Ouais mais l'épisode suivant est bien marrant. C'est l'épisode musical, je crois ; et la chanson de Jean pour Nadia est priceless. 😂
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Fushigi no Umi no Nadia
Episode 34
Itoshi no Nadia ♥
Ma chère Nadia
“- Chanter ?
– C'est le meilleur moyen pour séduire une femme.”Le Gratan traverse le continent africain au vol, pépère, et chacun vogue à ses occupations pour passer le temps. Marie s'émerveille de voir tous ces animaux exotiques et brûle de curiosité de connaître leurs noms. Une joie qui contraste évidemment avec Nadia, qui reste dans son coin à broyer du noir.
Hanson et Sanson expliquent à Jean qu'elle doit ressentir une peine de coeur, et qu'il doit la conquérir en chantant. Et… Oh purée, j'viens d'comprendre ! L'épisode musical !
En fait, sous couvert d'un épisode “comédie musicale”, il s'agit ni plus ni moins d'un résumé visuel des 33 premiers épisodes de la série.
Pas de nouveauté donc, mais quand même, la plupart des chansons sont agréables et arrivent à faire passer la pilule du remplissage.
Sinon, j'ai adoré le long speech de Hanson et Sanson sur les femmes et l'enfer d'être amoureux de cette autre espèce humaine ! 😂
"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Fushigi no Umi no Nadia
Episode 35
Blue Water no Himitsu
Le Secret de la Blue Water
“Jean, j'ai peur. J'ai peur de tout savoir. J'ai l'impression que la fille que j'étais jusqu'alors va disparaître.”Attention, ça va spoiler chérie !!Le Gratan finit par arriver là où se trouvait jadis Tartessos, lieu des origines de Nadia. Il ne reste plus de la ville antique qu'un lac immense.
A nouveau guidée par une force inconnue, Nadia se dirige au centre du lac qui laisse peu à peu place à un gigantesque puits descendant vers les profondeurs de la terre, dans laquelle se trouve un immense complexe technologique. Selon Nadia, il s'agit de l'une des trois arches du Déluge.
– Une arche fut brûlée et coula en mer. Elle s'appelait l'Atlantide.
– Une autre arche perdit son maître et disparut quelque part. Il s'agît de l'île, la Red Noah.
– La dernière arche perdit sa capacité de voler et tomba en Afrique. Les seuls qui survécurent se trouvèrent donc sur cette arche, la Blue Noah. Ils établirent un royaume, nommé Tartessos.Voilà un épisode qui fait chaud au coeur !
Je passe les révélations, qui pleuvent comme la misère sur le pauvre monde, parce qu'au fond, aucune n'est une véritable surprise, mis à part peut-être la révélation sur les arches… et aussi la fonction de la Tour de Babel (Elle permettrait aux Atlantes de dialoguer avec leur peuple, situé à 277,5 années lumière de la Terre) !
Ce qui fait chaud au coeur, c'est de voir enfin une Nadia qui se remet en question, qui se rend compte de ce qu'elle a pu faire subir aux autres, en particulier à Jean.
Lorsqu'elle pénètre dans Tartessos, la couleur disparaît symboliquement, hormis pour la Blue Water et le passage où elle raconte le Déluge biblique.
On pourrait croire que cet effet stylistique est là pour appuyer la découverte des ruines de Tartessos, ainsi que les révélations apportées par Nadia.
Mais à mon sens, il s'agit surtout de souligner l'état psychique de Nadia à ce moment précis. Son arrivée à Tartessos signifie aussi la fin du voyage. Un voyage qui l'aura vu retrouver et perdre son père, révéler ses origines, et finalement retrouver ses racines, des racines qui ne sont plus que ruines.
Et Jean ? Il a tenu sa promesse, mais maintenant ? La supportera-t-il encore, après tout ce qu'elle lui a fait subir ? Ne va-t-il pas la quitter, enfin soulagé de ne plus avoir à supporter ses sautes d'humeur et ses caprices maintenant que la promesse qui le liait à la jeune fille a été tenue ? Et Néo-Atlantis ? Ils voudront son pouvoir et la traqueront.
Voilà ce qui doit traverser la tête la jeune fille.
Nadia ne se supporte plus elle-même, et va même jusqu'à tenter d'en finir avec sa vie.
Et c'est là que la couleur revient, symboliquement. Lorsque Nadia revient à la vie, quand ses amis lui rappellent qu'ils ne l'abandonneront jamais (avec à la clé une baffe pour Nadia – bien méritée en connaissance des épisodes précédents – de la part de Grandis ! Wouhou !).Tout l'épisode est concentré sur Nadia et sa prise de conscience. Elle s'ouvre totalement à ses amis, elle se révèle entièrement à eux, en tant que princesse, en tant qu'extra-terrestre, et finalement en tant qu'humaine, quand elle apprend sa date de naissance (31 mai 1875).
