Battle of Gods est le seul qui pourrait m'intéresser c'est vrai, mais quand je lis des critiques un peu droite à gauche, je dois avouer que ça me motive moins… Je verrai en fonction du prix. Par contre les autres adaptations, j'ai fais une croix dessus, tout comme pour Saint-Seiya. Il n'y a que Lost Canvas qui m'intéresserait !
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Dragon Ball Super
Episode 6
Hakaishin wo Okoraseru na !
Doki Doki Tanjô Party
N'énervez pas le Dieu de la Destruction !
La Palpitante Fête d'Anniversaire
“Le Dieu de la Destruction Beerus… je suis sûr d'avoir déjà entendu ce nom quelque part.”De peur qu'il ne finisse par énerver le Dieu de la Destruction, Kaiô réussit à convaincre Gokû de ne pas se rendre à la fête de Bulma.
Sur Terre, Beerus retrouve Vegeta afin de lui demander s'il connaît le Super Saiyen God. Cette rencontre fait remonter des souvenirs à la surface pour le prince saiyen, qui se souvient l'avoir déjà croisé sur Vegeta.
Alors que la tension et les menaces commencent à monter d'un cran entre les deux, Bulma intervient et sans la moindre hésitation invite Beerus et Whis à sa fête. Une proposition que ne refuse pas le Dieu de la Destruction, alléché par l'odeur du festin.
Pour Vegeta, la mission est claire : faire tout, même l'impossible, pour que rien ni personne (surtout personne) n'agace Beerus et le pousse à détruire la Terre. Entre un Buu pas du genre à partager la boustifaille et un Yamcha un brin trop amical, le prince saiyen va avoir fort à faire !
Après un épisode 5 consacré presque entièrement à la baston (et techniquement à la ramasse, mais c'est un autre sujet), on retrouve ici l'ambiance bon enfant mêlée cependant de petites touches sérieuses, avec un climat tendu par la menace.
La transition est d'ailleurs réussie, avec une Bulma tellement décontractée, l'alcool aidant, qu'elle ne se pose aucune question quand elle voit Beerus et Whis devant son homme littéralement ventre à terre !
Et que dire du comportement de Yamcha, qui baratine Beerus en lui faisant croire qu'il est un des hommes les plus forts parmi ceux présents sur le paquebot ? Un grand moment ! 😂
J'ai d'ailleurs bien aimé toutes ces petites saynètes sur le paquebot ! Le concours de bouffe entre Oolon et Krilin, Trunks et Goten qui jouent au pistolet à eau, Yamcha qui… s'entraîne à donner des coups de poing avec Piccolo, pendant que le Docteur Brief mange des râmen en arrière-plan, etc… Ce sont des passages qui ne payent pas de mine mais qui participent grandement à l'ambiance très vivante de l'épisode.
Vegeta est bien sûr le seul à savoir quel danger représente véritablement Beerus, et il semble que toute la bande prenne un malin plaisir à taquiner le divin destructeur, au point que Vegeta lâche une galerie de grimaces impayables !
Il tient le show à lui seul, en tentant par tous les moyens de faire en sorte que Beerus ne pique une crise. Ce qui amène d'ailleurs à une scène en particulier où il s'improvise cuisinier à sa façon. Aussi mémorable que la scène du film (Kami to Kami) où il se déhanche et chante à la gloire du Bingo !
Mais malgré tous ses efforts, Vegeta ne peut empêcher certaines choses d'arriver, et le prochain épisode devrait avoir une tout autre ambiance !
En définitive, cet épisode 6 fut un excellent moment, reposant en grande partie sur ce mélange humour / danger qui fait la force du film Kami to Kami, et qui donne à cette nouvelle série une véritable identité, une originalité qui le démarque de Dragon Ball et Dragon Ball Z !
"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Dragon Ball Super
Episode 7
Yokumo Ore no Bulma wo !
Vegeta Ikari no Tozzen Hen i !?
Vous avez osé frapper ma Bulma !
La Furieuse Mutation de Colère de Vegeta ?!
"Tu es exactement comme ton père. Tu n'es qu'un faible."Alors que Vegeta s'est saigné aux quatre fromages quatre veines pour que Beerus soit bien traité, et donc ne pique pas de crise d'ampleur apocalyptique pour la Terre, voilà que Buu joue encore les personnels et refuse de partager une part de pudding avec le Dieu de la Destruction, allant même jusqu'à nous jouer une variante du fameux "j'ai craché dans mon Yop" (pour les plus jeunes). Et comme Beerus et Buu sont des descendants directs de Karadoc, il n'y a rien de plus sacré que la bouffe pour eux, aussi le duel était inévitable !
