Rien qu'à l'image, ça à l'air de poutrer sa mémé !! J'ai hâte là du coup !!
Saint Seiya
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Pour ma part, j'ai un peu tiqué au début mais à partir du moment où j'ai vu Seiya et ses “30 secondes chrono”, j'ai vite compris que contrairement à la série TV des années 80, on n'allait pas beaucoup pleurer dans ce film sinon de rire.
A partir du moment où on accepte ce postulat, on passe un très bon moment. Ca me fait beaucoup penser aux films de Jackie Chan dans les années 80 : même s'il y a quelques moments de sérieux, la plupart du temps on est surtout dans la comédie avec des acteurs qui surjouent, des situations vraiment exagérées (le Taureau et sa bouffe 😂), des combats de folie avec les fameux passages où le personnage est traîné sur plusieurs mètres en laissant une belle trace dans le mur. Quoiqu'on en dise, ce côté très exagéré fait aussi partie du charme de l'anime original.
Il y a une très bonne alchimie entre les héros ; comme Xanatos, je trouve que Seori est beaucoup plus attachante ici que dans l'anime où elle était plus distante. Dans mes souvenirs, Saori apparaissait comme une enfant gâtée que les chevaliers protégeaient parce que c'était leur job tandis qu'ici c'est une jeune fille bouleversée par tout ce qui lui tombe dessus en l'espace de quelques heures et que les chevaliers défendent surtout par affection. Bien vu aussi de lui avoir attribué un rôle plus actif de soigneuse, ça m'a beaucoup fait penser à la classe des soigneurs dans les RPG ou jeux de stratégies qui ne sont pas très forts pour infliger des dégâts mais sont essentiels en tant que soutien. Ca renforce une fois de plus cette sensation qu'elle n'est pas en retrait mais partie intégrante de l'équipe. Dans l'absolu, c'est un personnage très classique pour une princesse à protéger mais elle est quand-même bien plus attachante que dans l'anime.
Pour le personnage de Seiya, je comprends aisément que des fans comme Xanatos déteste cette version, pour ma part comme je n'avais pas vraiment d'opinion sur ce personnage dans la série TV, ça ne m'a pas plus dérangé que ça. Pour les autres chevaliers, je trouve que c'est Shiryu qui est le mieux traité, j'ai quasiment oublié le combat de Hyoga mais c'est dommage que Shun et Ikki soient sous-exploités, j'aurais bien aimé voir l'Illusion du Phoenix ou la chaîne d'Andromède dans ses oeuvres..Côté défauts, il y a quand-même beaucoup d'ellipses, certaines maisons sont carrément zappées ; ils auraient pu au moins faire une séquence montrant en quelques images des combats moins importants parce que là, on a l'impression qu'ils ont traversé certaines maisons sans avoir rencontré personne.
D'un point de vue esthétique, je n'ai pas vraiment accroché à l'aspect très cybernétique des armures ni au remplacement des grosses boîtes bien lourdes par des plaquettes ressemblant à des dogtags ; ça ne colle pas trop avec l'idée de vieilles armures sacrées. Tant qu'à faire, j'aurais plutôt préféré qu'on leur donne un côté plus magique : par exemple qu'elles apparaissent de nulle part par invocation
Je passe sur les incohérences (pourquoi les chevaliers d'or reliés à leur cause ne les aident pas pendant les combats ?) car c'est déjà un tour de force de résumer tout l'arc du Sanctuaire en un film d'1h30 et de toutes façons, vu le ton du film ce n'est pas vraiment important.Je n'attendais pas grand chose de ce film et j'ai finalement passé un très bon moment ; je n'ai plus que de très lointains souvenirs de l'anime mais j'ai retrouvé dans le film le côté grandiloquent que j'aimais bien à l'époque. Même la chanson du Cancer m'a bien plu mais j'étais en mode déconne depuis bien longtemps !
