’ailleurs, l’épisode n’hésite pas à reprendre ta pose la plus iconique de DBZ !

La reconnaissance de toute une carrière -_-

En définitive, je me suis bien plus amusé que je ne l’aurais cru ! Et c’est en grande partie grâce à Yamcha ! L’épisode place de plus çà et là quelques clins d’oeil et références au passif de la saga ainsi qu’à l’univers de Toriyama (Bubibinman !). Techniquement, on oscille entre le médiocre et le plutôt bon. Ce n’était pas aussi amusant que l’épisode 69, mais y avait de quoi se divertir, même si on ne bite rien au baseball !

A noter que la mise en avant (toute relative) de Yamcha dans cet épisode coïncide avec la publication sur la version digitale du Shônen Jump + d’une histoire originale se déroulant dans l’univers de Dragon Ball, consacrée justement à Yamcha ! Elle est titrée Tensei-shitara Yamcha Datta Ken.
L’histoire se déroule dans notre monde. Un jeune lycéen se retrouve catapulté dans le Dragon World, dans le corps de Yamcha après la première transformation de Gokû en gorille géant. Le jeune garçon étant fan de Dragon Ball, il connaît bien sûr le destin de Yamcha, et va donc changer la donne, histoire de mettre plus en avant le loup du désert ! Le premier chapitre est disponible depuis ce matin, et opère une ellipse jusqu’à l’affrontement contre les Saibaimen. La lecture est gratuite et disponible à cette adresse : http://plus.shonenjump.com/client_info/SHUEISHA/html/player/viewer.html?tw=2&lin=1&cid=SHSA_JP02PLUS00005918_57

A suivre !

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Feanor-Curufinwe le 19 décembre 2016 à 12 h 23 min #428782

Dragon Ball Super
Episode 71
Gokû Shi Su !
Zettai Shikkô no Ansatsu irai
Gokû est Mort !
La Mission d’Assassinat Garanti

“Je reviendrai… lorsqu’on t’aura dressé une sépulture”

Piccolo, Goten et Gohan sont arrivés trop tard, Son Gokû vient de s’effondrer, inanimé. Quelques temps plus tôt, ce dernier agissait bizarrement et inquiétait sa famille. En effet, il semble suivre un entraînement impliquant une extrême concentration, le laissant les yeux fermés la plupart du temps, et ne mangeant son riz que grain par grain. Devant l’insistance de ses deux fils, il leur révèle que Hit cherche à le tuer.

Le tournoi multiversel est annoncé dans cet épisode. On ne doit plus être loin du début de ce nouvel arc majeur. Au passage, on apprend qu’il s’est passé un an depuis le tournoi Univers 6 Vs Univers 7. Alors que Vegeta s’entraîne sans relâche auprès de Whis, Gokû reste près de sa famille, tentant d’affiner sa capacité de perception. D’ailleurs, Whis semble en savoir plus qu’il ne veut bien l’admettre à Vegeta. Serait-ce lui qui a prévenu Gokû qu’un contrat était sur sa tête ? En étant un peu plus suspicieux, on pourrait également penser que c’est lui (ou Beerus) qui a engagé Hit pour le tuer. C’est un peu trop extrême, cela dit, d’en venir à cette solution pour entraîner Gokû, sachant que Hit est assez puissant pour parvenir à l’assassiner. Quoi qu’il en soit, le mystère demeure à la fin de l’épisode, on ne sait pas qui a engagé Hit, ni qui a averti Gokû.

Beaucoup de bons points cette semaine ! Le comportement très sérieux de Gokû (tout en gardant son caractère habituel) fera plaisir à ceux qui le trouvaient trop insouciant et juvénile dans la série ! Cela dit, la première partie de l’épisode nous livre quelques bons moments de rigolade avec la persistance du Saiyen à garder les yeux fermés, même pendant les courses. Ou encore avec la filature de ses fils, lorsque Gohan croit fermement qu’ils seront plus discrets en enfilant la tenue du Great Saiyaman ! Et on notera deux jolis clins d’oeil à Dragon Ball, le premier lorsque Goten ne prend que les lunettes du Great Saiyaman, et le second quand la voiture de Bulma s’écrase sur un Gokû tenant un gros poisson sur l’épaule ! Une excellente réminiscence de leur première rencontre !