Buu n'est cependant pas de taille à faire face au divin sphynx, alors très vite, ses amis viennent lui porter secours, mais le résultat est le même. Et pendant ce temps, Whis déguste un à un les plats terriens avec un plaisir non dissimulé.
En parlant de plaisir non dissimulé, je ne vais pas m'en cacher, arrivé à sept épisodes, c'est maintenant indéniable, je prends beaucoup de plaisir à suivre cette série !
Et ce n'est pas simplement dû au fait que je considère le film Kami to Kami comme l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur film de la saga. Certes, l'histoire de base est celle du film, mais les nombreux rajouts et détails lui apportent tout son intérêt propre, sans compter les promesses données par le générique d'ouverture (Jaco et cet autre Dieu de la Destruction plus enrobé, entre autres choses !).Pour en revenir à l'épisode du jour, on se trouve clairement face à une démonstration de la puissance époustouflante de Beerus qui, de Tenshinhan à Gohan, en passant par un Gotenks vite remis à sa place, distribue les corrections sans le soupçon d'un début de micro-transpiration.
Mais bien qu'il s'agisse de l'attraction principale de l'épisode, les scènes de baston n'occupent pas plus de la moitié du temps. En passant, c'est un détail, mais je suis heureux de voir que Gohan ne devient pas super saiyen quand il se bat ! <img src="style_emoticons//happy.gif” style=”vertical-align:middle” emoid=”^_^” border=”0″ alt=”happy.gif” />
Les scènes intermédiaires participent tout autant à l'ambiance et développent plus ou moins les autres personnages, à l'instar de ce passage où Krilin se fait presque enguirlander par Chichi pour ne pas être allé au combat alors que sa femme n'a pas hésité un instant. Ce à quoi Krilin lui rappelle, ainsi qu'à un Yamcha pressant et décidément très fort en gueule mais pas en action, qu'il a pris sa retraite de combattant et, surtout, qu'il doit protéger sa fille, Marron.Si l'on savait déjà à quel point Vegeta était effrayé par Beerus, on reste tout de même étonné de le voir à ce point trembler devant le dieu destructeur. Cela dit, cette scène où Bulma le presse de faire quelque chose, voyant que Beerus gâche sa fête, nous montre un Vegeta partagé entre sa fierté de saiyen et la frayeur que lui inspire cet adversaire, et cet état assez inédit dans la série nous ramène au Vegeta du film Broly, et le clin d'oeil est assez réussi.
Seul bémol, je suis étonné que Piccolo, qui s'est réunifié avec Kami sama depuis belle lurette, ne ressente pas l'énergie de Beerus, alors que Dende le peut, lui.
Ce n'était certes pas l'épisode le plus instructif, ou le mieux réalisé de la série jusqu'ici, mais il a rempli parfaitement son office d'amuse-gueule, surtout quand on voit ce qu'on nous prépare pour l'épisode 8 ! Et quel final ! Mais quelle frustration, aussi !
Gnn, alors qu'on se trouve en plein climax, voilà que le générique de fin se pointe, frustrant ! Vite, la suite !"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Dragon Ball Super
Episode 8
Gokû Kenzan !
Beerus Sama Kara no Last Chance !?
Gokû se rapproche !
La Dernière Chance Donnée par Seigneur Beerus ?!
“Dieu de la Destruction ou pas, il y a des limites à l'humiliation !”Voyant que Beerus gâche sa fête d'anniversaire, Bulma, qui en a vu d'autres, lui colle une soufflante et lui demande de quitter son navire immédiatement. Le dieu de la destruction répond du tac au tac en lui rendant sa gifle. Un geste qui met Vegeta dans une colère noire.
Face à la rage et la hargne au combat du prince saiyen qui vont jusqu'à le forcer à riposter, Beerus croit un instant se trouver devant le super saiyen God, mais c'est encore loin d'être suffisant pour lui tenir tête. Cependant, détruire une planète avec autant de repas variés et délicieux demande plus de réflexion, et Beerus décide de laisser une dernière chance aux terriens. Il choisit Oolong, pour sa forme et sa couleur de peau proches de celles du responsable de toute cette agitation (Buu), dans un duel de chifoumi, le chifoumi le plus important de toute l'histoire de l'humanité !
