La femme dans le manga

20 sujets de 1 à 20 (sur un total de 129)

Posté dans : Manga & BD

  • Baklael
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    Baklael le #285573

    Quelle est la place du sexe féminin dans le manga?

    Cette question m'est venue à l'esprit après nombre de lectures me laissant des plus perplexes quant à la nature des relations entre les personnages féminins et masculins.

    Et la réponse se trouve des plus compliquée à formuler. Je dis la réponse mais je devrais plutôt parler de "ma" réponse.

    Je vais donc partir d'un point que je connais très bien. Le shonen.

    Quelle est donc la place du féminin dans le shonen?

    En premier lieu ce qui saute au visage c'est que pour avoir droit de cité dans un shonen, la beauté est nécessaire à la femme/fille. Si elle n'est pas jolie, alors un seul rôle peut lui être attribué: le comique. Vous voulez des exemples? Allons-y: Ardiba dans One Piece! La fille au physique de schwarzy dans Eye Shield (celle des Poséidons.) La copine d'Aoki dans Ippo etc
    Notons que les shonens dessinés par des femmes ne sont pas plus sympathiques. Prenez Miranda dans D Gray Man. Certes lors de ses premières apparition elle fait peur, mais une fois devenue exorciste, tadam! Elle devient jolie! Et ainsi peut être intégrée comme personnage récurent. Chez Arakawa, il n'y a simplement pas de femmes laides!

    Notons aussi que dans tous ces mangas les personnages masculins sont souvent d'une beauté des plus contestables.

    Il faut donc être belle pour exister vraiment dans le shonen. Mais exister comment? Car ce n'est pas le tout d'apparaitre encore faut-il savoir pourquoi on apparait.

    On en arrive donc au rôle des femmes/filles dans le shonen.

    Un triste constat s'impose. Le rôle des jeunes filles dans le shonen est assez simple: une possibilité amoureuse pour le héros ou ses compagnons. Notez le terme possibilité. Je ne l'ai pas mis ici pour faire beau. Car très rare sont les shonens où la jeune fille deviendra réellement la copine du héros. Ainsi la jeune fille est dans l'attente du bon vouloir du héros. Elle ne prendra pas les devants, ciel non! Elle attendra en regardant son aimé les yeux dégoulinant d'amour…

    Des exemples: Orihime Inoue (Bleach), Sakura/Ino (Naruto), Winry (fullmetal) etc… Bon le cas Sakura dans Naruto est plus compliqué parce qu'elle finit par avouer son amour à Sasuke, mais dans des circonstances qui l'obligent à le faire. Et ce n'est pas elle qui va trouver Sasuke mais ce dernier qui passe finalement à l'endroit où elle squatte depuis trouze nuits. Dans le genre désespérée…
    Et ça c'est pour les animes ayant un semblant d'intrigue amoureuse. Dans d'autres on nage en plein délire. Malgré tout l'amour que j'ai pour One Piece, il est juste totalement impossible qu'aucune intrigue amoureuse ne naissent dans les conditions que vivent les personnages. (proximité, danger, jeunesse… le cocktail détonnant!) Mais je reviendrai sur One piece rapidement.

    On peut aussi parler de Mamori dans Eye Shield, de Haruko dans Slam dunk. Dans ces deux titres les filles n'ont aucun rôle! C'est de la folie! Haruko bave sur Rukawa, pendant que Mamori fait des bentos! (et puis prince du tennis, Initial D, en général les mangas de sport sont mauvais pour les femmes!)

    Au niveau de l'action.

    Mon premier constat n'était pas là pour faire beau. En effet au niveau de l'action il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent. Les filles/femmes supposées fortes ont toujours besoin finalement du héros qui tire tout le monde d'affaire tout seul comme un grand! Prenons Yoruichi. Dans son combat contre une femme elle gagne. (certes avec des pleurs… c'était la première fois qu'il y avait des pleurs dans un combat de Bleach et comme par hasard c'est entre deux femmes…^^°) Par contre sans Urahara, goodbye Yoruichi… (Tome 22 contre les arrancars)
    Toujours dans Bleach cette fois pour souligner l'inutilité féminine dans le shonen: Inoue ne sert à rien pendant tout l'arc soul society. Et Rukia durant l'arc Arrancar idem. A noter que les deux échangeront leurs rôles durant les deux arcs! (boulet et prisonnière)
    Parlons One Piece. Nami… ben, euh… on lui a donné un rôle pour justifier la présence d'une jeune fille voluptueuse au sein de l'équipage. Robin… Finalement elle ne sert pas à grand chose, non?
    Il y a bien sûr des exceptions (Lenalee dans D Gray Man par exemple qui pulse méchamment quand elle se bat mais pour sûr dans le futur elle sera sauvé par Allen…) mais elle sont bien trop peu nombreuses et pire encore trop peu mises en avant dans le manga dont elles sont partie pour que l'on puisse en tenir compte.

