Nouvelle fiche de Arachnée pour Planète Jeunesse consacrée au deuxième film d’animation cinématographique de Dragon Quest axé sur l’épopée de Dai et narrant une histoire inédite par rapport au manga original !
Dragon Quest – les Adaptations
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Nouvelle fiche de Arachnée pour Planète Jeunesse dédiée cette fois-ci au troisième et dernier film d’animation cinématographique de Dragon Quest axé sur la quête de Dai:
C’est en tout cas dommage que ces trois moyens métrages ne soient jamais sortis officiellement en France…
Merci en tout cas à Arachnée de les mettre en lumière ! 😀
Ca y est, c’est fini. Ca laisse donc du monde à la Toei pour une nouvelle série : un retour de Dragon ball super (ce n’est pas une obligation…) ?
Malgré une censure regrettable de l’humour grivois (pauvre Matorif) et 2-3 changements plus ou moins réussis et justifiables (je regrette la disparition des 2 monstres qui se ralliaient à Chu lors du combat sous le palace de Vearn, même si on les voit à la toute fin de ce dernier épisode ; les modifications du premier épisode ne m’ont en revanche pas dérangé), cette adaptation a vraiment été une réussite, globalement fidèle au manga et qui, contrairement à l’adaptation animée des années 90, a surtout eu le mérite d’aller jusqu’au bout.
Fidèle au manga, elle a donc ses défauts (trop de résurrections et de ralliements des méchants aux héros) mais surtout ses qualités, avec de nombreux moments touchants, des personnages charismatiques et parfois complexes, capables d’évoluer au fil des épisodes, des plans machiavéliques du méchant principal, des retournements de situation (crédibles dans la plupart des cas) et des combats intenses. J’ai donc suivi le dessin animé avec beaucoup de plaisir. Je regrette juste que l’adaptation animée n’ait pas rajoutée ne serait-ce que quelques dizaines de secondes à la fin de ce dernier épisode : j’aurais beaucoup aimé assister au retour de Daï.
Je partage l’enthousiasme de Cyril, cette seconde adaptation animée de Dragon <b>Quest la quête de Dai</b> est une belle réussite 😀 .
Le 100e épisode est une remarquable réussite, le duel fratricide entre Dai et Vearn s’est avéré être titanesque et s’est conclu en apothéose ! 😀
Je me demande d’ailleurs si Tot ne se serait pas inspiré de l’affrontement de ces deux personnages pour le combat de Yugo et Tristepin contre Ogrest dans le troisième épisode spécial de Wakfu.
J’ai été aussi épaté par la qualité d’animation remarquable de certaines scènes clé: le combat final de Dai et Vearn bien sûr mais aussi le moment fatidique où Pop et Dai ont propulsé le pantin de Killvearn dans les airs afin de protéger leurs amis.
En tout cas ma mémoire ne m’a pas trahi: même si je n’ai lu le manga qu’une fois, je me rappelle de la fin “douce amère”: Dai a sauvé le monde et l’humanité mais est porté disparu, même si tout porte à croire qu’il est vivant…
Mais tout comme Cyril, j’aurai aimé assister à son retour…
Dans les rares griefs que j’adresserai à la série, tout comme Cyril et Feanor, je déplore l’édulcoration de l’humour grivois (ce qui ne touche heureusement pas la nouvelle série animée de Lamu ).
Mais à côté de cela, j’ai été ravi que la réalisation technique se soit montré assez homogène tout au long de la série avec de belles fulgurances.
En bref, une excellente série faisant honneur au manga et qui au moins l’a adapté dans son intégralité ! 😀
Je vais pas être plus original que vous deux ! ^^
Épisode 100.
– Est-ce qu’il y a du sport dedans ?
– Quelle question ! Y a que ça. Bagarre, duels, torture, vengeance, géants, monstres, poursuites, évasions, grand amour, miracles…
– Ça n’a pas l’air trop mal, je vais essayer de rester éveillé.Prêt à tout pour remporter la victoire face à Dai, Vearn sacrifie son corps pour tenir tête au Draconien. Le petit héros est dépassé, mais l’épée du Dragon de son père Baran apparaît face à lui.
Dai no Daibôken se termine avec ce centième épisode, et à l’image d’autres oeuvres de fantaisie comme l’univers de Tolkien, le monde de Berserk ou encore celui de Princess Bride, on se dit qu’on aurait aimé passer un peu plus de temps dans cet univers, aller voir ce qui se passe dans telle partie du monde, découvrir de nouvelles civilisations, traverser d’autres épreuves avec les héros…
Cette légère frustration, c’est ce qui fait la marque des oeuvres fortes. Peu importe le support, on veut rester un peu plus longtemps dans ce monde, avec ces personnages, on veut les garder près de nous. On sait que ce ne sera pas éternel, mais c’est tellement passionnant, tellement bien écrit, dessiné, filmé, raconté, qu’on veut s’y attarder, cinquante ans, cinq minutes, cinq secondes, “comme un éclair” même. On se retrouve comme Dai, on ne veut pas quitter ce monde qu’on aime tant.C’est frustrant mais aussi marquant, à vie, alors quitte à laisser ce monde de côté on y revient tout de même, on repart du début et on découvre des petites choses qui nous ont échappé, des détails a priori insignifiants mais qui prennent un autre sens une fois toute l’oeuvre dévoilée. Et même après avoir parcouru encore et encore cet univers, on trouve un nouveau moyen d’y prendre plaisir, on partage, on fait découvrir, on transmet aux nouvelles générations, et l’univers continue de vivre et d’émerveiller.