Voilà encore un épisode qui jongle sur deux registres sans véritable transition entre l'un et l'autre ! On part quand même d'un duel Vegeta / Beerus à l'ancienne, viril et brutal pour terminer sur du Oolong / Beerus !
La joute entre Vegeta et Beerus, bien qu'épique, est assez courte. Le combat est d'ailleurs malheureusement desservi par une animation très moyenne, malgré une bonne mise en scène.
Cet épisode se la joue plutôt pépère, et repose principalement sur le duel d'Oolong, qui profite de cette occasion unique de briller depuis… le début de Dragon Ball, en fait. A cet effet, il est bien décidé à faire bonne impression, bien que réticent au départ, et l'encouragement spécial de Bulma est une motivation supplémentaire. Seulement, il manque quelque chose à cet épisode, un côté plus déjanté peut-être, voire fripon, auquel on aurait pu s'attendre venant d'Oolong. Le délire aurait dû aller plus loin, bien que le côté “professionnel du Janken” m'ait fait sourire ! De plus, le duel au chifoumi est inattendu et fait autant l'intérêt de l'épisode que le combat de Vegeta.
C'est étonnant, cependant, de voir que cet épisode prend autant son temps pour le chifoumi et expédie assez vite le combat de Vegeta (j'ai dépassé le nombre d'utilisation réglementaire des termes “chifoumi” et “combat de Vegeta”, j'en suis bien conscient ! 😪 ), surtout quand on voit que l'épisode à venir semble accélérer les choses pour le super saiyen God !
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Dragon Ball Super
Episode 9
Omatase, Beerus Sama
Tsuini Super Saiyajin God Tanjô !
Navré pour l'attente, Seigneur Beerus
Le Super Saiyen God est Enfin Né !
"C'est chaud… Mon ventre…"Oolong n'a pu sauver le monde en perdant contre Beerus au chifoumi. Heureusement, Gokû est de retour sur Terre avec une idée pour trouver ce Super Saiyen God : Invoquer Shenron et lui demander s'il peut le trouver et le contacter. Si Shenron ne peut trouver cet être mythique, dieu des saiyen, il peut cependant donner le moyen d'en créer un nouveau : "Si cinq saiyen au coeur pur se tiennent la main et transmettent leur coeur vers un autre saiyen tout aussi juste, celui-ci deviendra le dieu des saiyen".
Problème, il n'y a que cinq saiyen, en comptant les "p'tits bâtards" ! A moins que… Videl n'ait une heureuse nouvelle à annoncer ?
J'aime beaucoup DBS, je ne l'ai jamais caché, mais force est de constater que jusqu'ici, le constat est clair, la série n'est véritablement bonne que lorsqu'elle s'éloigne de la trame du film Kami to Kami (que j'aime énormément aussi). Or, ici, plus que jamais depuis le début de la série, elle en est très proche, trop proche, et l'épisode est relativement moyen, très moyen.
Déjà, il faut le dire, cet épisode est globalement moche. On n'atteint pas la mocheté des quelques minutes du combat d'échauffement entre Gokû et Beerus de l'épisode 5, mais on en est pas loin non plus.
Ensuite, ce qui est pour moi le défaut du film est reproduit ici : Gohan en super saiyen, c'est pas possible, ce n'est pas possible.
Pour ceux qui ne comprennent pas de quoi je parle, il faut juste savoir que Gohan n'est plus capable de se transformer en super saiyen depuis sa "séance" de power-up avec le vieux Kaïôshin à la fin de l'arc Buu. Il est l'être le plus puissant existant depuis cette époque, et sa transformation ne se résume depuis qu'à un simple changement de regard, plus de cheveux jaunes et d'yeux verts.
Pour le cas de Videl enceinte, ce n'est pas véritablement un problème en soi. La continuité s'en trouve simplement changée, et Pan est née plus tôt, voilà tout.
Mais quand même, je suis intrigué par cette histoire de "transmettre son coeur vers un autre"… Comment s'y prennent-ils ?
Bref, mon avis sur l'épisode en serait resté là, mitigé, si les cinq dernières minutes n'avaient pas rehaussé l'ensemble ! La naissance du super saiyen God, telle que promise par le titre, est superbement mise en scène ! La musique, d'habitude fade et passe-partout, est enfin un plaisir pour les oreilles à ce moment précis. Tout est d'ailleurs agréable dans ces dernières minutes !
