le 20 Mars sort Doom Eternal et Animal Crossing New Horizon, je vous conseille de regarder cette vidéo de la Chronique Facile, quand la mignonnerie et la violence peuvent cohabité sur le net
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Voici un pitch fait des animateur pour un jeu vidéo basé sur Seinfeld, l’idée paraît décalé et marrante
Le seul expérience vidéoludique de Seinfeld qui existait à ce jour, ben, ce n’était même pas un jeu, mais un disque pour Windows comportant des vidéos et des fond d’écrans
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Pour rappel, c’est aujourd’hui que sort la suite tant attendue de The Last of Us sur Playstation 4.
Le jeu original était un véritable chef d’oeuvre du jeu vidéo, espérons que cette séquelle sera de la même trempe.
A noter au sujet de la version française que l’excellente Adeline Chetail reprend son rôle de Ellie qui sera cette fois ci la véritable héroïne du jeu, car dans le jeu original, c’était Joël le personnage central.
Oui, j’ai joué à The Last of Us premier du nom sur la PS3 et j’avais plutôt un bon souvenir, je passait mon temps sur le mode multijoueur, Après il va s’en dire que Last of Us 2 passe par la période de la sortie qui est très mouvementé, je pense qu’il vaut mieux s’intéressé au jeu quand il passera dans des offre plus abordable que maintenant.
Mais voir la plupart des personnes se jeter dessus avant même sa sortie, c’est limite un comportement de rapace, et aussi le jeu a subit un crunch dans son développement, ce qui n’est pas en faveur de Naughty Dog.
Sinon, j’ai découvert un jeu qui doit sortir au alentours de Août, No Straight Roads est un jeu conçu par Metronomik, un développeur basé en Malaisie, l’univers graphique est assez original et le casting VF comporte des comédiens connu comme Kelly Marot, Donald Reignoux, Céline Monsarrat et Eric Legrand
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Ghost of Tsushima, après The Last of Us 2, certainement la sortie événement de cette année sur PS4 dans un jeu qui met en avant le Japon et les Samouraïs, avec en prime, un personnage principal doublé en VF par Damien Boisseau, la voix de Samuraï Jack
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J’ai fini Yakuza 0, 95h au compteur !
Preuve qu’un avis est rarement objectif, j’avais jusqu’à présent beaucoup de mal avec cette série mais c’est parce que je la comparais à des jeux comme les Mafia, The Getaway ou même Sleeping Dogs.
Et en fait, j’étais à côté de la plaque !
Ces jeux qui ont tous en commun de raconter des histoires de trahison et de vengeance dans la pègre le tout avec un déluge de violence et même quelques scènes de torture sont souvent très sombres, très sérieux. On a parfois des petits moments de détente, surtout dans Sleeping Dogs mais il y a quand-même une volonté de cohérence avec l’historie principale.
Dans Yakuza, c’est pas du tout ça. Même quand l’histoire est bien écrite, voir est touchante avec les interactions entre Goro et Makoto, il y a toujours quelque chose pour nous rappeler que tout ça n’est pas bien sérieux, qu’on est surtout là pour s’amuser. Et c’est vrai, à partir du moment où on n’essaie plus de le prendre au sérieux, Yakuza 0 est un super jeu, un vrai parc d’attraction version quartiers chauds de Tokyo où le château de la princesse est remplacé par les histoires de manigances au sein du clan Tojo. C’est une sacrée galerie de gueules : Majima, le borgne exubérant (et ce n’est rien par rapport à son évolution dans les autres épisodes de la série) ou Kuze le demi-boss qui ne vous lâche jamais, une vraie ordure mais pourtant charismatique. Le perso le moins intéressant, c’est malheureusement Kiryu, le héros trop lisse, trop parfait de presque tous les épisodes de la série.
