Oui, je les avais sauvegardées. AU pire, je les aurais réécrites, ça n’est pas bien grave. Ce qui est dommage, c’est que le site avait vraiment du contenu de qualité, avec notamment un large panel de fancomics.
J’ai hâte de voir la saison 8.
Posté dans : Anime & Animation
J’ai deux nouvelles à annoncer, une bonne et une mauvaise.
On va d’abord commencer par la mauvaise: L’équipe du Poney Blanc a perdu toutes les données de leur site, suite à la chute de leur serveur !
Ils vont devoir refaire un nouveau site de A à Z. Une nouvelle qui m’attriste beaucoup, tant ce site est l’encyclopédie francophone sur nos poneys préférés.
J’espère Cyril que tu auras pu sauvegarder tes excellentes critiques des comics et, lorsque le site renaîtra de ses cendres, que le staff les publiera à nouveau…
La bonne, c’est que l’on a ENFIN une date de diffusion pour la saison 8: Elle sera diffusée à partir du 24 mars sur Discovery Family. Plus qu’un mois et demi à attendre avant de découvrir cette nouvelle saison très attendue !
Zut, moi qui avait envie de découvrir ce site !
Cyril, tu m’as donné envie par tes très judicieuses analyses de lire les comics MLPFIM, je vais tâcher de les trouver !
Hélas, je ne puis recevoir les chaînes Discovery, mais je pense que la saison 8 passera aussi sur d’autre chaînes.
Parmi les épisodes que j’ai vu (ou revu, il y a des rediffusions sur Tiji), j’ai bien aimé “La convention Casse-Cou” qui épingle à merveille les coups de coeur qu’on peut avoir envers des fans du titre dont on est fan, jusqu’à ce qu’on bute sur un désaccord mineur de vision du titre ou héros, désaccord qui mène à un clash furieux entre les deux fans !
“Le mensonge” est très joliment traité avec Applejack, pourtant connue pour son franc-parler, et un flash-back de son adolescence où elle s’enferre dans un engrenage de mensonges de plus en plus gros pour préserver la première contre-vérité, insignifiante d’abord. J’ai bien ri de voir qu’à l’époque Big Mac était un moulin à parole ! Tous deux en ont tiré la leçon : Applejack ne ment jamais, comme le sait sa petite nièce, et Big Mac se contente de “Ouais” et “Non”…
Hélas pour Applejack, sa franchise tourne au désastre pour son amie Rarity quand celle-ci a la (mauvaise) idée de la vouloir comme jury de mode ! La façon dont Rarity lui fait prendre conscience de son aveuglement sur les efforts d’autrui est un modèle de simplicité de leçon éthique ! Et le défilé de mode final est extrêmement drôle !
Enfin, revu hier le complexe et subtil épisode où Starlight est envoyée en secret par Twilight aux princesses Célestia et Luna, inconscientes de leur problème d’amitié. La prise de conscience viendra d’une inversion de leur rôle glissant vers un cauchemar de haine. Mais quels rires à voir Twilight rétrécie en petite danseuse de boîte à musique, tournant une jambe en l’air !
J’ai deux nouvelles à annoncer, une bonne et une mauvaise.
On va d’abord commencer par la mauvaise: L’équipe du Poney Blanc a perdu toutes les données de leur site, suite à la chute de leur serveur !
Ils vont devoir refaire un nouveau site de A à Z. Une nouvelle qui m’attriste beaucoup, tant ce site est l’encyclopédie francophone sur nos poneys préférés.
J’espère Cyril que tu auras pu sauvegarder tes excellentes critiques des comics et, lorsque le site renaîtra de ses cendres, que le staff les publiera à nouveau…
La bonne, c’est que l’on a ENFIN une date de diffusion pour la saison 8: Elle sera diffusée à partir du 24 mars sur Discovery Family. Plus qu’un mois et demi à attendre avant de découvrir cette nouvelle saison très attendue !
J’ai deux nouvelles à annoncer, une bonne et une mauvaise.
On va d’abord commencer par la mauvaise: L’équipe du Poney Blanc a perdu toutes les données de leur site, suite à la chute de leur serveur !
Ils vont devoir refaire un nouveau site de A à Z. Une nouvelle qui m’attriste beaucoup, tant ce site est l’encyclopédie francophone sur nos poneys préférés.
J’espère Cyril que tu auras pu sauvegarder tes excellentes critiques des comics et, lorsque le site renaîtra de ses cendres, que le staff les publiera à nouveau…
La bonne, c’est que l’on a ENFIN une date de diffusion pour la saison 8: Elle sera diffusée à partir du 24 mars sur Discovery Family. Plus qu’un mois et demi à attendre avant de découvrir cette nouvelle saison très attendue !
Zut, moi qui avait envie de découvrir ce site !