Certes ce n'est pas le grand film dramatique dont certains auraient pu rêver mais d'un autre côté, vu qu'on sait que les héros ne meurent jamais vraiment je ne sais pas s'il aurait été évident de transformer le mélange de mélo et d'exagération des années 80 en un film mature et à peu près réaliste.[Insérez une citation qui donne l'air intelligent ici]
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[Revue du 25/02]
OMG… Legend of Santuary est un merveilleux massacre. 😂
Soyons clairs : ce film est une horreur par rapport au manga de Kurumada. Rien n'est respecté, pas même la définition du mot “cosmos”. Au bout d'un moment, ce n'est même plus la peine de comparer, car rien n'est comparable ! Un type dans la salle a failli s'étrangler en découvrant le Sanctuaire ; moi, j'ai explosé de rire. J'ai ri du début à la fin, vraiment ! Il y a une ultime séquence de trolling après le générique alors surtout, ne vous enfuyez pas avant.
Legend of Santuary semble avoir été fait par un fanboy capricieux. Tout est remodelé à sa sauce. Tatsumi a retrouvé des cheveux, Shaka dit aux autres d'ouvrir les yeux, Milo a… changé d'apparence, il y a des voyages dans l'espace, des robots géants, une star d'opéra, j'en passe ! Et c'est là que ça commence à devenir bon : à partir du moment où on a perdu tout espoir de voir du vrai Saint Seiya, on commence à prendre son pied comme le gros fanboy en question. Le film n'avait peut-être pas vocation à être comique, mais il l'est ! Il faut aller le voir avec des potes, appeler Dieu à l'aide quand Seiya fait sortir d'un médaillon sa Cloth 2.0-pleine-de-mecha-de-la-mort-qui-tue, rire quand Deathmask se retrouve misérable en calbut, etc etc. Il faudrait une cagette de légumes fournie avec le ticket, histoire de pouvoir lancer quelques trucs au passage !
L'ambiance de la salle est essentielle. Il faut voir ce film au cinéma pour vivre une espèce de communion avec les gens, sentir le désarroi des uns, se marrer avec les autres !Il y a des moments de pure anthologie comme la façon dont Ikki, le trolleur par excellence (“Fufufu j'arrive en retard car je suis une star, et comme je suis trop fort, je vais réussir là où vous avez TOUS échoué”) se fait troller à son tour de façon magistrale dans la maison du Sagittaire ! Ou bien, ce moment magique où Shiryû, qui ramène encore sa science, se fait troller par tous ses compagnons à l'arrivée au Sanctuaire. 😂
Au-delà de ça, les effets spéciaux sont magnifiques. Oui, ils savent faire des effets, et ils en font des tas ! Des explosions dans ta face, des étoiles, du doré, des cercles qui tournent, la totale ! Dès l'ouverture, ça envoie de partout. On n'y comprend plus rien, mais c'est beau ! *_*
Résumer toute la saga du Sanctuaire en 93 minutes est impossible. Partant de là, les raccourcis sont pas trop mal faits, puisqu'on a choisi d'à peu près rien respecter. Pour ceux qui ne connaissent pas l'original, ça doit être très confus à suivre. Pour les autres ben, c'est du pur défouloir. Au final, qui en a encore quelque chose à faire de l'émotion du combat Camus vs Hyôga ? Pour ça, on a la série animée. Là, on est devant un nanard aux FX géniaux donc ce qu'on veut voir, c'est Aurora Execution. C'est donc ce qu'ils nous donnent, et on passe à la suite !
Quand par hasard le film se trouve être fidèle, ça donne le frisson. Quelques images de Shiryû vs Deathmask sont assez jouissives. Bien sûr, ça arrive très peu souvent, mais voir le gouffre des enfers, Shiryû retirer sa Cloth et le dragon apparaître dans son dos, ça vaut son pesant d'or. Idem pour les magnifiques effets de la Nebula Chain (qui ne fait plus des maillons mais des genres de barbelés, soit 😂), le Cristal Wall, Galaxian Explosion, Another Dimension… C'est beau, j'en veux encore. *_*
Vous ne savez pas si j'apprécie au second degré, ou au premier ? Les deux, je suppose.
