à noté la sortie aujourd’hui sur Netflix de Dragon Quest : Your Story sortie en 2019 au Japon, le film anime est basé sur le jeu Dragon Quest V : La Fiancée céleste, Autant dire que ce film a fait parlé de lui là-bas, pas seulement pour sa qualité technique, mais sur d’autre points qui fache (le fait que le design s’éloigne du style d’Akira Toriyama à l’exception des monstres et de la fin du film qui a assez déplu les spectateur)
Fan des années 2010, fan jusqu'au bout des bras !
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En voilà une pour te faire un avis https://youtube/KPxSS1zHWwQ enfin que penses tu de ce trailer https://www.youtube.com/watch?v=nS0dK4irCgU je trouve l ost très belle
Mais j espère que le design ne vas pas te rebuter car il est un peu spécial
Sache que l’ histoire et l univers sont supers. Vu que tu considères yakusoku neverland comme un chef d oeuvre tu devrais adorer cet anime.- Cette réponse a été modifiée le il y a 4 ans et 9 mois par benjamin.
En voilà une pour te faire un avis https://www.youtube.com/watch?v=UN-LX-y2Ntw enfin que penses tu de ce trailer de cet anime je trouve l ost très belle ( cela me fait penser a l’ost de ghost in the shell.)
Mais j espère que le design de cette anime ne vas pas te rebuter
car
Sache que l’ histoire et l univers de cette anime sont supers. il y a tout un tas de personnage avec des motivations différents de l’humour du suspense de la psychologie.Vu que tu considères yakusoku no neverland comme un chef d oeuvre et que tu adores l’attaque des titans tu devrais adorer cet anime. bref je te recommande chaudement de jetter un oeil a cet anime lorsqu’il sortira le premier avril sur crunchyrol.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 4 ans et 9 mois par benjamin.
Je n’ arrive pas a coller les vidéos sur mon smartphone je vais réessayer https://youtu.be/nS0dK4irCgU
Nouvelle fiche de Arachnée pour Planète Jeunesse dédiée aux OAVs de Initial D: Final Stage
http://www.planete-jeunesse.com/fiche-3165-initial-d-oav-final-stage.html
Une très bonne fiche de ta part Arachnée, nous permettant d’apprendre qu’en dépit du fait que ces OAVs adaptent les derniers tomes du manga original, la franchise ne s’en est pas arrêté là pour autant étant donné que trois long métrages animés furent produits par la suite et ont réadapté le manga.
Je constate en tout cas que Yann Pichon a pu au moins reprendre le rôle de Takumi le héros de la série !
Kahlone a écrit une excellente fiche consacrée à Devilman Crybaby pour le site de Planète Jeunesse. 😀
http://www.planete-jeunesse.com/fiche-3191-devilman-crybaby.html
Il a en tout cas superbement bien analysé cette brillante adaptation animée par Masaaki Yuasa qui a su effectivement moderniser le chef d’oeuvre de Go Nagai, tout en en conservant l’âme.
