Mouais, faire aussi bien que ce film génial, ça craint ! Je parie que la gamine découvre la “beauté” d’un boutonneux et qu’on nous suggère d’avance ses amours… sans la moindre franchise là-dessus bien sûr.
Le topic général Disney
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Aujourd’hui c’est le trentième anniversaire de la sortie au cinéma de mon film d’animation Disney préféré : Aladdin ! 😀
Pour fêter dignement cela, j’ai publié une critique élogieuse de ce chef d’oeuvre. Bonne lecture à toutes et à tous ! ^_^
J’ai mis un court commentaire d’ Aladdin sur ton blog, cher Xan’ ! Un très bon film, mais je place certains autres Disney au-dessus. Par exemple, Alice au Pays des Merveilles est, j’en suis sûr, la meilleure adaptation du livre de Lewis Carroll sur les trouze qu’il y a eu ! Mais le Génie dans Aladdin est un feu d’artifice comique, et ton analyse très détaillée relève de l’excellence.
On annonce pour le 29 novembre dans nos cinémas le dernier long métrage Disney : Wish, Asha et la Bonne Etoile . Marrant, l’étoile ressemble beaucoup à celle d’un épisode de la série TV “Oscar et Malika” !
Merci énormément d’ailleurs pour ton commentaire sur mon blog et merci à toi pour tes retours positifs, ravi que mon analyse du formidable personnage du Génie t’ait plu ! 😀
Oui, Alice au pays des Merveilles est fabuleux : le film est incroyablement inventif et complètement délirant, un de mes classiques favoris des studios Disney ! 😀
Wish le nouveau film d’animation Disney sortira en effet le mercredi 29 novembre.
J’irai évidemment le voir et j’ai hâte de le découvrir. J’aurai pu le voir aujourd’hui, il passe en avant première dans le cinéma de mon quartier, mais je préfère aller voir en fin d’après midi Mars Express un film d’animation de science fiction français réalisé par Jérémie Perrin, réalisateur de la fantastique série animée Lastman 😀 .
Bien vu pour l’étoile ! 😀
Mais outre celle de Oscar et Malika, son design me rappelle aussi l’étoile bleue toute mignonne de Super Mario Bros le film qui balançait toujours des répliques pleines d’humour noir ! 😆
- Cette réponse a été modifiée le il y a 12 mois par Xanatos.
Cher Xanatos, je crois que tu as vu Wish ? Je serais curieux de connaître ton avis sur ce tout récent Disney, car je me pose la question d’aller le voir ou non….
Programmes de Noël obligent, la télé a rediffusé récemment Les 101 Dalmatiens , grand classique de 1961 ; aujourd’hui on tient à en créditer les réalisateurs, Clyde Geronimi, Hamilton Luske et Wolfgang Reitherman, même si évidemment le Big Boss avait décidé le film et pesait de tout son poids sur leurs épaules. On sait que le nouveau Big Boss après le décès de Walt fut justement Wolfgang Reitherman : d’origine allemande, il avait eu à coeur de s’engager en 1942 comme pilote de guerre afin de prouver son patriotisme US. Or Les 101 Dalmatiens garde (par son influence ?) toute une atmosphère Seconde Guerre Mondiale par les manoeuvres de communications et le rôle crucial du “régiment” du “colonel” (un vieux chien), du “sergent Tibbs” (un chat), du “lieutenant” (un cheval)… J’avais oublié beaucoup du film, en particulier comment on passe des 15 chiots nés de Perdita et Pongo à 101, total des kidnappings de Cruella pour son nouveau manteau. N’oublions pas que nous sommes aujourd’hui (un peu trop) bien chauffés et disposons de parkas et doudounes en synthétique efficace, mais qu’en 1961, en hiver, pour les hommes comme pour les femmes, le manteau épais était une obligation incontournable ! La féroce et snob Cruella le veut en fourrure chic, le must ! Personnage très réussi, au faciès proche de la tête de mort. En fait elle semble une aristo déchue, appauvrie : son château est délabré et elle compte vendre la plupart des peaux de chiots dalmatiens, très prisées. Plus pauvres encore les deux malfrats assez dépenaillés, mais qui se montrent suffisamment impitoyables pour qu’on ne les plaigne pas. L’hiver dans le film semble très rigoureux, ce qui ajoute à sa logique et à sa tension. Comme la plupart du temps chez Walt Disney, les personnages féminins (même Cruella !) montrent autant de force de caractère et d’esprit de décision que ceux masculins.