    On me dira que vu le public visé par le shonen, ces constatations étaient prévisibles. C'est vrai. Mais c'est aussi dommage qu'elles se soient révélées ainsi exactes. La vision que la personne qui lit ces titres va avoir d'une jeune fille sera forcément celle ci: une personne faible, qui attend et qui l'attend lui. Bien sur la vrai vie lui rappelle que ce n'est en aucun cas la vérité. Mais ça n'en sera pas moins ce qu'il risque de souhaiter.

    J'ai oublié de parler des mangas harem… Je n'en lis pas (School Rumble n'est PAS un manga harem!)
    Bon dans ce genre de cas on est dans le ridicule total. J'ai feuilleté Rosario+Vampire, qui au passage est une grosse daube puante selon moi, et encore une fois alors qu'on a un héros typique des comédies romantiques, soit plat, creux, bête il se trouve que toutes les filles tombent pour ce naze et que cette Vampire super forte aie besoin de lui régulièrement… ppffffff Bref. Ça ne fait que renforcer mon propos.

    Il est vrai que le shonen ne se prête pas idéalement à mettre en place une histoire qui pourrait mettre en valeur une héroine, puisqu'il faut de l'action. Et dans la logique, l'action c'est plutôt un truc de mecs. La testostérone toussa. Mais c'est tout de même un manque de volonté terrible que de ne pas réussir à placer un personnage féminin qui puisse tenir la dragée haute aux personnages masculins. Pas forcément en terme de force, mais au niveau du caractère, de la répartie, du fun. D'en faire un personnage sinon classe au moins intéressant. (quelqu'un peut m'expliquer ce que Mamori à d'intéressant?)

    Finalement la série qui prend le moins les filles pour des taches tout en étant destinée à un public shonen, c'est School Rumble. On a des personnages féminins non exempts de défauts mais pourtant en dehors des clichés du shonen. Mais encore une fois il faut qu'elles soient jolies… Si t'es moche, goodbye! Cette série aura pourtant le mérite de créer des personnages féminins à la fois forts et fragiles. Humains quoi. (sous le couvert d'un délire maximum bien sur!)

    En conclusion. Le personnage féminin dans le shonen n'est que rarement digne d'intérêt autre que celui dicté par notre instinct. C'est triste mais c'est comme ça! Évidemment il y a des exceptions. Mais en général, le traitement accordé aux personnages masculins est bien plus flatteur que celui que l'on daigne offrir à ces dames/demoiselles. Mais le pire du pire reste évidemment cette propension des auteurs à en faire des boulets! Saori si tu nous entends… (+Inoue+Rukia+Robin…)

    Je me pencherais plus tard sur le seinen et le shojo. A moins que d'autres me précèdent. De même si vous avez des idées sur ce thème n'hésitez pas! (Ou si vous êtes en désaccord/voulez fouiller plus profondément une de mes idées…)

    Bub
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    bub le #285574

    Tu oublies quand même des auteurs comme takahashi ( ranma etc. ) ou adachi qui savent faire des héroïnes tr_s loin d'être des nouilles dans leurs titres apparentés shonen.
    Quant au shonen, ben c'est pour les garçons d'une dizaine d'années à la base, donc les filles… si tu as des gros lolos dans l'histoire, c'est surtout pour fédérer leurs grands frêres à mon avis. Et c'est très bien ainsi, ça lourde grave une amourette dans une aventure cent pour cent action.
    Maintenant, il y a aussi des exceptions notables, comme dans l'oublié Kenshin le vagabond, fabuleux shonen qui met en scène l'une des plus belles histoires d'amour qui m'ait été donné de voir dans les mangas, et qui donnera naissance à un film tout aussi beau ( les chapitres du souvenir ).

    Louis-L
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    Louis.L le #285575

    Tu oublie certain manga come Lady snowblood, oops tu ne parlais que des shonens dsl

    Gexian
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    Gexian le #285576

    Holala voilà un sujet amusant, la place de la femme dans le manga. Ca me rappelle une discussion je-sais-plus-où sur le fait que dans les mangas c'est plutôt le mec qui est mis en avant et dans les anime plutôt la nana (et j'avais pris comme exemple Mai-Hime, mais là c'était trop facile).