Avant d’arriver à la fin inéluctable de l’épisode, qui nous ramène à la première scène (oui, pas de mauvaise surprise, même si évidemment le prochain épisode devrait apporter des révélations), on se penche sur Hit et sa dernière cible avant Gokû. Et là, on se retrouve face à de très beaux décors s’accordant parfaitement à la personnalité mutique de Hit, notamment la ville qu’il traverse, inspiration plus qu’évidente de Blade Runner. C’est vraiment dommage qu’elle ne soit pas plus présente dans l’épisode, tant elle est sublime et travaillée, de par ses teintes comme par sa structure et la population qui l’habite ! Et pour appuyer plus encore l’hommage au chef-d’oeuvre de Ridley Scott, même la BO se surpasse ici et offre une composition très proche de celle de Vangelis. Un régal pour les yeux et les oreilles !

Après deux épisodes fort sympathiques mais légers (et un épisode 68 qu’on s’efforcera d’oublier), on retrouve ici un peu de ce qui a fait la force de l’arc Trunks du futur. Hit n’a rien perdu de sa classe ni de son efficacité, même face à un Gokû qui est devenu plus fort. Avec un tel départ, et une réalisation d’aussi bonne qualité, il ne reste plus qu’à espérer que la suite tienne ses promesses !

A suivre !

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Feanor-Curufinwe le 26 décembre 2016 à 14 h 06 min #430029

Dragon Ball Super
Episode 72
Han Geki Naru Ka !?
Mienai Koroshi no Waza !!
Y aura-t-il une Contre-Attaque ?!
La Technique Meurtrière Invisible !!

“Hit ! Tu nous quittes déjà ? Je ne suis pas encore mort !”

Gokû a été frappé d’un seul coup surpuissant au coeur par Hit. Malgré les tentatives de Piccolo, le massage cardiaque n’a pas d’effet. Mais heureusement, la boule d’énergie que Gokû a envoyée en l’air lui est revenue dessus, causant ainsi un choc suffisant pour faire de nouveau battre son coeur. En dépit de l’insistance de ses fils, Gokû refuse toute aide extérieure et envisage d’affronter de nouveau l’assassin de l’Univers 6, et pas plus tard que tout de suite ! Après les invectives d’usage, les deux adversaires s’isolent, et tandis que Hit fait de nouveau montre de ses incroyables talents, Gokû ne démérite pas non plus et son talent inné du combat comme son expérience lui permettent de tirer son épingle du jeu. Le deuxième round de leur duel s’annonce dantesque.

Voilà la conclusion d’une histoire en deux épisodes qui, à défaut de tenir le spectateur en haleine pendant plusieurs semaines, aura tout de même offert un excellent divertissement “à l’ancienne”. En effet, Gokû est au centre de l’intrigue et il prouve qu’il n’a rien perdu de son caractère fonceur et même jusqu’au-boutiste dès lors qu’il s’agit de vouloir devenir plus fort. Il y a même quelques scènes où il nous sort son sourire narquois qui, malgré un chara-design moyen, vous lance quelques frissons dans l’échine de fort bon aloi ! Bien sûr, je ne vais pas révéler l’identité de la personne derrière la mission d’assassinat, mais quand on connaît bien les personnages, ça n’a rien d’illogique, bien au contraire !

Alors, attardons-nous sur l’attraction principale, le combat en lui-même. Hit, soit dit en passant, est bien parti pour faire concurrence à Vegeta au rang de plus grand rival de Gokû, avec le temps, et le prince des Saiyen en est parfaitement conscient. On le voit bien quand il fait presque une crise de jalousie envers Gokû.
Bref, dans leur combat, impossible de savoir si Hit se bat en exploitant toutes ses techniques ou capacités, s’il est à 100% ou pas. C’est en tout cas un excellent “entraînement” en préparation du tournoi multiversel qui approche. Encore une fois, le chara-design moyen n’empêche aucunement le plaisir ressenti à suivre ce combat qui, comme à son habitude lorsqu’il s’agit de Hit, détonne grandement par rapport aux styles de combat coutumiers de la saga. Il faut dire que les techniques surprenantes de Hit reposent moins sur l’utilisation de la force et de l’énergie pure que sur des pouvoirs extra-sensoriels (aussi présents, mais de façon plus rare dans la saga, comme avec le Colonel Blue) que ne renierait pas un JoJo’s Bizarre Adventure, par exemple !