A vrai dire, j'ai été briefée avant d'y aller, alors je savais que j'aurais droit à un véritable massacre de Saint Seiya. Je savais que mes combats préférés avaient soit été amputés, soit étaient carrément absents. Je savais que Shun ne servirait à rien comme d'habitude dans les films (sauf dans le Tenkai), mais que Ikki non plus (et bim le sauveur ! 😂).
Je rigolais avant d'y aller, en pensant que j'allais volontairement à la guillotine.Au final, qu'est-ce que j'ai vu ?
Un massacre, oui, avec de très beaux effets spéciaux. C'était sûrement le but du film, en fait. Je me suis beaucoup marrée. J'ai vu des gags tellement cons que ça m'a fait rire, des trucs tellement pas fidèles au manga que ça m'a fait rire, j'ai entendu des spectateurs se lamenter et ça m'a encore fait rire. 😂
J'ai passé 65% du temps à me marrer, et quand même 35% (c'est pas mal !) scotchée par les combats et la pyrotechnie.Bilan : ce film est une daube en or. Il ne va pas faire long feu au cinéma, je vous conseille de faire vite !
(en plus, on a beaucoup de chance sur Paris, il passe en VOST… Quel pied d'entendre Pegasus Ryûsei Ken ou Rozan Shô Ryû Ha ! 😃)
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Saint Seiya Omega – Saison 2
Je suis en plein visionnage de la saison 2 d'Omega et franchement… j'adore !!!
Cette série a beaucoup de haters donc je vais replacer les choses dans leur contexte :
– Omega n'est pas la série classique, elle n'a pas de statut d’œuvre-culte et n'y prétend pas.
– Le public n'est pas le même qu'il y a trente ans.
– Le côté édulcoré est un peu chiant (rapport au point précédent). Côté morts, quand on fait le bilan, on s'aperçoit quand même qu'il y en a beaucoup.
– Les Cloths sont moches, à de rares exceptions près.
– Le chara-design peut aussi paraître moche : question de goût, mais c'est regardable.
– Les musiques ne sont pas de Yokoyama, néanmoins Sahashi se défend bien.
– Les Bronze “font” leur âge. On aime ou on aime pas, perso je trouve que leur jeunesse apporte quelque chose (et c’est plus cohérent qu’une gamine de treize ans avec un 90C).Ceci étant posé, de quoi cause la saison 2 ?
Après la chute de Mars (saison 1), Athéna est rétablie à sa place. Même si les Saints légendaires (Seiya et co) sont libérés de l'emprise des ténèbres, le Sanctuaire reste très affaibli. Pallas choisit ce moment pour s'incarner sur Terre. Athéna envoie Seiya pour éliminer la fillette, mais celui-ci se révèle incapable de la tuer. Une nouvelle guerre s'amorce entre les Saints et les serviteurs de Pallas, les Pallasites. Car pour grandir, Pallas pompe l'énergie vitale de sa sœur, jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Vous l'avez compris, on sort enfin du Sanctuaire et ça, ça fait du bien ! Même si le Sanctuaire d'Omega était sympa.
La saison commence tranquillement. On a quelques beaux moments de troll comme la reconversion professionnelle de Haruto (quelle belle tranche de rire ! 😂), ou Kiki nous expliquant qu'on peut réparer une Cloth juste avec un bon cosmos (ça aurait été sympa de le dire à Shiryû à l'époque, ou même à Yuzuriha !).
Surtout, les Cloth reprennent leur apparence normale : exit les Clothstones, rebienvenue aux Pandora Box ! Les réflexions des personnages à ce sujet donnent le sourire : les Pandora Box rappellent à Shaina “de bons souvenirs”, tandis que Sôma (encore avec sa Clothstone) demande à Kôga quelle est cette “boîte aux lettres” qu'il porte sur son dos ! 😂Les épisodes prennent le temps de traiter la psychologie des héros. D'abord, on explore le rapport de chacun au combat, nos Bronze ayant été rudement secoués par leur épopée au Sanctuaire. Ils ne repartent pas se faire laminer tête baissée !