    Bon pour ce soir, on se contente de la place des femmes (enfin souvent plus des filles, mais j'ai pris l'habitude d'ignorer les ages dans les mangas, ça vaux mieux) dans les shonen.
    Déjà il faut bien voire les types de shonen.
    Nous avons les Naruto, Bleach, FMA, DB(Z), etc… où on trouve souvent des potiches qui ne servent pas à grand chose. Il y a dans Naruot Sakura qui attend Shippuden pour avoir une petite utilité en temps que Kunoichi. Ensuite nous avons Orihime et Rukia qui se font enlever à tous va. Pour FMA, il suffit de regarder a quel point . Et pour DB(Z) c'est un peu différent, Chichi et Bulma qui ne servent à rien mais par contre elles n'attendent pas le bon vouloir de Mr (moins Bulma mais plus Chichi) et ont plus de caractère.
    Après on a les shonen sportifs où Mlle ne fait qu'encourager notre Champion (Prince of Tennis, Captain Tsubasa, Hajime no Ippo), avec une rare exception pour Adachi dont les filles sont un peu plus fouillées, mais jamais héroïnes.
    Et puis aussi les mechas où elle ne sert pas non plus à grand chose (Gundams et Macross en tous genres).

    Pour s'échapper de ces modèles, il est clair qu'il faut fouiller un peu plus dans des choses un peu moins… mainstream va-t-on dire. Le plus facile est de se tourner vers les Shonen dont le personnage principal est une héroïne. Je pense par exemple à Claymore ou Soul Eater (que je n'ai pas encore lu). Sauf que ceux-ci sont assez peu nombreux malheureusement. Force est de constater que le shonen s'adresse à la gent masculine, et qu'il est commercialement admis que celle-ci préfère des personnages féminins dépendant du héros.

    Mais bon en terme de genre, ce n'est pas le pire, il y a les harem (et à un certain degré les séries comico-romantiques) où le héros est souvent un boulet fini (appelé communément le cruchot) qui est l'objet de toutes les convoitises des nanas les plus populaire et attractives du coin… Mais ça sera pour un autre post.

    Baklael
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    Baklael le #285577

    =>bub: J'ai donc oublié les titres que je n'ai pas lu… ^^°

    Je vois plus le shonen comme approprié aux jeunes ado. Donc dès douze ans jusque quinze ans. Et à cet age là les filles… 😂

    Concernant l'amourette dans le récit d'action, tout dépend du traitement. Je pense à Dreamland (oui bon ce n'est pas japonais! mais c'est un manga tout de même!) où la relation Lydia/Terrence ne nuit en rien à l'histoire. Et je pense que ça ne serait pas si mal que ce ne soit pas une exception. A partir du moment où l'auteur pose les bases d'une histoire d'amour qu'il aille au bout (vent ou conclusion) et qu'on ne reste pas devant un statu quo pendant trouze tomes.

    Et il me faut donc lire Kenshin…

    =>Gex: C'était avec moi que tu en parlais!

    Et oui oublions l'age! De toute façon l'apparence ne correspond pas à l'age en général!

    Je ne suis pas revenu sur Soul Eater qui en effet va dans une autre direction. Même si dans les caractères féminins on reste clairement dans le déjà vu: Maka: la sérieuse. Tsubaki: la gentille. Les jumelles: Les fans (avec la cruche et la difficile d'accès) Mais au moins elles sont des personnages principaux! C'est déjà ça.

    Et claymore… Alors la c'est plus compliqué. Ce sont des femmes sans désirs. C'est assez étrange. Elles ne mangent pas. Ne ressentent pas de désir sexuel. Elles semblent n'avoir que peu de sentiments. Ce sont des femmes d'aspects mais dans les faits… Après certaines s'humanisent. Et la en effet le traitement est intéressant. Paradoxalement je dirais que ça manque un peu d'hommes pour que le récit deviennent vraiment un récit avec des femmes mises aussi en avant. Parce devant cette absence quasiment totale d'hommes, il n'y a pas de relation homme/femme. Ce qui pose problèmes quand justement on se penche sur la relation entre les deux.

    Les mangas harem… et le “héros” tout naze auquel je n'arriverais jamais à m'identifier alors que c'est son rôle. Le pire du pire. Débile et stupide. Donc je n'en lis pas. Donc au final je ne peux pas vraiment en parler… ^^°

    J'espère que mon incursion dans le seinen sera différente.

    A ce propos je ne m'y connais que trop peu en Shojo. Quelqu'un aurait-il l'envie de revenir sur le sujet. Parce que moi je ne me sens vraiment pas de le faire. (bien trop peu de références.)

    Akiko_12
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    Akiko_12 le #285578

    Arf sujet fort intéressant ^^ !!