Cyril, tu m’as donné envie par tes très judicieuses analyses de lire les comics MLPFIM, je vais tâcher de les trouver !
Hélas, je ne puis recevoir les chaînes Discovery, mais je pense que la saison 8 passera aussi sur d’autre chaînes.
Parmi les épisodes que j’ai vu (ou revu, il y a des rediffusions sur Tiji), j’ai bien aimé “La convention Casse-Cou” qui épingle à merveille les coups de coeur qu’on peut avoir envers des fans du titre dont on est fan, jusqu’à ce qu’on bute sur un désaccord mineur de vision du titre ou héros, désaccord qui mène à un clash furieux entre les deux fans !
“Le mensonge” est très joliment traité avec Applejack, pourtant connue pour son franc-parler, et un flash-back de son adolescence où elle s’enferre dans un engrenage de mensonges de plus en plus gros pour préserver la première contre-vérité, insignifiante d’abord. J’ai bien ri de voir qu’à l’époque Big Mac était un moulin à parole ! Tous deux en ont tiré la leçon : Applejack ne ment jamais, comme le sait sa petite nièce, et Big Mac se contente de “Ouais” et “Non”…
Hélas pour Applejack, sa franchise tourne au désastre pour son amie Rarity quand celle-ci a la (mauvaise) idée de la vouloir comme jury de mode ! La façon dont Rarity lui fait prendre conscience de son aveuglement sur les efforts d’autrui est un modèle de simplicité de leçon éthique ! Et le défilé de mode final est extrêmement drôle !
Enfin, revu hier le complexe et subtil épisode où Starlight est envoyée en secret par Twilight aux princesses Célestia et Luna, inconscientes de leur problème d’amitié. La prise de conscience viendra d’une inversion de leur rôle glissant vers un cauchemar de haine. Mais quels rires à voir Twilight rétrécie en petite danseuse de boîte à musique, tournant une jambe en l’air !
Tes judicieuses analyses Cyril me donnent envie de me procurer les comics de MLPIM !
Je ne peux malheureusement suivre la série que sur Tiji, mais bon.
Un épisode (re-)diffusé tout récemment m’a beaucoup plu, celui où Starlight est envoyée par Twilight résoudre un problème d’amitié entre les princesses Célestia et Luna, qui ne sont pas conscientes de dévaloriser respectivement le travail de l’autre. Comme Twilight ne veut à aucun prix être démasquée comme à l’origine de la mission, elle se métamorphose en petite danseuse de boîte à musique, tournant sans cesse en tutu une patte en l’air sur la table de chevet de Starlight. C’est à hurler de rire quand elle ajoute à ses conseils “C’est relaxant, hein ?” Par ailleurs, le problème se révélera et se réglera par une interversion du rôle des deux princesses grâce à Starlight, menant par un cauchemar à une prise de conscience. Bel épisode !
J’ai beaucoup aimé aussi “La convention Casse-cou” ; et “les mensonges d’Applejack”.
Lorsque Rarity, fort mal inspirée, demande à Applejack (qui ne ment plus !) de faire partie d’un jury de mode, et que les choses tournent au désastre on a une brillante démonstration de morale : Rarity présente à Applejack une ponette qui déteste les pommes et se fout complètement des efforts énormes d’Applejack… laquelle prend conscience soudain qu’elle a traité les autres ainsi. Le meilleur dans cette série, à part son humour, c’est justement cette éthique très simplement montrée en actes. J’adore.
Tes judicieuses analyses Cyril me donnent envie de me procurer les comics de MLPIM !
Je ne peux malheureusement suivre la série que sur Tiji, mais bon.
Un épisode (re-)diffusé tout récemment m’a beaucoup plu, celui où Starlight est envoyée par Twilight résoudre un problème d’amitié entre les princesses Célestia et Luna, qui ne sont pas conscientes de dévaloriser respectivement le travail de l’autre. Comme Twilight ne veut à aucun prix être démasquée comme à l’origine de la mission, elle se métamorphose en petite danseuse de boîte à musique, tournant sans cesse en tutu une patte en l’air sur la table de chevet de Starlight. C’est à hurler de rire quand elle ajoute à ses conseils “C’est relaxant, hein ?” Par ailleurs, le problème se révélera et se réglera par une interversion du rôle des deux princesses grâce à Starlight, menant par un cauchemar à une prise de conscience. Bel épisode !
J’ai beaucoup aimé aussi “La convention Casse-cou” ; et “les mensonges d’Applejack”.
Lorsque Rarity, fort mal inspirée, demande à Applejack (qui ne ment plus !) de faire partie d’un jury de mode, et que les choses tournent au désastre on a une brillante démonstration de morale : Rarity présente à Applejack une ponette qui déteste les pommes et se fout complètement des efforts énormes d’Applejack… laquelle prend conscience soudain qu’elle a traité les autres ainsi. Le meilleur dans cette série, à part son humour, c’est justement cette éthique très simplement montrée en actes. J’adore.
