Mince, mon message a dispaaaaaruuuuu !
Je donnais une petite idée du volume 6 de Golden Kamui, qui reste une merveille !
Ce volume s’organise en deux temps, l’un à Sapporo avec nos héros confrontés à une sublimement “belle” travelo-killer en série, mais aussi au colosse Ushiyama l’Invincible ; l’autre moitié du volume les laisse pour suivre à Barato les deux vieux samouraïs du shinsengumi, recrutés comme mercenaires par un clan qui en affronte un autre avec pour mercenaire le sniper d’élite Ogata ! Et ça décoiffe comme dans un western de très bonne facture !
Humour toujours aussi superlativement burlesque de Satoru Noda, mais jamais irréaliste quelque part !
Golden Kamui
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C’est étrange que ton message ait disparu car je l’avais lu hier soir…
Il vaudra mieux que je sauvegarde mes prochains messages avant de les poster par mesure de sécurité. Espérons que ce message disparu soit dû à un bug exceptionnel qui ne se renouvellera plus.
Enfin bon, j’ai commandé le volume 6 de Golden Kamui et il devrait arriver samedi.
Vivement ce week end que je puisse le lire et en discuter avec toi mon cher Yupa ! 🙂
Oui, je pense que j’ai juste fait une fausse manip, la cervelle un peu cramée par la chaleur… ! Quel pays, la clim’ nulle part !! Même au Louvre, on crève de chaud !
Bon de toute façon je spoilais un peu trop ce volume 6… Tu ne vas pas en regretter la lecture à mon avis !Golden Kamui tome 6
J’abonde dans ton sens mon cher Yupa, ce sixième volume est un très bon cru ! 😀
La quête de Sugimoto pour retrouver l’ensemble des tatouages afin de s’emparer d’un fabuleux trésor est toujours aussi captivante.
La première moitié du volume est à la fois terrifiante et hilarante.
Ienaga le travesti gérant l’hôtel glace le sang à être autant obnubilé à l’idée de préserver une beauté naturelle en perpétrant des meurtres abominables, donnant lieu à des passages glauques…
Mais à côté de ça, c’est aussi très marrant, car l’inébranlable Tatsuma Ushiyama brûle de désir envers Ienaga (ne se doutant pas au début quand il la rencontre que ce n’est PAS une femme) et ressemble à un mix entre le Terminator (par son aspect invulnérable) et le loup de Tex Avery de par sa libido exacerbée qui est diablement comique !
Quant au vieux samouraï Toshizo Hijikata dans la seconde moitié du tome, il démontre que, malgré son âge honorable, il est plein de ressources, astucieux et redoutable et sait s’adapter face à une situation dangereuse et tendue.
Une excellente série donc qui parvient à se renouveler, mêlant avec brio suspense, action, drame et humour ! Vivement la suite ! 😀
Oui, tu as mis le doigt dessus Xan’ : Satoru Noda sait se renouveler de façon superbe, à partir d’un pitch qui chez un petit esprit deviendrait un simple thriller de seconde zone, vite ennuyeux, répétitif. Il le doit à sa fertilité d’esprit à trouver de nouveaux personnages, ou à faire interagir les anciens (surtout les plus déjantés !).
Ah là là, vivement la suite !!J’attends de voir avant de juger.
D’une part, j’espère que l’adaptation animée sera fidèle et respectueuse et qu’elle n’édulcorera pas l’oeuvre originale. En effet, le manga de Satoru Noda est très violent et sanglant et je n’apprécierai pas du tout que cet élément soit excessivement édulcoré comme l’a été la série animée de Kenshin le vagabond par rapport au manga original de Nobuhiro Watsuki.
D’autre part, j’espère que la réalisation technique sera à la hauteur et que le graphisme et l’animation soient de qualité. Je ne veux pas d’une adaptation médiocre comme la série (in)animée de Thermae Romae qui ne faisait pas honneur au fabuleux manga de Mari Yamazaki.
En bref, wait and see. Si l’animé est réussi tant mieux, sinon, je me contenterai bien volontiers du manga.
Le volume 7 est paru !!