Yuna est toujours aussi classe ; pour moi, elle est la plus fiable de son groupe. Elle a aussi la plus belle Cloth !
On découvre Ryûhô entouré de son père guéri et de sa mère (Shiryû et Shunrei). Je le trouve particulièrement attachant car, comme Shun à l'époque, il n'est pas taillé pour le combat et n'aspire qu'à vivre heureux aux Cinq Pics avec ses parents. Mais il est aussi un Dragon de Rozan, avec la classe et la détermination qui vont avec. Quand il sort son Rozan Shô Ryû Ha, quel pur bonheur !!! *Akiko en délire*
Kôga est un personnage vraiment intéressant. Il possède un côté sombre que n'avaient pas les autres chevaliers de Pégase, Seiya et Tenma. C'est dit dans la saison 1, mais là, c'est montré de façon plus fine. Pour commencer, il se pose des (bonnes) questions à son sujet. Jusqu'où va son goût pour la justice, et où commence son plaisir pur du combat ? Détruire pour détruire au nom d'Athéna, sans rien remettre en cause ? Il s'interroge sur la violence en lui et se montre parfois étonnamment raisonné, calme et sage.
Son rapport à Athéna est aussi très intéressant. Il l’a côtoyée quotidiennement avant son retour au Sanctuaire. A la différence de Seiya ou de Tenma, elle n'a pas le même âge que lui, on peut même dire qu'elle l'a élevé. L'aime-t-il comme une mère, ou en tant que femme ? J'ai adoré l'épisode où il voit Seiya et Saori proches : cela ne dure que quelques secondes, mais on voit clairement que Kôga est dépité. Il a hâte de quitter le Sanctuaire car leur seule vue lui est difficile !
Là intervient un autre point fort : la relation Kôga/Seiya. Toute son enfance, Kôga l'a passé dans l'ombre de Seiya. En tant que nouveau Pégase, on n'a cessé de lui rappeler combien était valeureux son prédécesseur. Or, voilà que le Gold du Sagittaire revient du néant en chair et en os ! Kôga peut nourrir de l'admiration pour lui, mais aussi un sentiment de saturation et de jalousie. On perçoit au début une certaine froideur entre eux. Au fil des épreuves, on sent cependant naître chez Kôga une forme d'estime et de respect, quelque chose de profond qui va au-delà de l'image d'icône qu'on lui avait vendue. Après tout, tous deux partagent des valeurs communes comme la générosité et la persévérance ! J'ai hâte de voir la suite car, dans l'épisode 68, Kôga a un geste très beau et très surprenant envers notre Sagittaire, qui se mesure d’autant plus lorsqu’on connaît la série classique.
Puisque j'en suis à parler de Seiya, développons un peu sur son cas. Au début, il apparaît comme LE chevalier parfait, le Sagittaire un peu intouchable à l'image d'Aiolos. Se serait-il embourgeoisé, psychorigidifié, rasoirdisé ? Hé bien non ! 😂
Cette nouvelle guerre mobilisant toutes les forces armées d'Athéna, Seiya revient sur le terrain pour se battre. Il a énormément de classe, on sent toute l'expérience en lui. Il donne des ordres, intervient à bon escient, se comporte finalement en adulte tout en gardant sa fougue d'antan ! Ses paroles sonnent juste, comme lorsqu'il remet Eden dans le droit chemin. Dans cette saison, on se rend vraiment compte des qualités de Seiya, son bon cœur, sa foi, son abnégation. Si on pouvait oublier tout cela dans la série mère, là, ça explose à la figure ! Comme Kôga, on a l'impression de le (re)découvrir.