Dans “La convention Casse-cou”, on épingle avec justesse cet enthousiasme à rencontrer un fan du même héros / héroïne que l’on adore soi-même (ici Rainbow Dash et un autre poney raide dingue comme elle des “aventures de Casse-Cou”). Mais voilà que finit par se faire jour une différence de détail dans l’interprétation de la célèbre héroïne ! Et Rainbow Dash comme l’autre poney deviennent furieux l’un envers l’autre, qui de nous n’a pas vécu cela ?? Heureusement la réalité les ramènera à la camaraderie. Grâce à la vraie Casse-Cou…
Je te conseille fortement les comics de My Little Pony Yupa, je suis persuadé qu’ils te plairont. 🙂
Ils sont très respectueux de l’esprit de la série TV tout en ayant des qualités qui leur sont propres. A titre personnel, mes histoires favorites sont celles du tandem Katie Cook et Andy Price, les scénarios de Cook sont très inventifs, bien ficelés et drôles et les dessins de Andy Price sont fantastiques, hilarants et très expressifs. Cyril avait comparé son style graphique à celui de Keno Don Rosa (le merveilleux créateur de La Jeunesse de Picsou) et à Eichiro Odâ le père de One Piece et je suis d’accord avec lui.
Je trouve aussi que les expressions faciales des personnages rappellent agréablement les dessins hilarants et délirants de Marcel Gotlib et on sent aussi une influence de Chuck Jones (dont Andy Price est un grand fan).
Pour ce qui est de suivre la série sur Tiji, c’est très bien ! Et puis la diffusion française suit de près la diffusion Américaine: ainsi tu as pu découvrir le double épisode final de la saison 7 (le retour de Starswirl le barbu et Starlight Glimmer voulant parlementer avec l’antagoniste) à la télévision française deux semaines après sa diffusion Américaine !
Alors au sujet des épisodes que tu as vu récemment, j’ai, tout comme toi, beaucoup aimé celui sur Célestia et Luna. Il est absolument désopilant (Twilight transformée en boite à musique comme tu l’as mentionnée, Luna qui mange une peau de banane et qui jette le fruit), mais également très émouvant, les deux soeurs parvenant enfin à se comprendre mutuellement grâce à Starlight.
Pour l’épisode sur le jury, j’ai un avis un peu partagé. Il a d’excellents gags: le moment où Rarity joue de la guitare est tordant et décoiffe, au sens propre comme au sens figuré ! (ce n’est pas Pinkie Pie qui dira le contraire ! 😆 ).
Mais à côté de cela, j’ai été déçu et choqué par les propos rudes et acerbes que Applejack a tenu vis à vis des stylistes. Heureusement que Rarity l’a mise devant le fait accompli en lui faisant prendre conscience de la dureté de ses propos en la confrontant à un poney détestant les pommes que notre fermière émérite chérit et affectionne tant ! Il est vrai en tout cas que la morale est bien amenée.
L’épisode sur la convention, je l’ai absolument adoré !
Il est jouissif, drôle et trépidant à souhait. C’était assez facile de s’identifier à Rainbow Dash, l’émerveillement qu’elle ressentait au cours de cette convention me rappelait ce que je ressentais quand j’ai découvert la Japan Expo pour la première fois ! 😀
Les différences d’interprétation entre RD et Quibble Pants sont totalement crédibles et, comme tu le soulignes, on a tous vécu cela !
Ce que j’ai aimé aussi, c’est que Quibble Pants l’autre fan n’était pas un boulet pour autant et parviendra à résoudre une énigme sur laquelle Rainbow Dash et Daring Do butaient !
Et puis je trouve que l’épisode délivre un joli message d’ouverture d’esprit: Deux fans peuvent avoir une perception différente d’une oeuvre qu’ils adulent, du moment qu’ils respectent le fait que d’autres passionné(e)s puissent avoir une vision différente de la leur et qu’elle n’en est pas pour autant moins légitime…
Bonne nouvelle: la sortie en DVD et en Blu-Ray de My Little Pony le film a été avancée: il sortira officiellement le 21 février 2018 alors qu’il devait initialement sortir le 28 février.
On peut d’ores et déjà le précommander sur le site de la Fnac.
Moins d’une semaine à attendre ! 😀 J’ai hâte de redécouvrir le film en VOSTFR, même si j’ai beaucoup aimé la version française que j’ai trouvé très réussie !
Le DVD du film étant sorti, je l’ai acheté, cela valait le coup.
Revisionnage (attention, spoils éventuels).
D’abord il faut tirer son chapeau aux décors, proprement féeriques sans fatras sirupeux. Non, ils usent d’effets de symétrie, de théâtralité. Notamment au début : le palais d’Equestria aux grandes baies à vitraux “gothiques”, dans un style mixte de ceux de Chagall ou Foujita. Ou au milieu : la grande salle sous-marine des Hippogriffs, à élégant thème floral.