Après l'épisode 33, je n'en pouvais plus de Nadia, le personnage. En vérité, les épisodes 32 et 33 sont facilement évitables, et un visionnage (disons deux, en vo puis en vf) est plus que largement suffisant pour faire le tour de ces horreurs, à tout niveau. Alors mettons qu'ils n'existent pas, et allons de l'avant ! Parce que là, cet épisode a réussi à réveiller mon enthousiasme ! 😃
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Fushigi no Umi no Nadia
Episode 36
Ban'nô Senkan New-Nautilus Gô
Le New Nautilus
"- Nadia, je te promets que je te sauverai.
– Je t'attendrai."Attention chérie, ça va spoiler !!A peine sortis de la Blue Noah, Nadia et toute la compagnie se trouvent face à deux cuirassés spatiaux : Gargoyle et Néo-Atlantis les ont finalement retrouvés.
Nadia est sommée de les rejoindre, si elle veut que ses amis restent en vie. Mais une promesse de Gargoyle n'a pas grande valeur, et Jean, Grandis et les autres doivent prendre leurs jambes à leur cou s'ils espèrent s'en sortir et finir par libérer leur amie.
Si le Gratan réussit à leur sauver la mise, il en faudra cependant plus pour échapper à la puissance de feu des cuirassés. Comme par exemple un étonnant vaisseau qui parvient à voler sans ailes, aux allures de sous-marin.
Nos aventuriers ne sont pas au bout de leur surprise quand ils découvrent qui les a sauvés. Un nouvel espoir naît avec la découverte d'un autre étrange navire, autant que de son équipage !
La série part sur un autre plan, moins maritime, plus aérien, et c'est un réel plaisir de voir telle évolution ! L'autre plaisir, c'est évidemment le retour de vieilles connaissances, et l'on constate alors à quel point elles nous auront manqué !
L'état de la relation entre Jean et Nadia tient en un seul échange entre les deux jeunes adolescents, et c'est toute la beauté de la chose, il est amplement suffisant pour comprendre les liens qui les unissent !
Gargoyle réitère ici sa répugnance du genre humain à Nadia, toujours aussi mystérieux, même si les dernières révélations ne laissent plus beaucoup de doute quant à ses origines.
Le générique d'ouverture suit l'évolution de la série et nous fait profiter de nouvelles images.
L'OST accompagne à merveille l'action avec quelques morceaux anthologiques qui ne sont pas sans rappeler certaines partitions cultes d'Evangelion.
C'est en tant que fan d'Harlock / Albator que j'accueille avec joie cette dernière ligne droite !"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Fushigi no Umi no Nadia
Episode 37
Neo Kôtei
L'Empereur Néo
"Empereur Néo, nous aimerions que vous aidiez Néo-Atlantis à renaître."Attention chérie, ça va spoiler !!Après avoir récupéré la Blue Water du Capitaine Nemo en échange de la garantie de la vie sauve de sa fille, Gargoyle détruit les ruines de Tartessos et montre par là-même le pouvoir immense de l'Empereur Néo, dorénavant possesseur de deux Blue Water. Sans attendre, il se sert de leur pouvoir pour s'accaparer l'arche Red Noah, qui lui permettra de contrôler le monde, ou, selon Gargoyle, de déclarer la guerre à l'Humanité… et c'est en effet ce qu'il fait.
Seul le navire de Nemo, le New-Nautilus, est en mesure de l'affronter. Encore faudrait-il qu'il fût pleinement opérationnel, après être resté enfermé au coeur de la Terre pendant 12000 ans !
Tout au long de la série, on pouvait cerner la patte de Hideaki Anno dans la mise en scène, précurseur de ce qui fit plus tard une partie du succès de Neon Genesis Evangelion. Mais cet épisode, à lui seul, peut faire office de véritable introduction à l'identité visuelle de l'autre série culte d'Anno !
On a ainsi droit à des cadrages élargis mettant en valeur les architectures intérieures du palais de l'Empereur Néo, avec des prises de vue inhabituelles. Mais aussi des enchaînements rapides de plans, tout juste perceptibles pour le cerveau du spectateur, et installant une sensation de malaise.
Et comme dans Evangelion, ce n'est pas seulement la narration qui raconte une histoire, mais aussi les longs plans éloignés en travelling. Ainsi l'on aperçoit un fossile (?) de géant, lors d'un déplacement de Gargoyle et Nadia dans la Red Noah. Un peu plus tard, ils traversent une salle remplie de ce qui s'apparente à des bras robotiques géants.
Et voilà qu'au détour d'un dialogue de Gargoyle avec Nadia, la ressemblance avec Eva dépasse le stade esthétique, quand Adam, le premier homme est évoqué, et même montré à Nadia, géant humanoïde créé par les Atlantes.