Dai no Daibôken m’accompagne depuis la diffusion de sa première adaptation au Club Dorothée il y a maintenant 28 ans. Il m’a fait découvrir l’univers des Dragon Quest, une de mes séries de RPG préférées si ce n’est ma préférée, mais c’est avant tout son propre monde qui m’a happé et envoûté, ses personnages (au premier rang desquels se trouve Pop), sa mythologie, sa magie, ses aventures, ses combats, ses intrigues, ses rebondissements, ses enjeux.
Cette nouvelle adaptation ne partait pas forcément gagnante à mes yeux malgré sa réalisation plus qu’honnête. Les musiques n’avaient pas la puissance des thèmes de Kôichi Sugiyama, la censure sur certains combats et certaines situations légèrement olé olé du manga m’exaspérait, et la rapidité à laquelle l’histoire avançait dans sa (grosse) première partie m’empêchait de réellement m’investir dans une histoire que je connais pourtant par coeur.
Heureusement, la situation s’est largement améliorée. Toujours un peu de censure sur le côté fripon nippon (on bannit le moindre plan culotte ou nichon qui dépasse) mais au moins le sang rouge coule. À la musique, Yuki Hayashi a vraiment trouvé ses marques et composé des thèmes iconiques qui restent en tête. Et surtout, l’histoire a trouvé son rythme, et bien que toutes les scènes du manga n’ont pas été adaptées (et je ne parle pas seulement des passages olé olé), l’intrigue est devenue bien moins précipitée.Au final, cette nouvelle adaptation animée de Dragon Quest – Dai no Daibôken a su rendre un bel hommage à ce shônen majeur des années 90, certes consensuel par certains aspects, mais l’essence est là, les thèmes forts aussi, et les seiyû ont redonné vie à ces personnages si marquants. La pérennité est assurée.
"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
Star Trek - The Next Generation / The Drumhead- Offline
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Anonyme le 10 avril 2023 à 13 h 32 min #537820Salut à tous les pingouins !
j’ai une question : je cherche la nouvelle distribution (noms des comédiens de doublage) des voix de l’anime version 2020-2022 en version française.
Je ne trouve malheureusement rien dessus sur le web.
merci
il y a un sujet sur le doublage de cette série sur le forum de Planète Jeunesse :
https://www.planete-jeunesse.fr/forum3/viewtopic.php?f=6&t=9549&hilit=dragon+quest- Offline
- Ancien
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Anonyme le 10 avril 2023 à 17 h 16 min #537826Merci Geoff34
j’y pensais à planète jeunesse, mais pas trop sûr de trouver.
Chernabog a réalisé aujourd’hui une fiche dédiée à l’excellente série animée Dragon Quest : la quête de Daï pour Planète Jeunesse.
Bonne lecture à toutes et à tous ! 😀
http://www.planete-jeunesse.com/fiche-3484-dragon-quest-la-quete-de-dai.html
Je ne sais plus s’il existe un topic dédié aux Dragon Quest version manga dans la section manga, alors dans le doute je poste ici, le sujet étant les adaptations ! ^^
Acheté et lu le premier tome de Dragon Quest – Yûsha Avan to Gokuen no Maô !
Un titre qui a plutôt bonne réputation, et je dois dire qu’au vu de ce premier tome elle est bien méritée.
Le premier chapitre reprend intégralement l’histoire racontée dans le chapitre spécial de la série-mère (Dai no Daibôken) consacré à Avan et qui dévoilait comment le jeune soldat Avan s’était distingué lors d’un assaut du Roi du Mal Hadlar sur le château du royaume de Carl. C’est exactement le même déroulement, point par point, à la différence que le dessin est cette fois assuré par Yusaku Shibata et non Koji Inada, et qu’une petite scène est rajoutée à la fin du chapitre, installant l’intrigue à suivre et les obstacles que rencontreront Avan et Loca dans leur périple.
Je ne vais pas trop en dévoiler car il y a de très bonnes surprises et l’histoire fait honneur au titre d’origine.Cependant, j’aurais deux remarques à faire :
– La traduction, on s’en doutait, continue de nous imposer ces aberrations de noms d’attaques magiques tirés de la version officielle des jeux Dragon Quest (comme dans la dernière édition en cours de Dai no Daibôken, du genre “Flamme” au lieu de “Mera”). Encore une fois, c’est à Square-Enix qu’il faut le reprocher. C’est chiant mais c’est comme ça.
– Le personnage de Leila, troisième membre de l’équipe d’Avan et mère de Maam, connaît ici un changement drastique qui n’a jamais été mentionné dans Dai no Daibôken.SpoilerEn effet, en plus de ses capacités de prêtresse guérisseuse elle possède également des capacités de… ninja ?! Elle est ainsi dotée d’une force physique exceptionnelle, pouvant sans problème battre n’importe quel homme de son village.
Ce rajout pose cependant un problème dans la continuité de l’oeuvre originale. Matoriv et Avan ont bien connu Leila, mais aucun n’a jamais fait mention de ses dispositions pour le combat au corps à corps. Or, lorsque Matoriv se fait remettre à sa place par Maam à coups de poing, il dit clairement qu’elle a hérité de la force de son père (Loca). Avec cette nouvelle information on comprend bien que Maam est comme sa mère, bien que son père soit bel et bien une vraie “brute” en terme de force physique.
J’ai du mal à saisir l’intérêt d’un tel changement, du moins sur le court terme, parce que Riku Sanjo semble partir sur une petite intrigue au sujet de cette variation, puisqu’il sous-entend à demi-mot qu’il s’agit d’un cas de double personnalité (ses cheveux et ses yeux changent de couleur).[collapse]Bref, je suis dubitatif concernant ce changement de paradigme, mais cela ira peut-être quelque part dans les tomes suivants.
Mis à part cela, j’ai apprécié ce premier tome d’un bout à l’autre, en particulier les choix concernant Hadlar et son entourage qui nous réservent des moments vraiment très intéressants pour la suite.
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