La scène d’un manga de Masakazu Katsura, le dénommé I”S, bien que pourvu d’un scénario d’une dramaturgie plus légère à Vidéo Girl Ai et des personnages psychologiquements moins travaillé.
Ichitaka, un ado pas sur de lui, amoureux hélas d’une étoile montante, bientot fillante, loin de lui pour de bons, et lui que fait il pour la garder, pour s’en rapprocher? Il lui éclaircit les nuages menaçants de son avenir.
Marionnet King, un ancien étudiant qui s’est égaré dans le labyrinthe complexe de la vie post ado, s’apprête à mettre un terme à cette étoile prénommé Iori. Ichitaka, seul, découvre l’identité de ce pseudo psychotique, et le combat, sous une neige abondante. Il fait froid, Ichitaka, épuisé, a veillé des jours entiers en espérant démasquer la menace; Marionnet possède une arme de dissuasion, mais dangereuse; Iori s’aprête à partir pour ne plus revenir.
Ichititaka, armé lui aussi, d’une arme beaucoup plus efficace, mais à double tranchant, elle s’appelle l’Amour, se bat et bat cet égaré, mais se blesse, une blessure terrible, un sommeil dont on peut ne jamais se réveiller, le coma. Et Iori ignore sa présence, triste. Ichitaka, seul, blessé, perd sa présence et s’endort avant de pouvoir lui avouer le terrible secret qu’on lui a demandé de garder pour le bonheur professionel, de la future grande comédienne, Iori.
Rompre avec celle qui l’a toujours aimé, pour s’effacer devant l’ascension, la passion, le rêve de l’autre. Briser son propre rêve pour sa moitié féminine, n’est ce pas le plus altruisme et le plus beau des sacrifices?