Si dans l'ensemble cet épisode reste moyen, rapport à ses quinze premières minutes trop copié-collé du film, il se termine sur une note bien plus positive et encourageante. Si la suite continue sur cette lancée, et garde aussi cette particularité de s'intéresser à tout l'univers de la saga Dragon Ball dans son ensemble, en continuant de s'intéresser à ses nombreux personnages, Dragon Ball Super a un bel avenir devant lui !
Reste plus qu'à espérer que la Toei soit aussi soigneuse avec cette série qu'elle peut l'être avec One Piece, par exemple."With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Dragon Ball Super
Episode 10
Miseru Gokû !
Super Saiyajin God no Power !!
Montre-Nous, Gokû !
Le Pouvoir du Super Saiyen God !!
“- Affrontons-nous, Seigneur Beerus. Et si je gagne, ne détruisez pas la Terre, s'il-vous-plaît.
– ça me va. Mais cet univers-ci ne contient aucun être plus fort que moi, le Dieu de la Destruction.”Gokû, enfin devenu Super Saiyen God grâce à Vegeta, leurs fils et Videl, est maintenant prêt à affronter Beerus pour éviter qu'il ne détruise la Terre. Le vieux Kaiôshin craint les retombées d'un tel duel pour la Terre, à cause de la nature imprévisible du Dieu de la Destruction.
Face à son adversaire, Gokû est désarçonné, il ne parvient pas facilement à contrôler un tel pouvoir et Beerus le domine encore largement.
Le combat se déroulant dans les airs, Bulma, toujours prévoyante, propose à tout le monde de venir y assister aux premières loges, dans son propre vaisseau spatial ! Et pendant ce temps, Pilaf et sa bande sont revenus sur le paquebot avec l'intention de s'emparer des Dragon Ball, mais un peu tard. Même pas moyen de compenser avec la boustifaille, y a plus rien ! Sauf si le charitable Whis daigne partager !
Eh bien voilà un très bon épisode !
Non seulement il se situe techniquement dans le haut du panier de la série, mais il propose également de l'inédit tout en suivant l'histoire de Kami to Kami. Ce n'est pas grand-chose non plus, ce sont des petites saynètes qui mettent en avant les perso secondaires, mais une fois de plus, c'est ce qui fait en partie le charme de la série depuis ses débuts.
Globalement, y a pas grand-chose à dire sur cet épisode non plus. C'est le début du combat entre Gokû et Beerus, et c'est à peu près tout. La mise en scène fait bien son boulot, et c'est jusqu'ici le combat le plus dynamique de la série. Certes, la concurrence n'est pas encore rude, mais pour autant il ne faut pas non plus en nier les qualités.
A suivre, avec impatience et plaisir, donc ! 😃
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Dragon Ball Super
Episode 11
Tsuzukeyô ze Beerus Sama !
Kami to Kami no Tatakai wo !
Continuons, Seigneur Beerus !
Le Combat Dieu contre Dieu !
“- C'est pas sympa, Seigneur Beerus ! Vous ne vous battez pas à fond.
– Toutes mes excuses. J'ai compris que tu étais du genre à ne sortir le meilleur de toi-même que lorsque tu es un peu trop sûr de toi.”Le premier tour de chauffe est terminé. Gokû commence peu à peu à maîtriser son état de Super Saiyen God et Beerus, de son côté, s'adapte à son adversaire, ou plutôt, il joue avec lui. En effet, le Dieu de la Destruction semble laisser à Gokû le temps de s'acclimater à ce nouveau pouvoir.
Les intentions de Beerus restent floues, même s'il reste une menace pour la Terre, au grand désarroi des Kaiôshin.
Je ne pensais pas revoir un épisode aussi bon et haletant que celui de la semaine dernière avant un moment, mais voilà que l'épisode de cette semaine me contredit !
C'est incroyable de voir à quel point on passe, en l'espace d'une vingtaine de minutes seulement, d'une ambiance légère et plutôt détendue, avec un combat à l'esprit très slapstick, à ce qui graduellement devient le combat le plus sérieux du monde, lorsque Beerus bouscule un peu plus Gokû et le pousse à se surpasser en menaçant la Terre de destruction !