Ce qui démarre le film, c’est le projet de Twilight de lancer une grande fête musicale en invitant Miss Songbird Serenade ; il s’agit d’une ponette aux cheveux mi-blancs mi-noirs qui n’est autre que Sia (laquelle en est la voix et chante donc pour de bon la chanson finale, dansée par de petites ponettes imitant son style de danse).
Parmi les petits gags il faut repérer, dans le choeur d’oiseaux que prépare Fluttershy, son lapin blanc adoré grimé en volatile ! A l’arrivée du vaisseau volant de Tempest, celui-ci écrabouille un cheval rose en ballons, exacte reproduction de cette oeuvre de Jeff Koons. Alors un poney lui-même sosie de Jeff Koons se précipite : “Brian !! Nooooo !”
La chanson du chat Capper rappelle d’assez près celle du maléfique Facilier dans “La Princesse et la grenouille”.
Dans le royaume sous-marin des ex-Hippogriffs, la relation de la reine Novo avec sa fille Skystar est assez réaliste : après le lui avoir d’abord interdit, la reine laisse sa fille révéler les secrets Hippogriffs “au nom de l’émancipation”. Quant à la relation entre Starstar et Pinky Pie en “poissons”, elle est quasi-amoureuse ! D’ailleurs c’est Pinkie, folle de rage, qui reproche véhémentement à Twilight sa ruse traîtresse qui les a toutes expulsées. Et quand Skystar réapparaît pour aider au grand combat, c’est la mine extasiée de Pinky qu’on voit alors en gros plan. Au final elle seront dans les bras l’une de l’autre, allusion assez claire au fait que l’amour n’est pas nécessairement hétéro.
Twilight est excusable de sa tentative de vol sur deux plans, et c’est là aussi où l’on réalise que le film est tout, sauf une mièvrerie mal construite.
D’abord, après le refus de s’engager de la reine Novo, notre princesse considère qu’il n’existe plus qu’une seule chance de vaincre Storm et de sauver Equestria, et c’est de s’emparer de la Perle Magique.
Ensuite, elle a accumulé les déboires à cause de ses amies : dès le début, juste au moment où arrive l’invitée d’honneur Songbird Serenade, Pinkie avec son canon à gâteaux en envoie par erreur un énorme en plein sur Twilight, donc l’accueil tout poisseux est donc un gros ratage. Puis la princesse veut partir seule pour le Mont Aris, mais ses amies lui imposent leur aide… avant de tourner au poids mort dans le désert, en se lamentant et en la retardant de leur manque de force. Dans la ville des trafiquants, alors que Twilight recommande à toutes de passer inaperçues, Pinkie au beau milieu de la rue attire à grands cris l’attention de toutes les crapules : sans Capper, elles ne s’en seraient pas sorties. Quand Rainbow Dash réussit à leur allier les pirates du ciel, elle ne trouve rien de mieux à faire que de fêter cela par un énorme arc-en-ciel qui permet à Tempest de les repérer (et là déjà Twilight pète les plombs). Enfin dans l’ascension du Mont Aris, les ponettes exténuées sont prêtes à renoncer (Rarity : “J’abandonne ! Les méchants ont gagné !”). Comment Twilight ne conclurait-elle pas qu’elles ne sont qu’une gêne, voire la mènent à l’ échec ? Mais c’est bien lorsqu’elle est seule que Tempest réussit à la capturer, ce qui change la donne et l’inversera…
Plus à dire, plus tard !
Le DVD du film étant sorti, je l’ai acheté, cela valait le coup.
Revisionnage (attention, spoils éventuels).
D’abord il faut tirer son chapeau aux décors, proprement féeriques sans fatras sirupeux. Non, ils usent d’effets de symétrie, de théâtralité. Notamment au début : le palais d’Equestria aux grandes baies à vitraux “gothiques”, dans un style mixte de ceux de Chagall ou Foujita. Ou au milieu : la grande salle sous-marine des Hippogriffs, à élégant thème floral.
Ce qui démarre le film, c’est le projet de Twilight de lancer une grande fête musicale en invitant Miss Songbird Serenade ; il s’agit d’une ponette aux cheveux mi-blancs mi-noirs qui n’est autre que Sia (laquelle en est la voix et chante donc pour de bon la chanson finale, dansée par de petites ponettes imitant son style de danse).
Parmi les petits gags il faut repérer, dans le choeur d’oiseaux que prépare Fluttershy, son lapin blanc adoré grimé en volatile ! A l’arrivée du vaisseau volant de Tempest, celui-ci écrabouille un cheval rose en ballons, exacte reproduction de cette oeuvre de Jeff Koons. Alors un poney lui-même sosie de Jeff Koons se précipite : “Brian !! Nooooo !”
