Aaaah oui Lastman tu fais bien d’en parler ! 😀
Je n’ai pas encore lu la BD originale qui me tente beaucoup, mais c’est parce que côté manga et comics je suis déjà beaucoup de séries : au sujet des manga, je suis assidument Golden Kamui, Arte et City Hunter Rebirth et côté comics, je continue à suivre passionnément Sonic the Hedgehog, My Little Pony Friendship is Magic, Tortues Ninja et je me suis remis à Batman depuis peu.
Après pour être franc, si je n’ai pas encore lu les aventures originales de Richard Aldana, c’est aussi dû à un manque de place, la série comptant 12 tomes (elle s’est récemment terminée).
Ce qui est d’ailleurs très intéressant au sujet de la fabuleuse série animée Lastman que tu évoques à juste titre mon cher Yupa, c’est que c’est un prélude à la BD : en effet dans la série TV, Richard a 25 ans alors que les évènements de la BD ont lieu dix ans après.
Il me semble que tu avais vu davantage qu’un épisode Yupa, tu avais du en voir 6 ou 7 et, outre le bagou et l’humour cinglant de Richard, tu as aussi beaucoup aimé Siri la petite fille dont notre héros bastonneur au grand coeur s’occupe et tu avais apprécié le fait que cette jeune fille soit attachante et pas niaise du tout.
En tout cas, j’adule au plus haut point la série TV de Lastman qui est l’une des toutes meilleures séries animées françaises (et l’une des plus audacieuses !) que j’ai vu ces dix dernières années.
Tu avais évoqué le problème de place (que nous connaissons tous !) mais je vais tâcher de vérifier si l’oeuvre est disponible dans la médiathèque de ma ville, cela me permettrait de l’emprunter, la lire et la ramener.
Par contre, la série animée sera mienne, que ce soit en DVD, ou en Blu-Ray, voire sur Itunes (pour le fameux “gain de place”), je verrai bien.
J’ai loupé le coche Yupa, la série a longtemps été disponible sur Netflix mais elle a quitté le catalogue de cette plateforme de streaming l’année dernière. Excuse moi, j’aurai du te prévenir avant, ainsi tu aurais pu la voir en entier dans de bonnes conditions, sans être soumis aux horaires de diffusions contraignants de France 4 (qui passait 6 à 7 épisodes d’un seul coup chaque semaine !).