On y découvre les courses de chevaux “à l’occidentale” (selon l’auteur, nées à Yokohama vers 1860, mais j’ai une estampe qui montre la première à Kobe en 1869, début Meiji donc). Mais il semble que grâce à l’autorisation générale du pari mutuel vers 1906, le turf soit devenu une passion japonaise (et ça l’est toujours). Pour notre récit c’est juste une digression assez peu utile, il faut bien le dire… Satoru NODA serait-il un fan du PMU ??
Mais le meilleur arrive avec les deux autres tiers du volume, qui se déroulent autour et dans une sorte de chalet isolé où le terrible danger pour nos héros est à la fois à l’extérieur et à l’intérieur ! excellent, comme d’hab’ !!Un excellent tome 8 (comme les 7 autres vous me direz), ambiance un peu bizarre et glauque avec un taxidermiste pour humains mais le personnage apparaît au final assez plaisant. Une petite touche d’émotion et encore des astuces culinaires et la découverte des traditions ainous. Ce mélange National Geographic-gueules cassées-chasse au trésor avec une petite touche de Shinsengumi fonctionne toujours à merveille.
Assurément le meilleur manga du moment et la qualité et l’intensité ne faiblissent pas.
PS : Au fait c’est Kuro, j’ai abandonné d’essayer de me connecter avec mes identifiants, me voilà sous un nouveau visage hihi
C’est pas sympa, ça, Yupa ! 🙁
‘Suis le premier à en avoir parlé ici !! ~( ^3^)~
http: //www.animeland.fr /forum /topic / les-manga-culturels/page/4 / #post-413878
j’ai mis des espaces, sinon ça n’affiche pas le lien directement."With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
Star Trek - The Next Generation / The DrumheadOué, désolé, Feanor, tu as le premier attiré l’attention sur l’oeuvre, en effet !!
Je viens de me lancer dans la lecture des tomes 8 et 9, ça part très fort à nouveau, et le taxidermiste est encore un beau cas de barjot ! Il ne dépare pas la galerie de déjantés, bravo au clin d’oeil à “Psychose” de Hitchkock. Ce manga est proche d’un superbe roman de “grande littérature”, et je compte bien reparler de mes impressions bientôt.
Oué, désolé, Feanor, tu as le premier attiré l’attention sur l’oeuvre, en effet !!
Je viens de me lancer dans la lecture des tomes 8 et 9, ça part très fort à nouveau, et le taxidermiste est encore un beau cas de barjot ! Il ne dépare pas la galerie de déjantés, bravo au clin d’oeil à “Psychose” de Hitchkock. Ce manga est proche d’un superbe roman de “grande littérature”, et je compte bien reparler de mes impressions bientôt.
Oué, désolé, Feanor, tu as le premier attiré l’attention sur l’oeuvre, en effet !!
Je viens de me lancer dans la lecture des tomes 8 et 9, ça part très fort à nouveau, et le taxidermiste est encore un beau cas de barjot ! Il ne dépare pas la galerie de déjantés, bravo au clin d’oeil à “Psychose” de Hitchkock. Ce manga est proche d’un superbe roman de “grande littérature”, et je compte bien reparler de mes impressions bientôt.
Volume 8 lu en entier, et ça décoiffe toujours autant ! Edogai le taxidermiste et ses atroces “costumes” n’est pas le seul personnage hors normes ou puissamment caractérisé, quel talent dans ce domaine chez l’auteur !
Il y a le sniper Ogata qui aime à lisser ses longs cheveux, le froid et coriace sergent Tsukishima, le rhinocéros humain Ushiyama qu’Ashirpa appelle “professeur Kiki”, occupé à soigner le trop joli travelo, la devineresse à sourire de renarde…
Une sorte de convergence commence à réunir tous ces enfants perdus de la guerre 1904-1905, lesquels risquaient de se disperser… Bien joué !
La suite, la suite ! J’ai le volume 9 ? Ah oui, chouette alors.… Et dès les débuts du 9, que voit-on ? Un superbe dessin imitant directement “La Cène” de Léonard de Vinci !!!
Quand on soulève les jaquettes de couvertures, on avait jusque là de superbes robes et tuniques aïnous portées par Ashirpa, mais dans celui-ci on découvre Shiraishi en tenue de détenu du bagne d’Abashiri… ça promet !
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