Et puis il y a de la baston, énormément de baston mais toujours avec style. Ce n’est pas des manip compliquées façon Shenmue, ici on est dans le beat’em all facile à prendre en main mais nécessitant un peu de maîtrise pour bien esquiver et surtout ne pas se faire encercler par des hordes de bandits qui se retrouvent parfois presque une dizaine pour nous casser la figure. D’ailleurs, parmi les détails grotesques mais marrants de la franchise, on dit que Kiryu n’a jamais tué personne, juste éclaté des têtes à coup de pieds, éventré des mecs avec un sabre, voir abattu un hélico avec un lance-roquette, ça fait “très bobo” (copyright Maurice Sarfati) mais personne n’en meurt. 😀
Mais dans un parc d’attraction, il n’y a pas que le château de la princesse, il y a aussi tout plein de manèges différents pour varier les plaisirs et dans Yakuza 0, on est servis. Karaoke, bastons de rue, koi-koi, gestion de bar à hôtesses, courses de voitures radiocommandées, salle d’arcades, mini quêtes plus ou moins délirantes… Les occasions de s’amuser ne manquent pas. Le plus fort, c’est que quand on croit avoir tout vu, il y a encore de nouvelles activités qui se débloquent jusqu’à un stade très avancé de notre progression dans l’histoire principale.
Yakuza 0 semble tellement se moquer de toute forme de conventions que je suis parfois tenté de le comparer à un nanard sauf que la réalisation, même si elle n’est pas au niveau des grosses superproductions, est très soignée. Malgré l’avalanche d’activités annexes, on n’a pas l’impression que ça a été bâclé, certaines activités sont plus développes ou mieux pensées que d’autres mais globalement ça reste très bon.
Donc voilà, j’ai enfin vu la lumière ! 😀
[Insérez une citation qui donne l'air intelligent ici]
flickr
En fait, il y a un site qui répertorie les mini-jeux qu’on peut joué dans la série Yakuza, dont voici une liste assez complète
Yakuza 0: Space Harrier (1985), Fantasy Zone (1986), Out Run (1986), Super Hang-On (1987)
Yakuza Kiwami: MesuKing: Battle Bug Beauties, Print Club
Yakuza 2: YF6
Yakuza Kiwami 2: Virtua Fighter 2 (1994), Cyber Troopers Virtual-On (1995), ToyLets (2011)
Yakuza 3: Boxcelios
Yakuza 4: Boxcelios, Boxcelios 2
Yakuza 5: Virtua Fighter 2 (1994), Taiko no Tatsujin (2011), Print Club
Yakuza 6: Space Harrier (1985), Fantasy Zone (1986), Out Run (1986), Super Hang-On (1987), Virtua Fighter 5: Final Showdown (2010), Puyo Puyo (2011)
Judgment: Space Harrier (1985), Fantasy Zone (1986), Fighting Vipers (1995), Motor Raid (1997), Virtua Fighter 5: Final Showdown (2010), Puyo Puyo (2011), Kamuro of the Dead
Yakuza: Like a Dragon: Space Harrier (1985), Fantasy Zone (1986), Out Run (1986), Super Hang-On (1987), Virtua Fighter 2 (1994), Virtua Fighter 5: Final Showdown (2010)
De mon côté, j’ai ressortie la Saturn, J’avais pu acheté la console lors d’une brocante dans les années 2000, je me suis acheté un câble Hyperkin pour joué sur ma télévision en haute définition, grâce à ça, j’ai une image bien plus net que le câble péritel, je peux enfin joué à des classique de la console tel que Panzer Dragoon, NiGHTS into Dreams, Virtua Fighter 2, Guardian Heroes ou Burning Rangers
‘Tain, à peine le jeu lancé, j’ai eu les frissons avec le thème de la vidéo d’intro ! “TON NIN NAN… pitit riff de guitare… TON NIN NAN” Brrr, j’aurais déjà du le sentir, à ce moment, que ce jeu allait m’obnubiler.
