Alors je sais que personne ne passe trop ici, mais comme on avait dit qu'on pouvais continuer les fics, enfin ceux qui veulent, j'avais envie de poster celles que j'avais écrite et finir celles que j'avais commencée. Donc voila une fic qui fait suite à celle-ci ou là, blop. Pui s j'en posterais une autre qui fait suite à la suite et encore une qui suit la suite qui fait suite à la suite. Vous suivez? Bien, alors venga!
Souviens toi l’été passé 2ème partie
Comment Lui Fut Volé Son Souvenir du Future
Épilogue 2ème partie
Akiko se plongea avidement sur la pensine et se retrouva plongé dans un monde en noir et blanc, sur une falaise où deux personne se trouvent.
Souvenir
Le vent bat le paysage de plaine et de falaise comme un mari ayant l’alcool mauvais sa femme, et les cheveux d’une jeune femme de s’en amuser en allant dans tout les sens. Elle rage en essayant de les ramener tout en les menaçant des ciseaux. Un jeune homme, qui a les cheveux un peu long, les a ramené en queux de cheval, ils les défait et lui tend l’élastique.
– Merci.
Le vent emporte ses mots avec lui.
– QUOI ?
– MERCI !
– JE T’EN PRIE !! ON Y VA ?!
– OUI !
Tout en souriant, la jeune femme se fait un chignon rudimentaire et, avec ce qui semble être du sang, ils se mettent a faire un cercle au sol doté de symbole étrange. Une fois fini, ils se regardent.
– PRÊT ?
– POUR TOI MA FÉE, TOUJOURS !
Ils mettent au centre du cercle, se tenant les mains et se mettent à récites une incantation. Akiko écarquilla les yeux.
– Enfin, enfin, ENFIN !!!! MWAHAHAHAHAHAHAHAH !!! JE L’AI ENFIN !!!
– On, si tu permet.
Akiko était en transe et elle n’étendait plus rien, si ce n’est que son rire. Elle ressemblait à cette instant en tout point à ça.
– MWAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH !!!!!!!!! GÉNIAL ÉNORME EXCELLENT PARFAIT TROUZEMILLE MERDES C’EST QUE DU BONHEUR !!!! JE VAIS ENFIN ACCOMPLIR MON DESTIN !!!
– Le nôtre…
Mais il ne servait à rien de parler à Akiko, elle était dans sa bulle de bonheur, que rien ne pouvait crever, enfin, presque…
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Arrivées à Londres, les jambes de Félicitée se dirigèrent directement à la confiserie Les Scarabées Chantants. Dans cette merveilleuse confiserie, on y trouvait des bonbons aussi exceptionnels que les tendres Sweet Tangerine de Montélimar, les onctueux Honey Pie, les piquants Sergent Peppe! Et il y avait là encore bien d’autres splendeur au palais. En entrant dans la boutique, les odeurs des plus merveilleuses dansèrent aux narines de Félicitée. Elle pris de tout, dépensant presque tout son argent.
Sortant de la confiserie, le sourire aux lèvres, Félicitée se mit à déambuler à droite à gauche attendant avec une certaine impatience mêlée de crainte le moment M.
Elle marchais maintenant depuis un bout de temps, en se gavant de Sgt. Pepper, quand elle se rendit compte qu'elle était suivie. Ce n'est pas tant qu'elle avait vu son poursuivant, qu'elle l'avais senti.
Alors elle se mis à faire en sorte de le semer au détour d'une ruelle, ce qu'elle fit avec brio, pour mieux tomber dans le piège qui lui était, en faite, tendu.
Une lumière l'éblouit et elle tomba dans les vapes et les Sgt. Pepper rouge se répandirent tel du sang, sur le sol.
Quand elle rouvrit les yeux elle était attaché à un poteau. En regardant autour d'elle, elle vit qu’elle était dans une usine et distingua flouttement trois silhouettes. Son oeil se fixa sur l’une des silhouettes, elle était grande et quelque chose de menaçant émanait d’elle; elle la fixait aussi. Félicitée sentie quelque chose en elle flancher.
– Bonjour petite.