Mais le plus surprenant dans l'histoire, c'est qu'en fait, le combat est passionnant du début à la fin. Comment vouloir rater un affrontement aussi intense où Gokû mord la queue de son adversaire, et ce dernier réplique en lui écrasant les joues, tel une mamie-gâteau qui n'avait pas revu son petit-fils depuis trois semaines et s'exclame : “Ooooh ! C'que t'as grandiii !“, hein ? Comment ?
Et pour ne rien gâcher, la réalisation est encore meilleure que celle du précédent épisode ! Au fur et à mesure que Beerus “muscle son jeu”, les deux adversaires s'élèvent de plus en plus haut dans les airs (au grand dam de Bulma, qui peine à les suivre et peste sur Gohan, qui n'a plus assez de force pour soulever le vaisseau, et Piccolo qui lui dit d'aller plus haut pour pouvoir assister au combat), et finissent par atteindre les limites de la stratosphère. Le combat dans les nuages était déjà très beau, mais dans l'espace, c'est un tout autre spectacle !
Que ce soit avec les décors, le chara-design ou les effets spéciaux, là encore, cet épisode est un ravissement pour les yeux ! Je regrette juste que la BO ne soit plus de Shunsuke Kikuchi, mais là, c'est mon côté nostalgique qui s'exprime !
En bref, cet épisode est un sans-faute ! Il passe d'une ambiance à l'autre sans que cela ne casse le rythme et perturbe le visionnage. Les deux combattants font tout le spectacle, et le rire laisse place au drame, jusqu'à ce moment qui m'a hérissé le poil (dans le bon sens) où Gokû, d'un sourire espiègle, réussit à renverser la sauce d'un “Waku Waku !” des familles qui ne manquera pas d'attirer la sympathie du vieux briscard et l'enthousiasme du spectateur moins habitué ! Oui, Gokû, Waku Waku moi aussi, Waku Waku ! 😃
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Dragon Ball Super
Episode 12
Uchû ga Kudakeru !?
Gekitotsu ! Hakaishin Tai Super Saiyajin God !
L'Univers s'effondre ?!
Le choc ! Le Dieu de la Destruction Contre le Super Saiyen God !
“Si ces deux-là continuent de se percuter comme ça, les êtres vivants, les planètes, nous autres les dieux, et même le Seigneur Beerus et Gokû seront complètement anéantis ! Il ne restera plus rien de l'univers.”Beerus, impressionné par le retour et la résistance dont son adversaire fait preuve, décide finalement de combattre à plein régime. Mais la force qui anime les deux adversaire effraie le doyen Kaiôshin, qui craint que le choc de leurs pouvoirs ne condamne à court terme l'univers tout entier.
Eh beh ! Trois épisodes à la suite d'aussi bonne qualité graphique, champagne !
On notera d'étonnantes trouvailles inédites pour cet épisode, comme ces dragons matérialisés par les auras de Gokû et Beerus, par exemple. Mais bien sûr, le plus intéressant réside dans cette idée que l'issue de ce combat dantesque amène l'univers entier à s'effondrer et disparaître sous le choc des coups portés ! On atteint là le paroxysme d'un épisode typique de Dragon Ball Z ! 😂
Il est aussi intéressant de constater que Whis, qui jusqu'ici faisait preuve d'indifférence polie, fait maintenant montre d'une certaine bienveillance à l'égard de ses hôtes, à deux reprises ! D'abord envers Vegeta, en voulant lui épargner un torticolis en montrant le combat en direct grâce à ses pouvoirs, ce dont, au passage, l'Über fier prince Saiyen n'a cure !
Et ensuite en empêchant le vaisseau de Bulma de s'écraser sur le paquebot, ce qui en passant aurait pu être évité par Vegeta, s'il n'était pas autant obnubilé par le combat !
Bref, Whis bienveillant : Serait-ce à cause de la nourriture terrienne ?
Enfin, sur un registre différent, et assez triste, le narrateur historique de toute la saga Dragon Ball, Jôji Yanami, a quitté la série pour raisons médicales, et pour une période indéterminée. Il a donc été remplacé par un autre seiyû, Naoki Tatsuta (voix de Oolong).
Ce n'est guère étonnant, compte tenu de ses précédentes performances sur DBS. Sa voix très fatiguée et son âge très avancé (84 ans) le condamnaient à terme à laisser la place qu'il occupait depuis aussi longtemps que Masako Nozawa et Hiromi Tsuru (respectivement Gokû et Bulma).