Je suis fan du Yakuza de Sega depuis le premier épisode sorti il y a maintenant presque 14 ans chez nous, sur PS2, avec son doublage américain (avec des pointures du style Mark Hamill ou Michael Madsen quand même !) et son sous-titrage français remarquable. Les épisodes suivants sont ensuite tous sortis en VO (Jap) et, hélas, sous-titrage anglais.
La première raison pour laquelle je me suis vite attaché à cette licence, c’est parce quelle combla alors le vide laissé par l’absence de suite à Shenmue. Quand vous vous baladiez dans Kamurochô (version fictive de Kabukichô, quartier très chaud de Shinjuku, bien connu des fans de Ryô Saeba) et que vous affrontiez les racailles du coin, quand vous alliez faire un tour au centre Sega du coin ou que vous alliez vous défouler au centre de base-ball, ou quand vous deviez survivre à un combat épique seul contre un clan entier de Yakuza enragés, malgré l’ambiance différente (on est là dans le monde de la mafia japonaise) vous aviez véritablement l’impression de jouer à un spin-off de la saga de Yu Suzuki ! 😀
La seconde raison, celle qui m’a fait accrocher définitivement, c’est justement tout cet univers ainsi que, et surtout, son héros, Kiryu Kazuma. Le tout est un excellent mélange entre réalisme et romance, que ce soit dans le sujet traité (le monde des Yakuza) comme dans le style de jeu. Au fur et à mesure que les suites sont produites, le jeu accentue à l’extrême cette dichotomie. Les histoires peuvent être très dramatiques et sont traitées avec énormément de sérieux et de premier degré, et font souvent référence aux films de Yakuza (au point que Takeshi Kitano apparaît dans le sixième opus). Mais en même temps ça va tellement loin dans le délire parfois qu’à certains moments on se croirait dans du Hokuto no Ken ! Je pense par exemple à un des chefs Yakuza dans l’épisode 0 qui a une dent contre Kiryu et qui veut absolument être celui qui le tuera… ce qui amène à une baston dans les égouts aussi jouissive que délirante ! Plus généralement, le personnage de Goro Majima est à lui seul un spectacle comme vous n’en verrez jamais ailleurs !
Et à côté de ça, vos errances en dehors du scénario principal vous amèneront à jouer à différents mini-jeux, bowling, base-ball, golf, shogi, jeux de dés, gô, petites voitures électriques, mah-jong, etc… Mais aussi jeux d’arcade (Hang-on, Space Harrier, Out Run, Virtua Fighter…), Karaoké, ET jeux de séduction avec des hôtesses de cabaret, pole dance, vidéo “érotiques”, rendez-vous galants… oui, c’est Kabukichô ! Et vous gérez aussi des cabarets dans certains épisodes.
Il vous faudra aussi vous nourrir pour retrouver un peu de vitalité après un dur combat, et pourquoi pas vous soûler la gueule dans un bar où le serveur vous fera tout un historique de la bouteille que vous aurez choisi de vider ! 😆
Bref, j’ai fait quatre des six épisodes principaux, et je dois reconnaître que même si j’ai pris beaucoup de plaisir avec les épisodes 2, 3 et 4 (j’ai le 5 mais je ne l’ai pas encore fait), je n’y ai pas ressenti le même bonheur qu’avec le premier épisode. De très bonnes suites avec des ajouts importants et de très bonnes histoires (et c’est rien de le dire, les rebondissements sont légion et l’aspect hard-boiled associé au caractère droit et loyal de Kiryu font tout le sel d’une narration passionnante), mais je ne ressentais plus l’excitation de trouver à chaque coin de rue de nouvelles choses à faire, telle que je l’avais en découvrant le premier opus. C’est normal bien sûr, mais avec les suites, on garde la formule habituelle tout en ajoutant des trucs en plus, des mini-jeux, des variantes. Restent les histoires secondaires. Vous rencontrez des gens et vous choisissez ou non de les aider, ce qui vous rapporte des items plus ou moins rare et / ou de l’argent, indispensable pour profiter de tous les plaisirs secondaires qu’offre le jeu.