Au son de cette voix, les jambes de Félicitée fléchir; les cordes qui l’attachait au poteau la retint juste de l’écroulement. Il s’approcha d’elle et son visage se révéla. Sa mâchoire était bien carré, une légère barbe habillait cette mâchoire, il était pâle et avait des cheveux roux, d’un roux sombre. Félicitée tremblait sans pouvoir ce contrôler.
– Toujours aussi effrayée par moi, à ce que je vois. Ma pauvre petite.
Il fit un large geste du bras, montrant les lieus.
– J’aurais préféré que nous nous revoyons en d’autres lieu, mais Banquiselard n’est pas très accessible à cause de ce, excuse mon langage, foutu seigneur du temps.
Quand il parlait, il semblait choisir ses mots avec le plus grand soin, sa voix était des plus envoutante. En d’autre circonstance, l’écouter parler aurait été un plaisir, un pur plaisir, mais Félicitée n’était pas en d’autres circonstance, elle était là et sa peur lui tenait au ventre, lui écrasait le cerveau. Elle ne pouvait pas parler, elle ne pouvait pas plus le regarder. Les tremblements la secouait comme une petite feuille d’automne qui s’accroche à sa branche, ballotté par une bourrasque de vent du nord. Et ce vent lui releva le menton. Elle ne fit pas de geste pour se libérer de son étreinte et ne le regardait toujours pas.
– Je vais pas te manger petite, tu sais que je ne m’adonne pas à ce genre de barbarie.
Sa voix était si doucereuse que s’en fut trop pour Félicitée, elle se brisa. Elle brisa en mille éclats de larmes, mille éclats qui se transformèrent en torrents. Elle n’arrivait plus à s’arrêter, elle suffoquait dans ses larmes. Il sourit, de ce sourire qui le caractérisait, qui le caractérisait si bien, dans sa cruauté.
– Allons, allons, ne soit pas si émotive petite.
Il serra plus fort son menton entre ses doigts et lui jeta son regard noir.
– Quand j’en aurait fini avec toi, tu auras de quoi pleurer petite.
Sa gifle fendit l’air et la lèvre inférieur de Félicitée. Le cri qu’elle poussa était à en briser l’âme, mais cela faisait longtemps qu’il n’en avait plus.
– Bien.
Il se tourna vers les deux autres.
– Amenez la pensine. On va commencer.
Félicitée chuchotta quelque que mots, il ne compris pas.
– Quoi petite ? Parle plus fort.
Elle le regarda dans les yeux, non sans mal et répéta.
– Pitié, Magnus.
– Pitié ?
Son sourire réapparu.
– Petite… Tu sais bien que ce n’est pas possible.
Il posa sa baguette sur la tempe à Félicitée.
Elle avait appris à protéger ses souvenirs par mille ruses; elle avait fortifié son mentale par de dur entraînement, elle en avait souffert, mais à la fin, elle avait réussi à rendre son psyché impénétrable, faire passer certains passage de sa vie comme inexistant. Même les Aurors n’étaient arrivé à faire ressortir la vérité. Mais lui; il y passait comme dans du beurre. Il extrayait les souvenirs comme on cueille un fruit bien mûr, prêt à tomber. Sauf que la cueillette valait à Félicitée des douleurs qu’elle ne croyait pas possible. Le froid glacial, ce fut la première sensation qu’elle ressentit, le froid qui n’a rien de naturel, ce froid qui vient de là où naît le désespoir le plus noir. Puis vint la brûlure, la brûlure intense, comme si un serpent en fusion traversait chacune de ses vaines, de ses nerfs et le hurlement qu’elle poussait en était teint.
Après avoir extrait le souvenir, il le glissa dans la pensine et se pencha dessus.
Souvenir de Félicitée
Le vent bat le paysage de plaine et de falaise comme un mari ayant l’alcool mauvais sa femme et les cheveux de Félicitée de s’en amuser en allant dans tout les sens, Félicitée rage en essayant de les ramener tout en les menaçant des ciseaux. James, qui a les cheveux plutôt long, les a ramené en queux de cheval, ils les défait et tend l’élastique à Félicitée.