    Tout d'abord, pour Miranda dans D.Gray-man je ne dirais pas qu'elle devient jolie. Le contexte fait que n'importe qui à sa place serait devenu fou, elle était dans un état d'angoisse et de dépression intense lorsque les héros l'ont rencontré la première fois. Par la suite, elle décide de se prendre en main, et commence à s'épanouir vraiment. Je trouve que Miranda ne dégage pas spécialement de beauté mais plutôt de la bonté, on voit que c'est une personne qui a souffert et elle dégage surtout de l'amour et de l'espoir (ce qui lui donne une certaine beauté effectivement, mais pas une beauté “classique” avec poitrine opulente et tutti cuentti).
    Quant à Lenalee, quel dommage effectivement qu'elle ne soit mise en avant que lors de son combat en mer !! Mais c'est la première fois que je vois un personnage féminin être autant amochée dans un combat. Des filles amochées, on en voit dans d'autres manga (dans Naruto par exemple, Sakura s'en prend plein la tronche dans la forêt) mais même si elles sont blessées elle restent jolies (dans Fate Stay Night par exemple, la première blessure de Saber face à Berserker est sublimée au point de la rendre encore plus belle l'instant d'une image). Dans D.Gray-man, Lenalee échappe à la mort mais y laisse la moitié de ses vêtements, ses beaux cheveux (à la différence de Sakura ce n'est ni volontaire ni un symbole), elle sort de son combat pas franchement belle avec ses cheveux quasi rasés et l'expression complètement hagarde, en état de choc.
    Enfin, l'autre femme forte du manga que l'on aperçoit à peine (le maréchal Cloud Nine) est défigurée sans doute à cause de ses combats précédents, aussi on peut penser que même si Lenalee porte des vêtements courts, la galerie peu étendue des personnages féminins n'est pas spécialement accès “sois sexy et ne sers à rien”.

    J'aime beaucoup les anime et les manga avec des femmes fortes, Gex a cité Claymore et effectivement niveau shônen c'est le premier qui me vient à l'esprit, bien que l'auteur se soit senti obligé d'inventer une histoire entre Claire et le gamin Raki (mais ici le gamin est un cruchot, il remplace donc la cruchotte habituellement de service). Là tout de suite je pense aussi aux Cat's Eye, qui sont des femmes fortes tout en étant très féminines (surtout en justaucorps 😂).

    Sinon, la première qui me vient à l'esprit est Lady Oscar bien sûr. Aussi forte physiquement que les hommes, naturellement autoritaire et respectée, elle est d'une volonté de fer… Mais il faut bien constater qu'elle a quelques problèmes d'identité 😂. Saber dans Fate est aussi une femme forte (quoique elle ait beaucoup plus de failles), mais souffre aussi d'un syndrome “Oscar”. Pareil pour Sousei-Seki dans Rozen Maiden, que je considère comme la plus déterminée de toutes et la plus “chevalier” (sa loyauté notamment est vraiment sans borne), mais elle est aussi habillée comme un garçon et le fait qu'elle soit si proche de sa jumelle/moitié Suisei-seki fait intervenir un connotation shôjo-ai. Dans Noir également, les personnages sont tous féminins, elles sont fortes et évoluent sans avoir besoin d'hommes, mais la connotation shôjo-ai est aussi présente… Donc au final, on peut se demander si pour être une femme réellement forte il ne faut souvent pas avoir soit des problèmes de définition de sexe, soit être potentiellement gay !

    Niveau shôjo, je n'ai pas beaucoup de références mais pour le peu que j'aie vu l'héroïne était souvent une cruchotte. Pleine de bonté, mais une cruchotte… Ballotée entre deux bishonen, la vie est souvent difficile surtout quand on est bête et timide.

    A part tout ça, le portrait le plus sensible et le plus “vrai”de femmes que j'ai vu était dans l'anime Red Garden (seinen).
    Et la femme la plus forte que j'ai vu jusqu'à présent dans un anime (hors films) c'est Balsa dans Seirei no Moribito (seinen aussi). Je créerai certainement un topic spécial pour cette EXCELLENTE série où j'en reparlerai plus amplement, mais disons pour l'instant que Balsa est une femme d'exception de la même classe que Dame Eboshi dans Mononoké. C'est une femme qui a vécu (elle a trente ans), sa volonté est sans faille et c'est une guerrière aguerrie, réellement indépendante, sans pour autant renier sa féminité et même son côté maternel. Une vraie femme d'exception comme on en voit rarement, avec un charisme hors du commun.

    Louis-L
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    Louis.L le #285579

    Pour moi la femme la plus forte en manga et anime (même si je n'ai pas lu le manga jusqu'au bout) reste le major Motoko Kusanagi de Ghost in the Shell pas le genre potiche ou boulet mais lady Snowblood n'est pas mal non plus dans le genre

    Bub
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    bub le #285580

    Gex>>>> Concernant Adachi, dans des titres comme Rough, Niji-iro togarachi, Slow Step, et d'autres dont je sais plus le titre, les héroïnes prennent autant de place que les héros, si ce n'est plus comme dans Slow Step.