Fascinant !A demi-mots Electra réduit la théorie du darwinisme (1859) au néant, ne concevant même pas la chose, en révélant à Jean que l'Homme a été créé par les Atlantes sur la base du singe.
On pourrait craindre une espèce d'apologie du créationnisme, mais ce serait alors oublier l'importance de personnages comme Jean et Nemo, véritable plaidoyer pour la science. Et puisque Adam, et donc l'Humanité, est une création extra-terrestre, on est même ici en pleine réfutation du concept même de déité, telle que les religions la conçoivent du moins.
Voilà l'un des épisodes les plus denses, si ce n'est le plus dense !
On apprend par exemple ici que les Atlantes sont arrivés sur Terre il y a 2,4 millions d'années, c'est-à-dire au moment où les premiers hominidés ont fait leur apparition, ou bien encore qu'il y a des tunnels Atlantes placés sous les cinq continents et les sept océans
Le nombre d'informations révélées se dispute à la beauté des scènes qui nous sont dévoilées ! La tension est palpable, et l'enjeu est si grand que Nemo tend à être plus implacable, se préparant même à faire le plus grand sacrifice de sa vie. Le combat va commencer !
Hideaki Anno à son top niveau !
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Fushigi no Umi no Nadia
Episode 38
Sora E…
Vers le Ciel…
“Brûle avec Paris, New Nautilus.”“Attention chérie ça va spoiler !!”Après l'avoir empêché de détruire Londres, le New Nautilus fait face au Red Noah au-dessus de Paris, visiblement vidé de ses habitants en très peu de temps.
Le combat occupe quasiment tout l'épisode, mais il se poursuit “up, up, up !” dans l'espace !
Un épisode riche en action, c'est toujours une récompense dans une série d'aventure du genre de Nadia. On suit les périples, péripéties et déboires des héros, on apprend à les connaître, et on s'émerveille devant chaque révélation. Et le bonus, ce sont ces grands moments d'action pure, une fois que tout est dit et que les enjeux sont posés. Et là, il ne vaut mieux pas merder, parce que les fans attendent ces moments au tournant.
Pas de surprise, cet épisode remplit parfaitement son office et nous propose un opéra spatial, un déluge d'effets Harlockiens de haut-vol, le tout servi par une animation de très haut standing !
A l'instar de Sanson, j'ai eu grande envie de crier “Yahou !” en voyant cet épisode ! D'ailleurs, l'équipage du Gratan a droit à sa part de gâteau ici ! Loin de faire figuration face aux pourtant très imposants Nemo et Gargoyle et leurs vaisseaux, Grandis, Sanson et Hanson musclent leur jeu et se lâchent dans une séquence mémorable, qui leur permet au passage de sauver les miches du New Nautilus !
Niveau révélations, il y a aussi à boire et à manger ici, notamment les noms complets des deux grands antagonistes de l'histoire, Nemo et Gargoyle !
On ne s'étonnera pas de découvrir que Gargoyle s'appelle en fait Némésis La Argol ! Némésis, un terme qui convient parfaitement à Gargoyle. La déesse grecque Némésis représentait la juste colère divine, et Gargoyle se définit lui-même comme étant Dieu. La justice divine, la colère des dieux envers les hommes. Parfaite analogie !
Si il y a une définition particulière, ou un lien, concernant Argol, je laisse mon camarade Yupa le trouver ! Désolé, là je botte en touche ! 😂
Quant à Nemo, il se nomme en fait Eleusis la Arwall. Restons-en à la mythologie grecque. Eleusis était un héros, fils d'Ogygès, lui-même survivant du premier déluge, selon les grecs.
Eleusis était le père de Triptolème, demi-dieu élevé par le lait divin de Démeter, qui le jetait dans le feu la nuit, afin semble-t-il de le faire grandir plus vite qu'un humain normal, ce qui pourrait nous ramener au Adam de la série.
Eleusis est aussi le nom d'une ville grecque, qui dans la religion grecque antique, était le lieu du culte des mystères, ou rites secrets.
Quant à Arwall… bah… non, j'trouve pas… 😛Et puis on arrive au dernier acte de l'épisode, un dénouement qui ne fait qu'augmenter la tension et nous promet un dernier épisode riche en émotion ! Quel va être le choix de Jean, alors que le monde est à deux doigts d'appartenir à Gargoyle ?
C'est justement ce qu'on attend d'une série de ce genre. Les promesses sont tenues jusqu'ici, maintenant, hop, hop, hop, la conclusion !!"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Fushigi no Umi no Nadia
Episode 39
Hoshi wo Tsugu Mono…
Héritiers d'une planète
“C'est impossible. C'est absurde. L'homme transcendera-t-il la science ?”Attention chérie, ça va spoiler grave !!Gargoyle mène la danse, mais c'est Jean qui tient le destin entre ses mains. Seulement, est-il prêt au sacrifice requis pour sauver le monde ?