A l'instar de Seiya, les autres Bronze légendaires sont de la partie. Pour l'instant, je n'ai vu que Shun changer sa Cloth d'Andromède en nouvelle Cloth (moche, mais passons 😂). A la fin de l'épisode 68, on voit Shiryû, Shun et Hyôga arriver à Pallasbelda. Nul doute que la suite va être épique ! Ce sera la première fois qu'on les reverra en combat. Ce sera aussi la première fois que Shiryû et Ryûhô se retrouveront sur le même terrain (je veux un combat en duo père/fils !). De prime abord, je n'étais pas très contente que Hyôga n'ait pas hérité de la Cloth du Verseau, et Shun de la Vierge. Au final, je suis ravie car on pourra les voir dans leurs Cloths (presque) originelles (comme avant !), avec le Diamond Dust et la Nebula Chain ! C'est con, mais moi, une seule de ces attaques me fait mon épisode 😃 (et puis, Fûdo de la Vierge est classe. Quant à la Cloth du Verseau, y'a sûrement moyen de la récupérer, fufufu).
Cette saison 2 de Saint Seiya Omega développe aussi un point apporté par la série mère puis complètement éclipsé : les Steel Saints. Leurs Cloth sont laides et ils ne servent à rien : justement, Omega saute à pieds joints dans cette faiblesse du scénario pour tenter de la dépasser. Grâce à Subaru (un gamin fort mystérieux dont on n'a probablement pas fini d'entendre parler…) et à ses camarades, on découvre la condition des Steel Saints, la façon dont ils sont entraînés et, disons-le, envoyés au combat comme de la chair à canon. Ces enfants ont une belle volonté, une belle combativité, mais quelle injustice de les voir avec des armures mécaniques ! Grâce à eux, on reprend conscience de la valeur des vraies Cloths. Souvenez-vous comment les héros de la série mère avaient galéré pour obtenir les leurs !
Les Steel Saints sont très limités, mais Athéna les appelle en renfort car ses rangs ont été décimés par Mars. Rendez-vous compte : il ne reste que quatre/cinq chevaliers d'or sur douze ! Sans compter les pertes chez les Silver et les Bronze.
Les Steel servent de soutien militaire, mais, à cause de leurs Cloths en carton-pâte, ils ne se battent pas à armes égales avec les Pallasites. A quoi servent-ils, si ce n'est à se faire dégommer ? Les personnages de l'épisode 66 (“La dure bataille des Steel Saint ! Les héros anonymes”) tentent chacun de répondre à cette question d'une façon assez émouvante.En bref, on n’aura jamais vu autant de chevaliers au combat en même temps dans tout Saint Seiya. L’assaut de Pallasbelda donne vraiment une impression de guerre. On peut dire que c’est pour le fan service, ce n’est pas faux… En attendant, c’est très sympathique de voir à la fois les nouveaux héros d’Omega, les anciens, mais aussi les Steel Saints dans un assaut groupé. L’accent est mis sur la force du groupe, plutôt que sur la force individuelle. Lorsque Kôga et Ryûhô revisitent la légende chinoise du bouclier et de la lance les plus résistants au monde, cela fait des étincelles !!!
Il y a des méchants pas beaux, une petite déesse capricieuse, des big boss avec des capes. Le côté “pas de sang” n’enlève pas le souffle épique de certains combats. Les épisodes s’enchaînent super vite, c’est que du fun ! Alors, que demande le peuple ?
PEGASUS RYUUSEI KEN !!!
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CHAMP DE BATAILLE, PALLASBELDA.
APRÈS 75 ÉPISODES D'ABSENCE TOTALE
…
IL
EST
REVENU.
SAINT SEIYA OMEGA
ÉPISODE 76
~ vingt-trois minutes depure hystériebonheur intense avec :
des plans de la mort
une anim moderne
des phrases cultes
une totale fan service Phénix2
et
de grosses mandales judicieusement distribuées ~HÔ YOKU TENSHÔ !!!