A titre personnel, mon adaptation animée favorite de Devilman demeure les magnifiques OAVs de 1987 et 1990 avec l’immense Kazuo Komatsubara au character design qui ont su saisir toute la quintessence des tomes de l’oeuvre originale qu’elles ont adapté…
Mais je mettrai Crybaby en deuxième position et qui elle au moins adapte l’intégralité du manga. 😀
En fin de quarantaine, j’avais envie de revenir sur quelques anime découverts ces 2 derniers mois et qui m’ont franchement enthousiasmée. Je commence avec ”Poco’s Udon world”, une courte série de 12 épisodes d’après le manga de Nodoka Shinomura.Poco est un petit tanuki (chien viverrin japonais) visiblement millénaire, capable comme dans les légendes de prendre forme humaine pour s’immiscer à l’intérieur des maisons. Son plat préféré ? Les nouilles udon à la farine de froment. Or, le fils du meilleur fabricant de nouilles udon de la région, Sôta Tawara, un jeune web-designer célibataire travaillant à Tôkyo, vient juste de revenir dans sa petite ville natale pour vendre la maison et le restaurant familial suite au décès de son père. Désintéressé depuis des années par les nouilles et sa ville de campagne, Sôta découvre la présence de Poco sous les traits d’un enfants de 2-3 ans. D’abord effrayé, Sôta s’attache peu à peu à Poco et le considère comme son propre fils. Mais comment mener une vie ”ordinaire” avec un petit être qui doit tout apprendre sans attirer l’attention de son entourageEn regardant ”Poco”, on pense très vite à une autre série ensoleillée : ”Barakamon”, dont le manga est disponible chez Ki-Oon (et que votre administratrice vous recommande CHAUDEMENT). Néanmoins, si Poco et Barakamon ont effectivement en commun un duo dynamique composé d’un jeune homme célibataire et d’un très jeune enfant vivant dans une petite ville campagnarde, la ressemblance s’arrête là. Contrairement à un Barakamon dynamique, mettant en avant la joie de vivre, la recherche d’un objectif professionnel et l’entrée dans l’âge adulte, Poco exploite davantage le début de l’âge adulte, notamment autour de la trentaine. Sôta est un jeune homme bien installé, avec un travail, un appartement, mais il reste désespérément célibataire. En rencontrant Poco, il se découvre une fibre paternelle et une volonté de créer une vraie famille, chose dont il se désintéressait auparavant. La série se veut plutôt sérieuse et même au fond assez adulte, en revenant sur des thématiques réalistes comme l’éducation des enfants, le divorce, le deuil familial, la réussite professionnelle ou le retour à ses origines. En revenant dans sa ville natale, Sôta se rend compte qu’il y a laissé un certain nombre d’anciennes connaissances qui ont chacun fait leur vie, alors que lui n’a pour le moment vécu que pour son travail, au point d’oublier ses souvenirs d’enfance. En découvrant la région de son enfance avec des yeux neufs, il finit ainsi par se remettre en question et imaginer un quotidien différent de celui qu’il menait jusqu’à maintenant à Tôkyo.La série ne cherche pas non plus à favoriser la vie campagnarde à la vie citadine contrairement à ce qu’on pourrait croire, mais plutôt à encourager le spectateur à trouver son cocon, le lieu où il pourra le mieux s’épanouir. Si la série ne dure que 12 épisodes alors que le manga s’est terminé au 12e volume, l’anime propose une fin réussie ne laissant pas le spectateur sur la touche. Une initiative à saluer !L’anime met beaucoup l’accent sur la région de Kagawa, là où se déroule l’histoire, au travers d’événements festifs, de lieux culturels (notamment dédiés aux tanukis) et de spécialités culinaires. Cette promotion est effectuée à la fin de chaque épisode par une version animée de Jun Kaname, un acteur très populaire ayant grandi dans la région.Autre élément original, la présence d’une série animée pour tout-petits, ”Le ciel bleu de Gao Gao”, qui aura une certaine importance au cours de l’histoire et dont on peut voir un mini-épisode à la fin de ceux de ”Poco” ; ces épisodes ont pour particulier de faire allusion aux événements ayant eu lieu dans ceux de ”Poco”.Techniquement parlant, ”Poco” est une série dans l’ensemble réussie, avec un certain soin au niveau des décors et du choix des couleurs (éclatantes, comme on pouvait s’y attendre pour une série aussi ”ensoleillée”). Le chara-design est plus conventionnel, à l’exception peut-être de Poco qui est vraiment très réussi avec sa frimousse croquignolesque.Parfait en cas de journée pluvieuse et monotone, Poco peut séduire un large public. Si certains éléments de la culture japonaise sont effectivement présents, ils n’atténuent pas non plus la compréhension de l’histoire qui reste universelle.- Cette réponse a été modifiée le il y a 4 ans par Veggie11.
ATTENTION: Ceci n’est pas ma critique de l’animé Poco’s Udon World !
Veggie11 l’a écrite hier mais je suppose qu’en éditant son message, le sempiternel bug du forum l’a effacé sans vergogne. Je l’ai heureusement recopié et sauvegardé. Je retranscris donc son message et je répondrai à sa critique de l’oeuvre dans le message suivant.