– Merci.
Le vent emporte ses mots avec lui.
– QUOI ?
– MERCI !
– JE T’EN PRIE !! ON Y VA ?!
– OUI !
Tout en souriant, Félicitée fait un chignon rudimentaire et, avec ce qui semble être du sang, ils se mettent a faire un cercle au sol doté de symbole étrange. Une fois fini, ils se regardent.
– PRÊT ?
– POUR TOI MA FÉE, TOUJOURS !
Ils mettent au centre du cercle, se tenant les mains et se mettent à récites une incantation, une incantation en fourchelangue. Le couple continu à réciter fermement l’incantation en allant toujours plus vite, le vent semble augmentant de force à leurs débit plus rapide, soufflant de plus en plus fort, les vagues se fracassants avec une violence tel que l’écume atteint Félicitée et James, mais rien ne les perturbent, ils continuent à réciter, plus vite et plus fort, le vent arrache l’élastique des cheveux de Félicitée et ses cheveux, libéré, dansent comme des fou trop heureux d’être de la partie, Félicitée sourit tout en allant plus vite, le vent tourne autour d’eux, l’image du paysage commence à trembler, comme si il allait se briser, ils récitent plus vite, le paysage se trouble comme l’eau dans la quelle on aurait jeté une pierre, ils récitent plus fort, le paysage est pris de convulsion démente, ils récitent encore plus fort, ils vont jusqu’à hurler l’incantation et le paysage implose dans un silence assourdissant. Tout était blanc, il n’y avait plus de paysage, rien que James et Félicitée, ils se tenaient toujours les mains en regardant autour d’eux. Un léger vent comme venu du dessous soulevait doucement leurs cheveux, ils se regardèrent.
– Il est temps dans finir.
– …
– Pourquoi ne dis-tu rien ?
– Je ne sais pas si ce qu’on fait est ce qu’il faut faire.
– Mais qu’est-ce que tu racontes ?
– Quand le paysage a implosé, j’ai ressenti comme…
– Comme quoi !!?
– C’est une c*nnerie; ce qu’on fait est une grosse c*nnerie de gamin idiot.
– Qu-quoi ? Quoi !!? Qu’est-ce que t’as !!??!
– J’ai compris, voilà ce que j’ai.
– Arrête ! En trois seconde t’as compris ?! T’as compris quoi ?! Dis pas n’importe quoi !!
– J’ai compris; on croit vouloir le Chaos alors que ce n’est que de l’extraordinaire que l’on veut.
– Mais arrête avec tes c*nnerie ! Arrête ! ARRÊTE !!
– Je ne peut pas. On n’iras pas plus loin.
– Mais pourquoi ?! QU’EST-CE QUE T’AS !!?!
– Je t’aime.
– Si tu arrête, je te promet que je te tuerais, tu entends ?! JE TE TUERAIS !!
– Je t’aime.
– NE FAIS PAS ÇA !! NE FAIS PAS ÇAAA !!!
– Ça va aller, ne t’inquiète pas ma Fée, n’ai pas peur.
Il retire ses mains des siennes, elle essaye de le retenir, mais trop tard, ils sont éjecté loin l’un de l’autre telle des comètes. Félicitée s’écrase au sol et ne se relève pas. La vision s’évapora, Magnus se releva de la pensine, il mis le souvenir dans une fiole et la confia a l’un de ses sbires. Il se tourna vers Félicitée, nonchalamment, il sorti une fine pipe de sa cape noir, la bourra lentement et soigneusement, ses gestes étaient maniéré, il l’alluma d’un coup de baguette en prenant quelque bouffées. Il approcha une chaise en face d’elle, il s’y assis. Il repris quelque bouffée de sa pipe et en cracha la fumée; elle s'éleva élégamment autour de lui, dans une petite danse joyeuse. C’est tout ce qu’il y avait de joyeux ici.
La tête de Félicitée pendait comme celle d’une poupée de chiffon ayant été trop secoué. D’un mouvement souple de sa baguette, il la lui fit relever. Il ne disait rien, il ne faisait que tirer sans cesse des bouffées sur sa pipe et recrachait la fumée en regardant Félicitée, qui évitait son regard.