Aaaah oui Les 101 Dalmatiens !
Un grand classique des studios Disney : c’était le premier film Disney que j’ai acheté en VHS avec mon argent de poche quand j’étais adolescent !
Un très bon film, montrant une fois de plus le soin tout particulier que les animateurs accordaient aux mouvements des animaux, la gestuelle des chiens était très naturelle.
Au sujet de Cruella, je me souviens que c’est une amie d’enfance de Anita la femme de Roger et que ce dernier ne supporte absolument pas Cruella qu’il considère comme une abominable mégère !
Il me semble me rappeler que Anita demandait une certaine indulgence envers Roger vis-vis de son amie mais qu’il ne pouvait vraiment pas la voir en peinture !
Et impossible de ne pas se remémorer l’inoubliable chanson que Roger a écrit et composé au sujet de Cruella: Cruelle, Cruelle Diablesse ! 😆
Bien vu en effet pour le visage de Cruella évoquant effectivement une tête de mort :
D’ailleurs pour moi LA scène la plus effrayante du long métrage est celle où elle pourchasse nos dalmatiens en voiture : il y a un gros plan où elle arbore une expression cauchemardesque ainsi qu’un regard terrifiant reflétant à la perfection sa folie et sa détermination de massacrer ces pauvres chiens !
Au sujet de Jasper et Horace, ils ont beau être les complices de Cruella, ils ne sont en effet pas très sympathiques et ne se montrent pas non plus serviles envers leur abominable patronne : à la fin du film, quand celle-ci décrie avec véhémence leur incompétence et leur stupidité, l’un d’entre eux lui répond vertement OH LA FERME !
On voit en tout cas qu’ils en ont leur claque de leur boss tyrannique et il y a fort à parier qu’après la fin du film, ils l’ont quitté sans remords.
Merci pour tes informations ô combien passionnantes sur le passé du réalisateur Wolfgang Reitherman ! On comprend d’autant mieux d’où viennent les références de son long métrage 🙂 .
Wish : Asha et la bonne étoile
Réalisation : Chris Buck et Fawn Veerasunthorn
Alors mon cher Yupa, qu’ai je pensé du dernier film d’animation en date des studios Disney ?
Et bien, je l’ai trouvé très bon 🙂 . Il a été décrié avec énormément de véhémence et virulence par énormément de journalistes et Youtubers, mais pour ma part, je l’ai trouvé sincèrement très bon.
Alors, visuellement, non seulement le film est une splendeur mais en plus il se démarque des précédents films de la firme : le character design semble être à mi-chemin entre la 2D et la 3D lui conférant un certain charme qui m’a beaucoup plu. L’animation elle est vraiment épatante !
Asha est une héroïne sympathique, intelligente, capable de se remettre en question tout en étant déterminée à a accomplir ses rêves et ses espoirs.
Au sujet du Roi Magnifico, l’antagoniste du long métrage, je suis assez mitigé à son sujet : son côté ambivalent le rendait assez intéressant et intriguant au début. Il essaiera même d’accomplir un acte dangereux pour lui mais son épouse l’en dissuada et il écouta ensuite ses conseils avisés, montrant qu’il n’est pas borné et sait être à l’écoute de sa femme. Mais par la suite, j’ai trouvé son basculement vers le côté obscur trop précipité et abrupt à mon humble avis. Un peu dommage, même si ses aptitudes maléfiques donnent lieu à de très beaux effets visuels.
Pour les autres personnages, Valentino le chevreau de Asha, dès lors qu’il se montre doté de la parole se révèle être très cocasse et amusant 🙂 . Quant à Star, l’étoile dotée de super pouvoirs, elle est adorable et très mignonne.