Pour info, Masako Nozawa n'est plus toute jeune non plus, mais du haut de ses 78 ans (si si !), on a du mal à croire qu'elle raccrochera un jour, tant sa voix n'a quasiment pas changé d'un iota !
Alors, Jôji reviendra-t-il, ou a-t-il définitivement pris une retraite plus que méritée ? N'empêche, ça fait un pincement au coeur de ne plus l'entendre…
Une fois de plus, la série s'éloigne de ce que l'on voit dans le film Kami to Kami, et propose une intrigue intéressante et un combat qui, bien qu'il ne soit pas aussi nerveux que ce à quoi l'on pouvait s'attendre, reste très captivant par ses enjeux, sa beauté et son dynamisme, du moins quand les protagonistes cessent de concentrer leur énergie (ce qu'ils font quand même durant quasiment toute la première partie de l'épisode). La série s'installe !
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Dragon Ball Super
Episode 13
Gokû yo,
Super Saiyajin God wa Koeteyuke !
Gokû,
Surpasse le Super Saiyen God !
"- Les coups de boule, c'est pas classe du tout !!
– Mais ça fait mal, pas vrai ?
– J'ai rien senti !
– Menteur !"L'entrechoc des énergies de Gokû et Beerus continue de menacer l'équilibre spatio-temporel de l'univers, malgré la montée en puissance du saiyen. Sur Terre, la vague d'énergie perturbe la planète et met en émois toute la population.
Mister Satan, qui perçoit également la menace, surtout pour sa fille et sa futur petite-fille, supplie Whis de mettre un terme à ce combat insensé, et quoi de mieux pour persuader l'être divin que de lui offrir en échange un "bon donnant accès libre à toute la nourriture qu'il souhaite dans tout le pays" ?
Ouais. Mais malheureusement, et malgré l'extrême tentation que cela représente pour Whis, ce dernier décline fort poliment la supplique.
C'est ici que le combat entre Gokû et Beerus atteint son paroxysme, et prend également un tournant décisif.
Il faut à nouveau signaler la très bonne qualité technique de l'ensemble (en dehors d'un ou deux petits cafouillages dans le chara-design), surtout dans l'animation du combat, avec un pic notable dans les cinq dernières minutes de l'épisode.
Alors oui, ça reste basiquement un combat entre deux personnes ultra-monstrueuses en terme de puissance, mais quand c'est bien fichu, autant le signaler et ne pas bouder son plaisir !
Et puis, en fait, y a pas que ça, n'est-il pas ? ^^"Là, y a les méduses, les insectes. Là, y a les glandus, les grouillots. Là, y a les mecs normaux. Là, y a les chevaliers. Là, y a les rois et les princes. Et après, bien au-dessus, y a Mr Satan."
– Karadoc, Kaamelott, Livre IV, à propos de Mister Satan (ou Arthur, je sais plus).
Dans DBZ, les passages qui cassaient l'action, afin de ne pas trop rattraper le manga, n'avaient souvent aucun lien avec l'histoire principale et sentaient le bouche-trou à plein nez, si bien que même en ne connaissant pas le déroulement de l'histoire originale du manga (ce qui était tout à fait normal à l'époque), on sentait quand même bien ce contraste entre le "vrai DBZ" et le remplissage.
Avec DBS, le fait que l'histoire soit originale en elle-même aide bien sûr à ne pas ressentir un tel décalage, mais les passages qui coupent l'action en cours restent intégrés à cette même action, ce qui ne les rend pas du tout frustrants, surtout lorsqu'ils savent être aussi drôles et inattendus ! Et puis c'est plaisant de voir Mr Satan aussi papa poule un instant, et le moment d'après reprendre ses vieilles habitudes d'anti-héros sauveur du monde, prêt à récolter toute la gloire, parce que c'est grâce à "la puissance de son amour" qu'il a repoussé la vague d'énergie néfaste !
Fais avec, mon pote, encore et toujours un bon épisode de DBS ! Comme d'habitude, on s'accroche à l'action principale, tout en n'oubliant pas de mettre en avant de manière notable un ou deux personnages secondaires, et jusqu'ici la recette marche plutôt bien !