– C’est donc là la dernière fois que tu as vu James. Ma pauvre… Je vais te dire, quand je l’ai récupéré, car oui, c’est moi qui l’est.
Félicitée senti quelque chose se briser en elle et si cela était encore possible, elle s’effondra encore plus sur elle même.
– – Il ne cessait de hurler ton nom, cela m’irritait tellement, j’ai dû le faire taire… Maintenant il est bien docile…
Il se tut, tira sur sa pipe et regarda la fumée s’élever. Il était captivé par son mouvement, plus rien ne semblait exister pour lui si ce n’est cette fumée qu’il faisait apparaître dans des formes fantasque. Le silence vrombissait dans le lieu comme agacé de sa propre existence. Magnus l’acheva de sa voix aussi voluptueuse que la fumé dont il ne détacha son regard.
– Je suis presque peiné pour toi qu’il t’ai lâché alors que tu avais tout fait pour accomplir le rêve de sa vie. Mais j’aime l’ironie du drame.
Il sourit. Il avait un sourire affreusement charment. Si vous ne saviez pas qui il est, vous auriez voulu qu’il soit vôtre, d’être enchaîné à lui, mais c’était là ce qui pouvait vous arriver de pire, qui vous aurait fait regretter d’être venu au monde.
Il se leva, alla à Félicitée, qui, à bout de force, n’arrivait même plus à trembler. Il se baissa à son oreille et lui chuchotta.
– Je sais que tu l’as revu encore une fois… dans une vision. Tu sais, je n’ai pas vendu mon âme au Roi des démons pour rien… et de savoir que tu es en mesure d’aller le récupérer, de me le retirer, de savoir cela, ça me tord les boyaux, m’empêche de dormir, me rend fou…
Il sourit doucement.
– Tu vois comme tu me rends faible ?
Il lui embrassa la joue chaleureusement
– Je vais te retirer ce souvenir de telle manière que tu ne te souviendra même pas que tu l’as jamais eu.
lui colla sa baguette sur sa tempe
– Ne fais pas ça.
– Serre les dents.
– Je t’en prie.
et commença à fouiller ses souvenirs.
– NOOOON !!!
Il n’y avait cette fois pas de maux pour décrire la douleur, il n’y avait qu’un cri, un cri auquel n’était accroché aucun espoir de délivrance. Il retira sa baguette de sa tempe et elle s’écroula, comme morte.
Il déposa le souvenir dans la pensine et se pencha dessus.
Souvenir de Félicitée
Félicitée aura transplané dans un lieu où le ciel prendra toute la place dans l‘espace qui s’ouvrira sous ses yeux, il n’y aura rien à perte de vue, le froid lui mordra le visage et la neige virevoltera autour d’elle dans les rayons du soleil tenues, mais Félicitée sera déterminé, elle saura où elle doit aller. Elle si dirigera d’un pas sûr.
Arrivé au point p, elle jettera un sort et une porte invisible s’ouvrira dans un bruit de tonnerre mélangé au bruit du vent.
Elle pénétrera par la porte dans un couloir, il sera sombre, seul quelques bougies l’éclaireront. Félicitée ne se sentira pas à l’aise et hésitera à s’avancer. Quand elle entendra un cri au loin, un cri d’une voix connue.
Félicitée se précipitera à l’endroit du les cris proviendrons, le coeur lui frappera la poitrine et son souffle sera court. Elle trébuchera quelques fois, mais ne s’en arrêtera pas. Elle ne s’arrêtera pas, elle ne s’arrêtera pas. Les cris et ses pas prendront toute la place sonore et son coeur battra dans sa poitrine tel un oiseau fou de douleurs.
Puis les cris cesserons et Félicitée s’arrêtera face à une porte de cachot et elle le verra, là, derrière cette petite lucarne. Il sera maigre, il aura une longue barbe et il se balancera d’avant en arrière chuchotant des choses incompréhensible. Le coeur de Félicitée cessera de battre à cette vision.
D’un sort elle ouvrira le loquet de la porte et la poussera.