    Baklael >>>> Et il me faut donc lire Kenshin… Ah ben oui ça c'est une très bonne idée ! Ce titre décolle vraiment à partir du 5 ou 6ème volume, mais des personnages comme Aoshi ou Shishio devraient longtemps rester dans ta mémoire. C'est du tout bon.

    Natth
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    Natth le #285581

    Citation (Baklael @ 16/07/2009, 00:22)
    Je pense à Dreamland (oui bon ce n'est pas japonais! mais c'est un manga tout de même!) où la relation Lydia/Terrence ne nuit en rien à l'histoire.


    Pourtant, il faut noter que la réalisation d'un manga au Japon reste très dépendante de la volonté de l'éditeur. Celui-ci aura plutôt tendance à sortir le canevas classique, garanti comme rentable, et à demander au mangaka de broder autour. Je ne dis pas que c'est le cas de tous les mangas japonais, mais c'est certainement celui de la majorité.

    Je ne lis quasiment pas de shônen, donc j'aurais du mal à t'aider… On peut cependant évoquer certaines héroïnes de Tsukasa Hojo (Cat's Eye, City Hunter…), qui ont l'avantage de faire leur âge.

    Xanatos
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    Xanatos le #285582

    Citation (Natth @ 16/07/2009, 08:48)
    Je ne lis quasiment pas de shônen, donc j'aurais du mal à t'aider… On peut cependant évoquer certaines héroïnes de Tsukasa Hojo (Cat's Eye, City Hunter…), qui ont l'avantage de faire leur âge.

    Tout à fait. D'ailleurs l'évolution (physique comme psychologique) de Kaori dans City Hunter est crédible.
    Au début du manga c'est encore une adolescente de 19 ans qui fait un petit peu gamine alors que dans le dernier tome, elle a 26 ans, et c'est devenue une très belle jeune femme.
    City Hunter est l'un des rares shonen ou l'on voit les personnages vieillir au fil du temps.

    Kaori est d'ailleurs un personnage très intéressant: bien qu'elle se fasse souvent enlever au cours du récit, elle est loin d'être stupide, bien au contraire:

    Tout au long de l'histoire, nous la voyons petit à petit progresser en tant que nettoyeuse. Ainsi dans une histoire, elle arrive à protéger une de ses clientes Miyuki et elle parvient à neutraliser un cartel de trafiquants de drogue sans l'aide de Ryô! ce dernier arrivé après la bataille l'a d'ailleurs félicité.
    Et comment oublier la raclée monumentale qu'elle a infligé au Lézard Noir (nettoyeur professionnel fourbe et dangereux) à grand renforts de lance roquettes?
    Elle devient aussi une bonne enquêtrice puisque dans une autre histoire, elle cherche à découvrir l'individu mystérieux qui cherche à tuer Mayuko (une petite aveugle devenue son amie) et elle arrive à identifier le coupable.
    C'est vraiment un personnage attachant: elle est susceptible, gaffeuse et maladroite, mais elle peut se montrer très efficace et c'est aussi une jeune femme douce, gentille et altruiste. Elle a un coeur d'or et elle est adorable.
    Avec Ryô Saeba, elle forme un tandem du tonnerre et c'est l'un des plus beaux couples que je n'ai jamais vu dans un manga.

    Et puis évidemment il y a Cat's Eye qui met en avant Rui (Sylia), Tam (Hitomi) et Ai (Alex) deux femmes et une fille intelligentes, indépendantes fortes et débrouillardes.

    Et elles sont bien plus malignes que les infortunés policiers qui les pourchassent sans relâche.
    D'ailleurs c'est la talentueuse Mitsuko Asatani (Odile Assaya) qui grâce à son intelligence et sa perspicacité relève considérablement le niveau de la police.

    Et comment oublier l'émouvante Sara Nishikujô, l'héroïne de “Sous un Rayon de Soleil” qui est le manga le plus poétique et le plus personnel de Tsukasa Hôjô?

    Citation (bub @ 16/07/2009, 07:41)
    Baklael >>>> Et il me faut donc lire Kenshin… Ah ben oui ça c'est une très bonne idée ! Ce titre décolle vraiment à partir du 5 ou 6ème volume, mais des personnages comme Aoshi ou Shishio devraient longtemps rester dans ta mémoire. C'est du tout bon.