L'histoire avance, et le combat atteindra normalement sa conclusion dans le prochain épisode (au vu du titre), et logiquement l'arc Kami to Kami aussi. Et honnêtement, 14 ou 15 épisodes, c'est vraiment pas la mort, si ? Surtout quand l'arc en question a su faire preuve de suffisamment d'originalité pour rester intéressant et divertissant !"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Dragon Ball Super
Episode 14
Kore ga Ora no Arittake no Chikara da !
Kecchyaku ! Kami to Kami
Voilà tout ce qui me reste de force !
Le Combat des Dieux se Termine !
"Hey, Seigneur Beerus… vous êtes peut-être un Dieu, mais… n'essayez même pas de me dire quelles sont mes limites…"Face à Beerus utilisant toutes ses forces, Gokû est incapable de dominer le combat. Le Dieu de la Destruction semble cependant l'encourager indirectement à se surpasser dans un dernier assaut désespéré.
Voilà la fin du premier arc de la nouvelle série ! S'il n'est guère original pour le fan qui a déjà vu l'excellent film Kami to Kami, il n'en reste pas moins qu'au final il a su à plusieurs reprises apporter un angle différent aux évènements. Certes, le résultat est le même, au bout du compte, mais certaines thématiques furent développées autrement, voire ignorées (la honte de Gokû d'avoir eu à utiliser l'énergie de ses proches pour pouvoir affronter Beerus), et certains personnages secondaires mis plus en avant, même si, à ce stade, j'aurais préféré qu'ils le fussent bien plus.
Techniquement, il y a eu autant de hauts que de bas, mais il faut aussi reconnaître que les quatre derniers épisodes ont connu un bond qualitatif réjouissant !
Certes, ce quatorzième épisode n'est pas aussi beau que les précédents, mais il nous offre quand même de jolies séquences animées et quelques plans visuellement audacieux.
C'est donc une belle conclusion au premier arc qui nous est offerte ici. Moins de révélations que ce que le film nous offrit (dont la principale, qui étend l'univers de Dragon Ball en un multivers prometteur), mais un recentrage sur la sphère intérieure de Dragon Ball, les nombreux personnages qui composent ce monde. Pas autant que je l'espérais, certes, mais c'était tout de même pas mal !
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Episode 15
Yûsha Satan yo Kiseki wo Okose !
Uchû Kara no Chôsenjû
Grand Héros Satan, Créé un Miracle !
Le Défi du Fin Fond de l'Espace
"Regarde bien quel est le pouvoir d'un dieu !"Gokû, remis de son combat contre Beerus, souhaite de nouveau aller s'entraîner avec Kaiô, mais Chichi, soucieuse de l'image que son image doit avoir auprès de leur futur petit-enfant, préfère le voir retourner au travail.
Et pendant que Gohan couve Videl et que Vegeta jure, du sommet d'une montagne ensablée qu'il dépassera Gokû, Satan part une fois de plus récolter les lauriers pour avoir de nouveau "sauvé le monde" ! Mais alors qu'il enthousiasme les foules par le récit de son combat contre "Beebus", le Dieu de la Destruction, et l'annonce de l'apparition d'une nouvelle force en lui, des extra-terrestres de la planète Snak débarquent sur place et cherchent à féliciter celui qui a réussi à battre le Divin Chat ! Mieux, le héros de cette planète souhaite vérifier la force de cet homme, quelque chose que Satan n'avait pas prévu lorsqu'il leur a affirmé être ce héros.
Entre deux arcs, c'est l'habituel entracte, si l'on peut dire. Ici, Mister Satan occupe le devant de la scène dans un épisode assez hilarant, au délire typique d'un Toriyama, avec cette race extra-terrestre terrifiée par les chiens.
Ils ont d'ailleurs beau savoir que les races canines terriennes ne comportent aucun être suffisamment évolué pour leur présenter un vrai danger, ils n'en restent pas moins effrayés devant un innocent toutou !
Et une fois de plus, Satan prouve qu'il a une chance de tous les diables et que les évènements tournent toujours en sa faveur, et c'est sa réputation de grand combattant qui en tire profit !
L'humour se situe aussi dans la façon qu'a Satan de raconter les évènements du combat contre Beerus (ou Beebus, selon Satan) d'une manière toute personnelle, allant jusqu'à s'imaginer en Super Saiyen !
Et cette danse de présentation ou d'adieu des snakiens ! Définitivement le genre de chose qu'il ne faut pas rater !
Cet épisode est certes anecdotique en lui-même, mais en est-il pour autant inintéressant ?