Voilà comment se termine Nadia ! L'émotion est au rendez-vous, comme on était en droit de s'y attendre.
Le dénouement s'accompagne de quelques coups de théâtre fort bien amenés, dont une révélation sur Gargoyle qui appuie toute l'absurdité du personnage, et accompagnant sa fin pathétique (à tel point que son visage est à peine dévoilé, appuyant ainsi toute son insignifiance).
Il y a une grande force dans cet épisode, conséquente au passif de la série, concernant la façon dont la mort y est traitée.
La mort de Jean arrive sans tambour ni trompette, et est très choquante en regard de la façon dont elle est montrée, prise de vue éloignée, aucun cri de Jean, juste la chute d'un corps. Une scène qui montre bien l'un des points forts de la série, cette façon de mettre en scène la mort de manière réaliste, sans fioriture, presque banale, et donc extrêmement choquante, surtout pour un public jeune, habitué aux grandes envolées lyrico-tragiques, aux morts et aux sacrifices héroïques.
Et voilà que tout-à-coup, le miracle survient, la résurrection. Assez ironique, d'une certaine manière, de la part d'une série qui réfute le divin !
C'est justement parce que la série traitait de cette façon la mort que ce passage revêt une grande importance. Considérée comme quelque chose d'inéluctable, la surprise en est d'autant plus forte de voir que la Blue Water possède un pouvoir aussi puissant ! L'effet sur le spectateur est assez semblable à celui des montagnes russes ! Après avoir été refroidi, et choqué, par une telle mort, celle d'un des héros de la série qui plus est, voilà qu'on lui offre ce qu'on a passé pendant plus de trente épisodes à lui dire que ça n'arriverait pas, jamais !
Néanmoins, je n'arrive pas à m'empêcher de penser que la résurrection de Jean devait avoir une contrepartie, et c'est Nemo qui a décidé d'en payer le prix.
Une vie en échange d'une autre. Dans les deux cas, Nadia y est perdante.Deux choses m'intriguent ici :
– Pourquoi, quand Venusis (le vrai nom de Néo) parle en pensée avec sa soeur, celle-ci est-elle représentée nue tandis que son frère a des vêtements ? C'est anecdotique, mais ça m'intrigue.
– J'ai bien compris que, d'une manière ou d'une autre, Gargoyle avait besoin de Venusis pour tenir le rôle d'Empereur. Même en faisant abstraction du pourtant très important don de manipuler la Blue Water, Venusis sert également de “caution” pour Gargoyle. Etant le fils de l'ancien roi, il s'en sert pour légitimer sa croisade et obtenir certainement l'appui indéfectible des Atlantes restants, persuadés d'agir pour leur royaume.
Ce qui m'intrigue, c'est de savoir pourquoi a-t-il fait autant de cérémonie lorsqu'il s'adressait à lui, par exemple dans l'épisode 22, en ne le regardant pas, en respectant un certain protocole, alors qu'à ce moment-là ils étaient visiblement seul à seul ?
La réponse la plus évidente est, je le sais bien, qu'il faut maintenir le suspense et l'intrigue auprès du spectateur, quitte à devenir par la suite incohérent avec les révélations. C'est dommage, ça casse un (petit) peu la magie sur ce point-là.
“Maintenant, Princesse Nadia… c'est la fin de l'histoire.”Quoi qu'il en soit, c'est donc l'émotion qui domine ce final.
La série a su tenir toutes ses promesses, nous offrant un final en apothéose, fidèle à ce qu'elle nous a offert de meilleur, et d'unique, encore aujourd'hui !
Les dernières minutes de la série sont consacrées à un épilogue assez réjouissant, bien que légèrement frustrant par son côté résumé.
Mais peu importe, le contrat est rempli, l'aventure était présente, tout autant que l'originalité. Si on met de côté une dizaine d'épisodes vraiment gênants et frustrants, Fushigi no Umi no Nadia est une ode à l'aventure, un concentré de bonheur qu'il était bien malvenu de ne pas connaître ! La chose est réparée ! 😃 Je suis toute joie ! 😃"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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Je me livre à ce remontage de topic pour signaler qu’aujourd’hui, c’est le 30e anniversaire de Nadia et le secret de l’eau bleue ! 😀
Et oui, cela fait 30 ans jour pour jour que la série culte de Hideaki Anno fut diffusée pour la première fois sur la NHK au Japon, le 13 avril 1990.
Une oeuvre majeure et exceptionnelle qui aura fait date et marqué bien des esprits. 🙂
Joyeux Anniversaire Nadia ! 😀
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