Globalement le film est riche en péripéties, en action et en aventure et il m’a fait passer un moment très agréable ! 🙂
Il ne m’a pas transporté comme les meilleurs films Disney de la précédente décennie tels que La Reine des Neiges 1 et 2, Zootopie et Vaiana mais j’y ai davantage accroché que les deux précédents long métrages que furent Encanto et Avalonia.
Wish est un très bon film qui vaut la peine d’être vu et ne mérite aucunement le tombereau de critiques exagérément incendiaires le trainant dans la fange alors qu’il vaut pourtant le coup !
Pendant que j’y suis, grande nouvelle : le magnifique court métrage Il était une fois un studio est à présent disponible légalement et gratuitement sur Youtube en version française ! 😀
Donc pour celles et ceux d’entre vous ne l’ayant pas encore vu, je vous laisse le découvrir : c’est une pure merveille, pleine d’humour et regorgeant d’émotion pure ! Enjoy! 😀
Nouvelle vidéo de notre ami Mauser91 sur les suites et idées novatrices de Fantasia qui furent tantôt abandonnées, tantôt employées ailleurs :
Excellente vidéo de ta part Mauser91 qui s’avère ô combien complète, dynamique et passionnante ! 😀 Bravo à toi ! 😀
La bande annonce de Vaiana 2 :
Le long métrage semble très prometteur : à la fois proche du film original tout en tentant de s’en démarquer un peu. Et le fait que, semble-t-il, le peuple de Vaiana l’accompagne dans son périple est très intéressant, car très respectueux de la réalité historique étant donné que les Maoris firent partie des plus grands marins de l’histoire de l’humanité avec les vikings !
Et techniquement, c’est toujours aussi beau et soigné.
Vaiana a été avec La Princesse et la Grenouille ainsi que Zootopie l’un de mes films d’animation Disney de la précédente décennie, J’espère que cette suite lui fera honneur ! 😀
En revanche, je serai curieux de savoir qui réalise cette séquelle, car l’un des deux réalisateurs du film original, l’excellent John Musker (Basil Détective Privé, la Petite Sirène, Aladdin, Hercule ) a depuis pris sa retraite.
Oui moi de même cher Yupa ! 😀 Et je serai ravi d’aller le voir en ta compagnie au cinéma ! ^_^
Pendant que j’y suis, demain ce sera le 90e anniversaire de l’un des personnages les plus célèbres et populaires des studios Disney (et l’un des meilleurs ) : Donald Duck.
Pour fêter dignement cela, un court métrage d’animation inédit “D.I.Y. Duck” sera disponible demain sur Disney + mais aussi légalement et gratuitement sur Youtube.
A noter que des archives audio de Clarence Nash, le comédien d’origine ayant prêté sa voix à Donald dans les cartoons originaux sera employé !
Vice-Versa 2, sur nos écrans actuellement. Beau film, très spectaculaire. Comme il s’agit de la puberté de Riley, je craignais l’éternel cliché réduisant l’événement à une bluette amoureuse et fort pudique envers un boutonneux, annonce future du patriarcal “il se marièrent et eurent beaucoup d’enfants”. Zéro étude du chamboulement identitaire des gamin(e)s. Eh bien non ! Ici la puberté de Riley est une crise émotionnelle et très personnelle de (non ? ) intégration de la jeune ado à une équipe féminine de hockey sur glace, et le jugement sur elle de ses amies et de la capitaine est tout ce qui compte pour elle. Il y a même une allusion directe à l’apparition des règles (“Je sens mauvais”). Et arrivent dans le cerveau où Joy est la “cheffe” de nouvelles entités émotionnelles. Un peu trop d’ailleurs : on s’y perd un peu, et Anxiété fait double emploi avec Peur… Rythme échevelé, monde intérieur fantastique, une Riley et une Joy très attachantes. Bon film, mais la cible (les adolescentes déboussolées par la puberté) n’est pas d’une très grande ampleur.