    Je plussoie avec Bub, Kenshin est une très grand classique du shonen, une série à découvrir absolument.
    Elle est intelligente, drôle, passionnante et émouvante. Elle parvient à mêler habilement fiction et réalité (certains événements historiques authentiques s'intègrent parfaitement bien à l'intrigue) et elle est loin d'être manichéenne: on comprend parfaitement les raisons qui poussent certains ennemis de nos héros à les combattre ainsi que le gouvernement comme Anji le moine banni ou Yumi la femme de Makoto Shishio…
    Et je confirme, Aoshi Shinomori est un personnage complexe et fascinant.
    De plus Kenshin Himura est un héros extrêmement charismatique, ce qui fait cruellement défaut à la plupart des héros de shonen actuels…
    Et des personnages féminins comme Kaoru ou Misao sont réellement attachants.

    Kenshin est l'un des meilleurs shonen des années 90 avec Slam Dunk, GTO et City Hunter (et oui ce dernier s'est fini en 1991!)

    Kuronoe
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    Kuronoe le #285583

    J'aime beaucoup aussi le personnage de la femme forte, indépendante qui malgré tout révèle progressivement une part de fragilité et un besoin de protection, ce sont des persos attachants et charismatiques et les plus intéressantes de toutes : Faye Valentine, Madoka, Misato Katsuragi, Maaya Natsume (enfin celles qui me viennent en tête pour l'instant)

    Les persos d'Adachi se rapprochent de ce type mais avec un côté “grande soeur” assez ambigu (mais c'est la faiblesse de ses persos masculins qui appelle nécessairement ce trait de caractère)

    +1 pour Kenshin, une série fantastique qui, curieusement est complétement tombée aux oubliettes ! Aoshi est un perso intéressant, mais pour moi le top reste Hajime Saito (c'est mon petit côté Shinsengumi) D'ailleurs je conseille de lire Kenshin en parallèle avec Le Loup de Hinata et Peace Maker, cette lecture croisée permet de confronter les différentes perceptions de la même époque et de ses personnages clés, c'est très enrichissant ( à compléter avec Bakumatsu Kikansetsu 😉 , pour la préquelle)

    Bub
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    bub le #285584

    Concernat Tsukasa Hojo, il y a un personnage qui m'exaspère au plus haut point ( et je vais me faire plein de copains… ) : Shion de family compo.
    Je ne la supporte pas : elle est über-parfaite, c'est vraiment trop naze, et son duo avec Masahiko ( un looser tendance sévère ) n'a jamais pris à mes yeux. Shion est : belle, lycéenne ( c'est toujours ça de pris pour le fan service ), très intelligente, très mature, très maligne, très secrète, etc. tout ça je le supportais jusqu'aux passages où elle se met à peloter l'apprentie travelo dans le noir et à lui faire la morale, c'est absolument pas crédible, comment une fille sans expériecne a priori pourrait bien en remontrer à une autre nana ? L'amour c'est comme le reste, c'est en forgeant qu'on devient forgeron. Et on sait que les amours de Shion ont été jusqu'à ce jour rares et platoniques, à la limite de l'indifférence. Bref, c'est mon titre préféré d'Hojo, mais Shion me semble un personnage too much dans ce titre parfaitement équilibré.

    Sinon, en matière de shonen, on peut aussi mentionner Katsura et sa fabuleuse vidéo girl. Bon, c'est pas une vraie fille, mais l'auteur dresse quand même un panel d'héroïnes particulièrement touchantes ( bouhouhou… ).

    Et puis ya Arale aussi ! Sexy, intelligente, subtile, fine, raffinée, sensible, grâcieuse, à elle seule elle rééquilibre l'écart de traitement entre tous les héros de shonen et leurs pendants féminin !
    Oyo !

    >>>> edit : Saito ! j'avais oublié son nom c'est pour ça que j'en ai pas parlé. Et puis Shishio est certainement le bad guy le plus charismatique, convaincant, puissant et aux motivations les plus difficilement contestables ( ni vengeance, ni vice, juste une ambition et encore, une ambition pour son pays ! ) vu dans le manga ou ailleurs.

    Baklael
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    Baklael le #285585

    J'ai un énorme doute: City Hunter, un shonen? z'êtes sûr? Parce que comme ça spontanément je dirais plutôt seinen. (Après je n'ai pas lu le manga, et mes souvenirs de la série sont faibles, mais les quelques extraits que j'ai pu lire et le style graphique m'envoient clairement vers du seinen.)