Cette petite histoire sert en définitive visiblement de prologue au prochain grand arc de la série et nous aura offert les prémices réjouissantes d’un combat fortement attendu entre Hit et Gokû, un amuse-gueule de premier choix !

A suivre !

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Feanor-Curufinwe le 15 janvier 2017 à 12 h 35 min #431393

Dragon Ball Super
Episode 73
Gohan no Sainan !
Great Saiyaman Masaka no Eiga ka !?
La Mésaventure de Gohan !
Incroyable, un Film sur le Great Saiyaman ?!

“Je suis le justicier de la ville… Je ne fais pas de cadeau au crime !! Je suis Great Saiyaman !”

Jaco fait une pause Ramen dans l’espace après avoir capturé Watagashi, un criminel recherché. Le parasite en profite pour lui échapper. Au même moment, sur Terre, Gohan et Videl découvrent la bande-annonce d’un film mettant en scène Mister Satan et le célèbre acteur Barry Karn et ayant pour titre Great Saiyaman Vs Mister Satan !
Venu assister au tournage avec sa femme et leur fille, Gohan ne peut s’empêcher d’endosser le costume du super-héros pour réaliser les cascades, motivé par l’envie d’impressionner Pan à l’avenir.
Un peu plus tard, Gohan intervient lors d’un braquage de banque, commis par de vieilles connaissances. C’est le moment que choisit Watagashi pour apparaître sur Terre et débuter sa campagne de contamination maléfique

Si le titre ne vous a pas encore mis la puce à l’oreille, l’épisode en lui-même ne vous laissera aucun doute : Nostalgiques de la première partie de la période Buu, ce 73ème épisode vous est dédié ! Gohan est au premier plan ainsi que son alter ego super-héroïque, le Great Saiyaman. Et comme à l’époque, dans la série tv du moins, on tourne un film mettant en scène le super-héros de Satan City, et comme avant, son identité secrète est mise en danger. Si le clin d’oeil à Batman V Superman fait plaisir, pour le reste, on se trouve face à un épisode bouche-trou très dispensable, sauf si, encore une fois, vous êtes nostalgiques de cette époque.

La partie mettant en scène Jaco est plus intéressante, et cela aurait été bien plus original de se pencher en majeure partie sur le policier intergalactique dans son travail quotidien. Dommage. Il faudra attendre la semaine prochaine pour voir si cela valait le coup de nous ressortir les poncifs de Gohan / Great Saiyaman.

Episode peu intéressant, donc. Si les clins d’oeil à la série précédente (Barry Karn et les braqueurs de banque) sont plaisants, ça ne suffit pas à éveiller un soupçon d’intérêt. Reste que l’attention portée par Gohan envers Pan est toujours aussi touchante. Papa Gâteau !

A suivre !

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Feanor-Curufinwe le 16 janvier 2017 à 11 h 55 min #431507

Dragon Ball Super
Episode 74
Ai Suru Mono no Tameni !
Fukutsu no Great Saiyaman !!
Pour Tous Ceux qu’il Aime !
L’Invincible Great Saiyaman !!

“Pour ma petite Pan, son papa est un héros invincible. Jamais il n’acceptera la défaite devant sa fille. Voilà pourquoi Gohan ne perdra pas.”

Arrivé sur Terre, Jaco informe Gohan de la présence de Watagashi, le parasite extra-terrestre qu’il pourchasse. Le fils de Gokû propose d’avertir son père pour les aider à lui mettre la main dessus, mais Jaco refuse, étant en mission secrète, il doit agir discrètement.