Vice-Versa 2, sur nos écrans actuellement. Beau film, très spectaculaire. Comme il s’agit de la puberté de Riley, je craignais l’éternel cliché réduisant l’événement à une bluette amoureuse et fort pudique envers un boutonneux, annonce future du patriarcal “il se marièrent et eurent beaucoup d’enfants”. Zéro étude du chamboulement identitaire des gamin(e)s. Eh bien non ! Ici la puberté de Riley est une crise émotionnelle et très personnelle de (non ? ) intégration de la jeune ado à une équipe féminine de hockey sur glace, et le jugement sur elle de ses amies et de la capitaine est tout ce qui compte pour elle. Il y a même une allusion directe à l’apparition des règles (“Je sens mauvais”). Et arrivent dans le cerveau où Joy est la “cheffe” de nouvelles entités émotionnelles. Un peu trop d’ailleurs : on s’y perd un peu, et Anxiété fait double emploi avec Peur… Rythme échevelé, monde intérieur fantastique, une Riley et une Joy très attachantes. Bon film, mais la cible (les adolescentes déboussolées par la puberté) n’est pas d’une très grande ampleur.
Vice Versa 2
Réalisation : Kelsey Mann
Avec beaucoup de retard, je réponds à ta critique de Vice Versa 2 étant donné que nous avons eu le plaisir de voir ce long métrage ensemble au cinéma 😀 .
J’attendais autant que je redoutais cette suite de Vice Versa , car je porte au pinacle le film original qui est sans nul doute mon long métrage d’animation favori des studios Pixar. En effet Vice Versa est magnifique, intelligent, inventif, incroyablement émouvant et bouleversant…
A mon grand soulagement cette suite ne m’a pas déçu et s’avère assez excellente 😀 .
Comme tu le soulignes avec justesse, on évite fort heureusement le cliché de l’héroïne adolescente en proie aux premiers émois amoureux n’ayant de yeux que pour un playboy… OUF !
Là au contraire Riley admire au plus haut point une sportive émérite et caresse l’espoir non seulement d’être à son niveau, mais aussi d’être son amie…
Hélas cela la pousse à délaisser ses amies les plus proches, ayant été affectée par le fait qu’elles ne seront plus dans la même classe qu’elle l’année suivante.
Joie commet quelques erreurs, et Anxiété, grisée par le fait que ses premières décisions s’avèrent de prime abord justes pour l’orientation et l’évolution de Riley décide de prendre les commande et de reléguer les émotions originelles de la jeune fille (Joie, Tristesse, Dégoût, Peur et Colère) aux oubliettes, épaulée par Envie, Ennui et Embarras…
Il y a un élément que j’apprécie beaucoup, c’est que cette suite tient compte de l’évolution des personnages. En effet, j’ai énormément aimé de voir Joie soutenir et encourager Tristesse : elle a totalement confiance en elle et se montre très bienveillante envers elle quand celle-ci est en proie aux doutes.
Joie a appris de ses erreurs, parce qu’on se souvient que dans le film original, elle était persuadée au début que Tristesse était un boulet ne pouvant rendre Riley que malheureuse, mais elle se rendit compte à quel point elle est indispensable à l’équilibre psychique et psychologique de Riley et qu’à l’instar de toutes les autres émotions, elle est primordiale et fondamentale.
C’était également sympa de voir Colère, Dégoût et Peur accompagner Joie dans son périple pour revenir au sein du QG.
L’intelligence des scénaristes est de ne pas avoir cantonné les personnages à leurs caractéristiques de base : c’était super par exemple Colère savoir faire preuve de sagesse, de sang froid et de bienveillance envers Joie lorsque celle-ci se demandait légitimement si ils pourront atteindre leur objectif.
Le thème de base du film est également intéressant : on voit Riley tenter de “rentrer dans le moule” afin de pouvoir s’intégrer parmi le groupe de ses nouvelles amies, au point de renier certains centres d’intérêt et passions qu’elle aime pourtant réellement.
Plusieurs adolescents ont été confrontés à ce phénomène de peur, d’angoisse d’être rejeté par autrui en étant “différent” et persuadés que de “faire comme tout le monde” leur permettrait de se faire plein d’amis… Alors que c’est faux : le plus important est de s’accepter soi même et de ne pas renier ce que l’on est… Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas non plus fournir d’efforts pour s’améliorer et tenir compte des conseils avisés de ses vrais amis et de ses proches.