La chanson du chat Capper rappelle d’assez près celle du maléfique Facilier dans “La Princesse et la grenouille”.
Dans le royaume sous-marin des ex-Hippogriffs, la relation de la reine Novo avec sa fille Skystar est assez réaliste : après le lui avoir d’abord interdit, la reine laisse sa fille révéler les secrets Hippogriffs “au nom de l’émancipation”. Quant à la relation entre Starstar et Pinky Pie en “poissons”, elle est quasi-amoureuse ! D’ailleurs c’est Pinkie, folle de rage, qui reproche véhémentement à Twilight sa ruse traîtresse qui les a toutes expulsées. Et quand Skystar réapparaît pour aider au grand combat, c’est la mine extasiée de Pinky qu’on voit alors en gros plan. Au final elle seront dans les bras l’une de l’autre, allusion assez claire au fait que l’amour n’est pas nécessairement hétéro.
Twilight est excusable de sa tentative de vol sur deux plans, et c’est là aussi où l’on réalise que le film est tout, sauf une mièvrerie mal construite.
D’abord, après le refus de s’engager de la reine Novo, notre princesse considère qu’il n’existe plus qu’une seule chance de vaincre Storm et de sauver Equestria, et c’est de s’emparer de la Perle Magique.
Ensuite, elle a accumulé les déboires à cause de ses amies : dès le début, juste au moment où arrive l’invitée d’honneur Songbird Serenade, Pinkie avec son canon à gâteaux en envoie par erreur un énorme en plein sur Twilight, donc l’accueil tout poisseux est donc un gros ratage. Puis la princesse veut partir seule pour le Mont Aris, mais ses amies lui imposent leur aide… avant de tourner au poids mort dans le désert, en se lamentant et en la retardant de leur manque de force. Dans la ville des trafiquants, alors que Twilight recommande à toutes de passer inaperçues, Pinkie au beau milieu de la rue attire à grands cris l’attention de toutes les crapules : sans Capper, elles ne s’en seraient pas sorties. Quand Rainbow Dash réussit à leur allier les pirates du ciel, elle ne trouve rien de mieux à faire que de fêter cela par un énorme arc-en-ciel qui permet à Tempest de les repérer (et là déjà Twilight pète les plombs). Enfin dans l’ascension du Mont Aris, les ponettes exténuées sont prêtes à renoncer (Rarity : “J’abandonne ! Les méchants ont gagné !”). Comment Twilight ne conclurait-elle pas qu’elles ne sont qu’une gêne, voire la mènent à l’ échec ? Mais c’est bien lorsqu’elle est seule que Tempest réussit à la capturer, ce qui change la donne et l’inversera…
Plus à dire, plus tard !
Yupa, je suis toujours aussi émerveillé non seulement par ta culture générale exceptionnelle mais aussi par tes brillantes analyses ! 😀
ATTENTION SPOILERS SUR LE FILM
Au sujet du Palais d’Equestria, les dessinateurs et les animateurs du film se sont certainement inspirés des artistes dont tu parles tels que Chagall.
Je possède l’Art Book du film riche en informations sur la genèse du long métrage: et bien figure toi que l’une des sources d’inspiration des animateurs pour concevoir le design du palais de Célestia et Luna n’est nulle autre que la Sagrada Familia de l’architecte Antoni Gaudi ! 😀
Quant au sujet de la tentative de Twilight de dérober l’orbe, si, sur le coup, quand j’avais vu le film, j’avais été choqué et déçu par son acte (même si elle se rachètera heureusement dans la suite du film), avec le recul, je dois reconnaître en effet que je comprends ce qui l’a poussé à agir ainsi, ce que ta superbe analyse a bien démontré.
Ceci dit, je trouve que la fureur de Pinkie Pie était également légitime et compréhensible: suite à la chanson qu’elle et ses autres amies avait interprété, Pinkie était parvenu à faire changer d’avis la reine Novo qui était sur le point d’accepter de les aider à combattre le roi Storm et ses troupes et à sauver les princesses, mais leurs efforts ont été réduits à néant par ce qu’a fait Twilight.
En tout cas, je te rejoins sur le fait que l’intrigue est beaucoup plus subtile et fine qu’il n’y paraît, en particulier dans les relations entre les personnages.
Quant à une histoire d’amour entre Pinkie et la princesse Skystar, ce ne serait pas impossible en effet.
Il y avait par ailleurs déjà eu des amours homosexuels dans la série TV, mais il concernait des ponettes d’arrière plan (très prisées des fans !) telles que Bonbon et Lyra ou, dans une moindre mesure, Vinyl Scratch et Octavia…
Je reverrai le film lundi matin et j’en reparlerai avec toi avec grand plaisir Yupa ! 😀
J’ai hâte de le revoir et découvrir les détails m’ayant échappé lors de mon visionnage au cinéma !