Elle entrera dans la petite pièce, en la voyant il sursautera et ira se cacher dans un coin, ramassé sur lui-même les mains levé en défense. D’une voix suppliante, il dira.
– Non, pitié, non, pitié, non…
– C’est moi…
Il cessera de parler et lentement, il tournera sa tête vers elle.
– C’est moi, Félicitée…
Il dira d’une voix dur.
– C’est un piège.
– Non…
Elle se baissera et ira à lui.
– C’est moi mon amour…
De ses mains, elle lui touchera le visage, il les prendras en les appuieras plus fort contre son visage.
– Tu me manques ma Fée…
Elle aura des larmes dans sa voix.
– Toi aussi… Tellement… Mais maintenant, je suis là… On rentre, viens.
Elle le tirera, mais il restera figé.
– Je ne peux pas…
– Bien sûr que tu peux…
– Non… Si je sort “il” me fera du mal…
– Non. Il ne te touchera plus jamais.
– J’ai peur…
À nouveau, elle se baissera à lui, son visage sera tout près du sien.
– Je sais, mais tu n’est plus seul. Je suis à nouveau avec toi.
– Oui…
– Allons y.
Elle se lèvera et il la suivra docilement.
Aussi étrange que cela pourra paraître, il n’y auras personnes dans le couloir. Félicitée repassera la porte avec lui et la refermera derrière eux. D’un Crack, ils transplaneront, laissant ce grand ciel sans fin seul. Le souvenir se dissipa et Magnus se releva de la pensine, il reprit le souvenir, le mis dans une petite fiole et l’a mis dans sa cape. Il rembourra sa pipe et la ralluma. L’un de ses sbires s’approcha de lui, lui tendit un cahier qu’ils avaient trouvé dans le sac à Félicitée. Il le pris sans regarder, ni le cahier, ni celui qui le lui avait donné. Le cahier avait une couverture bleu, il y avait un sceau qui était brisé. Il l’ouvrit et le feuilletait machinalement sans y jeter un regard, il observait Félicitée, il l’observait de ses yeux qui ne laissait rien transparaître, de ses yeux qui scrutait chaque détaille pour percer le moindre de vos secrets, vos secrets les mieux caché. Puis finalement, il les posa sur le cahier bleu.
– Le Livre des Écrits des Quatre Dieux du Ciel et de la Terre*.
*
Si vous êtes un lecteur averti des autres histoires de nos chers autres membres de la très chaotique respectueuse école de Banquiselard diriger par le très tyrannique respectueux Fëanor Curufinwe, vous sauriez que ce dernier avait récupéré le livre, bien que de manière fortement douteuse… Mais soyons réaliste, qui va caché un livre, qu’on a eu autant de mal à se procurer, sous son lit ? Qui ? Pas Félicitée en tout cas. Le livre qui avait été découvert était un faux et la jeune fille qui en était sortie, tout aussi fausse. Il avait d’ailleurs été noté que son comportement était des plus étrange. Ses parents l’avait faite “entrer” à East Park.
Ce sort avait énormément coûté à Félicitée. Cela lui avait coûté son plus gros Strate à Gemme. Mais nous reviendront sur cette dernière chose une autre fois.
– Tu sais, j’ai cherché ce livre durant des années qui me semble des siècles, à moins que ce le fut vraiment… Je l’ai cherché comme un fou et quand j’ai appris, car je fini toujours part tout apprendre, quand j’ai appris que toi, si insignifiante, tu avais réussi à te le procurer, je te l’avoue, j’ai ris, ris comme jamais. Tu m’impressionne petite.
Magnus lu quelques passages le referma et sourit.
– Il sera parfait au centre de la galerie asiatique.
Il le fourra dans sa cape.
– Bien,
Il s’approcha de Félicitée et pointa sa baguette sur elle
– nous voilà au terme de ces retrouvailles. Ce fut un plaisir de te revoir petite. Avada…
Que va t-il ce passer ? Félicitée va t-elle mourir ? va t-elle sortir un tour de son sac ? Le suspense est intégral !!! 😂
À suivre, donc.