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Cool alors, merci ! J'avais bien peur que le sujet Omega n'intéresse que moi. 😂
Je ne sais pas trop ce qu'il se dit sur d'autres forums ; dans un sens, je n'ai pas trop envie de le savoir. Taper sur cette série est tellement facile ! Il y a plein de points discutables (ceux que j'ai listés au début de ma critique), aussi je comprends les allergies. Pour ma part, plus que le design des Cloth, je regrette l'absence de sang. On mesure moins l'importance vitale des victoires, la souffrance des personnages… Cela enlève aussi au côté spectaculaire. En début de saison, par exemple, Ryûhô se fait lacérer le dos par un Pallasite. J'imagine la même scène et de “vraies” blessures : elle aurait tellement plus de tension dramatique !
Mais voilà, le public a changé, la cible n'est plus la même. Je prends Saint Seiya Omega comme un divertissement et préfère me concentrer sur ses qualités.Dans cette série en général, parmi les points positifs que je n'ai pas mentionnés plus haut, j'aime beaucoup le personnage d'Eden. Je regrette qu'il n'apparaisse que dans Omega : j'aurais voulu le voir dans la série mère, avec une autre Cloth. Le Saint d'Orion a tellement de charisme !
Au début de la saison 2, on se rend compte à quel point il a été détruit par l'arc précédent. Eden avait tout : un père, une mère, une sœur, une fille qu'il aimait, la promesse du pouvoir et d'un futur brillant. En l'espace de 51 épisodes, il a absolument tout perdu !
Il continue malgré tout d'avancer pour trouver un sens à sa vie, lui qui est à moitié dieu par sa filiation avec Mars. Son évolution est intéressante. De plus, il possède un immense cosmos et peut percevoir des choses que les autres ne remarquent pas.
J'aime bien aussi Kiki, devenu Gold Saint du Bélier. Cet idiot a failli me faire verser une larme pendant son épisode 74, “Le Combat de Kiki. Des compagnons par-delà les générations !”. Pourtant je suis plutôt dure, et il ne faisait rien de spécial. 😂
On connaît Kiki par la série classique, aussi il provoque un certain sentiment de nostalgie.
Mû m'a toujours fait l'effet d'un personnage mystérieux que j'avais parfois du mal à cerner. Son disciple a hérité de sa sagesse, mais, comme on le connaît depuis longtemps, il n'a pas son côté énigmatique. Le petit garçon d'hier et devenu un jeune homme remarquable ! Je trouve cela émouvant. On sent que Mû le guide toujours, comme une présence invisible.
Parmi les nouveaux Gold, Kiki est le seul à connaître Seiya et ses amis. J'ai beaucoup aimé un petit passage dans l'épisode 82 où il explique à Harbinger l'admiration qu'il nourrit pour Seiya depuis son enfance, sa fierté d'aujourd'hui de se battre à ses côtés. D'ailleurs, puisque j'en parle, le Gold du Taureau se révèle de plus en plus attachant !
Depuis mon dernier post, je suis entrée dans la deuxième partie de la saison 2, l'arc de l'éveil d'Omega. Nos héros ont pénétré le château de Pallas et progressent jusqu'à la déesse.
Le cast s'est nettement réduit et la trame me semble plus classique. J'adore voir les anciens Bronze à l’œuvre, même si certains points pourraient être mieux. Le combat Hyôga/Tokisada de l'épisode 80 (“Le Roi du temps ! Le Zéro Absolu de Hyôga !”) aurait mérité plus de développement ; hélas Tokisada était un Verseau pathétique et notre Cygne a tôt fait de remettre les points sur les i (avec un petit côté esbroufe, cela lui sied si bien 😂). Je trouve son seiyuu (Mamoru Miyano) très bon ! Sa voix basse, calme et posée convient parfaitement à un “prince des glaces”, comme ils disent dans le preview. 😃
Dès que l'histoire n'est plus écrite par Kurumada, j'ai l'impression que les scénaristes ne savent pas quoi faire avec Shun. Notre Saint tourne sur le même disque (“Je ne veux blesser personne”, “Laisse-nous passer”, etc), sauf qu'il se retrouve ensuite en situation de faiblesse. Or, quand il demandait à Aphrodite ou à Sorrento de laisser tomber, c'est parce qu'il avait précisément le pouvoir de les laminer ! Il y avait quelque chose de supérieur dans son discours qu'on aurait presque pu percevoir comme de l'arrogance.