    Sinon le problèmes des femmes fortes, c'est qu'à la fin, dans tous les cas, elles ont besoin du héros. Comme une sorte de revanche: "Tiens t'avais pas besoin de moi, que tu disais, bah maintenant tu pleures pour que je vienne te sauver!" (la vie ou le cœur) Ou alors pour flatter notre caractère protectionniste. (Qui dans le fond n'est pas si louable qu'il n'y parait puisqu'il indique très clairement une supériorité sous couvert de bonnes intentions). Attention, je ne dis pas que c'est un problème que ça arrive, le problème c'est que c'est toujours comme ça. (sauf rares exceptions une fois encore)

    Ne serait ce que du point de vue narratif c'est pénible, on sait déjà à quoi s'attendre…

    Tout ça ne veut pas dire que je n'accroches pas à nombre de personnages féminins. Yoruichi par exemple est géniale. Les personnages féminins de Sasameke/sasanaki aussi me plaisent beaucoup. Ou encore Nakajima dans Sumomo. Tiens en parlant de Sasameke/naki, voilà un autre titre qui dénote au niveau féminin. Ici les persos les plus intéressants sont des persos féminins! (bon il y a aussi des ptit gars géniaux, Matsuri par exemple!)

    Louis-L
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    Louis.L le #285586

    Encore une fois je ne suis pas d'accord même si ce genre de personnage existe, je ne pense pas qu'on puisse parler de majorité (peut-être dans la majorité de ceux que tu lis), j'ai déjà cité Ghost in the Shell et lady Snowblood et je pourrais citer Hellsing (Integra hellsing mais même au bout d'un moment Victoria Seras quand elle évolue), les femmes de Genshiken, Revy dans Black Lagoon, Mamiya dans Hokuto No Ken (même si elle a besoin d'être sauvé de temps en temps, ça n'est pas une potiche attendant l'arrivée de son héros) et tu citais Winry dans FMA, je pourrais dans FMA en contre-exemple te citer le lieutenant Hawkeyes (qui est plus une femme que Winry qui est encore une adolescente) ou Izumi l'alchimiste ou encore Casca dans Berserk .

    Toutes ces femmes de manga ne sont pas des boulets attendant d'être sauvé ou juste là pour du fan-service donc le rôles des femmes dans le manga est aussi différent que les differents caractères de la vie tout comme les hommes

    Baklael
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    Baklael le #285587

    A part FMA c'est du seinen tout ça.

    Revy de black Lagoon… Je n'ai pas accroché. Mais du tout. Elle est franchement cinglée. Pas forte pour deux sous puisque constamment en train de péter un câble. (pour la saison 1 en tout cas) Après elle se bat bien mais ça s'arrête là. De toute manière je trouve Black Lagoon très surestimé.

    Mais revenons sur FMA. Hawkeye est forte mais! Sans Mustang elle n'existe pas (tout comme les autres subordonnés de ce dernier). Cela dit c'est un personnage en soit assez passionnant.
    Concernant Izumi. Elle casse des briques, c'est sûr. Mais le problème c'est l'exposition. C'est le maitre. Et comme l'élève doit surpasser le maitre dans le shonen forcément elle est un peu en retrait. Un personnage génial donc mais qui reste cantonné au rôle de maitre. (pour l'instant une fois encore.)

    Après on rentre dans le seinen. Genshiken est un manga assez réaliste. Donc forcément les personnages le sont aussi un peu plus. (kosaka excepté. mais même s'il est invraisemblable je l'adore.) Et pour moi le personnage principal de Genshiken c'est Saki. Donc la dessus je plussoie. C'est vraiment un titre qui n'oublie pas de donner un vrai rôle aux personnages féminins. Même si encore une fois les trois principales sont plutôt jolies. Surtout en comparaison des garçons du groupe. Mais apparemment c'est la loi!

    Mamiya c'est la fille du début qui protège un village, non? Mouais. C'est vrai que son caractère est frondeur mais elle est surtout la pour montrer que Ken et l'autre dont j'ai oublié le nom sont trop forts de la mort qui tue. (Pour moi, elle entre dans la catégorie boulet: de ceux qui attirent des ennuis en voulant surpasser leur capacités.)

    Et puis tous ces exemples peuvent être contrés avec des personnages masculins beaucoup plus classes/cools/délires/intéressant qui sont légions dans chacun des mangas cités. Et c'est sur ce point que je voulais insister. (sauf Genshiken et quelques exceptions encore et toujours, parce qu'évidemment il y a des exceptions!)

    Surtout dans le shonen. Je reviendrai sur le seinen qui me semble un peu plus équitable vu de loin.

    Xanatos
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    Xanatos le #285588

    Citation (Baklael @ 16/07/2009, 14:07)
    J'ai un énorme doute: City Hunter, un shonen? z'êtes sûr? Parce que comme ça spontanément je dirais plutôt seinen. (Après je n'ai pas lu le manga, et mes souvenirs de la série sont faibles, mais les quelques extraits que j'ai pu lire et le style graphique m'envoient clairement vers du seinen.)

    Oui on en est sûr. City Hunter fut publié dans le Shonen Jump de 1985 à 1991.
    C'est un manga à lire ABSOLUMENT, c'est l'un des meilleurs shonen des années 80 et 90 et c'est aussi un authentique chef d'oeuvre du 9e art.