Les parents de Riley sont eux toujours aussi intéressants, notamment le père qui prête une oreille attentive à sa fille quand il voit qu’elle n’est pas dans son assiette.
En bref, une belle suite ne galvaudant pas l’esprit originel du premier film et qui est brillamment menée… Néanmoins, malgré ses qualités indéniables et le fait que Vice Versa 2 soit un film touchant, il n’a selon moi pas l’extraordinaire puissance émotionnelle du premier volet qui m’a profondément touché et ému…
Toutefois, j’estime que son succès (colossal !) est mérité 🙂 .
Au sujet de Alerte Rouge , tu as raison Yupa, c’est un Pixar dont on ne parle pratiquement pas sur les forums ou les réseaux sociaux : je pense que sa diffusion confidentielle sur Disney + ne l’a pas aidé à se faire davantage connaître.
Je ne l’ai vu qu’une seule fois il y a longtemps et mes souvenirs sont à présent un peu flous mais j’ai trouvé que c’était un très bon film qui offrait une réflexion intéressante et pertinente sur la puberté, les “règles”, mais aussi les rapports “mère fille” et que les affres d’un passé tumultueux ne doivent pas gangréner le présent actuel.
Il faudrait que je le revois, mais pour moi, il fait partie des très bons films du studio Pixar sans être du même niveau que les long métrages majeurs de celui-ci. 🙂
Vice-Versa 2, sur nos écrans actuellement. Beau film, très spectaculaire. Comme il s’agit de la puberté de Riley, je craignais l’éternel cliché réduisant l’événement à une bluette amoureuse et fort pudique envers un boutonneux, annonce future du patriarcal “il se marièrent et eurent beaucoup d’enfants”. Zéro étude du chamboulement identitaire des gamin(e)s. Eh bien non ! Ici la puberté de Riley est une crise émotionnelle et très personnelle de (non ? ) intégration de la jeune ado à une équipe féminine de hockey sur glace, et le jugement sur elle de ses amies et de la capitaine est tout ce qui compte pour elle. Il y a même une allusion directe à l’apparition des règles (“Je sens mauvais”). Et arrivent dans le cerveau où Joy est la “cheffe” de nouvelles entités émotionnelles. Un peu trop d’ailleurs : on s’y perd un peu, et Anxiété fait double emploi avec Peur… Rythme échevelé, monde intérieur fantastique, une Riley et une Joy très attachantes. Bon film, mais la cible (les adolescentes déboussolées par la puberté) n’est pas d’une très grande ampleur.
Vice Versa 2 Réalisation : Kelsey Mann . Comme tu le soulignes avec justesse, on évite fort heureusement le cliché de l’héroïne adolescente en proie aux premiers émois amoureux n’ayant d’ yeux que pour un playboy… OUF ! Là au contraire Riley admire au plus haut point une sportive émérite et caresse l’espoir non seulement d’être à son niveau, mais aussi d’être son amie…
Très fine analyse, Xanatos ! On peut se demander si l’absence du garçon “de rigueur” et le crush de Riley pour sa capitaine n’est pas une discrète acceptation des réclamations de la communauté L qui voulait qu’Elsa dans La Reine des Neiges 2 rejoigne la dite communauté ! Mais Disney ou Pixar n’iront pas plus loin à coup sûr, pour diverses raisons…
Je suis bien d’accord avec toi : ce film-ci est très bien (et il faudra que je le revoie) mais il n’a pas tout à fait la force du premier “Vice-Versa”, si émouvant dans le paradoxal rapport Joie – Tristesse !
Une interview que Donald Duck a accordé à l’animateur Sean Evans pour l’émission “Hot Ones” où il évoque certains souvenirs de sa carrière (tel que le court métrage La petite poule avisée ) tout en dégustant des sauces au piment. Ses réactions quand il “savoure” les sauces de Maléfique et Hadès sont particulièrement hilarantes ! 😆
Bon visionnage à vous ! 😉
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