En fin de quarantaine, j’avais envie de revenir sur quelques anime découverts ces 2 derniers mois et qui m’ont franchement enthousiasmée. Je commence avec ”Poco’s Udon world”, une courte série de 12 épisodes d’après le manga de Nodoka Shinomura.Poco est un petit tanuki (chien viverrin japonais) visiblement millénaire, capable comme dans les légendes de prendre forme humaine pour s’immiscer à l’intérieur des maisons. Son plat préféré ? Les nouilles udon à la farine de froment. Or, le fils du meilleur fabricant de nouilles udon de la région, Sôta Tawara, un jeune web-designer célibataire travaillant à Tôkyo, vient juste de revenir dans sa petite ville natale pour vendre la maison et le restaurant familial suite au décès de son père. Désintéressé depuis des années par les nouilles et sa ville de campagne, Sôta découvre la présence de Poco sous les traits d’un enfants de 2-3 ans. D’abord effrayé, Sôta s’attache peu à peu à Poco et le considère comme son propre fils. Mais comment mener une vie ”ordinaire” avec un petit être qui doit tout apprendre sans attirer l’attention de son entourage ?En regardant ”Poco”, on pense très vite à une autre série ensoleillée : ”Barakamon”, dont le manga est disponible chez Ki-Oon (et que votre administratrice vous recommande CHAUDEMENT). Néanmoins, si Poco et Barakamon ont effectivement en commun un duo dynamique composé d’un jeune homme célibataire et d’un très jeune enfant vivant dans une petite ville campagnarde, la ressemblance s’arrête là. Contrairement à un Barakamon dynamique, mettant en avant la joie de vivre, la recherche d’un objectif professionnel et l’entrée dans l’âge adulte, Poco exploite davantage le début de l’âge adulte, notamment autour de la trentaine. Sôta est un jeune homme bien installé, avec un travail, un appartement, mais il reste désespérément célibataire. En rencontrant Poco, il se découvre une fibre paternelle et une volonté de créer une vraie famille, chose dont il se désintéressait auparavant. La série se veut plutôt sérieuse et même au fond assez adulte, en revenant sur des thématiques réalistes comme l’éducation des enfants, le divorce, le deuil familial, la réussite professionnelle ou le retour à ses origines. En revenant dans sa ville natale, Sôta se rend compte qu’il y a laissé un certain nombre d’anciennes connaissances qui ont chacun fait leur vie, alors que lui n’a pour le moment vécu que pour son travail, au point d’oublier ses souvenirs d’enfance. En découvrant la région de son enfance avec des yeux neufs, il finit ainsi par se remettre en question et imaginer un quotidien différent de celui qu’il menait jusqu’à maintenant à Tôkyo. La série ne cherche pas non plus à favoriser la vie campagnarde à la vie citadine contrairement à ce qu’on pourrait croire, mais plutôt à encourager le spectateur à trouver son cocon, le lieu où il pourra le mieux s’épanouir. Si la série ne dure que 12 épisodes alors que le manga s’est terminé au 12e volume, l’anime propose une fin réussie ne laissant pas le spectateur sur la touche. Une initiative à saluer !L’anime met beaucoup l’accent sur la région de Kagawa, là où se déroule l’histoire, au travers d’événements festifs, de lieux culturels (notamment dédiés aux tanukis) et de spécialités culinaires. Cette promotion est effectuée à la fin de chaque épisode par une version animée de Jun Kaname, un acteur très populaire ayant grandi dans la région.Autre élément original, la présence d’une série animée pour tout-petits, ”Le ciel bleu de Gao Gao”, qui aura une certaine importance au cours de l’histoire et dont on peut voir un mini-épisode à la fin de ceux de ”Poco” ; ces épisodes ont pour particulier de faire allusion aux événements ayant eu lieu dans ceux de ”Poco”.Techniquement parlant, ”Poco” est une série dans l’ensemble réussie, avec un certain soin au niveau des décors et du choix des couleurs (éclatantes, comme on pouvait s’y attendre pour une série aussi ”ensoleillée”). Le chara-design est plus conventionnel, à l’exception peut-être de Poco qui est vraiment très réussi avec sa frimousse croquignolesque.Parfait en cas de journée pluvieuse et monotone, Poco peut séduire un large public. Si certains éléments de la culture japonaise sont effectivement présents, ils n’atténuent pas non plus la compréhension de l’histoire qui reste universelle.Merci pour ta critique détaillée et passionnante de Poco’s Udon World Veggie ! 😀
Pour être franc, tu me donnes bien envie de voir cette oeuvre qui semble aussi chaleureuse qu’émouvante et attendrissante.