De son côté, Gohan se fait manipuler par l’actrice / Idol Cocoa Amaguri, complice de Barry Karn, bien décidé à se venger de l’attention portée sur les talents de cascadeur du jeune homme ainsi que de l’indifférence affichée par Videl envers l’acteur, en brisant leur vie de famille. Pour ce faire, Cocoa invite Gohan chez elle, soit disant afin de répéter leurs scènes dans le film, le but étant que la presse, avertie par Barry, les surprenne dans une situation très embarrassante. Malheureusement pour la star de cinéma, tout ne se passe pas comme il l’espérait, et sa rage ainsi que sa frustration attirent vers lui Watagashi.

Si les clins d’oeil à Batman V Superman étaient déjà présents dans l’épisode précédent, ici ils abondent ! Difficile de ne pas penser à l’affrontement aussi bien idéologique que physique entre Batman et Superman à travers la rage aveugle de Barry Karn envers Gohan, mais aussi au combat final contre l’imposant Doomsday, lorsque Barry est complètement parasité par Watagashi. Il y a des poses, des cadrages et des situations qui ne laissent planer aucun doute !

Mais le véritable intérêt de cet épisode se situe ailleurs, dans la relation de Gohan avec sa femme et sa fille. L’épreuve imposée par les manipulations et photo de Barry Karn nous montre qu’il en faudra beaucoup plus pour le malheureux qui désirerait briser ce jeune couple uni et véritablement attachant, dont la pierre angulaire en est l’objet même de cet amour, Pan la Choupinette Ultime ! Malheur à qui tenterait d’ailleurs de l’arracher à son cocon familial. Il est bien des choses effrayantes en ce monde, mais l’odeur de la couche remplie par le popo de Pan les surpasse toutes, au vu de la réaction de Barry ! 😆
Plus sérieusement, lors du combat de Gohan, le superbe discours de Videl sur la nécessité de rester forte et confiante quant à la victoire inéluctable de son mari, peu importe la nature de la menace, car aux yeux de leur jeune fille il n’y a pas d’autre issue possible, est particulièrement juste, intelligent et touchant. C’est face au regard de sa femme et surtout de sa fille que Gohan existe, pour lui également la défaite est inenvisageable. On comprend d’ailleurs ainsi que s’il continue à enfiler le costume du Great Saiyaman, c’est en grosse partie pour sa fille, chose qu’il avait d’ailleurs expliquée dans l’épisode précédent.

Et donc, pour m’auto-répondre à la revue de l’épisode 73, oui, trois fois oui, ça valait le coup de nous ressortir les poncifs de Gohan / Great Saiyaman ! ça justifie même amplement l’épisode précédent. En définitive, ça nous a permis d’avoir un épisode 74 très intéressant, et plutôt bien réalisé, qui plus est. Utiliser des références à l’un des meilleurs films de super-héros existants pour raconter l’histoire d’une famille attachante et indestructible, ça valait le coup. Au sortir, on se sent plus léger et le coeur chaud. C’est fichtrement agréable !

A suivre !

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Xanatos le 18 janvier 2017 à 11 h 11 min #431636

Je viens d’apprendre par Killoa du forum Planète Jeunesse que Dragon Ball Super (dont la diffusion a été entamée hier en version française) a fait l’objet de censure lors de sa diffusion sur Toonami.

Selon lui, la scène où Tortue Géniale demandait à Goku d’acheter un magazine pornographique a été tout bonnement supprimée !

On se croirait revenu en 1988 où plusieurs scènes coquines de Dragon Ball sont passées à la trappe lors de sa diffusion sur TF1…

29 ans après, on ne peut pas dire que les mentalités des programmateurs aient beaucoup évolué…

Ceci dit, la censure touche plusieurs types de programmes: on peut penser notamment à l’excellent Django Unchained de Quentin Tarantino qui est passé sur TF1 dimanche dernier et complètement charcuté par la censure !

Je ne saurai donc trop conseiller aux fans aimant ou adorant Dragon Ball Super d’attendre sa sortie en DVD/blu-Ray afin de pouvoir revoir la série en version intégrale.