Ah super cool que le jeu vidéo soit enfin sorti ! 😀
Cela faisait six ans que l’équipe travaillait d’arrache pied dessus, je suis content que leur projet se soit concrétisé. Et je trouve admirable de la part de Lauren Faust de leur avoir prêté main forte en concevant le design des personnages, bravo à elle pour le soutien qu’elle leur a apporté ! 😀
Le jeu donne vraiment envie d’y jouer, et non seulement cela a l’air d’être un excellent jeu de baston, mais en plus il semble avoir un côté “jeu de rôle” très plaisant ! 😀
J’en profite pour vous annoncer que ma fiche Planète Jeunesse dédiée à My Little Pony, le film a été publiée aujourd’hui ! 😀
Voici le lien pour la découvrir:
http://www.planete-jeunesse.com/fiche-3001-my-little-pony-le-film.html
J’en profite pour remercier plusieurs d’entre vous. Merci tout d’abord à toi Arachnée de l’avoir publié si rapidement.
Ensuite, j’adresse un grand merci à Mauser91, Yupa et Cyril pour l’aide précieuse que vous m’avez fourni: Mauser91 pour m’avoir informé que Michel Gagné un des meilleurs artistes de l’équipe de Don Bluth a travaillé sur ce film, Yupa pour avoir décelé l’hommage que les animateurs on fait à Jeff Koons l’artiste concevant des sculptures à partir de ballons et enfin Cyril pour avoir repéré le clin d’oeil fait à L’Empire Contre Attaque qui m’avait échappé lors de mon premier visionnage.
Merci de tout coeur les amis ! 😀
Pour ma part, je suis très heureux d’avoir pu réaliser cette fiche que j’ai éprouvé une immense joie à écrire. J’ai voulu qu’elle soit la plus exhaustive possible (notamment sur la genèse du film, son évolution et ses influences) et c’est l’une des fiches dans lesquelles je me suis le plus impliqué.
J’espère qu’elle plaira aux fans comme aux néophytes et aux curieux et qu’elle leur donnera envie de voir ce chouette film. 🙂
Episodes 1 et 2 saison 8
Nous retrouvons nos héroïnes deux semaines après les évènements narrés dans le long métrage. Elles font le point sur leur situation actuelle, quand tout à coup, elles se rendent compte que la carte de l’amitié s’est agrandie et va au delà des frontières de Equestria ! Elles réalisent que bien des nations autres que celle des poneys ne connaissent pas nécessairement les vertus de l’amitié. Cela pousse Twilight a prendre une décision capitale: fonder une école sur l’amitié ouverte à toutes et à tous.
Elle fait part de son projet à Célestia qui lui confirme que c’est une excellente idée, toutefois, elle lui explique qu’il est primordial qu’elle ait l’aval de l’E.E.A (Equestria Education Association) pour que son école puisse ouvrir.
Après avoir expliqué ses motivations aux membres de ce conseil, Neighsay le président de l’E.E.A donne l’autorisation à notre princesse de l’amitié d’ouvrir cette école.
Twilight sera la directrice, Starlight Glimmer la conseillère d’orientation et Applejack, Rarity, Pinkie Pie, Rainbow Dash et Fluttershy les professeurs. Certaines de nos amies ne sont toutefois pas sûres d’avoir les aptitudes requises pour être enseignantes mais notre alicorne les rassurent en leur expliquant que tout se passera bien si elles suivent à la lettre les recommandations du livre de l’EEA.
Le jour J arrive et des élèves venant de tous les horizons arrivent ! Est ce que nos sept héroïnes pourront accomplir la tâche qui leur est dévolu ?
J’ai personnellement beaucoup aimé ces épisodes qui marquent un tournant déterminant dans l’évolution de la série. C’est là qu’on se rend bien compte que nos héroïnes ont mûri, pris de la bouteille. Si jadis, elles apprenaient les valeurs fondamentales de l’amitié (notamment quand elles écrivaient à Célestia pour leur dire ce qu’elles avaient appris), là, elles sont passées au statut d’enseignantes.
Le récit est très bien mené car, si notre mane 6 tâtonne au tout début, chacune d’entre elle prend petit à petit ses marques et adaptent leurs techniques d’éducation à leurs élèves respectifs… même si après, l’ouvrage de l’EEA leur met des bâtons dans les roues en ayant des règles trop rigides et strictes !
J’ai trouvé que les élèves mit en avant tels que Sandbar le poney terrestre, Gallus le griffon, Yona le yak, Smolder le dragon, Ocellus la changeling et Silverstram l’hippogriffe tous très bien caractérisés et stylés. De plus, on perçoit une réelle alchimie entre eux, rendant leurs interactions crédibles et bien traités.
Après quelques menus différends, Ils apprennent petit à petit à faire connaissance, à se faire confiance mutuellement et à se serrer les coudes.