Il y a déjà eu des cas de manga et d’animés de jeune garçons élevant des enfants comme Babe my Love mais là dans le cas de Poco’s Udon World il s’agit d’un jeune homme adulte trentenaire autonome et indépendant financièrement.
Je trouve que l’oeuvre véhicule un très beau message si celui ci correspond au fait qu’il est important de trouver un lieu dans lequel on peut s’épanouir et être heureux…
La série est sortie en DVD et Blu-Ray en France ? Et si oui chez quel éditeur ?
Yashahime (Hanyo no Yashahime pour son titre complet) est la suite d’Inu Yasha, le manga de Rumiko Takahashi. Il s’agit cependant d’une suite spécifique au format animé. Comme Boruto, on nous narre donc les aventures des descendants des personnages principaux du manga d’origine. La comparaison s’arrête cependant là : d’abord parce que, paradoxalement, l’héroïne principale n’est pas la fille des personnages principaux de l’oeuvre de Takahashi, Inu Yasha et Kagome, mais celle de Seeshomaru, le frère d’Inu Yasha (qui est la mère ? Ce n’est pas encore précisé : Rin ? Ca ferait un peu Dit de Genji 😆 ). Ensuite parce que, une fois passé l’épisode introductif, les personnages principaux du manga sont très peu présents : on retrouve quelques personnages secondaires pour planter le décor mais on n’a encore vu ni Inu Yasha, ni Kagome, ni Sango – et on a à peine entraperçu Miroku. Cela permet de laisser toute sa place au trio d’héroïnes.
L’héroïne principale est Towa : fille de Seeshomaru et soeur jumelle de Setsuna, elle a été séparée de cette dernière lors de l’incendie d’une forêt et projetée dans le présent où elle a été recueillie par Sota, le frère de Kagome. Quelque peu garçon manqué (elle porte un uniforme masculin), elle s’entend cependant très bien avec ses parents adoptifs et sa petite soeur. Setsuna est restée dans le passée mais a perdu tous ses souvenirs et la possibilité de dormir, emportés par un papillon des rêves. Enfin, Moroha est un peu fofolle et chasse des monstres à la recherche d’argent pour rembourser une mystérieuse dette. Après que Setsuna et Moroha aient été projetées dans le présent, toutes trois vont retourner dans le passé pour aider Setsuna à retrouver ses souvenirs.
Les 6 premiers épisodes que j’ai vus sont très agréables : on y retrouve l’ambiance d’Inu Yasha et le trio principal fonctionne bien. On n’est donc pas motivé que par l’envie de voir ce que sont devenus les personnages du manga principal, même si cette envie existe aussi. Les aventures des héroïnes se suivent donc pour elles-mêmes, il y a ce qu’il faut d’humour (notamment grâce à Moroha), d’action (comme au début d’Inu Yasha, elles luttent contre les divers yokaïs croisés) et de mystères (que sont les perles arc-en-ciel qui font penser à la perle de Shikkon, au coeur des aventures d’Inu Yasha et de Kagome ?), ce qui rend ces épisodes plaisant à suivre et intrigants.
Merci pour ta belle critique de Yashahime 🙂 : Aimant beaucoup Inu Yasha, ce spin off m’intéresse beaucoup. Et en plus si l’héroïne est attachante et que l’humour est au rendez vous, je ne la louperai pas 😉 .
Sur les illustrations promotionnelles, parmi les personnages de l’oeuvre originale, j’ai juste vu (de loin !) Inu Yasha, Sesshomaru et la soeur de Kikyo.
Je suppose que tu les as vu sur J-One. Mais est ce que tu saurais par hasard si Yashahime est disponible sur des sites de streaming comme ADN et Wakanim ?
La série est disponible sur Crunchyroll : https://www.crunchyroll.com/fr/yashahime-princess-half-demon
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