    Je comprends que le prix très onéreux de l'édition Panini puisse rebuter, mais c'est réellement une série magnifique, extraordinaire, hilarante et poignante. Et c'est dans cette série que Hôjô a pu mettre au point son style graphique qui a contribué à la rendre si populaire (entre autres!) de par le monde.

    C'est ma série préférée de Tsukasa Hôjô et c'est aussi mon manga favori.

    Parmi les oeuvres de Hôjô c'est Family Compo et Angel Heart qui sont des seinen.

    Sinon, je partage l'avis de Louis.L, des femmes fortes n'ayant pas besoin d'hommes pour se tirer d'affaires, il y en a plein dans les mangas et l'animation japonaise, et effectivement Rebby de Black Lagoon est un bon exemple et n'oublions pas non plus Kei et Yuri la destructrice Dirty Pair ou encore Rally Vincent et Minnie May les héroïnes de Gunsmith Cats.

    Ceci dit, bien que j'aime bien Rebby, elle ne fait pas partie de mes héroïnes préférées, je préfère les personnages féminins qui sont forts mais aussi sensibles, leur part de fragilité les humanise: des héroïnes comme par exemple Lady Oscar, Gally de Gunnm, Aï de Video Girl Aï, Faye Valentine de Cowboy Bebop, Kaori de City Hunter, Nausicaä, , Kyoko/Juliette dans Maison Ikkoku/Juliette je t'aime, Emeraldas dans Albator/Harlock…

    Rebby fait un peu trop “nana invincible”, je préfère les héroïnes fortes et fragiles.

    Et c'est valable pour les personnages masculins également comme Ryô Saeba, Spike Spiegel, Cobra, Albator, Actarus…

    Natth
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    Natth le #285589

    Hokuto no Ken a été publié dans le Shonen Jump Weekly. C'est donc un shônen 😛

    Sinon, je n'en reviens pas que Kuronoe ait pu citer Peace Maker Kurogane sans faire allusion à Ayumu, la soeur de Yamazaki. Si on croit qu'il s'agit d'un personnage paisible au début, on finit par comprendre qu'elle doit assumer des responsabilités bien lourdes en réalité. Ce n'est pas bien de l'oublier 😡

    Louis-L
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    Louis.L le #285590

    Pour admettre une vérité pour Baklael c'est que je ne lis pas beaucoup de Shonen, plus de Seinen mais le manga ne se limite pas au shonen (pour le shojo je laisse la place, je lis peu de shonen mais pas du tout de shojo)

    Je pourrais ajouter Fujiko/Magali de Lupin III/Edgar de la Cambriole qui se retrouve parfois en danger mais n'hésite pas à se servir de sa féminité et de son intelligence pour manipuler les hommes (principalement ce pauvre Lupin) et comment j'ai pu oublier Faye Valentine et je plussoie avec Naomie Armitage d'Armitage III (cherche pas tu trouveras pas un mec plus cool dans l'anime) d'ailleurs je trouve que c'est le cas de Revy (et dans le même manga, j'ai acheté mais pas encore vu l'anime, on pourrait ajouter les bonnes soeurs). Et on pourrait continuer avec Lucy d'Elfen Lied, Re-I d'Ergo Proxy, Ai Enma de la fille des enfers ou encore Chihiro de Duds Hunt.

    Je pourrais en trouver d'autre et te citer des femmes boulets ou connes aussi (comme des mecs d'ailleurs), cequi me permet de continuer à affirmer que les charactères sont divisé et différent

    Louis-L
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    Louis.L le #285591

    Citation (Natth @ 16/07/2009, 16:10)

    Hokuto no Ken a été publié dans le Shonen Jump Weekly. C'est donc un shônen 😛

    Sinon, je n'en reviens pas que Kuronoe ait pu citer Peace Maker Kurogane sans faire allusion à Ayumu, la soeur de Yamazaki. Si on croit qu'il s'agit d'un personnage paisible au début, on finit par comprendre qu'elle doit assumer des responsabilités bien lourdes en réalité. Ce n'est pas bien de l'oublier 😡

    En fait je citais Hokuto no ken dans la catégorie Shonen comme hellsing non?(Publié à l'origine par Shonen Gahosha 😛 )

    Natth
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    Natth le #285592

    Citation (Louis.L @ 16/07/2009, 17:18)
    En fait je citais Hokuto no ken dans la catégorie Shonen comme hellsing non?(Publié à l'origine par Shonen Gahosha 😛 )


    Attention, car le cas d'Hellsing est très particulier 😒
    L'éditeur est bien Shonen Gahosha, mais Hellsing est sorti dans un magazine seinen : Young King Ours.
    Il y a quelques faux-amis comme celui-là dans le manga 😂

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