Ce qui était aussi marquant avec ce double épisode, c’est que Neighsay le président de l’EEA n’est pas aussi ouvert d’esprit qu’il veut bien le faire croire et estime que les élèves issus de d’autres peuples que les poneys constituent une menace envers ces derniers, or, notre princesse de l’amitié et ses six amies s’opposent catégoriquement à celui ci en affirmant haut et fort que l’amitié ne se cantonne pas aux poneys mais concerne tous les peuples et tout un chacun. C’est un message très fort qui est délivré et qui livre une critique sans concessions contre le racisme et la xénophobie.
En bref, il s’agit d’un double épisode introductif très satisfaisant: il est drôle, intelligent, bien menée et laisse augurer une huitième saison prometteuse et passionnante. 🙂
Bonne nouvelle: Le Poney Blanc a ressuscité ! 😀
L’équipe a crée un site flambant neuf et nous pourrons retrouver prochainement de futurs dossiers et articles de fond sur notre série animée équestre adorée:
https://leponeyblanc.fr/news/27/editorial-le-retour-du-poney-blanc/
Episode 3 saison 8
Pinkie Pie assiste à un spectacle de de “stand up comedy” à laquelle sa soeur Maud participe. Hélas, à l’exception de Pinkie totalement hilare face aux blagues de sa soeur, la prestation de cette dernière laisse le public indifférent. Cela ne démoralise pas pour autant Maud qui est heureuse que sa frangine ait apprécié sa performance sur les planches. Notre fêtarde favorite lui propose alors de sortir ensemble lors d’une soirée, mais celle ci lui déclare qu’elle est prise ailleurs et que cela sera une prochaine fois.
Pinkie se réjouit à l’idée de concocter une fête d’anniversaire surprise pour sa soeur adorée et se rend dans une boutique pour acheter les préparatifs nécessaires.
Elle tombe alors sur un client nommé Mudbriar qui met une éternité à terminer sa conversation avec la vendeuse qui doit fermer dans deux minutes. Eeeet, comme de bien entendu, au moment où notre ponette rose arrive à l’accueil, la vendeuse est partie déjeuner, ce qui ne manque pas de la faire enrager !
Elle retrouve plus tard Maud qui lui annonce une grande nouvelle: elle a un petit ami ! Elle est tout d’abord folle de joie mais elle déchante vite quand elle se rend compte que celui ci n’est nul autre que… Mudbriar, le client ayant deux de tension qu’elle a rencontré auparavant !
Ma foi, c’était un épisode sympathique. Pinkie Pie s’inquiète beaucoup pour sa soeur et ne veut pas qu’elle fréquente un individu qui, selon elle, aurait une influence néfaste sur celle ci. Elle ne supporte vraiment pas Mudbriar, et, je dois dire que je peux la comprendre: la manie perpétuelle qu’il a de corriger les dires de son interlocutrice (même quand celle ci n’a rien dit de faux) peut en effet s’avérer agaçante à la longue.
Ensuite, ce dont elle ne se rend pas compte, c’est qu’il a malgré tout des traits de caractère communs avec sa soeur adorée (notamment leur tempérament taciturne et peu loquace), parce qu’elle avait grandi avec Maud, a su voir au delà de ses apparences et sait qu’elle a un coeur d’or. J’ai bien aimé la scène où Marble Pie et surtout Limestone Pie la réconfortent et lui expliquent que le fiancé de Maud n’est pas si antipathique qu’il n’y paraît en employant une métaphore réussie (bien que pas assez explicite pour Pinkie au début ! 😆 ).
Le passage où elle croit qu’elle a basculé dans un monde où tout est inversé et où elle croit que Rarity se contrefiche de la mode, Twilight se désintéresse des livres et où Applejack est allergique aux pommes m’a bien fait rire aussi ! 😆
En bref, il s’agit là d’un épisode sympathique, agréable et plaisant. 🙂
Episode 4 saison 8
Rarity est catastrophée: elle doit trouver d’urgence une vendeuse qui travaillera à sa boutique de Manehattan, car ses employé(e)s travaillant pour elle dans cette ville sont indisponibles ! Après avoir sollicité l’aide de plusieurs de ses amies (toutes occupées ou débordées) elle jeta son dévolu sur Fluttershy qui accepta, même si cette dernière est anxieuse à l’idée de remplacer notre couturière émérite.
Cette dernière fait un rapide briefing et une présentation expéditive de la gestion de la boutique avant de partir, ce qui ne rassure pas trop notre amie des animaux.
Des clients l’abordent, et, elle ne sait que répondre à leurs requêtes. C’est alors que les ratons laveurs de la boutique ont l’idée “lumineuse” de lui proposer de se déguiser afin qu’elle soit plus à l’aise avec la clientèle. Si au début, cette technique fonctionne, elle aura cependant par la suite des conséquences néfastes sur le caractère de notre pégase !