Là, à l'instar des films, on se retrouve avec un décalage. Les propos pacifistes ne sonnent pas comme un avertissement s'il n'y a pas la puissance derrière. Dans l'épisode 59, c'est un immense plaisir de retrouver notre Andromède ; cependant, il faut le reconnaître, sa naïveté le montre sous un jour assez peu flatteur.L'épisode 79 (“L'Attaque et la Défense ! La Chaîne secrète de Shun !”) le traite avec plus de justesse. J'ai trouvé cet épisode très bon, car il réussit une belle synthèse en associant harmonieusement un ancien Bronze aux nouveaux. La technique de l'ennemi s'avère redoutable, ce dernier alliant défense et attaque à la perfection. On assiste à un véritable travail d'équipe entre Shun, Yuna, Sôma et Kôga pour le vaincre. Le dénouement de cet affrontement est surprenant, intelligent, audacieux ! Quelque part, il m'a rappelé ma stupeur en voyant Seiya briser le poing et le bouclier de Shiryû par un coup de poker incroyable.
Dans l'épisode 81, “Le Chronotector équipé ! L'Attaque des quatre rois célestes !”, j'ai (enfin) remarqué le travail sur le chara-design des anciens Bronze. Shun a l'air plus âgé que les trois autres par sa taille, et surtout par un travail assez fin du visage. Les modifications le vieillissent sans le dénaturer. Sur tout un tas de plans, je me suis dit : “Waw, trop beau *_* !!”. À voir dans le contexte pour mieux mesurer les changements.
J'ai enfin apprécié la fin de l'épisode 82 (“Un esprit combatif extrême ! Ikki contre Egeon !”), même si je regrette un effet de déjà-vu avec la série classique (un certain poncif était inévitable, je suppose).
Les nouveaux Saints se battent en groupe et, comme je le disais plus haut, Omega met en exergue l'esprit d'équipe. S'il y a bien quelqu'un qui ne rentre pas dans ce discours ni dans aucun discours de sociabilisation d'ailleurs, c'est Ikki.
Notre Saint du Phénix a toujours autant la bougeotte. Il n'est pas capable de tenir plus de 2,5 épisodes aux côtés des autres (il n'a posé qu'une demi journée à MacDo alors bon, il doit faire vite 😂). Cette fois, on assiste à un combat à l'ancienne, un contre un. À l'image des duels du Sanctuaire, la balance penche vers l'ennemi Egeon. Sa Gravitontector équivaut à trois Gold Cloth. Le design et le nom de l'armure ont beau être dégueulasses, comprenez qu'elle est puissante ! 😂
Contrairement à la nouvelle génération, Ikki se bat seul. Il a vécu l'enfer avec un maître psychopathe, alors que les jeunes d'aujourd'hui suivent un entraînement presque doré à la Palestre. Il incarne tout le côté rude des guerriers originels d'Athéna. Sa Cloth n'affiche aucune différence avec sa V3 de l'arc Hadès. En fait, il semble catapulté directement de l'ancienne série.
Dans cet épisode, on comprend à quel point le Phénix a conscience de son décalage avec les nouveaux Saints. Il prend du recul sur son parcours, exprime la façon dont il conçoit sa vie. Même s'il est assez bref, j'ai trouvé son discours touchant. Certaines de ses phrases sont très belles ! Ikki est vraiment un personnage fort, très marquant dans tout l'univers Saint Seiya.
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J'ai vu quelques épisodes BR japonais sur ma grande TV, ça rend super bien !! Donc à mon avis oui, ça vaut le coup.
J'avais fait quelques screenshots de l'épisode 57, je te laisse juger (clique dessus pour agrandir):
Ce n'est pas AB qui remasterise, ce sont les Japonais. La partie Hadès n'est pas passée à leur moulinette à ma connaissance, donc si elle sort un jour, ce n'est pas pour tout de suite.
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- Padawan
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