Léger, drôle et plutôt bien mis en scène, il remplit bien son office."With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Dragon Ball Super
Episode 16
Vegeta ga Deshiiri !?
Whis wo Kôryaku Seyo !
Vegeta est devenu un disciple ?!
Achève Whis !
"Par ma propre force, je surpasserai le niveau des dieux !"Tandis que ce vieux pervers de Kaiôshin utilise sa super vue pour observer une séance de "catch sauvage", et que Krilin rend visite à son vieil ami Gokû sur son lieu de travail pour se remémorer le bon vieux temps de l'entraînement de Papy Kame (tout ça pour finir par se faire pouponner par C-18… je l'ai compris ton jeu, petit malin !), Vegeta n'a qu'une idée en tête, dépasser par ses propres moyens le niveau divin.
Mais une visite de Whis chez Bulma, avec qui il s'est lié d'amitié, fait comprendre à Vegeta qu'il lui faut un maître pour lui montrer comment devenir plus fort. Quant à la façon de convaincre Whis de le prendre en tant que disciple, il applique à la lettre le proverbe ancestral : "le véritable chemin pour toucher le coeur d'un homme passe par son estomac" !
Hum, le nouvel arc débute avec cet épisode, mais force est de reconnaître qu'il ne s'y passe pas grand-chose, et que l'épisode précédent, un simple filler, était plus intéressant.
Krilin ne sert ici que de bouffon de service, alors qu'il y aurait mieux à faire avec lui, sa femme et sa fille. Quant au sujet principal, il se tient en une seule phrase, Vegeta veut se faire entraîner par Whis.
Finalement, le passage le plus intéressant ici se trouve dans cette relation intéressée que noue Bulma avec le maître de Beerus. Mais y a pas non plus de quoi remplir un épisode ici.
Bref, ça manquait de développement pertinent. Je cherche encore l'intérêt de montrer Krilin se prendre une mandale, mais peu importe. Là, pour le coup, on aurait pu bien mieux utiliser le temps alloué aux personnages secondaires.
Un acte manqué. J'espère mieux pour la suite."With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
Star Trek - The Next Generation / The Drumhead
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Dragon Ball Super
Episode 17
Pan Tanjô !
Soshite Gokû ha Shugyô no Tabi he !?
La Naissance de Pan !
Et Gokû s'exile pour s'entraîner ?!
"Il peut être le père affectueux et aimant de la petite Pan. Il lui arrive aussi d'être un chercheur scientifique très respecté. Mais sa véritable identité est… Le guerrier qui protège la paix sur Terre : Great Saiyaman !"Six mois ont passé. La petite Pan est née, et papy Satan et Gohan en sont gaga, littéralement. Tous deux la voient déjà comme une future grande combattante, mais Chichi n'est pas de cet avis.
Lors d'une conversation entre Chichi et Bulma sur les saiyen et leurs manies de n'en faire qu'à leur tête, Gokû apprend que Vegeta s'entraîne auprès de Whis depuis six mois. Il ne lui reste plus qu'à attendre le retour de Whis sur Terre pour lui demander de l'entraîner aussi ! Mais l'attente est insupportable pour Gokû.
Basé sur le même principe que l'épisode précédent (mais cette fois centré sur Gokû), on se trouve cependant face à quelque chose de bien plus intéressant et efficace !
Ainsi, le début de l'épisode est très distrayant, avec cette fausse baston entre Gohan et Satan pour la petite Pan, qui nous amène à une excellente petite parodie de Cutey Honey !
Voir Krilin devenu policier est déjà assez étonnant en soi, mais je relève surtout la sonnerie de son portable, un We Are ! des familles, joli clin d'oeil à Mayumi Tanaka, la seiyû de Krilin et Luffy, ça fait toujours son petit effet !
Et puis bien sûr, Gokû qui harcèle Bulma puis Whis, qui fuit les obligations familiales, et surtout sa femme, en grand irresponsable qu'il a toujours été, ça vous emballe l'épisode avec maestria !
Voilà donc tout le contraire de l'épisode précédent, avec pourtant quasiment la même formule ! Le secret ? Il suffit simplement de faire vivre les perso secondaires, de leur accorder une place autre que celle de faire-valoir ou de bouche-trou, de faire évoluer tout ce petit monde sans que cela ait forcément quelque chose à voir avec l'histoire en cours, ou que, l'air de rien, ce soit le cas !
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