Voici un épisode qui m’a laissé particulièrement perplexe et dubitatif.
Au début, il était certes amusant de voir Fluttershy endosser des personnalités différentes selon les vêtements qu’elle porte, je trouve bizarre le fait qu’elle devienne de plus en plus agressive, antipathique et austère, aussi bien vis à vis des clients que de ses propres amies. Elle en vient même à rejeter l’aide des ratons laveurs qui n’ont cessé de la soutenir et de l’épauler !
Dans un registre relativement proche, j’avais largement préféré le 19e épisode de la saison 2 où elle avait pour coach le Minotaure Iron Will, l’épisode était plus drôle, efficace et touchant. Elle en avait assez de se laisser “marcher sur les sabots” et souhaitait tenir tête à celles et ceux lui cherchant des poux dans la “crinière”. Mais ensuite, elle s’est rendue compte qu’elle avait confondu “caractère affirmé” avec “méchanceté”, elle se repentit et trouva un juste équilibre.
Ici, la rudesse dont elle fait proche vis à vis de son entourage est trop soudaine et abrupte, l’exécution narrative m’a semblé maladroite et précipitée.
On a néanmoins quelques bons gags comme Rarity qui “licencie” les trois Fluttershy alternatives.
Je trouve quand même que certains épisodes de la saison 7 centrés sur notre chère Fluttershy comme celui où elle aide Discord à redevenir lui même ou encore celui où elle fait tout son possible pour guérir Zecora étaient beaucoup plus drôles, émouvants et subtils.
En bref, j’ai trouvé cet épisode 4 de la saison 8 assez moyen, le moins bon que j’ai vu pour le moment de cette huitième saison.
Episode 5 saison 8
Rainbow Dash apprend par ses collègues Wonderbolts que l’attraction Wild Blue Yonder qui est dans la ville de Las Pegasus va fermer incessamment sous peu. Ses confrères ont tous pu en profiter et ont trouvé l’attraction fantastique !
Manque de chance pour notre pégase, le dernier jour de l’attraction a lieu un jour de la semaine où elle enseigne à l’école de Twilight.
Elle implore Applejack de la remplacer sur ses cours afin qu’elle puisse aller à cette attraction qui l’intéresse tant. Notre cow ponette accepte à une seule condition: que Rainbow Dash amène Granny Smith et ses amies dans cette cité afin qu’elles puissent s’y amuser. Elle lui fournit également une liste d’activités qu’elles ne doivent surtout pas exercer afin de ne pas mettre en péril leur état de santé.
Rainbow Dash accepte, même si cela ne l’enthousiasme guère. Elle ne sera d’ailleurs pas au bout de ses peines lors de son séjour à Las Pegasus !
Voici un très bon épisode nettement meilleur que le précédent.
D’une part, il est franchement très drôle, Rainbow Dash nous gratifie de mimiques faciales extrêmement marrantes qui m’ont fait rire à maintes reprises ! 😆
D’autre part, si au début, elle considérait Granny Smith et ses copines comme des boulets, elle s’inquiète sincèrement pour elle, et à un stade important du récit, elle se préoccupe davantage de les protéger que d’aller à l’attraction qui l’intéresse tant (même si elle meurt d’envie de la faire !).
Et puis, surtout, elle apprend à réellement connaître Granny et sa bande et que ce ne sont pas des petites vieilles ringardes, mais au contraire des ponettes très sympas et enjouées, qui, tout comme elles, aiment s’amuser.
En revanche, Applejack n’est pas montrée sous un très bon jour, bien qu’il soit normal qu’elle demande à Rainbow Dash de bien veiller sur sur sa grand mère et ses copines, celle ci les couvent trop, contraignant Rainbow Dash à les empêcher de s’éclater, faisant passer celle ci pour une rabat joie à leurs yeux. Même si cela correspond au caractère de Applejack (comme la fois où elle était beaucoup trop protectrice envers Apple Bloom), on ne peut pas dire qu’elle ait bien retenu la leçon depuis.
On a aussi quelques caméos sympathiques:
D’une part, et Geoff les a déjà repéré sur un forum voisin, Rick et Morty sous forme de poneys sont présents dans la queue devant l’attraction ! D’autre part, on peut voir aussi Walter White, le héros de Breaking Bad.
Autre fait amusant: nos vieilles ponettes rencontrent deux prestidigitateurs âgés dont l’un d’entre eux semble bel et bien être le père de “la grande et merveilleuse Trixie !”
En effet, il a la même couleur de peau et la même crinière que Trixie, c’est une licorne et il a la même technique de disparition (ratée ! 😆 ) que son “illustre” fille !
En bref, bien que classique, cet épisode s’est avéré drôle, plaisant et très divertissant ! 😀
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