Bref, il y a une routine qui s’installe, et donc au bout d’un moment vous décidez de vous concentrer sur l’histoire principale pour finir le jeu. Reste le plaisir de vous bastonner, de débloquer de nouveaux coups au point de devenir le monstre de puissance qui fera chier ses dents au premier insolent qui osera vous chercher des crosses et qui finira par s’excuser en chialant et en vous donnant son argent de poche. Jouissif. Parce qu’il faut voir avec quelle violence les coups sont portés et comment le sang gicle pour comprendre que le jeu mérite son [18+] ! Et quelle imagination ! C’est tellement over ze top que vous en rigolerez à force. Et les armes sont autorisées. Comment le gars peut-il être encore vivant après s’être fait poignarder de bon coeur ou pris trois bastos dans le bide ? C’est un mystère, mais honnêtement vous vous en foutrez royalement au bout du compte.
Mais voilà, je ne ressentais tout de même plus le même plaisir qu’avec la découverte de Yakuza premier du nom. Et puis j’ai acheté l’épisode 0 sur PS4. J’en suis actuellement à plus de cent-dix heures de jeu et je ne suis même pas à la moitié de l’histoire principale. Y a tellement de trucs à faire, c’est tellement généreux et immersif ! J’ai retrouvé ce plaisir particulier que j’avais avec le premier épisode ! La direction d’un service immobilier, la gestion d’un cabaret club, tous deux en compétition avec d’autres commerces du même type, c’est d’un chronophage ! Et ces géants qui déambulent dans les rues et cherchent à vous désister de l’intégralité de votre bourse (encore plus importante ici que dans les épisodes précédents puisque c’est l’argent qui vous sert de points d’expérience pour débloquer de nouveaux coups et compétences) ! Et ces petits commerces avec lesquels vous créez des liens ! Et ces maîtres qui vous apprennent de nouveaux coups ! Et ces parties de pêche ! Et les recrutements pour travailler dans votre agence d’immobilier ou votre cabaret ! Et PURÉE DE PRATAIN, Michael Jackson et Steven Spielberg (ou presque) qui demandent votre aide pour filmer un clip du King of Pop dans votre quartier ! Et la costumisation de vos hôtesses préférées ! Et ce pervers qui se balade à moitié à oilpé dans la ville ! Et les gens que vous avez aidés dans vos quêtes secondaires viennent à leur tour vous proposer leur aide pour gérer votre agence et votre cabaret club ! Mais arrêtez ! J’dois continuer l’histoire principale PINAISE !
Et l’histoire principale, c’est pareil, je suis à fond dedans, quand je prends le temps de m’y attarder, et c’est toujours aussi prenant, j’y ai même versé ma larmichette à certains moments tellement c’était puissant (Kiryu et Nishiki, Putain les gars T___T ). Il s’agit bien sûr d’une “préquelle” se déroulant avant le premier opus, centrée autant sur Kiryu que sur Majima, et j’ai beau dire que Kiryu reste mon perso préféré et que je regrette quand l’épisode 4 lui fait partager la partie avec 3 autres gars, ici ça passe beaucoup mieux parce que quand même, c’est Majima, et que ce perso est fascinant depuis le premier épisode ! Et ici il est absolument génial, à tel point que je le place au même niveau que Kiryu. Et vu l’amour que je porte envers ce dernier, c’est pas peu dire ! ^^
Je pourrais encore en parler des heures, mais je ne ferai que reprendre les mots de Tom, et un bon vidéo-clip vaut mieux que mille mots !
"With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
Star Trek - The Next Generation / The Drumhead
Shigeru Miyamoto dévoile Super Nintendo World, l’attraction pour Universal Studios Japon, ça semble être la première fois qu’un jeu vidéo est à l’honneur dans un parc d’attraction, d’ailleurs les attractions sont aussi des jeux vidéo car ils font appel à une application mobile et aux casques VR
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